La cousine de Laurent, le dimanche. - histoire érotique

Presque 13h30 et elle n'est toujours pas là alors qu'elle m'avait dit venir pour 13h00, je m'impatiente et me demande si elle viendra. Ouf, il était 13h40 quand la sonnette a retenti et qu'elle m'a dit "c'est moi"au parlophone.
Pour me dire bonjour elle m'a tendu la joue, j'ai pensé que l'après-midi coquine dont j'avais rêvé presque toute la nuit partait en cacahuète.
Oserai-je tenter ma chance ? Serait-elle réceptive ? Comment m'y prendre ?
Pendant plus d'1/2 h nous avons eu une conversation banale, je sentais bien une nervosité de sa part, mais était-ce du trac ou de la peur ?
J'avais vraiment envie d'elle, un désir absolu de caresser ses seins, alors j'ai franchi le pas.
- "Hier je suis allée m'acheter 2 nouvelles jupes et de la lingerie, Laurent adore quand je porte de tels dessous, viens, je vais te les montrer".
Et je me suis levée et l'ai prise par la main pour l'emmener dans la chambre où j'avais pris soin d'étaler le tout sur le lit.
- "Tu mets des SG comme ça ?" m'a-t-elle dit en voyant le soutien-gorge transparent.
- "Oui, je trouve ça plus sexy" ai-je répondu.
Je lui ai également montré mes nouvelles jupes, qu'elle a trouvé très osées.
- "Quand mets-tu ces jupes ? Laurent n'est pas jaloux ?
- "Je les mets plus souvent quand il n'est pas là et que je vais promener seule" ai-je dit en souriant.
Petit silence, Sylvaine me regardait d'un air intrigué. Elle devait certainement se poser des questions, mais ne m'en faisait pas part.
Prenant mon courage, je lui ai dit que si elle voulait j'étais d'accord de les lui prêter de temps en temps.
- "Je suis certaine qu'elles t'iraient, tu es juste un peu plus grande que moi".
- "Tu crois ?".
- "J'en suis sûre, d'ailleurs tu n'as qu'à essayer".
Timidement elle a enlevé son short et je me suis aperçue qu'elle portait une petite culotte écolière.
Elle a enfilé la jupe, elle lui allait à merveille et paraissait encore plus courte sur elle.
- "Avec cette jupe ta culotte choque terriblement, je vais te donner une des miennes en dentelle, tu vas voir la différence".
J'en ai pris une dans un tiroir et l'a lui ai donnée, gênée elle m'a tourné le dos pour se changer.
- "Waou ! Tu es super sexy ainsi, j'ai envie de te proposer un petit jeu".
Elle me regardait et ne parlait pas.
J'ai pris un foulard et lui ai dit: "Attends, je te bande les yeux et vais t'expliquer".
Une fois ses yeux bandés je l'ai attirée près du lit sur lequel je me suis assise.
- "Maintenant, pense à une personne qui te fait de l'effet, que ce soit quelqu'un que tu connais ou une star".
- "Imagine que cette personne pose ses mains sur tes cuisses". J'ai joint le geste à la parole.
Elle a frissonné et sa tête s'est relevée légèrement.
- "Maintenant, imagine aussi que cette personne remonte sur tes cuisses et te caresse l'entrejambes".
Encore une fois j'ai appliqué ce que je lui disait et me suis mise à lui caresser son minou.
Toujours silencieuse elle restait les bras ballants, mais je sentais une légère humidité à travers le fin tissu.
- Femme mouillée = femme excitée, me dit souvent Laurent.
J'ai continué ma caresse et, tout en me relevant, ai pénétré la culotte ainsi que sa petite chatte.
Elle a approché sa bouche de mon oreille et à voix basse m'a dit: "C'est bon, j'adore ça".
A cet instant j'ai compris qu'elle était "open", que nous allions vivre un beau moment.
J'ai cessé de la masturber et lui ai mis le doigt mouillé dans la bouche. Elle me le suçait comme si elle faisait une fellation.
J'ai voulu lui enlever le foulard, mais elle a demandé à le garder. Doucement je lui ai ôté la jupe ainsi que la culotte dentelle, ensuite je l'ai aidée à se coucher sur le lit et l'ai embrassée. Le plus difficile fut de lui enlever sa blouse sans toucher au foulard, mais j'y suis arrivée. Ensuite c'est le SG que j'airetiré, sa petite poitrine et ses tétons durcis m'apparurent et je me suis mise à les téter.
J'étais couchée sur elle qui m'entourait la taille avec ses jambes, je ne sais laquelle des 2 était la plus affamée, Sylvaine devenait une vraie lionne au point de me décontenancer légèrement. Ses doigts me lacéraient le dos, ses jambes m'enserraient à me faire mal !
Pendant plus d'1 heure nous nous sommes aimées, lorsque je la léchais elle criait son plaisir. Et elle ne fut pas égoïste, sa langue me donna également beaucoup de bonheur.
Nous étions allongées, reprenant notre souffle lorsque je lui ai demandé pourquoi elle avait voulu garder le foulard tout du long.
- "Ne sois pas vexée, ce n'est pas par rapport à toi. Mais avec Joëlle (son amie) on s'amuse parfois sur l'autoroute à ce qu'on appelle "le jeu du foulard"".
- "C'est quoi ce jeu ?" lui ai-je demandé.
- "Tu ne le diras à personne ?".
- "Non, qu'est-ce que tu crois !".
- "Et bien, avec Joëlle, parfois, on part rouler sur l'autoroute et une de nous 2 se met seins nus et on excite les routiers, mais on met toujours un foulard pour ne pas être reconnues".
- "Et vous vous arrêtez sur les parkings ?".
- "Non, juste on les excite et on ne s'arrête pas".
Je n'en revenais pas, la petite oie blanche était donc une vicieuse qui ne s'assume pas.
J'ai réfléchi quelques minutes puis lui ai fait une proposition:- "J'aimerai qu'on fasse ça une fois nous 2, tu serais d'accord ?".
- "Si tu veux, mais tu montrerais tes seins aux chauffeurs ?".
- "Je ne sais pas, mais j'aimerais conduire en te regardant le faire".
Elle a acquiescé et nous sommes convenues d'un soir où Laurent serait absent pour son foot.
Je vous raconterai une autre fois cette formidable soirée où j'ai arnaqué (mais elle en fut ravie) Sylvaine.
Sylvaine vit en couple maintenant, mais de temps en temps on se voit dans un hôtel de la région.