Mes nouvelles voisines sont des salopes - Chapitre 2: une famille exhib et coquine

- Par l'auteur HDS Marcs75 -
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Récit libertin : Mes nouvelles voisines sont des salopes - Chapitre 2: une famille exhib et coquine Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mes nouvelles voisines sont des salopes - Chapitre 2: une famille exhib et coquine
Le week-end suivant, son mari étant revenu d’un déplacement professionnel, ma voisine m’a fait découvrir une autre facette de sa personnalité. Vers 20 heures, alors que la fille était partie dans l’après-midi avec une copine qui fêtait l’acquisition de son permis par un tour dans la cabriolet de son père et que le fils n’est jamais revenu de son entrainement de foot -probablement resté dormir chez un ami - la lumière du salon s’allume sur le couple. Monsieur est en costume deux pièces, plutôt léger compte tenu de la chaleur. Madame, quant à elle descend les escaliers de l’étage, vêtue d’un long manteau de fourrure. Elle arrive dans le salon, ouvre son manteau, révélant une guêpière en dentelle noire, accrochée à des bas noirs et une culotte assortie. Son mari s’approche d’elle et glisse une main sous le tissu de dentelle noire pour accéder à son intimité, il entre sans problème deux doigts, la retourne et lui met une fessée en lui disant de remonter s’habiller et de retirer sa culotte. Elle redescend 3 minutes plus tard, vêtue d’un chemisier blanc et d’un jupe noire descendant jusqu’à mi-cuisses, par-dessus la fameuse guêpière et les bas. Ses pied chaussés d’escarpins noirs la rehaussent d’une bonne dizaine de centimètres. Les deux amoureux sortent par le garage, et la voiture file dans le soleil couchant. L’envie me prend de les suivre, mais le temps que je réagisse, ils sont déjà loin. Je me demande ce qu’ils ont bien pu prévoir.
La voiture disparue, je retourne au déballage des derniers cartons qui font de la résistance dans mon salon. Une heure plus tard, la cabriolet tourne au coin de la rue. La fille en sort, salue sa copine, et disparaît dans l’encadrement de la porte. Je file à mon poste d’observation, derrière la vitre teintée de ma chambre à coucher. Quelques minutes plus tard, la lumière s’allume dans la pièce voisine et la jeune fille entre dans sa chambre. Excité comme une puce, je guette ses moindres faits et gestes. « Quand les chats ne sont pas là… » mais la petite souris n’a pas décidé de danser. Au contraire, studieuse, elle va à son bureau et se met à réviser ses examens. Je rabroue ma frustration et m’imagine lui proposer de l’aider à réviser ses exercices de mathématiques, m’asseoir à son bureau et regarder par-dessus son épaule dans son décolleté pendant qu’elle rédige les exercices que je lui impose. J’imagine mes mains se poser sur ses épaules pour faire mine de l’encourager, et masser délicatement sa nuque et ses trapèze, je la vois se détendre progressivement, s’affaler sur sa chaise, poussant en avant sa poitrine pour me donner une meilleure vue sur son décolleté, je me vois masser ses clavicules, le haut de ses pectoraux, et devant ses soupirs d’approbation, une main glisse dans son décolleté, caresser la fraicheur d’un sein ferme, en jolie forme de poire gourmande qui ne demande qu’à être croquée. Je me demande encore pourquoi le fruit défendu est une pomme… pour ma part, je préfère les poires, et surtout les abricots bien juteux. Mais mes rêveries s’arrêtent là car mon téléphone sonne.
Je dîne, regardes un film dans le salon et remonte dans ma chambre. Les lumières sont éteintes dans la maison d’en face. La fenêtre de ma jeune voisine est ouverte, une légère brise en fait trembler les rideaux de soie. Je m’endors facilement.
Vers deux heures du matin, je suis réveillé en sursaut. Une lumière illumine la pièce comme en plein jour. Je vais à la fenêtre, les phares de la voiture de mes voisins sont braqués sur ma maison. Il tourne pour s’engager dans l’allée et s’arrête face à la porte du garage. Je suis de nouveau dans la pénombre. J’entends des éclats de voix. J’ouvre la fenêtre pour mieux discerner les sons. Un rire de femme. Cristallin. Elle glousse. J’entends des bruits de succion. Encore des rires.
Une femme sort de l’A5 noire et se dirige vers la porte de garage. Elle chancelle légèrement mais se débrouille pas mal au vu de la taille de ses chaussures à talons et de l’heure avancée. Sa jupe est relevée sur ses hanches, dévoilant ses bas noirs tenus par la guêpière que j’avais vu plus tôt dans la soirée. Son chemisier est complètement débraillé et ses seins sont sortis de la guêpière. J’associe immédiatement cette tenue aux bruits entendus dans la voiture, quelle cochonne !
Elle ouvre la porte du garage en se penchant en avant et en écartant les cuisses pour montrer son intimité à son homme au volant. De mon angle, je ne la vois que de profil mais je peux imaginer sa chatte bien lisse comme je l’ai vue l’autre jour. Je suis certain qu’elle est tellement excitée que ses cuisses sont trempées. Ni une ni deux, il descend de la voiture, la prends dans ses bras et se colle à elle, l’enserre de ses bras, l’embrasse dans le cou et lui masse les seins avec force. Elle gémit sous ce traitement de faveur, alors il s’enhardit et glisse une main entre ses cuisses, caressant sa fente luisante. Elle se retourne et lui roule une pelle monumentale avant de s’agenouiller devant lui. Son sexe déjà sorti est en pleine érection – probablement consécutif du traitement qu’elle lui a procuré au volant sur le trajet retour- mais visiblement elle n’en a pas eu assez. Elle le prend en bouche et commence à le sucer. D’abord lentement, tournant autour du gland avec sa langue tandis que ses doigts massent la base de son sexe, puis de plus en plus vite, allant de haut en bas jusqu’à avaler sa hampe en entier. Ne semblant pas pouvoir tenir ce traitement de faveur plus longtemps, il la relève et la couche sur le capot de l’Audi. Il vient lécher ses seins l’un après l’autre, les suce, les mordilles, les pétrit de ses doigts, puis il descend sa tête entre ses cuisses et lèche sa fente dégoulinante de désir. Il connait sa femme par cœur, et en quelques minutes, il lui déclenche un premier orgasme foudroyant. Ma voisine met sa main devant la bouche pour étouffer son cri et se cambre, faisant résonner le métal du capot. A l’étage, aucun bruit, la fille semble dormir paisiblement malgré sa fenêtre ouverte. Alors, il se redresse, relève les jambes de sa femme, les pose sur ses épaules et place son sexe à l’entrée de sa fente toute mouillée. Il glisse facilement en elle, et fait de légers va et viens, accompagnés par les râles de plaisir de son épouse. Il augmente de fur à mesure, les gémissements s’intensifient, les amortisseurs encaissent les coups, l’Audi s’abaisse et se soulève en rythme régulier. Il se retire et la retourne, face au capot de la voiture, la fait se pencher en avant jusqu’à ce que ses seins s’écrasent sur la carrosserie, puis la prend en levrette, la relève par les cheveux pour l’embrasser avant de la plaquer de nouveau sur le métal chromé. Il continue ses va et viens, accélère, la voiture semble vouloir partir en arrière, la femme est littéralement défoncée sur le capot, ses seins incrustés dans la peinture, les mains sur ses hanches, il donne de violents coups de butoir, arrachant des gémissements à chaque pénétration, jusqu’à ce que nos deux amants jouissent simultanément, le mari se déversant dans sa femme dans un long râle rauque, le souffle coupé par l’effort. Il se retire alors, son sperme chaud coulant entre les cuisses de ma cochonne de voisine. Elle se redresse, l’embrasse et disparait par l’embrasure de la porte de la maison tandis qu’il range la voiture avant de le rejoindre.

Baissant le regard, je remarque qu’un tache s’étale sur mon caleçon. Sans m’en rendre compte, j’ai joui, sans même me toucher. A cet instant, la lumière s’allume à l’étage. La fille s’approche de la fenêtre en pyjama. Je suis toujours caché dans la pénombre. Elle regarde dans ma direction, sourit, puis retourne se coucher. Elle semble vouloir me faire savoir qu’elle a tout entendu, et surtout, qu’elle sait que j’ai regardé. Je suis perplexe. Mes rêves seront animés cette nuit-là…

Un mardi matin alors que les enfants sont partis à l’école, je vois ma voisine sortir de la cuisine avec un panier plein de légumes du soleil.
C’est encore un peu tôt pour la saison, mais les aubergines et les courgettes sont d’une belle taille et d’une belle couleur.
Elle est en nuisette noire, et n’a rien mis en bas. Après avoir épluché les tomates et coupé en morceaux les premières courgettes, elle en prend une en main, d’une taille correcte, et la porte à son visage. Elle la regarde d’un air malicieux, la repose sur la table et disparait par l’escalier qui monte à l’étage.
Elle revient moins d’une minute plus tard, son ordinateur portable en main. Elle prend la courgette et l’aubergine et s’installe dans le canapé d’angle qui fait face à ma fenêtre. Elle ouvre l’ordinateur et commence à lire un récit sur HDS. Sa main gauche libère ses seins en décalant les bretelles de son haut, tandis que sa main droite caresse son pubis lisse et glisse entre ses lèvres qui s’humidifient immédiatement. La lecture semble lui plaire, car elle relève les jambes et les écartes m’offrant une vue splendide sur son intimité. Elle se caresse les seins et joue avec son clitoris, son bassin secouée de mouvement qui font grossir mon sexe dans ma main.
Elle prend alors la courgette et commence à la lécher, puis l’enfonce dans sa bouche, en avalant facilement les 2/3. Elle enfonce deux doigt de sa main gauche dans sa chatte trempée, laissant juste apparaître sa fine alliance dorée.
Elle enfile alors un préservatif sur la courgette et la place à l’entrée de sa chatte. Le légume glisse instantanément et disparait à l’intérieur avant de réapparaitre quelques secondes plus tard, sous l’impulsion du poignet habile de ma voisine. Ses tétons sont dressés sous le traitement que leur inflige les doigts de son autre main, mais elle les délaisse vite pour jouer avec son petit trou. Je ne savais pas que la coquine aimait cela aussi. Après avoir tourné autour, elle glisse une phalange, puis une deuxième à l’intérieur. La courgette, elle continue son travail de dilatation de son vagin qui l’accueille toujours plus profondément. Elle prend alors une carotte qu’elle place à l’entrée de son petit trou déjà bien ouvert. Le légume à une forme parfaite, il dilate petit à petit son orifice au fur et à mesure qu’elle l’enfonce plus profondément jusqu’à ce qu’il disparaisse complètement. Elle se met alors à 4 pattes sur le canapé, cambrant les reins, seules les feuilles de la carotte dépassant de son cul, donnant l’impression d’une queue de verdure.
La courgette ne pouvant satisfaire les besoins de ma voisine, elle la remplace par une aubergine bien épaisse, dont le bout énorme dilate sa chatte trempée. Elle grimace mais parvient à l’insérer, et la fait aller et venir à l’intérieur, la carotte toujours bien fichée au fond de son cul. Rapidement, je sens mon plaisir monter en même temps que celui de la voisine et nous jouissons en même temps, elle se vautrant dans le canapé, moi me répandant dans ma main.
Ce jour-là, j’ai eu envie d’aller sonner chez ma voisine pour goûter sa ratatouille.

En fin de journée, ma voisine appelle sa fille dans le salon. Elle lui tend un paquet enrobé dans un papier cadeau réalisé à la va-vite. La fille déballe avec hâte et son visage s’illumine soudain. Caché par le dos de ma voisine, je n’arrive pas à voir le contenu du cadeau. Elle saute au cou de sa mère et monte dans sa chambre quatre à quatre. Une fois là-haut, elle dépose son cadeau sur le lit. C’est une guêpière noire, avec un joli ruban rouge sur le devant. Elle retire son T-shirt, m’offrant une vue sublime sur ses petits seins en poire, et fait glisser son mini-short à ses pieds. Elle enfile ensuite la guêpière flambant neuve par-dessus son string noir et sort de sa commode une paire de bas qu’elle fixe par l’intermédiaire de pinces. Le corset est un peu push-up, avec des balconnets qui masques à peine ses petits tétons de jeune fille. Elle se regarde dans la psyché, cambre les reins pour faire ressortir le galbe de ses fesses musclées. Elle sort son téléphone et prends quelques photos sous des angles suggestifs, qu’elle envoie derechef à son petit copain. Le salaud doit se faire plaisir, car les angles de prise sont des plus suggestifs, et mon sexe retrouve, comme à son habitude, sa taille maximale sous les caresses de mes doigts. Ma voisine est vraiment une coquine de dévergonder ainsi sa fille !

Rapidement, je me rends compte que le mari de ma voisine part toutes les semaines pour le travail et ne revient que le Week-End. Cela explique la fréquence des plaisirs solitaires qu’elle s’offre au cours de la semaine. Un vendredi après-midi, alors que la chaleur a fait son apparition et que le soleil brille largement, ma voisine sort de la maison pour aller bronzer au bord de la piscine. Les enfants sont à l’école et ne sont pas près de rentrer. Elle porte un grand chapeau de paille, des lunettes de soleil mouche noires et un maillot de bain qui ne me laisse pas indifférent. En effet, c’est un string ficelle blanc dont le devant transparent laisse voir le pubis glabre de ma voisine, et qui s’accroche sur les côtés pas des ficelles nouées entre elles. Le haut, tout aussi blanc et transparent, dévoile ses larges aréoles brunes et écrase ses tétons. Elle s’allonge sur un transat pour lire un magazine people. Régulièrement, elle se retourne, m’offrant tour à tour une vue splendide sur ses fesses et ses seins. Peu après 15 heures, l’Audi s’engage dans l’allée. Ma voisine entend le moteur se couper mais ne fait pas un geste pour aller accueillir son mari. Je crois qu’elle veut se faire surprendre dans cette tenue. J’ouvre la fenêtre pour entendre une conversation qui s’annonce croustillante. Le mari hèle sa femme dans le salon, mais aucune réponse ne vient. Il sort alors dans le jardin et la trouve allongé sur le ventre, faisant mine de lire son magazine.
— Ah bah tiens, tu es là, tu ne viens pas m’accueillir ?
— Je pensais que tu préfèrerais me trouver ainsi. La route a été bonne ?
— Fatigante. Je suis rincé.
— Laisse-toi faire mon chéri, je vais m’occuper de toi.
Elle se relève alors et fait asseoir son mari sur le transat. Elle s’assit à califourchon sur lui et tire sur sa cravate pour le redresser et l’embrasser fougueusement.
— Tu m’as manqué, putain !
— Toi aussi, ma chérie ! j’adore ce maillot, putain, Nadine, t’es toujours aussi sexy.
Les nœuds du soutien-gorge n’opposent pas une grande résistance, et le triangle de tissu transparent tombe rapidement sur le sol. Ma voisine glisse une main derrière le cou de son mari et colle sa tête contre sa poitrine. Le cochon se régale et dévore les deux seins qui s’offrent à lui. De sa main libre, Nadine déboutonne la ceinture de son mari, et en sort une queue déjà presque dure. Elle la branle avec une habileté déconcertante, compte tenue de la position acrobatique dans laquelle elle se trouve.
Elle plaque alors ses deux mains sur la poitrine de son homme et le force à s’allonger sur le dos. Elle défait le nœud de la cravate et défait un à un les boutons de sa chemise, le gratifiant au passage de baisers sur ses pectoraux et ses tétons.
— Éric, j’ai envie de toi
— Chérie, je viens de faire 4 h de route, laisse-moi passer à la douche d’abord.
Ignorant les recommandations de son mari, ma cochonne de voisine continue de descendre et enfourne avec appétit le sexe au garde à vous. Elle le dévore goulument et salive abondamment, produisant des bruits de succion excitant comme jamais. J’ai hâte de caler ma bite au fond de sa gorge et de me faire sucer en mode pacha par cette salope de voisine.
— Mmm putain bébé c’est bon, continue, j’adore ta bouche.
— Slurp… mmm, t’aimes ça mon cochon !
Elle suce son gland, et le branle en même temps, puis avale ses couilles l’une après l’autre, le mari se concentre pour retenir son éjaculation
— Arrête chérie, ça fait une semaine, je ne vais pas tenir…
— Laisse-toi faire, vide-toi, je veux que tu jouisses dans ma bouche
— MMM putain, c’est trop bon oh oh ohhhhhhh rhaaaaaa putain oui, avale tout, salope !
Il prend la tête de Nadine entre ses mains et la bloque au fond de sa gorge tout en se vidant en salves successives. La cochonne ne bronche pas et avale la semence de son mari, accumulée depuis une semaine, puis nettoie les coulures qui ont échappé à sa bouche affamée. Elle déglutit et embrasse son mari.
— Allez, va te doucher maintenant, et récupères, je veux que tu me baises avant le retour des enfants !

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