Ce beau voisin qui fit exploser notre couple (2)

- Par l'auteur HDS Histiée -
Récit érotique écrit par Histiée [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ce beau voisin qui fit exploser notre couple (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-12-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ce beau voisin qui fit exploser notre couple (2)
2 - Ma copine Charlotte s'offre sans retenue à notre voisin et à un de ses potes !

Résumé du premier épisode : Mon nouveau voisin Baakari a réussi à séduire ma copine
Charlotte. Lorsqu'il m'apprend qu'il souhaite aller plus loin avec elle, je m'effondre
et accepte de le sucer, à la condition qu'il la laisse tranquille. Après m'être
exécuté, ce beau noir change d'avis et donne tout de même rendez-vous à ma copine ! Il
m'annonce que je vais assister à mon cocufiage...

Le plan de Baakari pour que j'assiste à son rendez-vous avec ma copine
Charlotte était simple. Il m'expliqua qu'il me suffirait de me cacher dans sa chambre
d'ami, et qu'il allait recevoir « son plan cul » dans le salon. En gardant la porte
entrouverte, je pourrais sans difficulté apercevoir ce qui allait se passer entre eux.
Nous étions toujours dans mon salon, lui entièrement nu, moi recouvert de sa semence,
et Charlotte devait arriver d'ici une petite demi-heure. Baakari se rhabilla puis
m'ordonna de le suivre jusque chez lui, sans me laisser me changer ni me nettoyer. Je
dus traverser le hall de l'immeuble en t-shirt et en caleçon, le visage badigeonné du
foutre de mon amant. J'eus une peur terrible en imaginant que nous risquions de
croiser un voisin, mais heureusement nous ne fûmes pas dérangés : il était 10h30 du
matin, à cette heure la plupart des habitants étaient déjà partis travailler.
L'appartement de Baakari faisait à peu près la même taille que le nôtre. Il
était décoré « à l'africaine », avec des couleurs chaudes et des bibelots
africanisants. Une boîte de préservatifs XXL était posée, en évidence, sur la table du
salon. Peut-être allaient-ils servir après l'arrivée de Charlotte ?... Mon hôte ouvrit
la porte d'une petite chambre et m'enjoignit d'y pénétrer.
- Voilà ta planque ! Le canapé tourne le dos à la porte, tu vas pouvoir tout observer
sans que Charlotte ne s'en rende compte ! Tu peux te branler ou chialer, mais t'as
intérêt à rester discret, si ta copine s'aperçoit que tu es caché là, tu passeras pour
la pire des lavettes !
Baakari me mit une petite claque sur les fesses pour me pousser à l'intérieur
de la pièce. Me branler ou chialer ? Peut-être allais-je faire les deux ! Avec le
recul, toute cette histoire commençait à me dépasser, et je ressentais à nouveau la
peur irrésistible de perdre Charlotte. D'un autre côté, la fellation que j'avais faite
à mon voisin m'avait vraiment excité, et je n'avais toujours pas joui, contrairement à
lui ! C'était donc un mélange d'inquiétude et de tension sexuelle qui me traversait,
quand Baakari referma presque entièrement la porte derrière moi.
- Maintenant, ferme ta gueule, et attends ici pendant que je me prépare ! La petite
cochonne ne devrait plus tarder...
Par l'entrebâillement de la porte, je pouvais effectivement observer le salon
et le canapé. J'entendis Baakari siffloter et faire couler de l'eau dans sa salle de
bain. Je décidai de m'asseoir sur le lit de la chambre en attendant l'arrivée de
Charlotte. Je pus me contempler dans un grand miroir qui était accroché au mur d'en
face : j'étais dans un état lamentable, mes cheveux étaient complètement décoiffés car
Baakari les avait tirés pour m'imposer son rythme pendant la pipe, et le sperme sur
mon corps commençait déjà à sécher. Je ressassais dans mon esprit les événements
récents. Après tout, peut-être Charlotte n'allait-elle pas venir... Peut-être allait-
elle prendre conscience que j'étais son seul amour, et qu'un énorme sexe de black
n'allait pas la rendre plus heureuse...
Je m'accrochais à ces faux espoirs en rêvassant quand la sonnette de
l'appartement retentit. Raté ! Il était encore tôt, mais c'était certainement
Charlotte ! Pour avoir accouru en si peu de temps, il fallait vraiment qu'elle soit en
manque ! J'entendis les pas lourds de Baakari qui se dirigeait vers l'entrée. Il
ouvrit la porte à son visiteur.
- Me voilà ! Je ne suis pas trop en retard ?
- Hey ! Pas du tout, elle n'est pas encore arrivée ! Entre, mec !
C'était une voix d'homme que j'avais entendue. Un autre homme venait d'arriver
à l'appartement ! Je ne comprenais plus rien, et je fus soudain pris de panique. Mais
impossible de sortir dans le salon pour demander à Baakari des explications : j'étais
pieds nus, en t-shirt et en caleçon, le visage recouvert de sperme ! Je me précipitai
donc vers la porte pour tenter d'apercevoir le mystérieux visiteur.
- Rien que de lire ton texto, j'avais déjà la trique ! continua le nouvel arrivant.
Cette histoire, c'est vraiment sérieux ? J'espère que je ne suis pas venu pour rien !
- T'inquiète, rétorqua Baakari. Je l'ai chauffée toute la soirée, et elle vient de
quitter son boulot juste pour ma bite ! On va se faire plaisir, tu peux me croire !
L'excitation initiale commençait à me quitter, à mesure que je comprenais ce
qui se passait. Mon voisin avait manifestement l'intention d'offrir à Charlotte un
plan à trois ! La situation dégénérait, je ne contrôlais plus rien ! Je finis par
apercevoir l'ami de Baakari quand il vint s'installer dans le canapé. Encore un
monstre ! C'était un métis, un tout petit peu plus petit que mon voisin, mais encore
plus costaud ! Ses épaules carrées lui donnaient l'air d'une armoire à glace. Lui
aussi avait le crâne rasé, et il me sembla, avant qu'il s'assoie et me tourne le dos,
apercevoir des grands yeux verts qui auraient fait craquer n'importe quelle femme...
Ils ressemblaient à deux joueurs de basket, grands et musclés, qui attendaient en
riant une groupie pour un plan cul. Les deux salauds se racontaient des anecdotes
sexuelles en buvant des bières que Baakari venait de sortir du frigo. Je n'eus pas le
temps de me remettre de mes émotions, car la sonnette retentit à nouveau. Cette fois,
je savais qui attendait derrière la porte...
- Regardez qui voilà ! Entre, ma belle, ça me fait plaisir que tu sois venue !
J'entendis un petit rire et des bruits de talons. Je ne pouvais pas encore
apercevoir la femme en question, mais j'avais déjà reconnu le timbre de Charlotte...
- Waoh ! s'exclama Baakari, tu es magnifique ! Tu travailles vraiment dans cette
tenue ?
- Hihi, merci... Mais non, non, comme tu m'as dit que Jean était absent, je suis
passée en vitesse me changer ! J'espère que ça te...
Charlotte interrompit sa phrase lorsqu'elle aperçut l'ami de Baakari, toujours
assis sur le canapé. Visiblement, cette présence l'étonna grandement, et elle parut
tout de suite très gênée. Comme elle s'était avancée dans l'appartement, je pouvais
enfin l'observer. « Petite salope ! » pensai-je en mon for intérieur. Charlotte était
en effet passée se changer à l'appart', et avait enfilé sa robe-bustier la plus courte
et la plus sexy. Elle était rouge et offrait une vue plongeante sur son imposante
poitrine. En plus de cela, elle avait mis une paire de talons de 10cm : l'ensemble la
rendait incroyablement désirable, mais aussi incroyablement vulgaire...
- Tu... tu ne m'avais pas dit que tu avais de la visite... repris timidement
Charlotte, en fixant le beau métis du regard.
Elle commençait à rougir, et mit ses bras le long du corps pour tenter de
cacher le fait que sa robe était excessivement courte.
- Ne t'en fais pas, Charlotte, répondit Baakari. C'est un ami de longue date à qui je
voulais te présenter ! Voici Denis, il est au courant de tout, alors reste naturelle,
tu ne crains rien...
Denis se leva et s'avança vers ma copine pour lui faire la bise. Elle semblait
minuscule et très fragile à côté de ce monstre, qui fit exprès de se coller à elle et
de lui passer la main dans le dos.
- Enchantée, mademoiselle, déclara mielleusement Denis. Baakari n'avait pas menti,
vous êtes superbe !
- Mer... Merci... Mais vous n'êtes pas mal non plus, répliqua Charlotte, qui semblait
aussi troublée qu'intéressée par cette nouvelle rencontre.
- Alors ! les interrompit Baakari, tu as pu quitter le travail en pleine matinée ?
Comment as-tu fait ?
- Eh bien... J'ai... J'ai dit que Jean avait eu un accident... Et que je devais le
rejoindre au plus vite aux Urgences... Ils m'ont laissée filer sans faire
d'histoires !
Autant dire que cette phrase termina de m'achever. Elle était manifestement
prête à tout pour me faire cocu ! Cette perversité, que je ne soupçonnais pas chez
Charlotte jusque là, parvint tout de même à raviver une forme d'excitation en moi.
- Ha ha ! Tu es une vraie coquine, toi ! lui lança notre voisin. Te servir de ton
copain comme alibi pour mieux te jeter dans la gueule du loup... Je n'en reviens pas !
- Je n'y peux rien, j'ai toujours été attirée par les loups ! répondit ma copine, avec
un air aguicheur qui ne laissa aucun des deux bougres indifférents.
- Hmmm... On va passer un très bon moment, je le sens ! Et comme tu vois, je t'ai fait
une petite surprise, annonça Baakari en se tournant vers Denis. Tu auras deux mâles
pour le prix d'un ! Installe-toi dans le canapé, on va commencer par boire un petit
coup...
Je vis notre voisin passer sa main autour de la taille de ma copine, et
l'inviter à prendre place dans le sofa. Elle s'assit au milieu, bientôt entourée par
Denis et Baakari, qui avait pris soin de sortir des verres et une bouteille de whisky.
- Du whisky ! s'exclama Charlotte. Vous êtes fous, ça me fait perdre tous mes moyens !
- C'est bien le but, ma belle, ironisa Denis.
Ils éclatèrent tous les trois de rire en trinquant pour une première tournée.
Les deux pervers étaient totalement à l'aise, ils passaient leur temps à complimenter
ma copine sur sa tenue et sa beauté, et à plaisanter sur « le pauvre Jean » qui
faisait naïvement ses courses pendant qu'eux s'amusaient. Charlotte était visiblement
aux anges, elle riait énormément et devenait de plus en plus réceptive aux allusions
grossières de ses prétendants. Il se servirent plusieurs verres, et bientôt ma chérie
fut complètement saoule.
De mon côté, je ne perdais pas une miette de ce spectacle humiliant. Je voyais
tout : les mouvements de plus en plus indécents de Denis et Baakari, qui maintenant
n'hésitaient plus à passer leurs mains sur le cou, les hanches et les cuisses de ma
copine, et en retour les provocations de plus en plus marquées de Charlotte, qui
ondulait son corps et allait parfois au-devant des caresses de ses prétendants. Cela
faisait déjà une heure qu'ils passaient du bon temps, et que j'étais scotché contre la
porte de la chambre d'amis. Mon sexe était complètement en érection, j'attendais
maintenant que ma copine se donne entièrement à ces beaux gosses. J'avais compris
depuis longtemps qu'elle ne m'appartenait plus.
Baakari finit par pousser du pied la table basse du salon, pour faire place
nette sur le tapis. Il se tourna ensuite vers sa proie.
- Et si tu nous faisais un petit strip-tease, Charlotte ? Si tu veux qu'on s'occupe de
toi, il va falloir y mettre du tien pour nous exciter ! Il est temps de passer aux
choses sérieuses !
Charlotte pouffa et se redressa aussitôt. Elle dirigea lentement son visage
vers celui de Baakari, et échangea avec lui un baiser langoureux. Puis, elle se
rapprocha de Denis, qui accepta le même traitement. Elle passa ses mains sous leurs t-
shirts pour caresser leurs tablettes de chocolat.
- O.K. les mecs, je vais vous montrer...
La petite cochonne entreprit de se lever, non sans mal puisque l'alcool la
faisait tituber. Elle se tint droite sur le tapis du salon, en face de Denis et
Baakari qui étaient toujours affalés dans le canapé. Sa nouvelle position la plaçait
exactement en face de moi, je me retirai donc précipitamment de mon emplacement par
peur qu'elle m'aperçoive. Tiraillé par la curiosité, je revins toutefois quelques
secondes après vers l'entrebâillement de la porte, en glissant prudemment un œil vers
le salon. En réalité, il n'y avait aucun risque que Charlotte me voit, car elle était
trop saoule et trop absorbée par la tâche qui l'occupait actuellement : tenter
d'exciter au maximum Denis et Baakari. Elle était terriblement sexy. Ma copine était
en train d'onduler sur place, en se caressant d'une main les cheveux, de l'autre la
poitrine, qu'elle avait libérée en faisant tomber sa robe à sa taille. Elle avait déjà
abandonné ses talons. Elle jouait avec ses seins et passait régulièrement sa langue
sur ses tétons. Parfois, prise d'un frisson, elle laissait tomber sa tête en arrière,
comme transportée par le plaisir et la concupiscence. Je ne l'avais jamais vu comme
ça : Charlotte était entrée dans une transe sexuelle qui la métamorphosait ! Soudain,
elle lâcha ses cheveux et tourna le dos au canapé. Elle se pencha en avant et fit
glisser la robe rouge jusqu'à ses pieds. Elle offrait maintenant à l'assistance la
vision de son petit cul rebondi, traversé au centre par un minuscule string noir. Lui
aussi glissa rapidement jusqu'à terre. De sa main droite, elle se donna une fessée
énergique, écarta une de ses fesses pour laisser entrevoir son anus et, plus bas, ses
lèvres luisantes de mouille. De la main gauche, ma copine entreprit de flatter
langoureusement son clitoris. Ce petit jeu dura plusieurs minutes. Bruyants quelques
instants plus tôt, Denis et Baakari étaient maintenant silencieux, absorbés par ce
spectacle électrisant. D'où j'étais, je pouvais constater que des bosses
impressionnantes s'étaient formées à l'entrejambe des deux lascars, qui se
masturbaient déjà à travers leur pantalon.
Charlotte se redressa finalement et se retourna, pour retrouver sa position
initiale. Elle était désormais complètement nue. Sa main droite retrouva rapidement le
chemin de son vagin, dans lequel elle pénétra deux doigts. Elle fixait Baakari du
regard : l'alcool lui avait visiblement redonné toute son assurance !
- J'ai rarement vu une femme aussi chaude ! lança Denis à son voisin, tu es sûr que
c'est la première fois qu'elle fait cocu son copain ?
- En tout cas, c'est ce qu'elle m'a dit, répondit Baakari. Mais c'est vrai qu'elle est
encore plus chaude que les salopes qu'on ramasse en boîte le week-end...
Charlotte ne semblait pas offensée par ces réflexions grivoises. Au contraire,
elle se mit à quatre pattes, se cambra au maximum et se rapprocha du canapé. Elle posa
ses mains sur les paquets de Denis et Baakari, qui tressaillirent d'excitation. Elle
malaxa tendrement les deux verges à travers le tissu.
- J'ai menti ! annonça-t-elle, avec un brin de fierté dans la voix. Je t'ai écrit ça
au moment où Jean passait dans le salon, j'ai eu peur qu'il y jette un coup d'œil ! Il
ne m'excitait déjà pas beaucoup, mais depuis qu'il a perdu son boulot, j'ai perdu tout
désir pour lui ! Cela fait un mois que je me tape mon patron dans la réserve du
magasin... C'est bon de se sentir femme après autant de temps !
Les deux compères éclatèrent de rire. Une nouvelle fois, je faillis
m'effondrer. Cette journée était décidément riche en révélations ! Charlotte venait
d'avouer qu'elle me trompait avec Greg, son supérieur de 35 ans que j'avais récemment
rencontré. C'est vrai qu'il était plus beau gosse, avec sa barbe de trois jours et son
teint halé, mais j'étais loin d'imaginer qu'il se tapait ma copine ! Je pensais à
Baakari, qui me savait caché dans la chambre d'amis. Il devait bien se marrer au fond
de lui ! Je me dis que cette matinée allait rester gravée dans ma mémoire toute ma
vie. Je passais par tous les stades émotionnels possibles : de la colère à la
soumission, de la jalousie à l'excitation... Et quelle frustration de voir Charlotte
succomber de tout son être à l'appel du plaisir, alors qu'elle ne s'était jamais
lâchée à ce point avec moi ! Je tremblais de froid, de tristesse et de nervosité
sexuelle dans cette petite chambre, alors que ma copine s'apprêtait à s'offrir à deux
autres hommes, à quelques mètres de là...
Le canapé tournait le dos à ma cachette, je ne pouvais donc pas distinguer
l'intégralité des corps de Baakari et de Denis. Je les vis toutefois s'agiter, et
chacun libéra de son pantalon de survêtement un sexe déjà dressé vers le ciel. J'avais
eu l'occasion de faire connaissance avec celui de Baakari en début de matinée, et je
constatai qu'il semblait de nouveau prêt à un rapport sexuel. Par contre, je
découvrais pour la première fois la verge de Denis. Elle aussi était surdimensionnée !
Couleur café, elle devait bien mesurer 20-22 cm, et elle était aussi large que celle
de Baakari. C'était deux matraques qui se présentaient à quelques centimètres du
visage de Charlotte. Celle-ci ne resta pas indifférente et sembla totalement scotchée
par le spectacle qui s'offrait à elle. Baakari eut un rire satisfait et attrapa ma
copine par les cheveux, pour la rapprocher encore un peu plus des deux sucettes.
- Alors, ma coquine, nos jouets te plaisent ? lui demanda-t-il en maintenant fermement
son emprise sur la crinière blonde.
- Waaooh ! Putain ! Je n'en ai jamais vu d'aussi grosses ! s'écria Charlotte. Même
celle de mon patron, qui me ramone super bien, paraît minuscule à côté des vôtres !
Ma copine salivait d'envie devant les mandrins de Denis et Baakari. Elle ne
résista pas longtemps à l'envie d'y toucher, et les agrippa énergiquement en les
fixant du regard : elle semblait littéralement émerveillée par cette vision. Dans la
main droite Baakari, dans la main gauche Denis. Tous deux soupirèrent de plaisir
lorsqu'ils sentirent l'étreinte des petites mains habiles de leur nouvelle traînée.
- Aaaaah ! C'est toujours aussi bon ! lâcha Denis. Vas-y Charlotte, branle-nous et
suce-nous comme une affamée, ta chatte et ton cul n'en seront que mieux récompensés !
Autant dire que la petite salope obéit à la lettre aux ordres de ses amants. A
quatre pattes, les fesses mises en évidence par sa cambrure excessive, Charlotte
entreprit d'offrir aux deux bites la fellation de leur vie ! Elle léchait les tiges,
suçait les glands, gobait les testicules comme si son existence en dépendait. Elle
passait d'une verge à l'autre en laissant s'échapper des filets de salive, qui
finissaient par goutter sur son menton, ses seins et le tapis du salon. Comme son
voisin, Denis avait fini par agripper une touffe de cheveux blonds, ma copine était
donc dirigée dans ses mouvements par ses deux amants, qui seuls décidaient du rythme
de la pipe et de l'alternance entre les deux chibres. De longues minutes furent
consacrées à la lubrification de ces engins sexuels. On n'entendait plus que les
gémissements lubriques de Charlotte et la forte respiration de Denis et Baakari,
parfois interrompue par des remarques salaces. « Ooh ouais ! », « Ha ha ! Mais quelle
salope ! », « T'es vraiment une affamée, toi ! »... De mon côté, je n'avais pas pu
résister à l'envie de me masturber. J'avais fait tomber mon caleçon à mes pieds, et je
me donnais du plaisir en observant ma copine en donner à ces deux veinards.
Malheureusement, l'excitation était trop forte et je jouis à mes pieds en quelques
minutes à peine.
- Je crois qu'il est temps de passer aux choses sérieuses ! déclara finalement Baakari
en se relevant. On va te rendre la monnaie de ta pièce...
Notre voisin ramena la table basse au centre du tapis et força sa proie à se
relever, la tenant toujours par la chevelure. Il installa sur la table quelques
coussins pris sur le canapé.
- Allonge toi sur le dos ! lui ordonna-t-il.
Charlotte obéit et se mit en position. La table basse ne mesurait qu'1m20 de
longueur environ, ce qui était trop court pour que ma copine y repose complètement.
Elle se retrouva finalement avec le bas des jambes et la tête qui dépassaient des deux
côtés. Son visage partait complètement en arrière. Baakari lui maintint des deux mains
et vint se positionner devant lui à genoux, ce qui plaçait son sexe exactement en face
de la bouche de ma copine. Les yeux de Charlotte étaient au niveau des couilles du
beau black, et ses cheveux tombaient jusqu'au sol. Il n'attendit pas pour enfoncer sa
verge dans le trou qui s'offrait à lui.
- A toi l'honneur, dit-il à Denis. Je te laisse inaugurer sa chatte !
Denis ne se fit pas prier et sortit du canapé pour venir se positionner de
l'autre côté de la table basse, au niveau des jambes de Charlotte. Il les releva et
installa les pieds de ma belle sur ses épaules musclées, ce qui lui laissa la voie
libre jusqu'aux petites lèvres luisantes d'excitation. Je vis son visage s'enfoncer
vers le vagin qui s'offrait à lui. Ma copine fit elle-même un mouvement de bassin pour
entrer plus rapidement en contact avec la bouche de son amant. Au puissant gémissement
que laissa échapper Charlotte, je compris que Denis avait commencé à lui lécher
l'entrejambe. La scène était merveilleuse et devait satisfaire les deux compères : ma
copine, allongée sur la table basse, suçait Baakari d'un côté et offrait son vagin à
la langue experte de Denis de l'autre. Elle aussi semblait apprécier. La tête en
arrière, elle avait du mal à déglutir devant les assauts de Baakari qui lui baisait
littéralement la bouche (j'avais subi le même traitement un peu plus tôt), et
relâchait énormément de salive sur le sexe et les testicules d'ébène. Les caresses
buccales de Denis lui faisaient frétiller le bassin : elle enserrait et étreignait de
ses jambes le visage qui lui visitait la zone intime, comme pour l'obliger à la lécher
avec toujours plus d'ardeur. Evidemment, elle gémissait abondamment et manifestait son
plaisir à chaque instant.
Charlotte finit par se libérer du sexe de Baakari et s'adressa à Denis d'un
ton à la fois autoritaire et supplicateur.
- Allez, range ta langue et remplace-la par ta bite ! Je te veux en moi, vite ! J'en
ai trop envie !
Baakari éclata de rire en entendant ces mots. Il tapota sa verge sur le visage
de ma copine, qui répondit en embrassant le gland dès qu'il passait à portée de ses
lèvres.
- Eh bien, lui dit-il, on peut dire que tu sais comment exciter un homme ! Quand il
s'agit de baise, on dirait que tu oublies complètement ton copain, n'est-ce pas ?
- Arrête de me parler de lui ! rétorqua-t-elle. C'est de vrais mecs comme vous, avec
des longues sucettes au chocolat dont j'ai envie ! Je veux les sentir en m...
Haaaaaaan !
Charlotte interrompit sa phrase au moment où Denis, qui avait bien reçu le
message, pénétrait de son large priape le vagin de sa femelle. Il entra en elle d'un
coup, sans précautions et surtout sans préservatif, largement aidé par la quantité de
mouille impressionnante qu'elle avait déversée. Ma copine fut immédiatement prise d'un
frisson qui lui parcourut tout le corps, et se remit à gémir de plus belle.
- Han ! Han ! Nous les salopes, on les baise sans capote pour qu'elles nous sentent
bien en elles ! Ca te plaît, petite cochonne ?
En prononçant ces mots, Denis imprimait déjà un rythme impressionnant à ses
coups de butoir. Il ôta la chemisette qu'il portait, libérant un corps puissant déjà
luisant de sueur. Son physique et son assurance, comme pour Baakari, me faisaient
penser aux acteurs des films pornographiques. Et ma copine était entre leurs mains !
Elle entoura la taille de Denis avec ses jambes et avança une de ses mains pour
caresser les tablettes de chocolat de son amant. La tête redressée et crispée par
l'excitation, elle criait maintenant sa jouissance, comme possédée par le plaisir.
- Ooooh ! Oui ! Oui ! Greg aussi me baise sans capote, je te sens mieux... comme ça !
Vas-y ! OUIII !
J'avais dû attendre deux ans avant d'avoir droit au sexe sans préservatif, et
cette petite salope s'offrait tous les jours à Greg sans précaution, alors qu'elle le
connaissait à peine ! Je savais qu'il lui arrivait régulièrement d'oublier sa pilule :
si ça se trouve, elle allait se faire enfanter par un de ses amants !
Après quelques minutes que je n'aurais pas su compter, puisque je commençais à
perdre toute notion du temps, les trois amants changèrent de position. Charlotte se
releva et se mit à quatre pattes sur la table basse, offrant cette fois-ci ses fesses
et son vagin à Baakari. Elle caressa tendrement le torse de Denis, qui venait de lui
offrir un plaisir intense, et les deux amoureux s'embrassèrent langoureusement pendant
de longues secondes. Ce geste sensuel me fit très mal au cœur, car on aurait dit
qu'ils formaient un couple, au-delà de la dimension sexuelle de leur relation.
Surtout, comme j'avais joui très rapidement pendant la fellation de ma copine,
l'excitation s'était peu à peu estompée et je redevenais jaloux. Charlotte se détacha
finalement de Denis et tourna la tête vers Baakari, la provocation sexuelle dans le
regard.
- Alors, qu'est-ce que tu attends, beau gosse ? Tu me la mets, ta matraque ?
Elle colla elle-même son cul à la verge de notre voisin et le bougea d'une
manière terriblement sensuelle, de telle sorte qu'elle masturbait l'imposant mandrin,
coincé entre les deux fesses. Dans le même temps, elle avait repris une fellation sur
le sexe de Denis, qui grognait de plaisir. Baakari agrippa des deux mains la taille de
Charlotte et s'enfonça profondément dans son antre. Une nouvelle série de gémissements
et de jouissances s'ensuivit.
- Tu l'aimes, ma queue ? demandait Baakari. C'est autre chose que la petite bite de
Jean, hein ?
- Ooooh oui ! criait ma copine. Ce sont vos bites que je préfère ! Baisez-moi... la
bouche et la chatte ! Je veux votre sperme partout en moi, lâchez-vous dans mes trous
quand vous aurez bien pris votre pied !
C'était terrible à entendre et incroyablement excitant à voir. Charlotte avait
le cul en l'air, les jambes écartées au maximum pour laisser Baakari aller et venir
dans son vagin. Ses pieds étaient pointés vers le ciel, je les voyais tressaillir à
chaque coup de butoir de son amant. Les fessées répétées du beau noir donnaient des
frissons chaque fois plus puissants à ma copine, qui n'était plus qu'une chatte sur
pattes, ne vivant que pour les deux belles verges qui se présentaient à elle.
Il est clair que Denis et Baakari étaient de véritables athlètes du sexe,
j'aurais été incapable de faire l'amour aussi longtemps et aussi franchement. Mais ma
copine, qui délirait de plus en plus et se montrait à chaque coup de bite un peu plus
lubrique et provocatrice, eut finalement raison de leur endurance. Dans un râle de
plaisir, Denis se déversa le premier dans la bouche et sur le visage de Charlotte.
Elle le remercia en lui nettoyant tendrement le gland, avec lequel elle continua de
jouer pendant que Baakari poursuivait sa performance. Ce-dernier, quelques minutes
après, annonça à l'assistance qu'il allait également jouir.
- Tu veux sentir mon foutre en toi, petite salope ? Demanda-t-il à ma copine.
- Ouui ! répondit-elle sans hésiter. Déverse-toi en moi, possède-moi ! Engrosse ta
petite pute ! Ma chatte t'appartient, c'est TA chatte !
Ce cri du cœur électrisa encore davantage l'ambiance de l'appartement. Je me
remis à bander, et je vis que le sexe de Denis reprenait aussi du poil de la bête.
Baakari tira Charlotte par les cheveux pour qu'elle se redresse et se colle à lui. Il
entoura sa taille de ses bras et commença à l'embrasser dans le cou. Ma copine,
entièrement conquise, jeta sa tête en arrière et la reposa sur l'épaule du beau black.
Alors qu'il la prenait par derrière, ce-dernier passait ses mains épaisses et noires
sur le corps de Charlotte. Il lui caressait les seins, le ventre, le clitoris. Le
spectacle était insensé tant il était bandant. Ma copine hurlait son plaisir, elle
suppliait cette bête de sexe qui la besognait de se vider en elle.
- Haaaaan ! Haaaaan !... Vide-toi !... Engrosse-moi !... Prends-moi toute entière !
- Je vieeeens ! cria Baakari. Aaaaaaahhhhh !
Dans un ultime soubresaut, notre voisin se vida intégralement dans le vagin de
Charlotte. Celle-ci eut l'orgasme le plus violent qu'il m'ait été donné de voir
jusqu'à ce jour. Puis elle resta là, tremblante de plaisir, le dos collé au torse
musclé de Baakari. La sueur coulait sur leurs corps fourbus et satisfaits. Baakari
relâcha finalement le bras qui maintenait ma copine contre lui et la laissa s'écrouler
sur les coussins. Elle était manifestement épuisée.
- Quelle baise ! s'écria Denis. Tu t'es pas foutu de moi, mec !
Il s'approcha de Baakari et lui tapa dans la main. Ils eurent deux ou trois
réflexions grivoises que je ne compris pas bien (sûrement des délires entre amis),
puis ramassèrent les vêtements éparpillés un peu partout pour se rhabiller. Charlotte
se caressait doucement les seins et souriait en observant ses deux mâles dominants.
Notre voisin ramassa la robe rouge tombée près du canapé et lui tendit.
- Rhabille-toi, petite coquine ! C'est fini pour aujourd'hui ! J'avais prévu de
dépuceler ton petit cul, mais ce sera pour la prochaine fois !
Ma copine se releva et entreprit de remettre sa robe. Manifestement l'alcool
faisait toujours son effet, car elle mit un moment pour y parvenir. Puis elle vint se
coller à Baakari et lui embrassa langoureusement le torse, encore dénudé.
- La prochaine fois ? Ce sera très vite, j'espère ! s'inquiéta-t-elle. Vous venez de
m'offrir la baise de ma vie ! Sérieusement, je ne vais pas tenir longtemps avant de
vouloir recommencer ! Mais Jean est chômeur, c'est compliqué, il est toujours là !
- Ne t'inquiète pas, je vais arranger ça, la rassura Baakari. En attendant, dépêche-
toi de retourner au boulot, tu es sûrement attendue ! On reste en contact par
textos...
- Ah oui ! J'avais oublié le travail, le temps est passé si vite avec vous !... Je
passe à l'appartement prendre une douche et j'y retourne !
Charlotte retrouva ses talons sous la table basse, les enfila et embrassa
Denis et Baakari avant de se retirer. Notre voisin lui mit une petite claque sur les
fesses avant de lui ouvrir la porte.
- Essaye de tenir jusqu'à nos retrouvailles, Jean ne doit pas se douter de ton petit
manège...
- Ne t'inquiète pas, ce mec est vraiment con, il est super naïf ! Je vais me faire
sauter par Greg avant de rentrer ce soir, ça me fera du bien ! Mais à côté de vos
bites, je ne sais pas si je sentirai grand-chose...
Les trois amants éclatèrent de rire comme un seul homme. Charlotte remercia
une nouvelle fois les deux compères pour « cette baise inoubliable » et sortit de
l'appartement. Denis et Baakari se retrouvèrent seuls, le plaisir que leur avait
procuré ma copine encore en tête.

- C'était tout bonnement incroyable ! s'exclama Denis. Je crois que je n'ai jamais
baisé une femme aussi affamée de bite ! Son copain doit vraiment être un gros naze !
- Tu ne crois pas si bien dire, ironisa Baakari en regardant vers ma cachette.
- Par contre, j'aurais pu la baiser une deuxième fois ! Elle m'a trop excité quand
elle t'a demandé de te vider dans sa chatte !
- Si tu as encore envie de baiser, on peut peut-être s'arranger, proposa mon voisin.
J'ai un autre plan cul tout prêt d'ici...
- Sérieux ? Ben écoute, carrément ! Je n'ai rien de prévu cet après-midi, alors ce
serait avec plaisir ! Quelle journée !
- Très bien, déclara Baakari. Mais crois-moi, tu n'es pas au bout de tes surprises...
C'est ainsi qu'ayant assisté, impuissant et complice, au dévergondage de ma
copine Charlotte par un beau black et un métis tout aussi séduisant, j'eus le
sentiment que cette histoire était loin d'être terminée. Déboussolé, apeuré et troublé
d'avoir assisté à un tel déchaînement de plaisir, je me retirai de l'entrebâillement
de la porte et m'assis sur le lit de la chambre, redoutant et désirant tout à la fois
la suite de mes nouvelles aventures sexuelles...

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Texte coquin : Ce beau voisin qui fit exploser notre couple (2)
Histoire sexe : Une rose rouge
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