Relevé des calorimètres, suite

- Par l'auteur HDS Nymphomane69 -
Auteur femme.
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Récit libertin : Relevé des calorimètres, suite Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-04-2022 dans la catégorie Plus on est
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Relevé des calorimètres, suite
J'étais les bras ballants, seins nus avec le vieux patron qui me pelotait et l'ouvrier qui restait inerte à regarder, la situation était un peu grotesque.
Le vieux m'étirait les tétons tout en parlant à son aidant, des paroles du style:- Tu vois, madame n'est pas farouche, je suis certain qu'elle s'amuse souvent derrière le dos de son mari, viens m'aider à la caresser, madame ne dira pas non, j'en suis sûr. En disant ça il me regardait comme pour me demander mon accord, je n'ai rien dit mais ai tendu la main vers l'ouvrier.
Ils me trituraient chacun un sein, le vieux se penchant régulièrement pour me téter.
J'avais les yeux fermés, appréciant les caresses des deux hommes, quand le vieux fit glisser ma nuisette jusqu'au sol et me caressa le minou. Excitée, je partis aussitôt à la rencontre des deux membres virils par- dessus leur pantalon. Tous les deux bandaient fort, je m'imaginais déjà le plaisir probable qu'ils allaient me donner.
Je me suis agenouillée et ai mis leur sexe à nu, deux belles tiges me sont apparues et je les branlais en même temps, passant également de l'une à l'autre pour les sucer.
J'avais maintenant l'envie d'être baisée, j'ai donc arrêter pour le leur dire.
Mais ce que je n'aurai imaginé se produit alors, l'ouvrier m'expliqua qu'il était jeune marié et ne tenait pas à tromper sa femme !
J'étais nue à genoux devant lui occupée à le sucer et il me disait ça, je ne comprenais pas !
- Tu veux bien une fellation mais pas me faire l'amour ?
- Ce n'est pas la même chose, me répondit-il.
- Tant pis, dis-je en me relevant, mais vient avec nous dans la chambre.
Ils ont relevé leur pantalon et m'ont suivie, une fois dans la chambre j'ai pris des préservatifs et les ai tendus au vieux en lui disant qu'il devrait en mettre pour toutes pénétrations.
Je me suis allongée et, en attendant que l'homme se déshabille, me suis masturbée sous leurs regards.
Le patron m'a rejointe et s'est allongé sur moi tout en m'embrassant goulûment. Dans le même temps il me titillait le clito, endroit très sensible chez moi, ce qui me donnait des soubresauts. Ensuite il a introduit un doigt, puis deux, puis trois, c'était fort agréable. J'ai jeté un oeil vers l'ouvrier qui se tenait à petite distance et lui ai fait signe de venir s'asseoir sur le lit, chose qu'il a faite.
- Descends ton pantalon et ton slip, je veux te caresser pendant que ton patron me donne du plaisir.
Il les a retirés entièrement et j'ai vu qu'il ne bandait plus.
Ma main s'est saisie de son sexe qui n'a pas mis trois secondes pour retrouver toute sa vigueur.
Quelle belle queue il avait, je râlais qu'il ne voulait pas participer !
Malgré tout je lui ai tendu une seconde perche:- Si tu changes d'avis, à n'importe-quel moment, mets un préservatif.
Je l'ai délaissé un peu car le patron avait envie de me pénétrer et moi aussi j'étais dans l'urgence (lol).
Il commença par la position du missionnaire, celle qui est la plus banale. Lorsqu'il se retira le préservatif resta en partie en moi, il dû le retirer et mettre un nouveau pour me prendre en levrette. Je subissais ses allées et venues quand j'ai demandé à son jeune ouvrier d'approcher son sexe de ma bouche, j'adore sucer en étant baisée.
Je venais d'avaler le miel du jeune quand le patron s'est penché vers mon oreille et s'est renseigné de savoir si j'acceptais la sodomie.
- Bien sûr, ai-je répondu, mais que votre ouvrier prenne mon flacon de lubrifiant dans le tiroir de la table de nuit.
Il en fit couler entre mes fesses et s'aida de son doigt pour l'ouverture, ensuite, petit à petit, il inséra sa queue.
On ne peut pas dire qu'il fit dans l'élégance, il m'a martelée sans douceur.
Quand ils sont partis je n'ai pu m'empêcher de dire au jeune: "Bonjour à ta femme" en riant.

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