De bourgoise à souillon - Ma rencontre avec Jeanne (8)
Récit érotique écrit par Marcs75 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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De bourgoise à souillon - Ma rencontre avec Jeanne (8)
Ma femme est rentrée tard le dimanche. Heureusement, elle était aussi épuisée que moi et n’a pas été demandeuse de sexe car je crois que j’aurais été incapable de la satisfaire. Mon sexe et mes couilles avaient bien besoin d’une nuit de repos. Le lundi matin, j’ai emmené trois de mes gars sur le chantier. Diego ayant cours, il n’a pas pu venir nous prêter main forte.
En montant dans la camionnette dont le levier de vitesse était encore collant, j’ai envoyé un message à Madame Allier.
« Jeanne prépare-toi ma belle, j’arrive avec du renfort. Tu as bien ton collier ? «
« Oui maitre. »
« Prends une douche, fais un lavement et mets le plug que je t’ai offert. Ainsi que ton porte jarretelle noir et la nuisette que tu avais samedi soir. »
Je gare la camionnette dans l’allée. Il est sept heures mais il fait déjà chaud. Le thermomètre a prévu de grimer jusqu’à 42°C, ce qui est exceptionnel pour la région. Mes gars sortent un après l’autre. Marcel le premier, 45 ans, le crane dégarni, 1m70, un ventre proéminent dont le nombril est imprimé sur le débardeur blanc qu’il porte près du corps et d’où dépassent les poils de son torse, de ses épaules et de son cou. C’est un véritable gorille, Marcel, et avec sa carrure râblée, ses longs bras velus, et sa mâchoire carrée, vous pourriez le confondre avec un primate. Il porte une moustache brune et épaisse, et son sourire révèle une incisive manquante. C’est un bon gars, fort comme un bœuf. Il n’a pas son pareil pour transporter les dalles de marbre. Mais quand il s’agit de les poser, il est aussi agile avec ses gros doigts boudinés qu’une danseuse étoile. Derrière lui, il y a Antonio. Un colosse de près de deux mètre de haut, tout en muscles. Lui aussi n’a pas un poil sur le caillou. Il a vingt-cinq ans, et des yeux d’un bleu pâle qui semblent avoir perdu tout éclat. Sa mère a accouché dans sa salle de bain, et le pauvre gamin s’est cogné la tête contre le carrelage. Difficile comme entrée sur terre, n’est-ce pas ? Il n’a jamais été capable de compter deux et deux, le pauvre, mais il fait ce qu’on lui demande, et pas trop mal, d’ailleurs. Son père est parti quand il a appris le diagnostic. Un salaud, celui-là. Sa mère étant une cousine éloignée de ma mère, j’ai pris le petit sous mon aile. Le troisième, Abdul, me fait penser que je n’ai embauché que des chauves dans mon entreprise. Il faudrait que je me demande si ce n’est pas un critère de sélection involontaire que mon subconscient me dicte. 1m78, 78kg, il est bien bâti, une barbe épaisse et brune, un torse glabre mais des épaules velues. Il porte un survêtement du PSG qu’il ne quitte jamais, quelle que soit la température extérieure.
— Venez, je vais vous montrer la terrasse.
Je sonne. Madame Allier ouvre, dans la tenue que je lui ai ordonnée. Elle porte également son collier de cuir. Mes hommes sont surpris par cet accueil. Ils passent devant elle, non sans jeter un regard appuyé vers la poitrine de ma soumise.
— Elle est belle, patron. Me dit Antonio d’une voix forte. Elle me fait des choses en bas.
— Tais-toi, et au boulot lui dis-je en lui donnant une tape derrière la tête.
Je leur montre le travail à effectuer. A trois, cela ne devrait pas leur prendre plus que deux jours, car malgré nos interludes passionnés, nous avions bien avancé, Diego et moi, la semaine précédente. Alors qu’ils s’activent, je décide de rejoindre madame Allier pour le petit déjeuner.
Le café est aussi chaud que ma soumise, qui dès mon arrivée, vient se lover contre moi en minaudant comme une chatte en chaleur. La vue de mes trois ouvriers l’a véritablement excitée, je sens ses tétons tendus de désir poindre sous ses grosses mamelles pendantes. Je glisse une main sous sa nuisette et flatte son postérieur. Je sens le plug bien en place. Ma soumise a été très obéissante. Je la félicite en joignant mes lèvres aux siennes. Nos langues se cherchent, se mélangent et s’entortillent l’une autour de l’autre. Ma main se pose sur le sein de ma soumise et le pétris allègrement alors qu’elle vient coller son intimité trempée contre mon sexe déjà dur. Elle est chaude comme la braise. J’ai envie de la sauter, là, maintenant, mais je me retiens. J’ai d’autres projets pour elle.
Je romps notre baiser langoureux et me tourne vers la table du petit déjeuner.
— J’ai faim, et j’ai l’impression que toi aussi, tu as faim de bite. N’est-ce pas !
— Oh oui, maître, dès que j’ai vu vos ouvriers, j’ai eu envie de les sentir en moi. Pourriez-vous m’offrir à eux ?
— Nous verrons cela. Mais pour l’instant, soit une bonne salope soumise à son maitre et occupe-toi de ma queue pendant que je déjeune. Allez ! files sous la table !
— Oh oui maître, tout de suite !
Jeanne disparaît sous la table et sort de mon caleçon mon dard déjà bien érigé par notre baiser passionné et la danse lascive qu’elle m’a offert pendant que je pétrissais ses seins. Rapidement, mon gland disparaît dans sa bouche avide et je suis submergé par le plaisir que me procure cette caverne humide. Je prends une tartine entre mes mains et croque à pleine dents alors que je sens celles de Madame Allier jouer avec mon gland. Sa langue parcourt les veines épaisses qui jalonnent ma hampe avant de faire le tour de mon gland violacé et de le faire disparaitre entre ses lèvres charnues. N’en pouvant plus, je place mes mains de part et d’autre de sa tête et la fait aller et venir sur ma queue bandée au point de me faire mal. La salope a fait sortir ses seins de sa nuisette et malaxe ses lourds obus laiteux, elle pince ses tétons entre ses pouces et ses index en gémissant alors que mon dard vient cogner contre le fond de sa gorge avec un bruit guttural de succion. Je tire ses cheveux en arrière et la relève sur ses genoux.
— J’adore tes seins, fais-moi une branlette espagnole avec tes grosses mamelles !
A peine avais-je fini ma phrase que ma queue disparaissait entre les énormes seins de ma soumise. Elle tourna vers moi un regard bleu azur alors que sa poitrine monte et descend procurant à mon sexe un massage des plus exquis. J’ai du mal à soutenir le regard de chienne de Jeanne et la peau de ses seins est si douce que je sens l’orgasme monter. Je prends le tube de chantilly et m’en asperge le dard. La crème s’étale sur les seins de ma soumise, qui délaisse sa branlette espagnole pour me reprendre en bouche.
— C’est ça, salope, lèche bien tout et avale, t’aimes ça, hein des petits déjeuners comme celui-là !
— Oh oui, maître, c’est si bon et sucré !
— Je sens que le dessert arrive, prépare-toi à tout avaler !
Ayant léché toute la chantilly, Jeanne s’active sur mon membre, s’apprêtant à recevoir une autre forme de crème. Je sens l’orgasme monter, je tire sa tête en arrière et asperge son visage de trois longues trainées de sperme qui viennent mourir sur ses lunettes, ses lèvres et sa joue.
Ravie, ma soumise nettoie avec application jusqu’à la moindre goutte et va jusqu’à lécher ses lunettes avant de les remettre sur son nez. Son con humide a laissé une trace sur le carrelage de la cuisine. J’ai envie de la récompenser.
— File-te changer et enfiles la tenue de latex que je t’ai achetée l’autre jour. Et rejoins-moi dans le salon.
— Ne se faisant pas prier, Jeanne disparait par l’escalier qui mène à sa chambre.
Je sors sur la terrasse, mes trois gars sont au travail. Il a beau n’être que 8 heures du matin, ils suent déjà à grosses gouttes sous le soleil estival.
— Sacrée piscine qu’elle a ta bourgeoise, me dit Abdul, j’irais bien piquer une tête entre midi et deux.
— Elle a surtout de sacré bouées, elle ne risque pas de se noyer, celle-là ! rajoute Marcel, moqueur.
Nous éclatons tous les quatre d’un air gras. Je commence à aider mes hommes à aligner les dalles de la terrasses lorsqu’au bout de 5 minutes, Antonio s’interrompt.
— Patron ! le pipi arrive !
— Bah va pisser au fond du jardin, lui répond Marcel. Ce qu’il peut être con, celui-là !
— Non, vous n’allez pas souiller les parterres de Madame Allier. Viens Antonio, je vais te montrer où tu pourras te soulager.
— Allez, va Tonio, va faire pleurer le cyclope !
Antonio me suit à l’intérieur. Il est obligé de se baisser pour passer la porte fenêtre du salon. Je le conduis à l’étage. J’ouvre la porte de la chambre de madame Allier. Antonio se retrouve nez à nez avec ma soumise, revêtue de la tenue que nous avons achetée au sex shop. C’est une guêpière en latex noir brillant, avec une ouverture au niveau de la poitrine qui dévoile ses deux énormes mamelles aux aréoles prononcées. En bas, elle a revêtu des bas résilles aux mailles larges déchirées au niveau de son intimité, laissant apparaitre son abricot tout lisse. Elle porte fièrement son collier de cuir avec l’anneau auquel j’attache sa laisse, et a rehaussé son maquillage d’un fard à paupière sombre outrancier.
Tous les deux se regardent en chien de faïence, perplexes.
— Antonio a besoin d’aller aux toilettes, dis-je.
— Pas de souci, il y en au rez-de-chaussée, et sinon aussi dans le garage, c’est là que je me douche après la piscine. Mais je vais lui montrer celles de l’étage.
— Non. Dis-je je parlais d’une autre forme de toilettes. Conduis-le dans la salle de bains.
Jeanne marque une pause avant de comprendre le sens de mon propos. Elle prend délicatement la main d’Antonio et le fais sortir à sa suite. Sa démarche chaloupée ainsi que le diamant que l’on devine poindre entre ses deux grosses fesses de bourgeoise me laissent deviner qu’elle a bien gardé le plug en place. Elle l’emmène jusqu’à la salle de bains et s’agenouille dans le bac de douche. Antonio, Perplexe, ne sait comment réagir.
— Bah alors, Tonio, les voilà tes toilettes, qu’est-ce que tu attends pour te soulager ?
— Elle sert de toilettes ? hahaha. Mais c’est génial, ça, dit-il guilleret.
Il fait glisser la braguette de son jean et sort son enfin. Les yeux de ma soumise roulent dans leurs orbites. Antonio n’a pas la lumière a tous les étages, certes, mais si les hommes pensaient vraiment avec leur bite, Einstein aurait eu du souci à se faire. Même au repos, son braquemart frôle les vingt centimètres. Il l’agite devant les yeux de Madame Allier, décalotte le gland, et lâche un grand jet d’urine si puissant qu’il force les lèvres de ma soumise qui manque de s’étouffer et recrache aussitôt. L’idiot joue ensuite avec son engin et s’amuse à marquer le plus de points, il vise un sein puis l’autre, et finit par tremper les cheveux de la femme à genoux devant lui. Au bout de près d’une minute, il secoue les dernières gouttes et s’apprête à ranger son engin lorsqu’elle l’interrompt.
— Attendez, je n’ai pas nettoyé.
Interloqué, il me regarde. Je fais oui de la tête. Jeanne prend le chibre immense d’une main et pose l’autre sur la cuisse de mon ouvrier. Elle caresse la toison brune fournie de son entrejambe et s’applique à aspirer le gland turgescent pour le rendre aussi propre que possible. Enivrée par cette queue démesurée devant ses yeux, elle la prend à deux mains et entame des va et viens qui ont pour effet de faire affluer le sang dans cette verge et gémir Antonio. Elle fait glisser sa langue le long de la hampe et vient enfouir son nez et son visage dans la toison pubienne du jeune éphèbe. Elle hume cette odeur de mâle viril, plein de musc et de sueur, et sa chatte toujours humide commence à couler entre ses cuisses.
Alors qu’elle commence à aspirer une couille et à la sucer comme une vulgaire sucette, je l’interromps.
— Je crois qu’il est propre. Antonio, retourne au boulot. Et pas un mot de cela aux autres. N’est-ce pas ? Et si tu as toujours envie de pisser, tu reviens ici. C’est clair ?
— Oh oui avec plaisir ! au revoir Madame Toilettes qui me fait des choses en bas !
Il disparait par l’escalier. Je doute qu’il arrive à tenir sa langue, mais tant mieux, les autres n’en seront que plus excités.
— Alors, cela t’a plus ?
— Oh oui, maître, il n’était pas très propre, mais quelle queue ! Bien plus grosse que celle de Diego ! Vous pourrez le laisser me baiser ?
— Nous verrons. Mais pour l’instant, j’ai d’autres projets pour toi. Descendons.
Je conduis de nouveau ma soumise au salon. Là, elle voit les menottes accrochées aux pieds de la table. Elle comprend.
Allez, allonge-toi !
Elle s’allonge sur la table, ses seins écrasés contre le tableau de verre, ses pieds touchant à peinte le sol, jambes écartées. Je passe ses mains dans les menottes accrochées à chaque coin, et fait de même à ses chevilles. Elle est ainsi écartelée, en levrette, prête à être offerte.
— Tu es prête, salope ? on va jouer, maintenant.
— MMM oui maître je suis toute à vous.
Je me glisse derrière elle, et appuie sur le plug, l’enfonçant davantage dans son fondement. Elle réprime avec peine un soupir de plaisir.
Je caresse d’un doigt ses lèvres glabres et luisantes de cyprine. Les évènements de la matinée ont excité ma soumise qui coule comme une fontaine. J’insère aisément un doigt, puis un second. Ses parois souples épousent la forme de mes doigts. Je ne tarde pas à trouver son point G gorgé de désir. Je le caresse, le titille un peu, puis retire mes doigt. J’insère le vibromasseur connecté à mon téléphone que j’avais acheté plus tôt.
— Qu’est-ce que c’est que cela ? demande Jeanne, qui n’a pas vu mon manège.
Je fais le tour de la table et m’assied en face d’elle. Je lui montre l’appli sur le téléphone, et augmente d’un doigt la vitesse de vibration. Ses jambes tremblent.
— Oh mon dieu, qu’est-ce que c’est ?
— L’objet de torture que je préfère.
J’augmente encore un peu plus les vibrations.
— Oh Victor, qu’est-ce que c’est bon !
CLAC ! ma main vient rougir sa joue.
— Ne m’appelle pas comme ça. Suce-moi la queue, plutôt. Lubrifie la bien avant que je t’encule. Tu as fait ton lavement ?
— Oui maître, je suis toute propre.
— Tu pues la pisse, salope ! avale ma bite.
Je lui tends. Elle n’est pas encore dure, même plutôt molle, mais elle l’avale toute entière, et les couilles avec. Je la sens humer mes poils. Elle a vraiment un truc avec ça. Elle lèche mes poils de pubis, et pompe mon dard avec le même appétit qu’un bébé qui vient de naître. Une fois bien dur, je mets les vibrations au maximum, et je retourne de l’autre côté de la table. Je retire le plug et approche mon gland turgescent de sa rondelle lisse. Je force l’entrée et il disparait à l’intérieur, arrachant un cri de douleur à ma soumise.
— Arrêtez maitre, il n’est pas prêt, pas lubrifié, pas assez dilaté.
— TU veux que je le lubrifie, salope, tu vas voir.
Je retire mon gland, crache sur sa rondelle, en enfonce un doigt. De l’autre, je joue avec les vibration du jouet dans sa chatte. Son cul s’ouvre immédiatement et j’insère un deuxième doigt. Il est accepté à son tour.
— Regarde comme t’es ouverte ! je vais te tartiner le fion avant de te fourrer comme une dinde !
Je prends la plaquette de beurre à moitié fondue restée sur la table du petit déjeuner et je l’applique allègrement sur la rondelle de ma soumise, immobilisée par ses entraves aux 4 membres. Je me tartine le jonc à son tour, et le présente de nouveau. Cette fois, c’est son cul lui-même qui aspire mon dard, et je me retrouve dans son fondement, jusqu’à la garde.
— Putain t’es bonne ! t’aimes ça être remplie, hein salope ! t’as vraiment un cul de chienne en chaleur !
— Oh mon dieu, maître, c’est bon, je sens un feu allumé à l’intérieur !
— Je vais bien te dilater le fion, tu vas voir !
Je prends mon téléphone et augmente encore l’intensité du vibromasseur. Je le sens contre ma queue à travers la fine paroi de son rectum. Pour moi aussi c’est un supplice délicieux. Alors que ma soumise est à nouveau prise d’un orgasme et convulse sur la table à manger, je me vide dans son cul tout ouvert.
— Remplie dans les deux trous, t’aimes ça, hein salope !
— Oh oui maître c’est si bon !
— Je vais te torturer comme ça toute la journée !
— Maître, assez avec le vibromasseur, c’est d’une queue dont j’ai besoin ! appelez vos ouvriers !
En montant dans la camionnette dont le levier de vitesse était encore collant, j’ai envoyé un message à Madame Allier.
« Jeanne prépare-toi ma belle, j’arrive avec du renfort. Tu as bien ton collier ? «
« Oui maitre. »
« Prends une douche, fais un lavement et mets le plug que je t’ai offert. Ainsi que ton porte jarretelle noir et la nuisette que tu avais samedi soir. »
Je gare la camionnette dans l’allée. Il est sept heures mais il fait déjà chaud. Le thermomètre a prévu de grimer jusqu’à 42°C, ce qui est exceptionnel pour la région. Mes gars sortent un après l’autre. Marcel le premier, 45 ans, le crane dégarni, 1m70, un ventre proéminent dont le nombril est imprimé sur le débardeur blanc qu’il porte près du corps et d’où dépassent les poils de son torse, de ses épaules et de son cou. C’est un véritable gorille, Marcel, et avec sa carrure râblée, ses longs bras velus, et sa mâchoire carrée, vous pourriez le confondre avec un primate. Il porte une moustache brune et épaisse, et son sourire révèle une incisive manquante. C’est un bon gars, fort comme un bœuf. Il n’a pas son pareil pour transporter les dalles de marbre. Mais quand il s’agit de les poser, il est aussi agile avec ses gros doigts boudinés qu’une danseuse étoile. Derrière lui, il y a Antonio. Un colosse de près de deux mètre de haut, tout en muscles. Lui aussi n’a pas un poil sur le caillou. Il a vingt-cinq ans, et des yeux d’un bleu pâle qui semblent avoir perdu tout éclat. Sa mère a accouché dans sa salle de bain, et le pauvre gamin s’est cogné la tête contre le carrelage. Difficile comme entrée sur terre, n’est-ce pas ? Il n’a jamais été capable de compter deux et deux, le pauvre, mais il fait ce qu’on lui demande, et pas trop mal, d’ailleurs. Son père est parti quand il a appris le diagnostic. Un salaud, celui-là. Sa mère étant une cousine éloignée de ma mère, j’ai pris le petit sous mon aile. Le troisième, Abdul, me fait penser que je n’ai embauché que des chauves dans mon entreprise. Il faudrait que je me demande si ce n’est pas un critère de sélection involontaire que mon subconscient me dicte. 1m78, 78kg, il est bien bâti, une barbe épaisse et brune, un torse glabre mais des épaules velues. Il porte un survêtement du PSG qu’il ne quitte jamais, quelle que soit la température extérieure.
— Venez, je vais vous montrer la terrasse.
Je sonne. Madame Allier ouvre, dans la tenue que je lui ai ordonnée. Elle porte également son collier de cuir. Mes hommes sont surpris par cet accueil. Ils passent devant elle, non sans jeter un regard appuyé vers la poitrine de ma soumise.
— Elle est belle, patron. Me dit Antonio d’une voix forte. Elle me fait des choses en bas.
— Tais-toi, et au boulot lui dis-je en lui donnant une tape derrière la tête.
Je leur montre le travail à effectuer. A trois, cela ne devrait pas leur prendre plus que deux jours, car malgré nos interludes passionnés, nous avions bien avancé, Diego et moi, la semaine précédente. Alors qu’ils s’activent, je décide de rejoindre madame Allier pour le petit déjeuner.
Le café est aussi chaud que ma soumise, qui dès mon arrivée, vient se lover contre moi en minaudant comme une chatte en chaleur. La vue de mes trois ouvriers l’a véritablement excitée, je sens ses tétons tendus de désir poindre sous ses grosses mamelles pendantes. Je glisse une main sous sa nuisette et flatte son postérieur. Je sens le plug bien en place. Ma soumise a été très obéissante. Je la félicite en joignant mes lèvres aux siennes. Nos langues se cherchent, se mélangent et s’entortillent l’une autour de l’autre. Ma main se pose sur le sein de ma soumise et le pétris allègrement alors qu’elle vient coller son intimité trempée contre mon sexe déjà dur. Elle est chaude comme la braise. J’ai envie de la sauter, là, maintenant, mais je me retiens. J’ai d’autres projets pour elle.
Je romps notre baiser langoureux et me tourne vers la table du petit déjeuner.
— J’ai faim, et j’ai l’impression que toi aussi, tu as faim de bite. N’est-ce pas !
— Oh oui, maître, dès que j’ai vu vos ouvriers, j’ai eu envie de les sentir en moi. Pourriez-vous m’offrir à eux ?
— Nous verrons cela. Mais pour l’instant, soit une bonne salope soumise à son maitre et occupe-toi de ma queue pendant que je déjeune. Allez ! files sous la table !
— Oh oui maître, tout de suite !
Jeanne disparaît sous la table et sort de mon caleçon mon dard déjà bien érigé par notre baiser passionné et la danse lascive qu’elle m’a offert pendant que je pétrissais ses seins. Rapidement, mon gland disparaît dans sa bouche avide et je suis submergé par le plaisir que me procure cette caverne humide. Je prends une tartine entre mes mains et croque à pleine dents alors que je sens celles de Madame Allier jouer avec mon gland. Sa langue parcourt les veines épaisses qui jalonnent ma hampe avant de faire le tour de mon gland violacé et de le faire disparaitre entre ses lèvres charnues. N’en pouvant plus, je place mes mains de part et d’autre de sa tête et la fait aller et venir sur ma queue bandée au point de me faire mal. La salope a fait sortir ses seins de sa nuisette et malaxe ses lourds obus laiteux, elle pince ses tétons entre ses pouces et ses index en gémissant alors que mon dard vient cogner contre le fond de sa gorge avec un bruit guttural de succion. Je tire ses cheveux en arrière et la relève sur ses genoux.
— J’adore tes seins, fais-moi une branlette espagnole avec tes grosses mamelles !
A peine avais-je fini ma phrase que ma queue disparaissait entre les énormes seins de ma soumise. Elle tourna vers moi un regard bleu azur alors que sa poitrine monte et descend procurant à mon sexe un massage des plus exquis. J’ai du mal à soutenir le regard de chienne de Jeanne et la peau de ses seins est si douce que je sens l’orgasme monter. Je prends le tube de chantilly et m’en asperge le dard. La crème s’étale sur les seins de ma soumise, qui délaisse sa branlette espagnole pour me reprendre en bouche.
— C’est ça, salope, lèche bien tout et avale, t’aimes ça, hein des petits déjeuners comme celui-là !
— Oh oui, maître, c’est si bon et sucré !
— Je sens que le dessert arrive, prépare-toi à tout avaler !
Ayant léché toute la chantilly, Jeanne s’active sur mon membre, s’apprêtant à recevoir une autre forme de crème. Je sens l’orgasme monter, je tire sa tête en arrière et asperge son visage de trois longues trainées de sperme qui viennent mourir sur ses lunettes, ses lèvres et sa joue.
Ravie, ma soumise nettoie avec application jusqu’à la moindre goutte et va jusqu’à lécher ses lunettes avant de les remettre sur son nez. Son con humide a laissé une trace sur le carrelage de la cuisine. J’ai envie de la récompenser.
— File-te changer et enfiles la tenue de latex que je t’ai achetée l’autre jour. Et rejoins-moi dans le salon.
— Ne se faisant pas prier, Jeanne disparait par l’escalier qui mène à sa chambre.
Je sors sur la terrasse, mes trois gars sont au travail. Il a beau n’être que 8 heures du matin, ils suent déjà à grosses gouttes sous le soleil estival.
— Sacrée piscine qu’elle a ta bourgeoise, me dit Abdul, j’irais bien piquer une tête entre midi et deux.
— Elle a surtout de sacré bouées, elle ne risque pas de se noyer, celle-là ! rajoute Marcel, moqueur.
Nous éclatons tous les quatre d’un air gras. Je commence à aider mes hommes à aligner les dalles de la terrasses lorsqu’au bout de 5 minutes, Antonio s’interrompt.
— Patron ! le pipi arrive !
— Bah va pisser au fond du jardin, lui répond Marcel. Ce qu’il peut être con, celui-là !
— Non, vous n’allez pas souiller les parterres de Madame Allier. Viens Antonio, je vais te montrer où tu pourras te soulager.
— Allez, va Tonio, va faire pleurer le cyclope !
Antonio me suit à l’intérieur. Il est obligé de se baisser pour passer la porte fenêtre du salon. Je le conduis à l’étage. J’ouvre la porte de la chambre de madame Allier. Antonio se retrouve nez à nez avec ma soumise, revêtue de la tenue que nous avons achetée au sex shop. C’est une guêpière en latex noir brillant, avec une ouverture au niveau de la poitrine qui dévoile ses deux énormes mamelles aux aréoles prononcées. En bas, elle a revêtu des bas résilles aux mailles larges déchirées au niveau de son intimité, laissant apparaitre son abricot tout lisse. Elle porte fièrement son collier de cuir avec l’anneau auquel j’attache sa laisse, et a rehaussé son maquillage d’un fard à paupière sombre outrancier.
Tous les deux se regardent en chien de faïence, perplexes.
— Antonio a besoin d’aller aux toilettes, dis-je.
— Pas de souci, il y en au rez-de-chaussée, et sinon aussi dans le garage, c’est là que je me douche après la piscine. Mais je vais lui montrer celles de l’étage.
— Non. Dis-je je parlais d’une autre forme de toilettes. Conduis-le dans la salle de bains.
Jeanne marque une pause avant de comprendre le sens de mon propos. Elle prend délicatement la main d’Antonio et le fais sortir à sa suite. Sa démarche chaloupée ainsi que le diamant que l’on devine poindre entre ses deux grosses fesses de bourgeoise me laissent deviner qu’elle a bien gardé le plug en place. Elle l’emmène jusqu’à la salle de bains et s’agenouille dans le bac de douche. Antonio, Perplexe, ne sait comment réagir.
— Bah alors, Tonio, les voilà tes toilettes, qu’est-ce que tu attends pour te soulager ?
— Elle sert de toilettes ? hahaha. Mais c’est génial, ça, dit-il guilleret.
Il fait glisser la braguette de son jean et sort son enfin. Les yeux de ma soumise roulent dans leurs orbites. Antonio n’a pas la lumière a tous les étages, certes, mais si les hommes pensaient vraiment avec leur bite, Einstein aurait eu du souci à se faire. Même au repos, son braquemart frôle les vingt centimètres. Il l’agite devant les yeux de Madame Allier, décalotte le gland, et lâche un grand jet d’urine si puissant qu’il force les lèvres de ma soumise qui manque de s’étouffer et recrache aussitôt. L’idiot joue ensuite avec son engin et s’amuse à marquer le plus de points, il vise un sein puis l’autre, et finit par tremper les cheveux de la femme à genoux devant lui. Au bout de près d’une minute, il secoue les dernières gouttes et s’apprête à ranger son engin lorsqu’elle l’interrompt.
— Attendez, je n’ai pas nettoyé.
Interloqué, il me regarde. Je fais oui de la tête. Jeanne prend le chibre immense d’une main et pose l’autre sur la cuisse de mon ouvrier. Elle caresse la toison brune fournie de son entrejambe et s’applique à aspirer le gland turgescent pour le rendre aussi propre que possible. Enivrée par cette queue démesurée devant ses yeux, elle la prend à deux mains et entame des va et viens qui ont pour effet de faire affluer le sang dans cette verge et gémir Antonio. Elle fait glisser sa langue le long de la hampe et vient enfouir son nez et son visage dans la toison pubienne du jeune éphèbe. Elle hume cette odeur de mâle viril, plein de musc et de sueur, et sa chatte toujours humide commence à couler entre ses cuisses.
Alors qu’elle commence à aspirer une couille et à la sucer comme une vulgaire sucette, je l’interromps.
— Je crois qu’il est propre. Antonio, retourne au boulot. Et pas un mot de cela aux autres. N’est-ce pas ? Et si tu as toujours envie de pisser, tu reviens ici. C’est clair ?
— Oh oui avec plaisir ! au revoir Madame Toilettes qui me fait des choses en bas !
Il disparait par l’escalier. Je doute qu’il arrive à tenir sa langue, mais tant mieux, les autres n’en seront que plus excités.
— Alors, cela t’a plus ?
— Oh oui, maître, il n’était pas très propre, mais quelle queue ! Bien plus grosse que celle de Diego ! Vous pourrez le laisser me baiser ?
— Nous verrons. Mais pour l’instant, j’ai d’autres projets pour toi. Descendons.
Je conduis de nouveau ma soumise au salon. Là, elle voit les menottes accrochées aux pieds de la table. Elle comprend.
Allez, allonge-toi !
Elle s’allonge sur la table, ses seins écrasés contre le tableau de verre, ses pieds touchant à peinte le sol, jambes écartées. Je passe ses mains dans les menottes accrochées à chaque coin, et fait de même à ses chevilles. Elle est ainsi écartelée, en levrette, prête à être offerte.
— Tu es prête, salope ? on va jouer, maintenant.
— MMM oui maître je suis toute à vous.
Je me glisse derrière elle, et appuie sur le plug, l’enfonçant davantage dans son fondement. Elle réprime avec peine un soupir de plaisir.
Je caresse d’un doigt ses lèvres glabres et luisantes de cyprine. Les évènements de la matinée ont excité ma soumise qui coule comme une fontaine. J’insère aisément un doigt, puis un second. Ses parois souples épousent la forme de mes doigts. Je ne tarde pas à trouver son point G gorgé de désir. Je le caresse, le titille un peu, puis retire mes doigt. J’insère le vibromasseur connecté à mon téléphone que j’avais acheté plus tôt.
— Qu’est-ce que c’est que cela ? demande Jeanne, qui n’a pas vu mon manège.
Je fais le tour de la table et m’assied en face d’elle. Je lui montre l’appli sur le téléphone, et augmente d’un doigt la vitesse de vibration. Ses jambes tremblent.
— Oh mon dieu, qu’est-ce que c’est ?
— L’objet de torture que je préfère.
J’augmente encore un peu plus les vibrations.
— Oh Victor, qu’est-ce que c’est bon !
CLAC ! ma main vient rougir sa joue.
— Ne m’appelle pas comme ça. Suce-moi la queue, plutôt. Lubrifie la bien avant que je t’encule. Tu as fait ton lavement ?
— Oui maître, je suis toute propre.
— Tu pues la pisse, salope ! avale ma bite.
Je lui tends. Elle n’est pas encore dure, même plutôt molle, mais elle l’avale toute entière, et les couilles avec. Je la sens humer mes poils. Elle a vraiment un truc avec ça. Elle lèche mes poils de pubis, et pompe mon dard avec le même appétit qu’un bébé qui vient de naître. Une fois bien dur, je mets les vibrations au maximum, et je retourne de l’autre côté de la table. Je retire le plug et approche mon gland turgescent de sa rondelle lisse. Je force l’entrée et il disparait à l’intérieur, arrachant un cri de douleur à ma soumise.
— Arrêtez maitre, il n’est pas prêt, pas lubrifié, pas assez dilaté.
— TU veux que je le lubrifie, salope, tu vas voir.
Je retire mon gland, crache sur sa rondelle, en enfonce un doigt. De l’autre, je joue avec les vibration du jouet dans sa chatte. Son cul s’ouvre immédiatement et j’insère un deuxième doigt. Il est accepté à son tour.
— Regarde comme t’es ouverte ! je vais te tartiner le fion avant de te fourrer comme une dinde !
Je prends la plaquette de beurre à moitié fondue restée sur la table du petit déjeuner et je l’applique allègrement sur la rondelle de ma soumise, immobilisée par ses entraves aux 4 membres. Je me tartine le jonc à son tour, et le présente de nouveau. Cette fois, c’est son cul lui-même qui aspire mon dard, et je me retrouve dans son fondement, jusqu’à la garde.
— Putain t’es bonne ! t’aimes ça être remplie, hein salope ! t’as vraiment un cul de chienne en chaleur !
— Oh mon dieu, maître, c’est bon, je sens un feu allumé à l’intérieur !
— Je vais bien te dilater le fion, tu vas voir !
Je prends mon téléphone et augmente encore l’intensité du vibromasseur. Je le sens contre ma queue à travers la fine paroi de son rectum. Pour moi aussi c’est un supplice délicieux. Alors que ma soumise est à nouveau prise d’un orgasme et convulse sur la table à manger, je me vide dans son cul tout ouvert.
— Remplie dans les deux trous, t’aimes ça, hein salope !
— Oh oui maître c’est si bon !
— Je vais te torturer comme ça toute la journée !
— Maître, assez avec le vibromasseur, c’est d’une queue dont j’ai besoin ! appelez vos ouvriers !
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