De bourgoise à souillon - Ma rencontre avec Jeanne (2)
Récit érotique écrit par Marcs75 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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De bourgoise à souillon - Ma rencontre avec Jeanne (2)
Nous nous étions quitté alors que, entendant un cri dans la cuisine, j'était venu au secours de ma cliente qui s'était brulée avec la plaque du four, et venait de me rendre compte que j'étais nu, ayant perdu le maillot de bain trop large de son ami en cours de route.
Une fois soulagée, elle se dégage de mon étreinte. Je me rends alors compte que dans ma course effrénée pour venir la sauver, le maillot de bain trop large a glissé. Je suis devant ma cliente, dans le plus simple appareil. Elle blêmit.
Cette situation m’excite énormément, et sa réaction me plait. Elle aurait pu me signaler ma nudité, me demander de me rhabiller, me faire sortir de la pièce ou encore détourner le regard, mais non, elle reste sur place, silencieuse et interdite, n’osant faire le moindre geste. Je sens le sang affluer vers mon sexe qui commence à se dresser. Je prends la main blessée de ma cliente et la porte au niveau de mon visage. Je caresse d’un doigt la cloque rougie de la brûlure, puis dépose un tendre baiser sur la phlyctène tendue, plongeant mon regard ténébreux dans le sien. Je sens Madame Allier frissonner. Lentement, par des gestes doux et choisis, je guide ensuite sa main vers mon sexe. Je tiens fermement son poignet. Ses doigts effleurent la hampe glabre et viennent se perdre dans la toison fournie de mon pubis. Enserrant ses doigts entre les miens, je l’invite à faire des aller retours de sa main sur mon sexe. Elle obéit docilement, comme je m’y attendais. Mes mains écartent alors les pans de son décolleté pour libérer ses seins, deux belles et grosses mamelles en forme de poires surmontés de larges tétons entourés d’aréoles brunes. J’en prend un en main - il déborde de ma paume - le soulève et le porte à ma bouche. Ma bourgeoise gémit alors que ma langue tourne autour de son téton dressé vers le ciel, tandis que sa main accélère ses va et viens sur mon chibre désormais bien dur. Mon autre main prend l’autre sein et le pétrit allègrement. Ma bouche va d’un sein à l’autre, mon visage disparaissant dans l’opulente poitrine de ma patronne du moment. Je la saisis alors par les hanches et la soulève, la portant à travers le salon jusqu’à l’étage. Je l’allonge sur le lit de la chambre à coucher et lui retire son haut, son soutien-gorge et sa jupe. Je la regarde dans les yeux en faisant glisser sa culotte à ses pieds, avant de m’allonger sur elle. Nous sommes nus l’un comme l’autre, allongés sur le lit. Je l’embrasse à pleine bouche, elle se laisse faire mais ne me rend pas mon baiser pour autant. Mes mains caressent chaque parcelle de son corps, tandis que les siennes se posent sur mes fesses musclées et les parcourent avec un désir emplit de retenue.
Je me relève et fais face à ma cliente, nue sur le lit. Je la prends par la main et l’invite à se mettre debout face à moi. Elle s’exécute. Je caresse ses seins, son ventre, ses hanches, et glisse un doigt dans sa fente parfaitement épilée.
— Que… qu’est-ce que vous faites ?
— N’ayez crainte, je suis certain que vous en mourrez d’envie.
Elle se laisse faire, mes doigt explorent son intimité, elle peine à rester droite et fini par courber l’échine sous mes flatteries, serrant les cuisses sur mes doigts qui s’enfoncent encore davantage en elle.
— Dès le premier regard, j’ai senti que je vous plaisais, n’est-ce pas Jeanne ?
Elle rougit avant d’hocher de la tête, silencieuse.
— Mettez-vous à genoux et sucez-moi.
Lentement, Madame Allier pose un genou à terre, puis l’autre. Mon sexe tendu est à hauteur de ses yeux, mon prépuce à moitié décalotté à quelques centimètres de ses lèvres entrouvertes. Elle ne peut détourner son regard des veines épaisses qui sillonnent ma hampe. Mon gland large et rosé, légèrement recourbé vers l’avant par mon frein court, est à moitié recouvert par son capuchon de peau glabre.
J’avance mon bassin et presse mon gland contre ses lèvres, qui l’acceptent sans broncher. Sa bouche est délicieuse, chaude et humide. Elle déglutit et ressort mon sexe, le prenant d’une main.
— Allez-y, continuez.
Elle le reprend en bouche, épouse la forme du gland avec ses lèvres et l’aspire en un bruit de succion délicieux. Puis elle l’enfonce un peu plus profondément dans sa bouche, massant la base de mon sexe avec son pouce, lui permettant de garder toute sa vigueur. Ce n’est pas une experte de la fellation, mais elle est loin d’être novice en la matière, et petit à petit, elle fait des mouvements de va et viens de plus en plus profond, enfonçant ma bite plus loin à chaque fois dans sa gorge, son nez disparaissant dans la toison fournie de mon pubis.
— Mmmm c’est bon, continues comme ça. Tu sais y faire avec les hommes. Viens relève toi, et allonges toi sur le lit, je vais te faire l’amour.
Jeanne s’allonge sur le lit, et je m’allonge sur elle, frottant mon sexe lubrifié contre son pubis glabre. Il trouve rapidement le chemin de ses lèvres intimes, trempées d’excitation. Elle est étroite, et à la grimace qu’elle peine à réprimer, je comprends qu’elle n’a pas eu de rapports depuis un certain temps. Quel dommage pour un si joli bout de femme ! Heureusement, je ne compte pas m’arrêter là et tenir ma promesse. Je lui fais donc l’amour, nos corps ondulant dans une danse lascive, mes mains parcourant sa peau et ma bouche distille des baisers sur ses lèvres et dans son cou. Ma langue s’aventure sur le lobe de son oreille, qu’elle lèche, caresse et que mes dents mordillent provoquant les gémissements de ma cliente. Mon sexe s’enfonce profondément en elle, de plus en plus vite, et je sens son orgasme monter.
— Mmmm, tu aimes ça, hein, ça faisait longtemps qu’on ne t’avait pas traitée ainsi. Viens sur moi, je veux te voir jouir en me regardant dans les yeux.
Je me retourne et roule sur le dos, emportant Jeanne avec moi, qui se retrouve à califourchon, empalée sur mon sexe. Mes mains sur ses hanches pétrissent ses fesses. Ses hanches vont d’avant en arrière pour plaquer mon gland contre son point G, je la sens sur le point de vaciller, je prends son sein gauche en main et fait rouler son téton entre mon pouce et mon index, tandis que ma main gauche vient agacer son clitoris, le pressant à chacun de ses mouvements de hanche. Elle pose ses mains sur mon torse et plante ses ongles dans mes pectoraux.
— Allez, je sais que tu as envie de jouir, hein, tu sens comme elle est grosse et comme elle te remplit, vas-y laisse toi aller, écoutes ma voix, libère-toi !
— Mmm oui je vous sens, je vous sens… je suis remplie…
— Jouis !
L’ordre agit comme un éclair et l’orgasme la foudroye, sa tête part en arrière, ses yeux se révulsent à demi, son corps est secoué de convulsions, son vagin se contracte contre mon sexe qui la pénètre toujours. Elle gémit, je pose mes mains sur ses hanches, profitant de son orgasme pour la basculer en avant, son sein atterrit dans ma bouche , je l’avale goulument alors que j’entame des mouvements de bassin pour la pénétrer avec force, son orgasme se prolongeant.
— Mmm oui allez-y prenez-moi, ouiiiii, je suis à vous mmm vous me faites jouir.
Mes coups de butoir frénétiques lui arrachent des cris de plaisir. Je plaque ses hanches contre les miennes à chaque mouvement de bassins et nos corps s’entrechoquent dans un claquement audible, seulement troublé par ses gémissements de plaisir.
Je ralentis le rythme progressivement, puis m’interrompt alors, le sexe toujours planté en elle. Elle reprend son souffle, épuisée, allongée sur moi, ses seins écrasés contre ma poitrine.
— Mon dieu, qu’est-ce que vous avez fait ?
D’une contraction du périnée, je fais bouger mon sexe en elle, stimulant ses parois excitées par l’orgasmes.
— Houlà. Mmm c’est délicieux.
— Je vous avais prévenu que j’allais vous faire l’amour.
— C’est vrai. Et vous l’avez fait merveilleusement bien. Je suis conquise.
— Mieux. Vous êtes à moi.
— Que… comment ça ?
— C’est vous qui l’avez dit, en plein orgasme. « Je suis à vous ». Et je compte bien en profiter.
— Qu’entendez-vous par là.
— Jeanne. Je vous ai fait l’amour. Vous m’appartenez maintenant. Et maintenant, je vais vous baiser, car c’est ce que vous méritez.
Ma main s’abat sur sa fesse en un claquement qui la fait rougir instantanément tandis que mon sexe reprend ses va et viens en elle. Ma bourgeoise est à 4 pattes sur moi, sa tête penchée en arrière, ses gros seins ballotant sur mon visage tandis que mes hanches pénètrent avec force son arrière train que mes mains claquent alternativement.
— Tu aimes ça hein, salope. Je le savais que tu étais une chienne. T’aimes la bite, ça se voit ! allez viens, je vais te baiser la bouche.
Je l’attrape par les cheveux et me relève, la tirant par la tête jusqu’au bord du lit.
— Ouvre ta bouche, je vais te baiser la gorge comme une pute, c’est tout ce que tu mérites.
Soumise, elle ouvre la bouche. Cette fois ci, je tire ses cheveux en avant et m’empale dans sa gorge. Mon gland se presse contre sa luette, lui provoquant un haut le cœur. Je prends sa tête à deux mains et la maintiens fermement tandis que mon bassin fait des mouvements d’avant en arrière dans sa bouche. La gorge de Jeanne produit des sons gutturaux qui m’excitent davantage. La stimulation intense de sa glotte la fait saliver abondamment, et un filet blanc coule au coin de ses lèvres et dégoulinent sur ses seins.
— Je ne savais pas que tu savais si bien encaisser, salope ! t’as une vraie bouche à pipe !
Je prends alors sa tête, m’enfonce au fond de sa gorge et bloque sa tête. Son visage est enfoui dans mes poils pubiens, elle ne peut plus respirer. Elle gasp et tente de se dégager, poussant sur mes cuisses de ses mains. Les hauts le cœur sont de plus en plus intense, elle manque de vomir, alors je la libère de mon étreinte. Elle se recule violement, vacille et prend une grande bouffée d’air vital. Ses lèvres sont bleuies par l’asphyxie, son souffle rauque. Je la laisse respirer quelques seconde.
— Avoue que tu préfères ce genre de traitements, trainée ! Avoue que tu aimes être soumise.
— Je… oui. Je suis votre soumise.
CLAC. Ma main s’abat sur sa joue.
— Oui maître !
— Oui, maitre, pardonnez-moi, maître.
— Allez, viens chienne, mets-toi à 4 pattes, je vais te baiser comme tu le mérites.
Ma bourgeoise s’exécute et s’agenouille sur le lit, les fesses tournées vers le bord. Je passe ma main sur ses cuisses écartées et lui met une claque sur les lèvres. Elle est trempée et coule.
— Putain mais c’est dingue, t’es complètement folle, t’aimes vraiment ça, salope, tu mouilles comme une chienne en chaleur !
Elle rougit et ne dit rien, honteuse de prendre du plaisir dans ces pratiques déviantes.
Je prends ses hanches à deux mains et la pénètre avec force. Elle est tellement trempée et m’a tellement bien sucé que je glisse avec facilité.
— Je t’interdis de jouir. Tu dois attendre mon ordre. Compris ?
— Mmmm oui.
CLAC.
— Oui qui ?
— Oui maître.
Je l’attrape par les cheveux, ses cheveux courts et épais et tire sa tête en arrière pour continuer de la prendre avec force.
— Putain qu’est-ce que tu es bonne, je vais bien m’amuser avec toi, je vais adorer ce chantier ! Mes ouvriers aussi, d’aileurs ! Une bourgeoise qui paye pour se faire baiser. Tu vas être notre chienne, qu’est-ce que tu en dis.
Elle ne dit rien, trop concentrée pour éviter de jouir.
— Réponds quand je te pose une question !
— Je.. mmm oui maître, comme vous voudrez maître.
Je lâche ses cheveux et met mon pouce dans sa bouche toujours en la prenant en levrette.
— Tiens, suce le bien, et imagine que c’est une queue, je suis sûre que tu adorerais sucer une queue pendant que je te baise !
Une fois mon pouce bien humidifié par ma cliente, je le place sur sa rondelle lisse et commence à la titiller. Elle s’ouvre immédiatement pour laisser entrer une phalange, sous les gémissements de Jeanne.
— Putain la salope, je rentre à peine que ton cul s’ouvre ! il a dû en voir passer, celui-là !
Je sens le sphincter opposer une résistance de principe, mais il cède bientôt à mes mouvement circulaires et mon pouce disparait dans la rondelle rosée de Mme Allier. Je sens ma queue contre mon pouce à travers la fine paroi vaginale. Ma cliente semble apprécier ce traitement car ses gémissements se font de plus en plus intense. Je fais des va et viens avec mon pouce dans son cul qui s’humidifie immédiatement. Ne pouvant plus se retenir, Jeanne laisse exploser son orgasme et s’affale sur le lit, son corps et ses muscles ayant perdu toute volonté de lutter.
Je continue de la baiser jusqu’à la fin de son orgasme avant de ralentir le rythme.
— Tu as joui, chienne, alors que je te l’avais interdit.
— Pardonnez-moi maître, c’était trop bon, je n’ai pas pu résister.
— Je vais devoir te punir, tu le sais, ça, n’est-ce pas ? Je vais t’enculer pour t’apprendre à obéir. Remets-toi à 4 pattes.
— D’accord, mais doucement, maître, j’ai besoin de le préparer avant.
— Ta gueule, c’est moi qui fixe les règles. Et tu es tellement trempée que ça va glisser tout seul.
Elle se met en place, les lèvres serrées, prête à recevoir sa sentence ; En guise de lubrifiant, je lui crache dans la raie. Je place mon gland à l’entrée de son anus qui s’ouvre immédiatement à son contact, prêt à l’accueillir. J’attrape ma bourgeoise par les hanches et entre violement, d’un coup de bassin, jusqu’à la garde. J’ai mal, mais pas autant que ma cliente qui pousse un hurlement de douleur.
— Putain, salaud, tu l’as déchiré !
— Ta gueule et encaisse.
A nouveau, je reprends les aller-retour mais dans son cul cette fois. Elle mouille tellement que ses cris de douleurs s’estompent rapidement pour laisser place à des râles de plaisir.
— Mmm t’es tellement bonne. Je vais faire de toi ma pute attitrée, je veux que tu sois toujours prête à m’accueillir, d’accord ?
— Mmmm oui Mmm c’est bon maître, vous me limez bien. Je suis à vous, A VOUS !
— Putain je sens que la sauce est en train de monter, je vais tous décharger dans ton cul, salope !
— Mmm oui remplissez-moi, continuez, oui, ouiiiiiiii
Il me faut encore quelques aller retours avant de me vider dans ce cul chaud et humide. Mes couilles pleines semblent ne jamais vouloir arrêter de délivrer leur foutre gluant. Une fois fini, je me retire et place ma queue face au visage de Mme Allier.
—Nettoie moi la bite, soumise, je veux qu’elle brille, et garde tes mains dans le dos, je veux que tu ne travailles qu’avec ta langue et ta bouche.
Elle travaille avec application, le pourtour de ses lèvres se couvrant de sperme.
— C’est bien. Va te laver, souillon, on dirait une trainée, tu dégoulines de partout
Une fois soulagée, elle se dégage de mon étreinte. Je me rends alors compte que dans ma course effrénée pour venir la sauver, le maillot de bain trop large a glissé. Je suis devant ma cliente, dans le plus simple appareil. Elle blêmit.
Cette situation m’excite énormément, et sa réaction me plait. Elle aurait pu me signaler ma nudité, me demander de me rhabiller, me faire sortir de la pièce ou encore détourner le regard, mais non, elle reste sur place, silencieuse et interdite, n’osant faire le moindre geste. Je sens le sang affluer vers mon sexe qui commence à se dresser. Je prends la main blessée de ma cliente et la porte au niveau de mon visage. Je caresse d’un doigt la cloque rougie de la brûlure, puis dépose un tendre baiser sur la phlyctène tendue, plongeant mon regard ténébreux dans le sien. Je sens Madame Allier frissonner. Lentement, par des gestes doux et choisis, je guide ensuite sa main vers mon sexe. Je tiens fermement son poignet. Ses doigts effleurent la hampe glabre et viennent se perdre dans la toison fournie de mon pubis. Enserrant ses doigts entre les miens, je l’invite à faire des aller retours de sa main sur mon sexe. Elle obéit docilement, comme je m’y attendais. Mes mains écartent alors les pans de son décolleté pour libérer ses seins, deux belles et grosses mamelles en forme de poires surmontés de larges tétons entourés d’aréoles brunes. J’en prend un en main - il déborde de ma paume - le soulève et le porte à ma bouche. Ma bourgeoise gémit alors que ma langue tourne autour de son téton dressé vers le ciel, tandis que sa main accélère ses va et viens sur mon chibre désormais bien dur. Mon autre main prend l’autre sein et le pétrit allègrement. Ma bouche va d’un sein à l’autre, mon visage disparaissant dans l’opulente poitrine de ma patronne du moment. Je la saisis alors par les hanches et la soulève, la portant à travers le salon jusqu’à l’étage. Je l’allonge sur le lit de la chambre à coucher et lui retire son haut, son soutien-gorge et sa jupe. Je la regarde dans les yeux en faisant glisser sa culotte à ses pieds, avant de m’allonger sur elle. Nous sommes nus l’un comme l’autre, allongés sur le lit. Je l’embrasse à pleine bouche, elle se laisse faire mais ne me rend pas mon baiser pour autant. Mes mains caressent chaque parcelle de son corps, tandis que les siennes se posent sur mes fesses musclées et les parcourent avec un désir emplit de retenue.
Je me relève et fais face à ma cliente, nue sur le lit. Je la prends par la main et l’invite à se mettre debout face à moi. Elle s’exécute. Je caresse ses seins, son ventre, ses hanches, et glisse un doigt dans sa fente parfaitement épilée.
— Que… qu’est-ce que vous faites ?
— N’ayez crainte, je suis certain que vous en mourrez d’envie.
Elle se laisse faire, mes doigt explorent son intimité, elle peine à rester droite et fini par courber l’échine sous mes flatteries, serrant les cuisses sur mes doigts qui s’enfoncent encore davantage en elle.
— Dès le premier regard, j’ai senti que je vous plaisais, n’est-ce pas Jeanne ?
Elle rougit avant d’hocher de la tête, silencieuse.
— Mettez-vous à genoux et sucez-moi.
Lentement, Madame Allier pose un genou à terre, puis l’autre. Mon sexe tendu est à hauteur de ses yeux, mon prépuce à moitié décalotté à quelques centimètres de ses lèvres entrouvertes. Elle ne peut détourner son regard des veines épaisses qui sillonnent ma hampe. Mon gland large et rosé, légèrement recourbé vers l’avant par mon frein court, est à moitié recouvert par son capuchon de peau glabre.
J’avance mon bassin et presse mon gland contre ses lèvres, qui l’acceptent sans broncher. Sa bouche est délicieuse, chaude et humide. Elle déglutit et ressort mon sexe, le prenant d’une main.
— Allez-y, continuez.
Elle le reprend en bouche, épouse la forme du gland avec ses lèvres et l’aspire en un bruit de succion délicieux. Puis elle l’enfonce un peu plus profondément dans sa bouche, massant la base de mon sexe avec son pouce, lui permettant de garder toute sa vigueur. Ce n’est pas une experte de la fellation, mais elle est loin d’être novice en la matière, et petit à petit, elle fait des mouvements de va et viens de plus en plus profond, enfonçant ma bite plus loin à chaque fois dans sa gorge, son nez disparaissant dans la toison fournie de mon pubis.
— Mmmm c’est bon, continues comme ça. Tu sais y faire avec les hommes. Viens relève toi, et allonges toi sur le lit, je vais te faire l’amour.
Jeanne s’allonge sur le lit, et je m’allonge sur elle, frottant mon sexe lubrifié contre son pubis glabre. Il trouve rapidement le chemin de ses lèvres intimes, trempées d’excitation. Elle est étroite, et à la grimace qu’elle peine à réprimer, je comprends qu’elle n’a pas eu de rapports depuis un certain temps. Quel dommage pour un si joli bout de femme ! Heureusement, je ne compte pas m’arrêter là et tenir ma promesse. Je lui fais donc l’amour, nos corps ondulant dans une danse lascive, mes mains parcourant sa peau et ma bouche distille des baisers sur ses lèvres et dans son cou. Ma langue s’aventure sur le lobe de son oreille, qu’elle lèche, caresse et que mes dents mordillent provoquant les gémissements de ma cliente. Mon sexe s’enfonce profondément en elle, de plus en plus vite, et je sens son orgasme monter.
— Mmmm, tu aimes ça, hein, ça faisait longtemps qu’on ne t’avait pas traitée ainsi. Viens sur moi, je veux te voir jouir en me regardant dans les yeux.
Je me retourne et roule sur le dos, emportant Jeanne avec moi, qui se retrouve à califourchon, empalée sur mon sexe. Mes mains sur ses hanches pétrissent ses fesses. Ses hanches vont d’avant en arrière pour plaquer mon gland contre son point G, je la sens sur le point de vaciller, je prends son sein gauche en main et fait rouler son téton entre mon pouce et mon index, tandis que ma main gauche vient agacer son clitoris, le pressant à chacun de ses mouvements de hanche. Elle pose ses mains sur mon torse et plante ses ongles dans mes pectoraux.
— Allez, je sais que tu as envie de jouir, hein, tu sens comme elle est grosse et comme elle te remplit, vas-y laisse toi aller, écoutes ma voix, libère-toi !
— Mmm oui je vous sens, je vous sens… je suis remplie…
— Jouis !
L’ordre agit comme un éclair et l’orgasme la foudroye, sa tête part en arrière, ses yeux se révulsent à demi, son corps est secoué de convulsions, son vagin se contracte contre mon sexe qui la pénètre toujours. Elle gémit, je pose mes mains sur ses hanches, profitant de son orgasme pour la basculer en avant, son sein atterrit dans ma bouche , je l’avale goulument alors que j’entame des mouvements de bassin pour la pénétrer avec force, son orgasme se prolongeant.
— Mmm oui allez-y prenez-moi, ouiiiii, je suis à vous mmm vous me faites jouir.
Mes coups de butoir frénétiques lui arrachent des cris de plaisir. Je plaque ses hanches contre les miennes à chaque mouvement de bassins et nos corps s’entrechoquent dans un claquement audible, seulement troublé par ses gémissements de plaisir.
Je ralentis le rythme progressivement, puis m’interrompt alors, le sexe toujours planté en elle. Elle reprend son souffle, épuisée, allongée sur moi, ses seins écrasés contre ma poitrine.
— Mon dieu, qu’est-ce que vous avez fait ?
D’une contraction du périnée, je fais bouger mon sexe en elle, stimulant ses parois excitées par l’orgasmes.
— Houlà. Mmm c’est délicieux.
— Je vous avais prévenu que j’allais vous faire l’amour.
— C’est vrai. Et vous l’avez fait merveilleusement bien. Je suis conquise.
— Mieux. Vous êtes à moi.
— Que… comment ça ?
— C’est vous qui l’avez dit, en plein orgasme. « Je suis à vous ». Et je compte bien en profiter.
— Qu’entendez-vous par là.
— Jeanne. Je vous ai fait l’amour. Vous m’appartenez maintenant. Et maintenant, je vais vous baiser, car c’est ce que vous méritez.
Ma main s’abat sur sa fesse en un claquement qui la fait rougir instantanément tandis que mon sexe reprend ses va et viens en elle. Ma bourgeoise est à 4 pattes sur moi, sa tête penchée en arrière, ses gros seins ballotant sur mon visage tandis que mes hanches pénètrent avec force son arrière train que mes mains claquent alternativement.
— Tu aimes ça hein, salope. Je le savais que tu étais une chienne. T’aimes la bite, ça se voit ! allez viens, je vais te baiser la bouche.
Je l’attrape par les cheveux et me relève, la tirant par la tête jusqu’au bord du lit.
— Ouvre ta bouche, je vais te baiser la gorge comme une pute, c’est tout ce que tu mérites.
Soumise, elle ouvre la bouche. Cette fois ci, je tire ses cheveux en avant et m’empale dans sa gorge. Mon gland se presse contre sa luette, lui provoquant un haut le cœur. Je prends sa tête à deux mains et la maintiens fermement tandis que mon bassin fait des mouvements d’avant en arrière dans sa bouche. La gorge de Jeanne produit des sons gutturaux qui m’excitent davantage. La stimulation intense de sa glotte la fait saliver abondamment, et un filet blanc coule au coin de ses lèvres et dégoulinent sur ses seins.
— Je ne savais pas que tu savais si bien encaisser, salope ! t’as une vraie bouche à pipe !
Je prends alors sa tête, m’enfonce au fond de sa gorge et bloque sa tête. Son visage est enfoui dans mes poils pubiens, elle ne peut plus respirer. Elle gasp et tente de se dégager, poussant sur mes cuisses de ses mains. Les hauts le cœur sont de plus en plus intense, elle manque de vomir, alors je la libère de mon étreinte. Elle se recule violement, vacille et prend une grande bouffée d’air vital. Ses lèvres sont bleuies par l’asphyxie, son souffle rauque. Je la laisse respirer quelques seconde.
— Avoue que tu préfères ce genre de traitements, trainée ! Avoue que tu aimes être soumise.
— Je… oui. Je suis votre soumise.
CLAC. Ma main s’abat sur sa joue.
— Oui maître !
— Oui, maitre, pardonnez-moi, maître.
— Allez, viens chienne, mets-toi à 4 pattes, je vais te baiser comme tu le mérites.
Ma bourgeoise s’exécute et s’agenouille sur le lit, les fesses tournées vers le bord. Je passe ma main sur ses cuisses écartées et lui met une claque sur les lèvres. Elle est trempée et coule.
— Putain mais c’est dingue, t’es complètement folle, t’aimes vraiment ça, salope, tu mouilles comme une chienne en chaleur !
Elle rougit et ne dit rien, honteuse de prendre du plaisir dans ces pratiques déviantes.
Je prends ses hanches à deux mains et la pénètre avec force. Elle est tellement trempée et m’a tellement bien sucé que je glisse avec facilité.
— Je t’interdis de jouir. Tu dois attendre mon ordre. Compris ?
— Mmmm oui.
CLAC.
— Oui qui ?
— Oui maître.
Je l’attrape par les cheveux, ses cheveux courts et épais et tire sa tête en arrière pour continuer de la prendre avec force.
— Putain qu’est-ce que tu es bonne, je vais bien m’amuser avec toi, je vais adorer ce chantier ! Mes ouvriers aussi, d’aileurs ! Une bourgeoise qui paye pour se faire baiser. Tu vas être notre chienne, qu’est-ce que tu en dis.
Elle ne dit rien, trop concentrée pour éviter de jouir.
— Réponds quand je te pose une question !
— Je.. mmm oui maître, comme vous voudrez maître.
Je lâche ses cheveux et met mon pouce dans sa bouche toujours en la prenant en levrette.
— Tiens, suce le bien, et imagine que c’est une queue, je suis sûre que tu adorerais sucer une queue pendant que je te baise !
Une fois mon pouce bien humidifié par ma cliente, je le place sur sa rondelle lisse et commence à la titiller. Elle s’ouvre immédiatement pour laisser entrer une phalange, sous les gémissements de Jeanne.
— Putain la salope, je rentre à peine que ton cul s’ouvre ! il a dû en voir passer, celui-là !
Je sens le sphincter opposer une résistance de principe, mais il cède bientôt à mes mouvement circulaires et mon pouce disparait dans la rondelle rosée de Mme Allier. Je sens ma queue contre mon pouce à travers la fine paroi vaginale. Ma cliente semble apprécier ce traitement car ses gémissements se font de plus en plus intense. Je fais des va et viens avec mon pouce dans son cul qui s’humidifie immédiatement. Ne pouvant plus se retenir, Jeanne laisse exploser son orgasme et s’affale sur le lit, son corps et ses muscles ayant perdu toute volonté de lutter.
Je continue de la baiser jusqu’à la fin de son orgasme avant de ralentir le rythme.
— Tu as joui, chienne, alors que je te l’avais interdit.
— Pardonnez-moi maître, c’était trop bon, je n’ai pas pu résister.
— Je vais devoir te punir, tu le sais, ça, n’est-ce pas ? Je vais t’enculer pour t’apprendre à obéir. Remets-toi à 4 pattes.
— D’accord, mais doucement, maître, j’ai besoin de le préparer avant.
— Ta gueule, c’est moi qui fixe les règles. Et tu es tellement trempée que ça va glisser tout seul.
Elle se met en place, les lèvres serrées, prête à recevoir sa sentence ; En guise de lubrifiant, je lui crache dans la raie. Je place mon gland à l’entrée de son anus qui s’ouvre immédiatement à son contact, prêt à l’accueillir. J’attrape ma bourgeoise par les hanches et entre violement, d’un coup de bassin, jusqu’à la garde. J’ai mal, mais pas autant que ma cliente qui pousse un hurlement de douleur.
— Putain, salaud, tu l’as déchiré !
— Ta gueule et encaisse.
A nouveau, je reprends les aller-retour mais dans son cul cette fois. Elle mouille tellement que ses cris de douleurs s’estompent rapidement pour laisser place à des râles de plaisir.
— Mmm t’es tellement bonne. Je vais faire de toi ma pute attitrée, je veux que tu sois toujours prête à m’accueillir, d’accord ?
— Mmmm oui Mmm c’est bon maître, vous me limez bien. Je suis à vous, A VOUS !
— Putain je sens que la sauce est en train de monter, je vais tous décharger dans ton cul, salope !
— Mmm oui remplissez-moi, continuez, oui, ouiiiiiiii
Il me faut encore quelques aller retours avant de me vider dans ce cul chaud et humide. Mes couilles pleines semblent ne jamais vouloir arrêter de délivrer leur foutre gluant. Une fois fini, je me retire et place ma queue face au visage de Mme Allier.
—Nettoie moi la bite, soumise, je veux qu’elle brille, et garde tes mains dans le dos, je veux que tu ne travailles qu’avec ta langue et ta bouche.
Elle travaille avec application, le pourtour de ses lèvres se couvrant de sperme.
— C’est bien. Va te laver, souillon, on dirait une trainée, tu dégoulines de partout
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Pourquoi aucun avis sur ce viol désiré par les deux protagonistes même si l'une d'elle l'ignorait ! Bien écrt et très excitant ! Non ? Didier