En revenant de Louvain-La-Neuve
Récit érotique écrit par Nymphomane69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-04-2022 dans la catégorie Plus on est
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En revenant de Louvain-La-Neuve
Jeudi dernier, je suis allée rendre visite à une amie qui est à l'université de Louvain-La-Neuve. Petite soirée (sage, si ce n'est l'alcool) dans son kot avec ses deux colocataires, nuit calme et journée du vendredi à visiter la cité estudiantine.
A 20h30 j'ai repris le train pour Liège, j'avais prévenu Laurent que je rentrerai fort tard le vendredi oule samedi vers midi.
Malheureusement pour moi le train était bondé, j'ai malgré tout eu la chance d'avoir une place à côté d'une femme fort sympathique (mais bavarde !). Nous faisant face, un couple âgé (du moins je l'ai cru car la vieille dame est descendue bien avant Liège). Lorsque ma voisine bavarde est partie également, j'ai changé de place afin de m'asseoir près de la fenêtre, de ce fait j'étais face au vieux monsieur (coïncidence ? direz-vous, et bien oui). Histoire de passer le temps j'ai surfé sur Insta pour voir quelques influenceusesque je suis.
De temps en temps je levais la tête pour regarder dehors et j'ai vite remarqué que le vieux préférait le paysagede mes cuisses que celui de la campagne. Voulant m'amuser un peu, et d'une façon innocente, je me suis mise àcroiser, décroiser, écarter légèrement les jambes, tout ça en l'espionnant discrètement.
Je l'ai vu se tasser sur son siège, parfois faire semblant de se gratter un mollet en se penchant, et plus il gesticulait plus je m'arrangeais pour satisfaire son regard.
Si ma petite exhibition devait lui faire plaisir, au bout d'un moment c'est à moi que cela commença à faire del'effet aussi !
Exciter un homme est très facile pour moi, par contre, devoir entamer la conversation m'est plus difficile.
Et comme il restait muet j'ai bien dû le faire.
Moi: Vous descendez à Liège ?
Lui: Oui, à la gare des Guillemins.
Moi: On a quand même une des plus belles gares du monde.
Lui: Oui, on m'en parle presque partout où je vais.
Moi: Vous et votre femme partez souvent à l'étranger ?
Lui: Je suis veuf depuis 11 ans, et oui j'aime parcourir l'Europe.
Un veuf ! Mon esprit s'est envolé vers des pensées interdites aux moins de 18 ans !
Tout en continuant à parler avec lui j'ai commencé à me caresser une jambe, l'effet escompté eut lieu et il abaissa son regard vers ma main et, de fait, ma jambe.
Moi: Donc vous vivez seul, les soirées doivent être monotones ?
Lui: Parfois j'ai une bonne amie qui vient chez moi, c'était la meilleure amie de ma femme.
Moi: Ah, et vous... ? (d'un air plein de sous-entendus).
Lui: Je comprends ce que vous insinuez, j'ai essayé une fois mais elle m'a repoussé.
A ce moment-là ma main était sous ma jupe et je me caressais.
Moi: Vous avez l'air encore vaillant, ça doit vous manquer.
Lui: De temps en temps j'ai des petites envies, comme maintenant d'ailleurs.
Moi: C'est moi qui vous donne envie ? Pourtant vous ne me connaissez pas.
Lui: Vous êtes une très jolie jeune femme et le peu que je vois de vous me fait regretter de ne pas vous connaître.
Moi: Vous savez parler aux femmes, votre compliment me touche et me fait beaucoup d'effet.
Lui, me sidérant: Je crois m'en apercevoir avec votre main qui gesticule sous votre jupe.
Je suis restée muette quelques secondes puis j'ai repris la conversation.
Moi: J'avais bien vu que vous appréciez me regarder, ça me fait toujours plaisir d'être admirée par un homme de votre âge, généralement votre vécu apporte beaucoup de choses quand vous êtes avec une femme.
Lui: J'ai 67 ans, j'ai été marié deux fois et ai eu quelques maîtresses, je crois savoir donner du plaisir à une femme,
"même jeune" ajouta-t-il en souriant.
Dans le wagon il ne restait que nous et trois autres personnes un peu plus loin, comme j'étais placée aucun n'avait vue sur moi hormis ma tête. Alors, de ma main libre j'ai saisi une des siennes et l'ai amenée sur moi.
Il s'est avancé sur son siège et, après avoir passé un instant sur ma cuisse, est vite allé faire connaissance avec l'intérieur de ma culotte.
J'étais déjà humide de m'être caressée, il n'a eu aucune difficulté à m'insérer un doigt curieux.
Moi: Tu (à ce moment-là je l'ai tutoyé) veux que j'envoie un message à mon mari pour lui dire que je rentrerai tard, ou demain ?
Lui: Il ne dira rien si tu ne rentres pas ? Tu vas trouver quelle excuse ?
Moi: Pas besoin d'excuse, cela m'arrive parfois de déloger.
Lui: Tu viendrais chez moi ? Pour la nuit ? Tu n'as pas peur de suivre un homme que tu ne connais pas ?
Moi: Tu n'as pas l'air d'un tueur.
Lui: Mais je pourrais être un pervers.
Moi: Tout dépend de ce que tu entends par "pervers", si tu veux dire "très vicieux" ça ne me dérange pas, au contraire.
Nous étions toujours occupés à parler, et lui à me câliner, quand le train est arrivé en gare.
Je l'ai suivi jusqu'à sa voiture stationnée au parking, à peine étais-je assise qu'il s'est penché et m'a embrassée tout en repartant fouiller dans ma culotte. Les yeux entrouverts je voyais certains passants nous regarder, j'avais la jupetroussée et le vieux me mangeait la langue, sûre que plusieurs ont dû critiquer.
Ensuite il a démarré et avons pris la direction vers chez lui, à Chaudfontaine, non loin de chez moi. Pendant qu'il roulait j'ai envoyé un message à Laurent pour le prévenir, il a de suite compris pourquoi je ne rentrerai pas car il m'arépondu "ok, amuse-toi bien et sois prudente".
Arrivée devant chez André (ainsi s'appelle le bonhomme) j'ai constaté que mon futur amant devait faire partie de ce qu'on nomme la "classe bourgeoise". En effet je connais ce lieu et ce building, c'est habité par le "gratin".
Nous sommes entrés, avons pris l'ascenseur qui nous a monté au dernier étage directement dans son appartement.
Meublé année 60' avec un luxe presque excessif, il disposait également d'une immense terrasse.
Il m'a proposé de m'asseoir et est allé dans la cuisine avant de revenir avec une bouteille de Champagne et 2 coupes.
Il a rempli les coupes, s'est assis à côté de moi et avons trinqué. Tout en sirotant il me caressait, m'avouant que cela faisait près de 4 ans qu'il n'avait plus fait de rencontre et que la dernière fois ce fut avec une professionnelle.
Lui: Et toi, tu le fais pour de l'argent ?
Moi: Non, parfois on me donne quelque chose, mais je ne demande rien.
Il m'a relevée et m'a déshabillée lentement tout en me déposant des baisers un peu partout. Une fois que je fus nue c'est moi qui l'ai déshabillé à son tour. Lorsque j'ai ôté son pantalon j'ai vu l'énorme bosse garnissant son slip que j'aiaussitôt retiré pour découvrir un sexe démesuré. Là, j'ai su que je n'allais certainement pas m'embêter !
Lui: Tu es ouverte ?
Moi: Ouverte ?
Lui: Oui, as-tu des tabous ou accepte-tu les désirs assez spéciaux ?
Moi: Je n'ai pas vraiment de tabou, mais j'aime autant que tu me dises si tu veux certaines choses.
Lui: Tout d'abord je voudrais que tu t'allonges sur mes genoux et te donner la fessée.
Moi: Si tu sais y faire j'accepte la fessée, d'ailleurs j'aime assez le sm et le bdsm, mais de façon raisonnable.
Il s'est assis et j'ai pris position. Je peux dire que j'étais loin d'être la première car il s'y pris formidablement, augmentant l'intensité lentement, s'arrêtant régulièrement pour me masser avant de reprendre avec une conviction de plusen plus grande. 2 doigts de son autre main me masturbaient, ce n'était que du bonheur !
Lui: Tu serais d'accord si je veux t'attacher les mains derrière ton dos ?
Moi: Oui, si tu m'expliques ce que tu feras après.
Lui: D'abord je te coucherai sur le lit et te cravacherai le cul, je faisais souvent ça avec ma femme. Ensuite j'aimerai te porter jusqu'à ma baignoire et uriner.
Moi: Tu veux pisser sur moi ?
Lui: Oui, j'adore.
Moi: Ok, mais je prendrai une douche après.
Lui: Bien sûr, il va de soi.
Il m'a portée jusqu'au lit, m'a allongée puis a pris une cravache qu'il avait dans son armoire. Il n'a pas agi comme pour la fessée, directement les coups furent puissants et j'ai dû le calmer. Je l'entendais ahaner, j'avais peur qu'il ne fasseune attaque et de me retrouver nue et dans cette position devant crier à l'aide.
Quand il a arrêté j'avais vraiment mal aux fesses, ça avait été un peu trop et je le lui ai signalé.
Il n'a rien répondu, m'a retournée sur le dos et m'a soulevée pour m'emmener à la salle de bain.
Attachée et portée, j'étais soumise à tous ses caprices et j'ai eu quelques instants de crainte. Il m'a déposée avec délicatesse dans la baignoire, les pieds sur le rebord et la tête presque sur le fond.
Lui: J'aimerai que tu me dises des choses cochonnes, que tu me parles de ce que tu aimes le plus sexuellement.
J'ai commencé à parler, lui se masturbait 50 cm au-dessus de moi. J'étais occupée à lui parler de sodomie quand un gros jet d'urine m'a surprise.
Lui: Ouvre la bouche !
Moi: Non.
Lui: Si tu es une vraie salope tu vas ouvrir la bouche.
J'ai ouvert.
C'était une vraie fontaine qui se déversait au fond de mon gosier, j'en rejetais un maximum mais ne pouvais m'empêcher d'en boire une partie involontairement. Après la bouche ce fut sur tout le reste de mon corps.
Quand il a eu fini il m'a redressée et a exigé que je le suce encore dégoulinante d'urine.
Ensuite il m'a sortie de la baignoire et m'a détaché les mains. Je lui ai demandé pour me doucher, mais il m'a dit que "après", que nous allions d'abord "baiser" (sic). Il m'a pris la main et nous sommes retournés dans sa chambre. La séance fut totale, pénétration,sodomie, fellation, mais le tout comme un vrai bourrin.
Au bout de +_ 25 minutes tout était terminé, alors je suis allée dans la salle de bain où il y avait également une superbe douche à l'italienne. J'ai pris tout mon temps, mes fesses piquaient un peu sous l'action du gel douche. Ce à quoi je n'avais pas pensé,c'est de prendre mes vêtements qui étaient restés au salon. Mais qu'importe, je ne suis pas prude et on venait de coucher ensemble,alors je suis retournée nue le rejoindre.
Il avait un air bizarre en me regardant et m'invita à m'asseoir sur le canapé. J'étais à peine assise quand j'ai entendu le bruitd'une chasse, suivie d'une porte qui se refermait et de l'apparition d'un homme.
Lui: J'espère que ça ne te dérange pas, pendant que tu te douchais j'ai téléphoné à mon voisin, qui est aussi mon ami, pour qu'il fasse ta connaissance, autrement il ne m'aurait pas cru quand je lui aurais raconté que j'avais "baisé" avec une toute jeune femme.
Le voisin s'est approché de moi et m'a tendu la main en me disant bonjour. Je l'ai salué en lui souriant, il était tout timide.
André: Tu vois, je ne t'ai pas menti au téléphone, elle est magnifique.
Le voisin: Oh oui, mademoiselle est superbe.
Moi: Pas mademoiselle, madame.
André, à son ami: Et regarde (m'écartant les cuisses), elle est épilée et douce comme un bébé, viens toucher.
Le voisin m'interrogea du regard, je suis restée neutre. Il est venu me toucher, s'attardant un peu.
André me fit me lever et me tourna en se vantant à son ami que c'est lui qui venait de me faire ça (mes fesses rouges écarlates) et que j'y avais pris du plaisir.
André, à son ami: Tu nous donnes 2 minutes à madame et moi ?
Sans attendre la réponse il m'a conduite à la cuisine et m'a demandé si j'étais d'accord pour satisfaire son copain.
Sincèrement je ne savais pas, j'avais pris beaucoup de plaisir avec André et me sentais bien.
André: Si tu veux, mais il ne faudra pas lui dire, je te donne 200 euros.
Moi: Je n'ai pas l'habitude de coucher pour de l'argent... même si...
André: Allez, je monte jusqu'à 300 mais je participe aussi.
Moi: Mais alors plus de sm ni d'uro.
André: D'accord, va le rejoindre et chauffe-le, je mets l'argent discrètement dans ton sac.
Allait-il le faire, peu m'importait (mais il l'a fait).
Je suis allée retrouver l'autre homme et lui ai avoué (que ne faut-il pas dire !) que j'avais ressenti des frissons lorsqu'il m'avait touchée à l'entrejambe. Dans le même temps je me suis collée à lui et lui ai murmuré à l'oreille de me caresser.
A suivre,
Clélia
A 20h30 j'ai repris le train pour Liège, j'avais prévenu Laurent que je rentrerai fort tard le vendredi oule samedi vers midi.
Malheureusement pour moi le train était bondé, j'ai malgré tout eu la chance d'avoir une place à côté d'une femme fort sympathique (mais bavarde !). Nous faisant face, un couple âgé (du moins je l'ai cru car la vieille dame est descendue bien avant Liège). Lorsque ma voisine bavarde est partie également, j'ai changé de place afin de m'asseoir près de la fenêtre, de ce fait j'étais face au vieux monsieur (coïncidence ? direz-vous, et bien oui). Histoire de passer le temps j'ai surfé sur Insta pour voir quelques influenceusesque je suis.
De temps en temps je levais la tête pour regarder dehors et j'ai vite remarqué que le vieux préférait le paysagede mes cuisses que celui de la campagne. Voulant m'amuser un peu, et d'une façon innocente, je me suis mise àcroiser, décroiser, écarter légèrement les jambes, tout ça en l'espionnant discrètement.
Je l'ai vu se tasser sur son siège, parfois faire semblant de se gratter un mollet en se penchant, et plus il gesticulait plus je m'arrangeais pour satisfaire son regard.
Si ma petite exhibition devait lui faire plaisir, au bout d'un moment c'est à moi que cela commença à faire del'effet aussi !
Exciter un homme est très facile pour moi, par contre, devoir entamer la conversation m'est plus difficile.
Et comme il restait muet j'ai bien dû le faire.
Moi: Vous descendez à Liège ?
Lui: Oui, à la gare des Guillemins.
Moi: On a quand même une des plus belles gares du monde.
Lui: Oui, on m'en parle presque partout où je vais.
Moi: Vous et votre femme partez souvent à l'étranger ?
Lui: Je suis veuf depuis 11 ans, et oui j'aime parcourir l'Europe.
Un veuf ! Mon esprit s'est envolé vers des pensées interdites aux moins de 18 ans !
Tout en continuant à parler avec lui j'ai commencé à me caresser une jambe, l'effet escompté eut lieu et il abaissa son regard vers ma main et, de fait, ma jambe.
Moi: Donc vous vivez seul, les soirées doivent être monotones ?
Lui: Parfois j'ai une bonne amie qui vient chez moi, c'était la meilleure amie de ma femme.
Moi: Ah, et vous... ? (d'un air plein de sous-entendus).
Lui: Je comprends ce que vous insinuez, j'ai essayé une fois mais elle m'a repoussé.
A ce moment-là ma main était sous ma jupe et je me caressais.
Moi: Vous avez l'air encore vaillant, ça doit vous manquer.
Lui: De temps en temps j'ai des petites envies, comme maintenant d'ailleurs.
Moi: C'est moi qui vous donne envie ? Pourtant vous ne me connaissez pas.
Lui: Vous êtes une très jolie jeune femme et le peu que je vois de vous me fait regretter de ne pas vous connaître.
Moi: Vous savez parler aux femmes, votre compliment me touche et me fait beaucoup d'effet.
Lui, me sidérant: Je crois m'en apercevoir avec votre main qui gesticule sous votre jupe.
Je suis restée muette quelques secondes puis j'ai repris la conversation.
Moi: J'avais bien vu que vous appréciez me regarder, ça me fait toujours plaisir d'être admirée par un homme de votre âge, généralement votre vécu apporte beaucoup de choses quand vous êtes avec une femme.
Lui: J'ai 67 ans, j'ai été marié deux fois et ai eu quelques maîtresses, je crois savoir donner du plaisir à une femme,
"même jeune" ajouta-t-il en souriant.
Dans le wagon il ne restait que nous et trois autres personnes un peu plus loin, comme j'étais placée aucun n'avait vue sur moi hormis ma tête. Alors, de ma main libre j'ai saisi une des siennes et l'ai amenée sur moi.
Il s'est avancé sur son siège et, après avoir passé un instant sur ma cuisse, est vite allé faire connaissance avec l'intérieur de ma culotte.
J'étais déjà humide de m'être caressée, il n'a eu aucune difficulté à m'insérer un doigt curieux.
Moi: Tu (à ce moment-là je l'ai tutoyé) veux que j'envoie un message à mon mari pour lui dire que je rentrerai tard, ou demain ?
Lui: Il ne dira rien si tu ne rentres pas ? Tu vas trouver quelle excuse ?
Moi: Pas besoin d'excuse, cela m'arrive parfois de déloger.
Lui: Tu viendrais chez moi ? Pour la nuit ? Tu n'as pas peur de suivre un homme que tu ne connais pas ?
Moi: Tu n'as pas l'air d'un tueur.
Lui: Mais je pourrais être un pervers.
Moi: Tout dépend de ce que tu entends par "pervers", si tu veux dire "très vicieux" ça ne me dérange pas, au contraire.
Nous étions toujours occupés à parler, et lui à me câliner, quand le train est arrivé en gare.
Je l'ai suivi jusqu'à sa voiture stationnée au parking, à peine étais-je assise qu'il s'est penché et m'a embrassée tout en repartant fouiller dans ma culotte. Les yeux entrouverts je voyais certains passants nous regarder, j'avais la jupetroussée et le vieux me mangeait la langue, sûre que plusieurs ont dû critiquer.
Ensuite il a démarré et avons pris la direction vers chez lui, à Chaudfontaine, non loin de chez moi. Pendant qu'il roulait j'ai envoyé un message à Laurent pour le prévenir, il a de suite compris pourquoi je ne rentrerai pas car il m'arépondu "ok, amuse-toi bien et sois prudente".
Arrivée devant chez André (ainsi s'appelle le bonhomme) j'ai constaté que mon futur amant devait faire partie de ce qu'on nomme la "classe bourgeoise". En effet je connais ce lieu et ce building, c'est habité par le "gratin".
Nous sommes entrés, avons pris l'ascenseur qui nous a monté au dernier étage directement dans son appartement.
Meublé année 60' avec un luxe presque excessif, il disposait également d'une immense terrasse.
Il m'a proposé de m'asseoir et est allé dans la cuisine avant de revenir avec une bouteille de Champagne et 2 coupes.
Il a rempli les coupes, s'est assis à côté de moi et avons trinqué. Tout en sirotant il me caressait, m'avouant que cela faisait près de 4 ans qu'il n'avait plus fait de rencontre et que la dernière fois ce fut avec une professionnelle.
Lui: Et toi, tu le fais pour de l'argent ?
Moi: Non, parfois on me donne quelque chose, mais je ne demande rien.
Il m'a relevée et m'a déshabillée lentement tout en me déposant des baisers un peu partout. Une fois que je fus nue c'est moi qui l'ai déshabillé à son tour. Lorsque j'ai ôté son pantalon j'ai vu l'énorme bosse garnissant son slip que j'aiaussitôt retiré pour découvrir un sexe démesuré. Là, j'ai su que je n'allais certainement pas m'embêter !
Lui: Tu es ouverte ?
Moi: Ouverte ?
Lui: Oui, as-tu des tabous ou accepte-tu les désirs assez spéciaux ?
Moi: Je n'ai pas vraiment de tabou, mais j'aime autant que tu me dises si tu veux certaines choses.
Lui: Tout d'abord je voudrais que tu t'allonges sur mes genoux et te donner la fessée.
Moi: Si tu sais y faire j'accepte la fessée, d'ailleurs j'aime assez le sm et le bdsm, mais de façon raisonnable.
Il s'est assis et j'ai pris position. Je peux dire que j'étais loin d'être la première car il s'y pris formidablement, augmentant l'intensité lentement, s'arrêtant régulièrement pour me masser avant de reprendre avec une conviction de plusen plus grande. 2 doigts de son autre main me masturbaient, ce n'était que du bonheur !
Lui: Tu serais d'accord si je veux t'attacher les mains derrière ton dos ?
Moi: Oui, si tu m'expliques ce que tu feras après.
Lui: D'abord je te coucherai sur le lit et te cravacherai le cul, je faisais souvent ça avec ma femme. Ensuite j'aimerai te porter jusqu'à ma baignoire et uriner.
Moi: Tu veux pisser sur moi ?
Lui: Oui, j'adore.
Moi: Ok, mais je prendrai une douche après.
Lui: Bien sûr, il va de soi.
Il m'a portée jusqu'au lit, m'a allongée puis a pris une cravache qu'il avait dans son armoire. Il n'a pas agi comme pour la fessée, directement les coups furent puissants et j'ai dû le calmer. Je l'entendais ahaner, j'avais peur qu'il ne fasseune attaque et de me retrouver nue et dans cette position devant crier à l'aide.
Quand il a arrêté j'avais vraiment mal aux fesses, ça avait été un peu trop et je le lui ai signalé.
Il n'a rien répondu, m'a retournée sur le dos et m'a soulevée pour m'emmener à la salle de bain.
Attachée et portée, j'étais soumise à tous ses caprices et j'ai eu quelques instants de crainte. Il m'a déposée avec délicatesse dans la baignoire, les pieds sur le rebord et la tête presque sur le fond.
Lui: J'aimerai que tu me dises des choses cochonnes, que tu me parles de ce que tu aimes le plus sexuellement.
J'ai commencé à parler, lui se masturbait 50 cm au-dessus de moi. J'étais occupée à lui parler de sodomie quand un gros jet d'urine m'a surprise.
Lui: Ouvre la bouche !
Moi: Non.
Lui: Si tu es une vraie salope tu vas ouvrir la bouche.
J'ai ouvert.
C'était une vraie fontaine qui se déversait au fond de mon gosier, j'en rejetais un maximum mais ne pouvais m'empêcher d'en boire une partie involontairement. Après la bouche ce fut sur tout le reste de mon corps.
Quand il a eu fini il m'a redressée et a exigé que je le suce encore dégoulinante d'urine.
Ensuite il m'a sortie de la baignoire et m'a détaché les mains. Je lui ai demandé pour me doucher, mais il m'a dit que "après", que nous allions d'abord "baiser" (sic). Il m'a pris la main et nous sommes retournés dans sa chambre. La séance fut totale, pénétration,sodomie, fellation, mais le tout comme un vrai bourrin.
Au bout de +_ 25 minutes tout était terminé, alors je suis allée dans la salle de bain où il y avait également une superbe douche à l'italienne. J'ai pris tout mon temps, mes fesses piquaient un peu sous l'action du gel douche. Ce à quoi je n'avais pas pensé,c'est de prendre mes vêtements qui étaient restés au salon. Mais qu'importe, je ne suis pas prude et on venait de coucher ensemble,alors je suis retournée nue le rejoindre.
Il avait un air bizarre en me regardant et m'invita à m'asseoir sur le canapé. J'étais à peine assise quand j'ai entendu le bruitd'une chasse, suivie d'une porte qui se refermait et de l'apparition d'un homme.
Lui: J'espère que ça ne te dérange pas, pendant que tu te douchais j'ai téléphoné à mon voisin, qui est aussi mon ami, pour qu'il fasse ta connaissance, autrement il ne m'aurait pas cru quand je lui aurais raconté que j'avais "baisé" avec une toute jeune femme.
Le voisin s'est approché de moi et m'a tendu la main en me disant bonjour. Je l'ai salué en lui souriant, il était tout timide.
André: Tu vois, je ne t'ai pas menti au téléphone, elle est magnifique.
Le voisin: Oh oui, mademoiselle est superbe.
Moi: Pas mademoiselle, madame.
André, à son ami: Et regarde (m'écartant les cuisses), elle est épilée et douce comme un bébé, viens toucher.
Le voisin m'interrogea du regard, je suis restée neutre. Il est venu me toucher, s'attardant un peu.
André me fit me lever et me tourna en se vantant à son ami que c'est lui qui venait de me faire ça (mes fesses rouges écarlates) et que j'y avais pris du plaisir.
André, à son ami: Tu nous donnes 2 minutes à madame et moi ?
Sans attendre la réponse il m'a conduite à la cuisine et m'a demandé si j'étais d'accord pour satisfaire son copain.
Sincèrement je ne savais pas, j'avais pris beaucoup de plaisir avec André et me sentais bien.
André: Si tu veux, mais il ne faudra pas lui dire, je te donne 200 euros.
Moi: Je n'ai pas l'habitude de coucher pour de l'argent... même si...
André: Allez, je monte jusqu'à 300 mais je participe aussi.
Moi: Mais alors plus de sm ni d'uro.
André: D'accord, va le rejoindre et chauffe-le, je mets l'argent discrètement dans ton sac.
Allait-il le faire, peu m'importait (mais il l'a fait).
Je suis allée retrouver l'autre homme et lui ai avoué (que ne faut-il pas dire !) que j'avais ressenti des frissons lorsqu'il m'avait touchée à l'entrejambe. Dans le même temps je me suis collée à lui et lui ai murmuré à l'oreille de me caresser.
A suivre,
Clélia
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