De bourgoise à souillon - Ma rencontre avec Jeanne (5)

- Par l'auteur HDS Marcs75 -
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Récit libertin : De bourgoise à souillon - Ma rencontre avec Jeanne (5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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De bourgoise à souillon - Ma rencontre avec Jeanne (5)
Nous entrons dans le sex-shop. Derrière le comptoir, il y a un jeune gringalet d’environs vingt-cinq ans au visage marqué par les cicatrices d’une acnée monstrueuse. Il est roux, les cheveux en batailles, et porte des lunettes aux verres épais qui donnent à ses yeux bleu pâle l’aspect de ceux d’une taupe à peine sortie de sa galerie. Lorsque nous entrons, en lieu et place d’une sonnette, la porte émet le son d’une femme qui gémit. C’est glauque. Le décor est planté. Je sens Madame Allier fébrile à mon côté. Son vagin est traversé par des spasmes, résultat de la dilatation opérée par le levier de vitesses et les vibrations de la route. Il faut dire que j’ai pris un malin plaisir à accélérer en prenant les dos-d’âne et les ronds-points, le dernier lui ayant d’ailleurs provoqué une légère perte d’urine.
— Bonjour, nous dit le vendeur, dévoilant une dentition qui mériterai un ravalement complet. Que puis-je pour vous ?
— Bonjour, je vous présente Jeanne, ma soumise. C’est une sacrée salope, n’est-ce pas, Jeanne ?
Elle rougit et baisse les yeux.
— Réponds. Le monsieur t’a dit bonjour.
— Bonjour Monsieur.
Clac. Ma main s’abaisse sur ses fesses.
— Tu n’as pas répondu à ma question !
— Oui… oui je suis une vraie salope.
Le jeune rouquin a l’air amusé par sa réponse
— Ah ouais ? Tu es au bon endroit, ma belle. Vous cherchez des accessoires pour elle, c’est ça ?
— Exactement, je cherche une tenue, ainsi que des accessoires pour ma soumise.
— Quelque chose de bien salope et dégradant, dit Jeanne.
— Et bien voilà !dis-je, tu commences à comprendre. Montrez-moi ce que vous avez.
Le vendeur nous guide jusqu’au fond de la boutique, où sont rangés les déguisements. Jeanne essaye une tenue de soubrette ainsi qu’un body rouge en dentelle mais rien qui ne me convienne. Nous finissons par tomber sur un ensemble qui me tape dans l’œil. Il s’agit d’une guêpière en latex très près du corps, remontant jusqu’au cou et ouvert sur les seins avec balconnets. Ainsi, les gros seins de Madame Allier son soutenus et en libre accès, elle est exposée comme une chienne à la vue de son maître. En bas, les attaches se prolongent sur des bas en nylon des plus classiques. Je demande s’il n’y a pas une culotte assortie. Le vendeur me propose une culotte en dentelle noire transparence avec des roses rouges sur le dessus, qui laissent transparaitre la chatte glabre de ma soumise.
— C’est parfait. Voilà la tenue de salope qu’il te faut. Maintenant, les accessoires.
Je trouve un collier de cuir avec un anneau et une laisse. Au rayon des jouets, je prends un lot de plugs anaux de 3 tailles différentes.
— Je veux que tu t’habitues à en porter au quotidien. Ton anus doit être dilaté en permanence, prêt à accueillir n’importe quelle queue à tout moment.
— Oui maitre, vous avez raison, maître.
Je prends également un vibromasseur connecté.
— Avec ça, je pourrais commander à distance tes orgasmes. J’espères que tu as une volonté de fer, je vais te torturer avec délice, en le faisant vibrer alors que tu dineras avec Paul, je t’assure que tu le supplieras de te baiser au dessert. Il ne va pas comprendre ce qui arrive à sa bourgeoise coincée, le pauvre.
Je vois le jeune vendeur revenir avec un objet dans les mains.
— J’ai pensé que cela pourrait vous plaire. Il s’agit de pince tétons.
Madame Allier grimace. Elle a les tétons très sensibles.
— C’est parfait. En plus on peut y ajouter des poids pour alourdir les seins. Nous allons prendre ça aussi.
Le vendeur a les yeux fixés sur la poitrine de madame Allier, qui a gardé la tenue en latex. Je vois qu’elle ne lui est pas indifférent.
— Elle te plait ma soumise ?
— C’est qu’elle a de bons gros seins !
— Tu voudrais les bouffer ? Et qu’elle te vide les couilles ensuite ?
— Oh Oui, avec plaisir !
— Allez, au boulot, salope.
— Attendez, je peux lui bouffer les seins avant ?
— Fais toi plaisir !
L’homme de petite taille arrive presque au niveau de la poitrine de Jeanne. Il n’a qu’à baisser la tête pour prendre en bouche le téton dressé de ma soumise. Il le tête goulument et faire rouler l’autre entre ses doigt. Madame Allier lui caresse les cheveux d’une main douce, avec une tendresse maternelle pour celui qui aurait pu être son fils. Mais le garnement, frustré de ne pas avoir son lait, mord le téton et arrache un cri à ma soumise.
— T’aimes ça, salope ! Maintenant, suce-moi la queue !
Elle s’agenouille et défait la boucle de sa ceinture. Elle a complètement oublié qu’elle était en plein milieu d’un magasin. D’ailleurs, un couple d’une cinquantaine d’années entre alors qu’elle extirpe le sexe du vendeur de son fourreau. Ils sont accueillis par les mêmes gémissements que nous.

Le vendeur a une toute petite queue non circoncise et une épaisse touffe de poils roux. Il a beau commencer à bander, son sexe dépasse à peine de sa toison. Ses testicules, au contraires, sont de taille normale et pendent allègrement, ce qui contraste étonnamment avec le reste.
— Nettoie-lui bien les couilles et la queue ! dis-je
Madame Allier s’exécute, et passe sa langue sur les poils du jeune garçon. Il s’est lavé le matin même, mais il a une odeur forte et musquée qui lui colle à la peau. Elle aspire alors son gland comme une paille et malaxe ses couilles d’une main tandis que l’autre plante ses ongles dans sa fesse. Puis elle décide de lui lécher les couilles et prend son sexe entre son pouce et son index. Finalement, sous la stimulation de ma soumise, le chibre du vendeur finit par atteindre la taille de sept centimètres, soit environ celle de mon pouce. Autant dire que ce n’est pas avec ça qu’elle risque d’avoir une gorge profonde ! Alors qu’elle lui avale les couilles et bave allègrement dessus en les aspirant tour à tour, le rouquin prend son pied et place ses mains sur le cou de ma soumise pour l’empêcher de fuir.
— Elle suce bien cette salope ! Je peux la baiser un peu ?
— Fais-toi plaisir ! Relève-toi, chienne, et mets-toi contre le comptoir. Par contre, mets une capote ! Tu pourras la retirer pour jouir sur sa gueule, elle adore ça !
Madame Allier obéit sans broncher et offre au vendeur son cul rebondit. Il fait glisser la culotte transparente jusqu’à ses genoux et glisse un doigt dans sa fente.
— Elle est trempée, j’en était sûr ! Par contre elle sent la pisse, cette trainée.
— C’est parce qu’elle a pris sa douche matinale !
Il déroule une capote, place ses mains sur les hanche de ma soumise et pose sa queue à l’entrée de sa fente glabre et humide. D’un mouvement de rein, il pousse à l’intérieur.
— Putain, elle est large, je ne dois pas être le premier à être passé aujourd’hui.
En effet, et à côté de la bite de Diego, celle du vendeur est un cure-dent. Je suis certain que ma soumise ne va rien sentir. Mais tant mieux, elle doit apprendre qu’elle est la pour le plaisir de ses amants, et pas pour le sien. Il commence à la limer , mais son sexe ne touche pas les bords, et est loin de taper dans le fond. Je vois que Jeanne contracte son périnée pour resserrer sa chatte autour de lui, sans grande efficacité tout de même. Elle pousse de petits gémissements d’actrice afin de motiver le vendeur et de le faire bander un peu plus. Pendant ce temps le couple a délaissé le rayon des DVD et s’est rapproché de nous. Je vois la femme regarder Jeanne avec envie. Elle est blonde, fine, une cinquantaine d’années, une petite poitrine, A ou B maximum, et elle porte une longue jupe large.
— Dommage que cette jolie bouche reste inutilisée, dit la femme.
— Je te l’accorde, chérie, c’est bien dommage, dit le mari. Tu aimerais qu’elle s’occupe de ton minou.
— Oh oui mon amour, ton jus a coulé entre mes cuisses et a séché, il aurait bien besoin d’être nettoyé !
Elle tourne vers moi ses yeux de biche.
— Je peux ?
— Faites-vous plaisir, elle est là pour ça !
La femme s’allonge sur le comptoir, relève sa jupe et écarte ses cuisses. Elle a une toison châtain, taillée en triangle et bien entretenu. En effet, on voit sur ses cuisses les traces de sperme de son mari.
— Lèche-moi, salope ! dit-elle.
Madame Allier hésite, cherchant mon approbation du regard.
— Tu as entendu la dame ? Obéis où je devrais te punir.
Il ne lui en fallait pas tant. La tête de Jeanne plonge entre les cuisses de sa nouvelle amante et sa langue s’applique à nettoyer le sperme séché. Pendant ce temps, le vendeur s’active toujours aussi inutilement dans sa chatte béante. Je vois à sa tête qu’elle ne prend aucun plaisir.
— Tu ne te débrouilles pas mal, dit la femme. Allez, bouffe-moi la chatte, maintenant !
Sa langue remonte et vient lécher les lèvres puis le clitoris de la cliente, puis s’insère dans le vagin pour en récolter le nectar.
— C’est bien nettoie tout, même dedans, je ne compte pas tomber enceinte à mon âge. Je crois que ça a coulé jusqu’à mon petit trou.
Elle nettoie avec application et déglutis goulument. La chatte de cette femme a un goût délicieux dont Jeanne se délecte. Elle commence elle aussi à couler, non par de plaisir par le traitement du rouquin, mais enivrée par les effluves englobantes de la femme. Elle intensifie ses mouvements autour du clitoris de la femme qui est soudain secouée de spasmes.
— Putain, mais c’est qu’elle va me faire jouir, la salope ! prépare toi à récolter la sauce, ma belle, je suis fontaine !
En effet, un jet de cyprine vient asperger le visage de Madame Allier, qui n’arrête pas pour autant son massage clitoridien et aspire le bouton rosé et le mordille entre ses dents.
— Mmm continue, salope, je jouis je jouiiiiiiiiis !
Un nouveau jet puis un troisième, coulent sur son menton et le latex de sa guêpière.
— Putain, moi aussi, je vais jouir, prépare-toi, salope.
Le vendeur se retire, mais sa queue est tellement mince que le préservatif reste à l’intérieur du vagin de ma soumise. Elle se met à genoux et ouvre la bouche pour réceptionner son dû, mais l’autre femme la pousse et prend sa place.
— Dégage de là, salope, c’est moi qui vais récupérer son jus. Vas-y, connard, jouis mois dans la bouche ! j’espère que tes couilles sont pleines et que malgré ta queue ridicule, tu pourras me remplir la gueule !
Il n’en fallait pas moins que ces propos rabaissant pour déclencher l’orgasme du rouquin. Le premier jet barre le visage de la femme d’une cicatrice blanchâtre qui finit dans ses cheveux, mais il arrive à rediriger les suivants dans la gorge de la blonde. Bouche ouverte, langue pendante, elle attend que les grosses couilles déversent leur charge. Et elle ne s’est pas trompée, il lui envoie une bonne rasade, qu’elle peine à contenir, et commence à couler à la commissure de sa lèvre. Elle se penche alors au-dessus de ma soumise, lui ouvre la bouche de force, puis laisse couler le sperme de sa bouche à la sienne.
— C’est bien, avale, salope, dit son mari, ensuite nettoie lui le visage, ma femme ne va pas rentrer ainsi.
Elle s’exécute, et la femme lui roule une énorme pelle en remerciement. Puis elle nettoie la bite du vendeur dont le manche a de nouveau disparu derrière la touffe de poils roux. Elle se relève ensuite, me remercie de lui avoir prêté ma soumise, embrasse son mari et ils sortent tous les deux.

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