Caroline, la bourgeoise abandonnée (8)
Récit érotique écrit par Marcs75 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Caroline, la bourgeoise abandonnée (8)
Je n’ai pas été très productif au travail, toute la matinée. Alors que durant la visite, les patients défilaient les uns après les autres, mes oreilles écoutaient discrètement les paroles du chef de service alors que mes doigts pianotaient sans cesses sur mon téléphone, jouant avec toutes les fonctionnalités de l’application Lovense. Je t’imaginais, te tordre de plaisir sans la cuisine, sous les caresses expertes du Lush qui massait sans relâche les parties les plus sensibles de ton sexe. Heureusement que j’avais boutonné ma blouse pour cacher la bosse de mon pantalon.
De ton côté, après avoir pris ton petit déjeuner, tu décidais de t’allonger dans le canapé, un livre à la main. Cependant, alors que tu entamais la première phrase d’un nouveau chapitre, il commença a vibrer. Tu tentas d’abord de l’ignorer, mais, rapidement, tu compris que cela ne serait pas possible. Tu mourrais d’envie de te caresser et de libérer la jouissance qui s’accumulait dans ton corps. Finalement, tu optas pour une douche. L’eau bouillante qui passait sur tes seins te procurait un plaisir immense, et tu passes le jet sur tes seins, alternant le droit et le gauche, qui pointent aussitôt. Le savon glisse sur ta peau douche et mousse allègrement, tu profites de ce « lavage » pour caresser d’un doigt ton clitoris gonflé de sang. Il réagit aussitôt et en demande davantage, mais, obéissante, tu te refuses ce plaisir et concentre tes caresses sur tes seins et tes fesses. Lorsque tu passe un doigt sur ta raie, ton anus se contracte, et tu forces le passage pour l’insérer à l’intérieur. Mmmm c’est chaud, humide, quel bonheur ! Encore une fois, tu te prives de continuer davantage, par peur de mes représailles, et préfères appliquer le jet puissant de la douche contre ton fondement pour te faire un massage intérieur. Un vrai délice. Pendant ce temps, le vibromasseur continue son action sur les parois de ta vulve brulante et tu es au bord de l’orgasme ; Cependant, comme si j’avais senti cela à distance, je stoppe l’engin ce qui te laisse dans une frustration extrême. Tu as tellement envie de te toucher mais tu respectes mes consignes, te rappelant que tu avais promis d’être une bonne petite salope et salivant à l’idée de la récompense que je t’ai promise.
En sortant de la douche, tu remets ma chemise, et puis, l’enlève de nouveau. Tu as terriblement envie de me faire plaisir. Tu as décidé de me faire une surprise. Tu t’habilles rapidement et descend dans la rue, en bas de mon appartement. Tu entres dans la boutique de lingerie la plus proche. Pas de chance pour ta carte bleue, c’est un magasin Victoria’s Secret. Après tout, tu te dis que tu peux bien faire une folie de temps en temps et entre.
Tu essayes plusieurs tenues et optes finalement pour un ensemble de bustier en dentelle noir et blanc, un tanga assorti qui épouse à la perfection les formes de tes fesses et de tes hanches, ainsi qu’une paire de bas que tu accroches aux jarretelles du corset. Il y a aussi un long déshabillé en satin pour lequel tu craques à l’idée de dissimuler ta tenue coquine à ma vue, dans un premier temps. Alors que tu payes, le vibro recommence son massage, et tu remontes en vitesse dans l’appartement pour essayer ta tenue. Tu es splendide, tu es certaine que cela va me plaire et que je vais bien te baiser pour te remercier de ce cadeau. Ton téléphone sonne. Je viens de te dire que je pars de l’hôpital et que j’arrive d’ici un quart d’heure. Tu t’allonges dans le canapé, qui fais face à la porte d’entrée, et replies tes jambes sous toi. Tu places le déshabillé afin de découvrir ton décolleté et la naissance de tes cuisses. Tu as un bras derrière la tête, et de l’autre, tu te caresse délicatement la poitrine, entre les deux seins.
Quelques minutes plus tard, j’entre dans l’appartement.
— Bienvenue, mon petit chéri, dis-tu d’une voix suave et sensuelle. Je t’ai attendue toute la matinée sans me caresser, comme tu me l’as demandé. Mais le vibromasseur m’a vraiment torturé, j’ai vraiment besoin que tu me fasses l’amour et que tu me fasses jouir !
— Tu es splendide, dis-je en m’allongeant à côté de toi et en t’embrassant tendrement.
Je passe une main le long de ta jambe, de ta hanche, remonte sur ton ventre, entre tes seins et viens titiller le téton sensible de ton sein gauche.
— Mais je t’avais dit de rester nue, sous ma chemise. Tu m’as désobéi. Tu sais que je vais devoir te punir.
— Viens sur mes genoux.
Tu te places à quatre pattes sur le canapé, présentant tes fesses magnifiques sous mes yeux. Je relève le déshabillé et fait glisser ton tanga pour les mettre à nu.
— Tu vas compter jusqu’à dix.
Ma main s’abat sur ta fesse gauche avec ardeur. Tu pousses un petit cri de surprise. Ce n’est pas vraiment douloureux, et plutôt excitant.
— UN !
Ma main caresse ta fesse rougie et s’abat sur l’autre.
— DEUX !
Je reprends mes caresses et punis la fesse gauche de nouveau.
— Mmmm, TROIS, continue, mon petit chéri.
Une fois arrivés à dix, je te demande de te relever, et je t’emmène jusqu’au lit. Je prends dans mon armoire deux bandes de tissu en satin d’un rouge éclatant.
— Allonge-toi, dis-je.
Tu t’exécute, et je fais passer tes mains dans chacune des lanières que j’accroche aux barreaux de la tête de lit. Tu ne peux pas bouger, tu es à ma merci, et cela t’excite encore plus, tu es au bord de l’orgasme. Mes mains parcourent chaque centimètre carré de ton corps, tu gémis de plaisir. Je me déshabille et m’allonges nu sur ton corps. Mon sexe tendu se presse sur ton clitoris qui est sur le point d’exploser.
— Prends-moi, maintenant, baises-moi, je t’en supplie !
— Je vais te la bouffer un peu avant, dis-je.
— Non, viens, je veux te sentir.
De ton côté, après avoir pris ton petit déjeuner, tu décidais de t’allonger dans le canapé, un livre à la main. Cependant, alors que tu entamais la première phrase d’un nouveau chapitre, il commença a vibrer. Tu tentas d’abord de l’ignorer, mais, rapidement, tu compris que cela ne serait pas possible. Tu mourrais d’envie de te caresser et de libérer la jouissance qui s’accumulait dans ton corps. Finalement, tu optas pour une douche. L’eau bouillante qui passait sur tes seins te procurait un plaisir immense, et tu passes le jet sur tes seins, alternant le droit et le gauche, qui pointent aussitôt. Le savon glisse sur ta peau douche et mousse allègrement, tu profites de ce « lavage » pour caresser d’un doigt ton clitoris gonflé de sang. Il réagit aussitôt et en demande davantage, mais, obéissante, tu te refuses ce plaisir et concentre tes caresses sur tes seins et tes fesses. Lorsque tu passe un doigt sur ta raie, ton anus se contracte, et tu forces le passage pour l’insérer à l’intérieur. Mmmm c’est chaud, humide, quel bonheur ! Encore une fois, tu te prives de continuer davantage, par peur de mes représailles, et préfères appliquer le jet puissant de la douche contre ton fondement pour te faire un massage intérieur. Un vrai délice. Pendant ce temps, le vibromasseur continue son action sur les parois de ta vulve brulante et tu es au bord de l’orgasme ; Cependant, comme si j’avais senti cela à distance, je stoppe l’engin ce qui te laisse dans une frustration extrême. Tu as tellement envie de te toucher mais tu respectes mes consignes, te rappelant que tu avais promis d’être une bonne petite salope et salivant à l’idée de la récompense que je t’ai promise.
En sortant de la douche, tu remets ma chemise, et puis, l’enlève de nouveau. Tu as terriblement envie de me faire plaisir. Tu as décidé de me faire une surprise. Tu t’habilles rapidement et descend dans la rue, en bas de mon appartement. Tu entres dans la boutique de lingerie la plus proche. Pas de chance pour ta carte bleue, c’est un magasin Victoria’s Secret. Après tout, tu te dis que tu peux bien faire une folie de temps en temps et entre.
Tu essayes plusieurs tenues et optes finalement pour un ensemble de bustier en dentelle noir et blanc, un tanga assorti qui épouse à la perfection les formes de tes fesses et de tes hanches, ainsi qu’une paire de bas que tu accroches aux jarretelles du corset. Il y a aussi un long déshabillé en satin pour lequel tu craques à l’idée de dissimuler ta tenue coquine à ma vue, dans un premier temps. Alors que tu payes, le vibro recommence son massage, et tu remontes en vitesse dans l’appartement pour essayer ta tenue. Tu es splendide, tu es certaine que cela va me plaire et que je vais bien te baiser pour te remercier de ce cadeau. Ton téléphone sonne. Je viens de te dire que je pars de l’hôpital et que j’arrive d’ici un quart d’heure. Tu t’allonges dans le canapé, qui fais face à la porte d’entrée, et replies tes jambes sous toi. Tu places le déshabillé afin de découvrir ton décolleté et la naissance de tes cuisses. Tu as un bras derrière la tête, et de l’autre, tu te caresse délicatement la poitrine, entre les deux seins.
Quelques minutes plus tard, j’entre dans l’appartement.
— Bienvenue, mon petit chéri, dis-tu d’une voix suave et sensuelle. Je t’ai attendue toute la matinée sans me caresser, comme tu me l’as demandé. Mais le vibromasseur m’a vraiment torturé, j’ai vraiment besoin que tu me fasses l’amour et que tu me fasses jouir !
— Tu es splendide, dis-je en m’allongeant à côté de toi et en t’embrassant tendrement.
Je passe une main le long de ta jambe, de ta hanche, remonte sur ton ventre, entre tes seins et viens titiller le téton sensible de ton sein gauche.
— Mais je t’avais dit de rester nue, sous ma chemise. Tu m’as désobéi. Tu sais que je vais devoir te punir.
— Viens sur mes genoux.
Tu te places à quatre pattes sur le canapé, présentant tes fesses magnifiques sous mes yeux. Je relève le déshabillé et fait glisser ton tanga pour les mettre à nu.
— Tu vas compter jusqu’à dix.
Ma main s’abat sur ta fesse gauche avec ardeur. Tu pousses un petit cri de surprise. Ce n’est pas vraiment douloureux, et plutôt excitant.
— UN !
Ma main caresse ta fesse rougie et s’abat sur l’autre.
— DEUX !
Je reprends mes caresses et punis la fesse gauche de nouveau.
— Mmmm, TROIS, continue, mon petit chéri.
Une fois arrivés à dix, je te demande de te relever, et je t’emmène jusqu’au lit. Je prends dans mon armoire deux bandes de tissu en satin d’un rouge éclatant.
— Allonge-toi, dis-je.
Tu t’exécute, et je fais passer tes mains dans chacune des lanières que j’accroche aux barreaux de la tête de lit. Tu ne peux pas bouger, tu es à ma merci, et cela t’excite encore plus, tu es au bord de l’orgasme. Mes mains parcourent chaque centimètre carré de ton corps, tu gémis de plaisir. Je me déshabille et m’allonges nu sur ton corps. Mon sexe tendu se presse sur ton clitoris qui est sur le point d’exploser.
— Prends-moi, maintenant, baises-moi, je t’en supplie !
— Je vais te la bouffer un peu avant, dis-je.
— Non, viens, je veux te sentir.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
très excitant
Bonjour Vaness, j'ai oublié de le préciser, mais le chapitre 8 se passe le lendemain matin. Bonne lecture
bonjour, j'ai perdue le file entre le chapitre 7 et 8 moi par contre .
suis-je la seule ?
suis-je la seule ?