Carine, rousse adultère (2ème partie)
Récit érotique écrit par Mysterious91 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 58 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.5 • Cote moyenne attribuée par HDS : 6.6
- • L'ensemble des récits érotiques de Mysterious91 ont reçu un total de 177 746 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 3 132 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Carine, rousse adultère (2ème partie)
Sachant parfaitement ce qu'elle faisait, Carine a focalisé son attention sur mon regard qui était posé sur elle et qui ne s'en détachait plus. La femme m'a souri. Lentement, avec des gestes délicats, elle a retiré sa robe de chambre qui a fini sur le lit. Je devais avoir les yeux du loup de Tex Avery, alors. J'ai été ébloui par la beauté des sous-vêtements que Carine avait choisi de porter à l'occasion de notre rendez-vous. Ils étaient magnifiques. Ils la mettaient en valeur. J'avais les yeux rivés sur sa poitrine, en particulier. Elle portait un émoustillant soutien-gorge qui était à la fois noir et gris. Je ne sais pas si c'était moi, mais j'avais l'impression qu'il était push-up. Dans tous les cas, je trouvais qu'il mettait les seins de Carine en valeur. Moi qui ai un faible pour les poitrines, il m'était tout simplement impossible et inenvisageable de porter mon regard dans une autre direction. Bien évidemment, Carine le voyait, ça. J'étais allongé, dans sa ligne de mire.
Je savais que Carine avait bénéficié d'une augmentation mammaire. Au fur et à mesure des années, elle avait eu tendance à se sentir complexée par la taille de sa poitrine. À ses yeux, ils étaient petits. Son mari avait beau la rassurer en lui disant qu'ils étaient beaux et qu'il les aimait comme ça, ses petits seins, ça n'a pas suffi à Carine. Elle a décidé par conséquent de subir une intervention chirurgicale pour que sa poitrine soit un peu plus généreux.
En fait, Carine n'avait pas complètement retiré sa robe de chambre. Pour l'heure, elle s'était contentée de la faire glisser de telle sorte que je voie son décolleté. Inutile de préciser que je me rinçais l'œil.
J'ai vu Carine remuer les lèvres. Je l'ai entendu émettre un soupir. Son regard si bleu me laissait sans voix. Je me contentais de la regarder.
Carine a repris la parole. Au son de sa voix, je percevais une femme à qui la chaleur d'un corps manquait. Les yeux dans les yeux, elle m'a dit que je ne savais pas à quel point je n'avais aucune idée de l'effet que mes yeux avaient sur elle. La voix nouée par l'émotion, elle m'a avoué que ça lui faisait du bien qu'un homme porte son regard sur elle.
C'est fou, quand on y pense, comme les choses les plus simples font du bien et procurent du plaisir. Sous le charme de cette femme, je lui ai dit que je la trouvais belle. J'ai renchéri en lui disant que j'étais heureux de vivre ce moment avec elle. J'ignore l'effet que mes mots ont eu sur Carine, mais ça a été comme s'il y a eu un déclic chez elle. C'était comme si elle avait besoin de s'entendre dire qu'elle était belle, qu'on avait envie d'elle pour qu'elle prenne confiance en elle et qu'elle fasse preuve d'audace. Quand ses yeux bleus se braquaient dans les miens, je retenais mon souffle. J'étais époustouflé par la beauté de son regard si bleu. Cette femme, on en mangerait... Si une femme comme Carine partageait ma vie, j'aurais envie d'elle. Peut-être pas tout le temps, soit. Mais je serais partant si c'était la majeure partie du temps. Si Carine partageait ma vie, je lui donnerais tout ce qu'elle voudrait. Je voudrais qu'elle soit heureuse. Si cette femme partageait ma vie, je me plierais en quatre dès qu'elle aurait envie de sexe. Mais avec des "si,", on refait le monde, n'est-ce pas ?
Ce qu'il se passait en compagnie de Carine, dans cette chambre d'hôtel, c'était le moment présent et il fallait profiter de chaque instant. Que c'est agréable de regarder une belle femme. Ça l'est d'autant plus, quand on passe de bons moments avec cette compagne de plaisirs.
Les lèvres de Carine formaient un étau chaud autour de ma queue. Que c'était agréable de me faire sucer par elle. C'était... bon. Plus rien ne comptait pour moi si ce n'était cette délicieuse pipe que la femme me taillait. C'était juste elle et moi, et nous faisions l'amour dans cette chambre d'hôtel. Je ne quittais pas Carine des yeux. Ça me fascinait d'observer comment elle s'y prenait lorsqu'elle faisait une fellation. Ça me plaisait de garder ses beaux yeux bleus en ligne de mire. Ça tombait bien car elle aussi, elle avait les yeux sur moi et elle les maintenait comme tel. Je la voyais faire ce mouvement de va-et-vient sur mon sexe, avec sa bouche. Oui. Ça me fascinait.
Carine a retiré mon sexe de sa bouche. Néanmoins, tout en me regardant, elle a continué de me branler. Ses yeux bleus étaient tellement expressifs que limite, Carine n'avait pas besoin de remuer les lèvres. J'aimais qu'elle les remue, ses lèvres, pour qu'elle me dise tout ce qu'il lui passait par là tête. D'ailleurs, ça a été ce que je lui ai dit. Il ne faut pas avoir peur de dire tout ce qu'il nous passe par la tête, pendant l'amour. Que ce soient deux amoureux, que ce soit sans lendemain, c'est une bonne chose de communiquer. Les yeux dans les yeux, je parlais à Carine. Les yeux dans les yeux, je l'encourageais à continuer de me parler. Je n'ai pas su ce qu'il s'est passé mais une chose est sûre, ça a été comme si ça l'a libérée. Les yeux dans les yeux, elle m'a avoué à quel point elle a pensé à ce moment où un homme la boufferait des yeux. Les yeux dans les yeux, elle s'est laissée aller en me disant à quel point elle a rêvé de ce moment où un homme la désirerait et le lui montrerait.
Carine a laissé s'échapper un soupir. De mon point de vue, ça voulait tout dire. Elle, elle était à l'aise. Elle, elle se sentait bien en ma compagnie. Il fallait que les choses continuent d'aller dans ce sens, entre nous. Ça passait par des mots doux et des regards complices. Le temps de ce rencard, je voulais qu'elle oublie son quotidien et son mari. Pour quelques heures, elle était avec moi. Pour quelques heures, elle était à moi. En retour, j'étais à elle. Quel délice et quel privilège c'est, d'être en agréable compagnie. Cette femme, on en mangerait... Les hommes auraient tué pour être à ma place. J'ai aiguisé la confiance de Carine, petite touche par petite touche. Je voulais qu'elle me montre la femme ET la maîtresse qu'elle pouvait être au lit, avec un homme. Je pense que ça aussi, ça lui manquait. Ne plus être touchée, ne plus voir son appétit sexuel rassasié, ça a créé un vide au plus profond d'elle. Passer du temps à se faire belle, renouveler sa garde-robe comme sa lingerie, malgré ça, les efforts de Carine ont été vains. Les yeux dans les yeux, la belle femme rousse m'a souri. Elle m'a dit que je ne savais pas à quel point elle avait le sentiment de renaître.
Sa voix était douce. C'était comme une caresse que je ressentais sur ma peau. C'est un plaisir pour mes oreilles. Elle m'a demandé de la regarder et de ne pas, surtout pas, la quitter des yeux. Elle n'avait pas du souci à se faire pour ça, Carine. Une jolie femme comme elle, on en mangerait... Impossible de regarder ailleurs. Mettez-vous à ma place. Une jeune femme rousse, mignonne comme ce n'est pas permis... Elle a de beaux gros seins ronds et elle a choisi de porter une parure de lingerie sexy. Comment ne pas avoir envie d'elle ?
En parlant de la lingerie de Carine... Cette femme, qui reprenait plaisir à être coquine au contact d'un homme, a passé une main sur l'une des bretelles de son soutien-gorge et l'a abaissée. L'instant d'après, ça a été au tour de l'autre bretelle. Ma parole ! Cette femme avait le don de me faire languir. J'en salivais. L'eau me venait à la bouche. Carine a souri. Elle a porté sa main derrière elle, dans son dos. Elle dégrafait son soutif'. Une fois retiré, là c'était sûr : je devais être comme le loup de Tex Avery. Oui. J'en prenais plein les yeux...
Je savais que Carine avait bénéficié d'une augmentation mammaire. Au fur et à mesure des années, elle avait eu tendance à se sentir complexée par la taille de sa poitrine. À ses yeux, ils étaient petits. Son mari avait beau la rassurer en lui disant qu'ils étaient beaux et qu'il les aimait comme ça, ses petits seins, ça n'a pas suffi à Carine. Elle a décidé par conséquent de subir une intervention chirurgicale pour que sa poitrine soit un peu plus généreux.
En fait, Carine n'avait pas complètement retiré sa robe de chambre. Pour l'heure, elle s'était contentée de la faire glisser de telle sorte que je voie son décolleté. Inutile de préciser que je me rinçais l'œil.
J'ai vu Carine remuer les lèvres. Je l'ai entendu émettre un soupir. Son regard si bleu me laissait sans voix. Je me contentais de la regarder.
Carine a repris la parole. Au son de sa voix, je percevais une femme à qui la chaleur d'un corps manquait. Les yeux dans les yeux, elle m'a dit que je ne savais pas à quel point je n'avais aucune idée de l'effet que mes yeux avaient sur elle. La voix nouée par l'émotion, elle m'a avoué que ça lui faisait du bien qu'un homme porte son regard sur elle.
C'est fou, quand on y pense, comme les choses les plus simples font du bien et procurent du plaisir. Sous le charme de cette femme, je lui ai dit que je la trouvais belle. J'ai renchéri en lui disant que j'étais heureux de vivre ce moment avec elle. J'ignore l'effet que mes mots ont eu sur Carine, mais ça a été comme s'il y a eu un déclic chez elle. C'était comme si elle avait besoin de s'entendre dire qu'elle était belle, qu'on avait envie d'elle pour qu'elle prenne confiance en elle et qu'elle fasse preuve d'audace. Quand ses yeux bleus se braquaient dans les miens, je retenais mon souffle. J'étais époustouflé par la beauté de son regard si bleu. Cette femme, on en mangerait... Si une femme comme Carine partageait ma vie, j'aurais envie d'elle. Peut-être pas tout le temps, soit. Mais je serais partant si c'était la majeure partie du temps. Si Carine partageait ma vie, je lui donnerais tout ce qu'elle voudrait. Je voudrais qu'elle soit heureuse. Si cette femme partageait ma vie, je me plierais en quatre dès qu'elle aurait envie de sexe. Mais avec des "si,", on refait le monde, n'est-ce pas ?
Ce qu'il se passait en compagnie de Carine, dans cette chambre d'hôtel, c'était le moment présent et il fallait profiter de chaque instant. Que c'est agréable de regarder une belle femme. Ça l'est d'autant plus, quand on passe de bons moments avec cette compagne de plaisirs.
Les lèvres de Carine formaient un étau chaud autour de ma queue. Que c'était agréable de me faire sucer par elle. C'était... bon. Plus rien ne comptait pour moi si ce n'était cette délicieuse pipe que la femme me taillait. C'était juste elle et moi, et nous faisions l'amour dans cette chambre d'hôtel. Je ne quittais pas Carine des yeux. Ça me fascinait d'observer comment elle s'y prenait lorsqu'elle faisait une fellation. Ça me plaisait de garder ses beaux yeux bleus en ligne de mire. Ça tombait bien car elle aussi, elle avait les yeux sur moi et elle les maintenait comme tel. Je la voyais faire ce mouvement de va-et-vient sur mon sexe, avec sa bouche. Oui. Ça me fascinait.
Carine a retiré mon sexe de sa bouche. Néanmoins, tout en me regardant, elle a continué de me branler. Ses yeux bleus étaient tellement expressifs que limite, Carine n'avait pas besoin de remuer les lèvres. J'aimais qu'elle les remue, ses lèvres, pour qu'elle me dise tout ce qu'il lui passait par là tête. D'ailleurs, ça a été ce que je lui ai dit. Il ne faut pas avoir peur de dire tout ce qu'il nous passe par la tête, pendant l'amour. Que ce soient deux amoureux, que ce soit sans lendemain, c'est une bonne chose de communiquer. Les yeux dans les yeux, je parlais à Carine. Les yeux dans les yeux, je l'encourageais à continuer de me parler. Je n'ai pas su ce qu'il s'est passé mais une chose est sûre, ça a été comme si ça l'a libérée. Les yeux dans les yeux, elle m'a avoué à quel point elle a pensé à ce moment où un homme la boufferait des yeux. Les yeux dans les yeux, elle s'est laissée aller en me disant à quel point elle a rêvé de ce moment où un homme la désirerait et le lui montrerait.
Carine a laissé s'échapper un soupir. De mon point de vue, ça voulait tout dire. Elle, elle était à l'aise. Elle, elle se sentait bien en ma compagnie. Il fallait que les choses continuent d'aller dans ce sens, entre nous. Ça passait par des mots doux et des regards complices. Le temps de ce rencard, je voulais qu'elle oublie son quotidien et son mari. Pour quelques heures, elle était avec moi. Pour quelques heures, elle était à moi. En retour, j'étais à elle. Quel délice et quel privilège c'est, d'être en agréable compagnie. Cette femme, on en mangerait... Les hommes auraient tué pour être à ma place. J'ai aiguisé la confiance de Carine, petite touche par petite touche. Je voulais qu'elle me montre la femme ET la maîtresse qu'elle pouvait être au lit, avec un homme. Je pense que ça aussi, ça lui manquait. Ne plus être touchée, ne plus voir son appétit sexuel rassasié, ça a créé un vide au plus profond d'elle. Passer du temps à se faire belle, renouveler sa garde-robe comme sa lingerie, malgré ça, les efforts de Carine ont été vains. Les yeux dans les yeux, la belle femme rousse m'a souri. Elle m'a dit que je ne savais pas à quel point elle avait le sentiment de renaître.
Sa voix était douce. C'était comme une caresse que je ressentais sur ma peau. C'est un plaisir pour mes oreilles. Elle m'a demandé de la regarder et de ne pas, surtout pas, la quitter des yeux. Elle n'avait pas du souci à se faire pour ça, Carine. Une jolie femme comme elle, on en mangerait... Impossible de regarder ailleurs. Mettez-vous à ma place. Une jeune femme rousse, mignonne comme ce n'est pas permis... Elle a de beaux gros seins ronds et elle a choisi de porter une parure de lingerie sexy. Comment ne pas avoir envie d'elle ?
En parlant de la lingerie de Carine... Cette femme, qui reprenait plaisir à être coquine au contact d'un homme, a passé une main sur l'une des bretelles de son soutien-gorge et l'a abaissée. L'instant d'après, ça a été au tour de l'autre bretelle. Ma parole ! Cette femme avait le don de me faire languir. J'en salivais. L'eau me venait à la bouche. Carine a souri. Elle a porté sa main derrière elle, dans son dos. Elle dégrafait son soutif'. Une fois retiré, là c'était sûr : je devais être comme le loup de Tex Avery. Oui. J'en prenais plein les yeux...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Mysterious91
4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Chère lectrice, j'espère que cette histoire vous plaît jusqu'à présent.
Sachez que j'ai effectivement une idée pour la suite de cette histoire mais je n'ai pas commencé de l'écrire.
Patience...
Sachez que j'ai effectivement une idée pour la suite de cette histoire mais je n'ai pas commencé de l'écrire.
Patience...
Nous avons hâte à la suite
Cher lecteur ! Merci pour votre commentaire. Je suis content que ce deuxième chapitre de l'histoire de Carine vous ait plu.
En ce qui concerne la suite de l'histoire, il y en aura une mais je n'ai pas encore commencé à l'écrire.
Patience...
En ce qui concerne la suite de l'histoire, il y en aura une mais je n'ai pas encore commencé à l'écrire.
Patience...
Très bon déroulement est-ce que nous aurons une suite a cette histoire ?