Mes nouvelles voisines sont des salopes - chapitre 1 : Le déménagement

- Par l'auteur HDS Marcs75 -
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Récit libertin : Mes nouvelles voisines sont des salopes - chapitre 1 : Le déménagement Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-09-2023 dans la catégorie En solitaire
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Mes nouvelles voisines sont des salopes - chapitre 1 : Le déménagement
Tout a commencé en mai avec mon déménagement. Récemment séparé de ma compagne de l’époque, j’avais décidé de me mettre au vert. Malgré l’augmentation considérable des prix en province à la suite des premiers confinements, j’avais pu réaliser une bascule confortable en vendant mon 3 pièces parisien, me permettant d’acheter cette mignonne petite maison de ville dans un charmant village bordant la Loire.
Les déménageurs s’étant occupé du transfert des principaux meubles, je me retrouvais assis sur mon canapé, au milieu d’une montagne de cartons, entourés d’étagères vides appelant à être remplies.
Comme tout emménagement mérite d’être fêté et que je n’avais pas de champagne au frais, je décidais d’ouvrir une bonne bouteille de rouge de ma réserve personnelle. C’est un Mercurey de 2012, réputé une très bonne année en Bourgogne. Je trouve aisément le carton avec mes verres à pied mais impossible de mettre la main sur le tire-bouchon. J’envisage de sabrer la bouteille, de l’ouvrir avec une chaussure avant de me raviser. Tu ne vas pas prendre le risque de le gâcher. Ma bouteille à la main, je sors dans le quartier. Les maisons autour de la mienne sont en vieille pierre, certaines envahies de lierres grimpants, d’autres dans un état de délabrement avancé. Je remonte la rue en pente douce et trouve deux portes closes. Je sonne. Personne ne répond.
Je tente ma chance de l’autre côté. La maison voisine de la mienne est allumée. Un brin voyeur, je décide de glisser une tête entre les thuyas. Je discerne deux ombres derrière la baie vitrée du salon. Je cherche un meilleur angle pour les voir, je me faufile entre les arbres, m’égratignant les bras au passage, avant de trouver un point de vue plus dégagé. D’un regard en l’air, je remarque que la fenêtre de ma chambre donne juste sur leur salon. Oubliant ma demande initiale, je décide de rentrer chez moi pour les observer depuis l’étage. Arrivé à mon poste d’observation, je balaye le séjour d’un regard. Les deux personnes que j’avais cru apercevoir sont dans le canapé. L’homme est assis, face à la télé diffusant un téléfilm, la femme, à califourchon sur lui, est en train de l’embrasser. Ni l’un ni l’autre ne semblent prêter attention à la résolution de la scène de crime qui se déroule à l’écran. La femme semble avoir une quarantaine d’années, et je ne discerne rien d’autre de son visage qu’une épaisse chevelure châtain que les mains calleuses de l’homme s’acharnent à ébouriffer. Resté dans la pénombre afin d’éviter d’être repéré, je me cogne le pied contre ma table basse. Je pousse un cri de douleur, et porte la main à la bouche. La femme tourne la tête en direction de ma fenêtre, je reste immobile dans la pénombre. Quel con, je me suis fait repérer ! Heureusement, je n’ai pas été démasqué, et ils reprennent leurs préliminaires là où ils en étaient. Le canapé fait un angle ouvert vers la baie vitrée et j’ai une vue sublime sur la scène qui se déroule sous mes yeux. La femme déboutonne la chemise de son mari et descend lascivement jusqu’à sa ceinture. A genoux sur le sol elle me tourne le dos, et je peux voir qu’elle n’a pas de culotte. Elle semble administrer une fellation magistrale à son mari béat qui bascule sa tête en arrière, se laissant totalement faire. Je vois la tête de la femme faire des allers-retours alors que son poignet s’active à la base du sexe. Excité par la situation, je baisse mon caleçon et commence à prendre le mien en main. Il est déjà bien dur et réagit immédiatement à mes caresses.
Le mari apprécie son traitement, et bientôt, il attrape sa femme par les cheveux, tire sa tête en arrière et l’embrasse fougueusement. Ses mains plongent dans la nuisette pour en sortir ses seins – un bon 90B – qu’elles pétrissent allègrement. Il prend ses tétons et les fait rouler sous ses doigts ce qui semble exciter la femme qui se cambre en arrière. Il la fait monter sur ses genoux et elle s’empale sur son sexe tendu. La tête du mari plonge dans la poitrine offerte pour téter goulument les seins appétissant. Ma main gauche se glisse sous ma chemise et je me masse le pectoral, le presse, torture mon téton dressé m’imaginant à la place de ce mari chanceux, tandis que ma main droite s’active toujours sur mon sexe. La femme s’active sur le sexe de son mari, elle fait des mouvements de haut en bas, de plus en plus vite, puis d’avant en arrière, afin d’enfoncer un peu plus en elle ce chibre qu’elle affectionne tant. Il passe une main autour de son cou et commence à serrer autour de sa gorge, tandis que de l’autre, il lui administre une claque magistrale sur la fesse. Cela déclenche soudainement un violent orgasme chez cette femme, dont la tête bascule en arrière, son corps secoué de tremblements incontrôlables. Son cri est puissant, strident, et transperce le silence nocturne jusqu’à mes oreilles. Un frisson parcourt mon échine. A cet instant, j’ai pris ma décision. Je veux faire crier cette femme, la faire jouir comme son mari vient de le faire. Je vais la séduire, pour la posséder.
Le mari n’est pas rassasié, et l’orgasme de sa femme terminé, il lui demande de se mettre à 4 pattes sur le canapé. Il se met derrière elle et la prend en levrette. De mon poste d’observation, j’ai une vue parfaite sur la scène. Ses seins ballotent d’avant en arrière sous les coups de butoir du mari, son visage se tend, se déforme sous les vagues de plaisir qui déferlent en elle, elle gémit, se cambre davantage pour l’accueillir toujours plus profondément en elle. Elle semble en vouloir toujours plus, n’est jamais rassasiée. Elle porte une main entre ses cuisses pour caresser son clitoris alors qu’il continue de la saillir avec vigueur. Les va et viens de l’homme se fond de plus en plus rapprochés, son souffle s’accélère, son visage rougit, il se crispe, ses doigt s’enfoncent dans la peau de la femme, saisissant ses hanches avec force alors qu’il se déverse en elle, emporté à son tour par l’orgasme. Je sens un liquide chaud et visqueux couler sur mes doigts et je l’entends couler sur le sol. J’ai éjaculé sans même jouir, trop absorbé par mon désir.
Cinq minutes plus tard, ils éteignent la télévision et disparaissent de mon champ de vision. A l’étage, ma vue donne sur la fenêtre d’une chambre, mais je ne les vois pas y entrer. J’ouvre la fenêtre, un air frais s’engouffre dans la pièce. Il n’y a pas un bruit alentour. Je vois dans la demi-obscurité du crépuscule que leur jardin est organisé autour d’une piscine, et j’imagine déjà ma voisine prendre le soleil, seins nus. Ils ont aussi une grange, une ancienne étable, qui fait la séparation avec ma maison. D’ailleurs, l’intérieur de l’écurie est séparé en deux lots chacun ayant sa propre partie.
J’abandonne là mon poste de vigie et retourne au salon. Je n’ai plus vraiment le goût du vin, et déballe quelques cartons avant d’aller me coucher.
Le lendemain, je fais installer une vitre teintée à la fenêtre de ma chambre. Ainsi, en bon voyeur que je suis, je pourrais espionner ma voisine en toute discrétion.
Une semaine passe, je déballe progressivement mes cartons, et ma maison commence à ressembler à quelque chose. Je sors peu, de sorte que personne dans le quartier ne semble se douter que je viens d’emménager, ou du moins mes voisins pensent-ils que je ne suis jamais là. Et c’est tout à mon plaisir voyeur. De mes séances d’observation, j’en apprends davantage sur mes nouveaux voisins. Ils sont quatre, ils ont une fille d’environ 18-19 ans et un garçon qui parait avoir une quinzaine d’années. La fenêtre de l’étage est celle de leur fille. Un soir, alors que je monte me coucher, je vois de la lumière dans la chambre du premier étage. Je me porte à la fenêtre pour observer. Celle de ma voisine est ouverte, et je vois la fille de ma voisine déambuler en petite tenue. Elle mesure 1m60 et ne doit pas peser plus de 50kg. Elle est au téléphone, et déambule dans sa chambre, vêtue simplement d’un tanga noir en dentelle et d’un T-shirt gris beaucoup trop court qui lui arrive à peinte à la base des seins, laissant apparaitre un ventre plat et musclé. Elle est au téléphone avec son amoureux, et rapidement, la conversation devient torride, elle retire son T-shirt et le jette sur sa chaise de bureau. Sur ses épaules cascadent une longue chevelure blonde dont les pointes épousent la forme de deux jolis seins en poire, du 90B, dont les aréoles fines entourent des tétons qui pointent vers le ciel. Elle s’allonge sur le lit qui fait face à la fenêtre et commence à se caresser le ventre, puis les seins en se mordant la lèvre sous les mots de son chéri. Rapidement, elle relève les jambes et écarte les cuisses, fait glisser le tissu du tanga sur le côté, m’offrant le spectacle d’un pubis glabre, parfaitement épilé. Son intimité libérée de sa prison de tissu, elle glisse un doigt sur le bouton de son clitoris. Elle a beau avoir 18 ans, elle sait déjà comment se donner du plaisir… Ses hanches font et viennent contre sa paume, ses doigts s’activent, tantôt sur son sexe, tantôt sur ses seins qu’elle prend en main pour porter un téton à sa bouche. Elle le mordille et pousse un petit cri de plaisir.
Ma main plonge immédiatement dans mon caleçon. Elle glisse alors un doigt, puis deux, à l’intérieur de sa caverne d’amour, toujours guidée par les mots doux de son amant, le téléphone collé sur son oreille. Elle va et vient ainsi, sa main libre caressant son clitoris et ses seins, l’autre s’enfonçant depuis plus en plus vite et de plus en plus loin en elle. Rapidement un orgasme monte, je sens son corps se tendre, se crisper, elle se cambre, accélère les mouvements de ses doigts sur son clitoris, puis elle explose, son corps parcouru de tremblement incontrôlables, qui durent près d’une minute. Elle est à bout de souffle, halète, embrasse son amant avant de raccrocher. De mon côté, j’allume la lumière de ma chambre, puis l’éteint aussitôt. Je veux qu’elle sache que je l’ai observée. Je vais me coucher, heureux de ce déménagement, elle remet son T-shirt et s’endort, la couverture à moitié rabattue sur elle, laissant apparaitre une longue jambe élancée et la naissance d’une fesse, les cheveux en bataille, le sourire d’un orgasme satisfait accroché à son visage.
Plus tard, j’apprends que le mari de ma voisine est souvent absent, il découche régulièrement, probablement pour le travail. Ma voisine, en revanche est souvent chez elle. Elle part travailler le matin mais ne rentre jamais tard. Je suis fasciné par sa personnalité. J’ai deux voisine dans la même personne. Lorsque ses enfants sont à la maison, c’est une mère de famille exemplaire que j’observe. Elle est souvent habillée de manière décontractée, en legging et T-shirt ample, malgré un décolleté qui le laisse parfois apercevoir un bout de sein d’une blancheur laiteuse.
Elle aime bronzer au bord de la piscine, vêtue d’un maillot de bain une pièce noir, échancré sur le devant, et plongeant jusqu’à la racine de ses fesses. J’aime la regarder mettre de l’huile sur ses jambes lisses et s’endormir au soleil, le visage caché sous un large chapeau et des lunettes de soleil en écaille alors que son fils joue avec des amis dans la piscine. Les jeunes ne sont pas insensibles aux charmes de cette femme qui pourrait être leur mère, et ils sont très attentionnés avec elle, lui proposant un verre d’eau, jetant des regard en coin sur sa poitrine en passant derrière le transat. L’un d’entre eux, impertinent, lui a un jour proposé de lui mettre de la crème. Il s’est fait remettre à sa place comme il le faut et a filé, rouge et honteux, prétextant une urgence familiale. Je ne l’ai plus jamais revu.
Lorsqu’elle se sait seule, en revanche, ma voisine est une tout autre personne. Un jour, alors que je faisais de la peinture dans ma chambre, je l’ai vu sortir de la maison et se diriger vers la piscine. Elle portait un maillot d’une toute autre nature. Un string blanc, transparent sur le devant, laissant apparaitre un pubis parfaitement lisse, noué sur le côté par des ficelles. Le soutien-gorge non plus n’a pas beaucoup de tissu et est tout aussi transparent. Elle s’est alors allongée sur le transat qui fait face à ma maison et a commencé à se caresser, se pensant seule. Ses doigts ont fait glisser le tissu du string pour s’insérer en elle, triturer le bouton de son clitoris. De l’autre main, elle caressait ses seins, faisant rouler les tétons dressés sous ses doigts délicats. J’ai joui rapidement ce jour-là…
Le vendredi matin, lorsqu’elle est seule à la maison, elle aime se balader en nuisette dans l’appartement, sans sous-vêtements. Elle vaque à ses occupations, fait son ménage, dans la tenue la plus simple et mon érection ne débande jamais.
C'est le week-end suivant que les choses ont commencé à devenir de plus en plus intéressantes...


Cette histoire mi réelle, mi fantasmée, a été écrite en collaboration avec une lectrice coquine sur HDS, qui a voulu partager ses aventures et fantasmes...

Les avis des lecteurs

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Très belle histoire

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Excellente lecture 👍, très agréable , vivement la suite

Votre collaboration est une réussite ☺️



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