Ma copine baisée sous mes yeux par mon meilleur ami Victor et son père Hervé ! (2)

- Par l'auteur HDS Histiée -
Récit érotique écrit par Histiée [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma copine baisée sous mes yeux par mon meilleur ami Victor et son père Hervé ! (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-12-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ma copine baisée sous mes yeux par mon meilleur ami Victor et son père Hervé ! (2)
Cette histoire, bien qu'un peu romancée, est tirée de faits réels.

Depuis la salle de bain, j'entendis un cri de surprise. J'attendis quelques
secondes, puis me précipitai dans le couloir pour reprendre ma place de voyeur, caché
derrière la porte entrouverte. C'était effectivement Victor qui venait de rejoindre
Hervé et ma copine Hélène ! Il se tenait debout près du lit, les bras ballants et
l'air abasourdi. Sur la couette était étendue ma copine, allongée sur le ventre et
complètement nue. Ses jambes étaient pliées vers l'arrière, de telle sorte que ses
pieds pointaient vers le ciel. Elle regardait mon ami Victor avec un petit sourire,
mêlé de gêne et de malice. Derrière elle, Hervé était à genoux, tenant sa bite à
moitié molle d'une main, caressant les jolies fesses d'Hélène de l'autre. Son fils
était en train de l'observer, nu aux côtés d'une petite bombe qui aurait pu être sa
fille, et pourtant il gardait cet air fier et arrogant que je lui avais toujours
connu. C'était définitivement un homme étrange !
- Mais... mais.... balbutia Victor. Qu'est-ce que... qu'est-ce que vous avez fait ?!
Hervé et Hélène eurent un sourire complice, amusés par la naïveté de Victor.
- Ce que nous avons fait ? ironisa son père. Je pensais que même pour un gamin sans
expérience comme toi, cela tombait sous le sens... Je viens de baiser la copine de
Nico !
- Non ! rétorqua Victor. Ce n'est pas possible ! Sérieusement, je n'y crois pas ! Je
dois rêver, je...
Victor semblait réellement offusqué par les paroles de son père. Cela me
rassura, je me dis qu'il n'était pas mon meilleur ami pour rien.
- Réveille-toi, fils ! lui lança sèchement Hervé. Tu vois bien que c'est la réalité !
Nicolas ne la baise pas, elle était en manque, j'étais là... Tu imagines la suite !
- Tout ça est complètement fou ! s'énerva Victor. Nico m'a dit qu'ils faisaient
l'amour tout le temps ! Hélène, réponds-moi, qu'est-ce que c'est que ces conneries ?
Ma copine était belle comme une sirène dans cette position. Elle en avait
forcément conscience, et j'étais persuadé qu'elle calculait chacun de ses mouvements
pour exciter les deux hommes présents dans la pièce. Les caresses d'Hervé la faisaient
frissonner de plaisir. Comme il passait sa main entre ses deux jolies fesses, elle
sursauta légèrement et ondoya de la croupe, puis fit un sourire magnifique à mon ami.
J'aurais tout donné pour avoir droit à ce genre de sourire de sa part...
- Victor, ton père te dit la vérité, lui répondit-elle. Par contre, Nicolas t'a
menti, nous n'avons jamais couché ensemble. D'une certaine façon, on peut dire
qu'Hervé m'a rendu service, puisqu'il m'a donné ce que j'attendais depuis des
semaines ! C'était une baise merveilleuse !
Le vilain mensonge qui m'avait permis de passer pour un dieu auprès de tous
mes camarades de lycée venait de tomber ! Mais pour le moment, c'était loin d'être mon
principal souci ! Je me rendais peu à peu compte de l'écart qui existait entre Hélène
et moi. Je n'avais d'yeux que pour elle et son corps magnifique, et j'appelais chaque
jour de mes vœux notre première relation sexuelle. De son côté, elle avait
manifestement bien moins d'attirance pour moi, puisqu'elle m'avait toujours caché son
amour du sexe. Heureusement, Victor ne semblait pas succomber à l'appel du désir, bien
que je vis à plusieurs reprises son regard loucher sur les formes délicieuses de ma
copine. Toujours aussi troublé, il se pencha pour ramasser la petite culotte d'Hélène
et lui lança au visage.
- Rhabille-toi ! ordonna-t-il. On a encore une chance que Nicolas ne se rende compte
de rien ! Encore heureux qu'il ait bu comme un trou hier soir !
Je crus un instant que notre amitié avait triomphé du sexe. Mais ni Hervé ni
Hélène ne l'entendaient de cette oreille, et la petite salope lui adressa ces quelques
mots d'un ton provocateur :
- Si c'est vraiment ce que tu veux, il faudra me l'enfiler toi-même... Tu sais, ton
père ne m'a pas complètement rassasiée, j'ai encore de la place pour toi...
Ces paroles figèrent Victor sur place. C'est à ce moment précis que son esprit
bascula. Ce qui n'était jusque là qu'un fantasme interdit et refoulé au plus profond
de son être devenait soudainement réalité : une jeune fille dénudée et désirable
l'invitait à lui faire l'amour. C'était la copine de son meilleur ami, mais quelle
importance ? Après tout, il n'était pas capable de la satisfaire, ni même de la
pénétrer, ce n'était donc pas vraiment de l'adultère. Eh puis quoi, ils n'avaient que
17 ans, et n'étaient pas mariés ! Au contraire, la situation ajoutait du piment à la
proposition, ce qui excitait énormément Victor. Je remarquai d'ailleurs qu'une bosse
imposante s'était formée au niveau de son entrejambe. Elle trahissait son abandon :
mon meilleur ami avait envie de baiser ma copine ! Le visage et la position d'Hélène,
qui s'était redressée pour se mettre à genoux, prouvaient qu'elle aussi était bien
décidée à me tromper une deuxième fois. Légèrement cambrée, elle présentait fièrement
ses jolis seins, dont les tétons pointaient furieusement vers l'avant. Je pense que
l'idée de se taper mon meilleur ami lui donnait également un regain d'excitation. Tout
en eux trahissait l'envie irrésistible de me trahir, de me tromper en sombrant dans la
débauche et le plaisir ! Je recevais cette énergie sexuelle jusque dans le couloir, et
me sentais bien incapable d'y mettre un terme : j'étais condamné à observer la pièce
jusqu'à la fin.
- Je... c'est-à-dire que... mais...
Les paroles de Victor étaient incompréhensibles. Il fixait sans pouvoir s'en
détacher la traînée qui s'offrait à lui sur le lit. L'appel du stupre l'avait amenée à
transgresser l'interdit pour se taper un homme de 42 ans. Il lui fallait maintenant
goûter au fils. Observant la scène avec délectation, Hervé éclata de rire et prit la
parole.
- Eh bien, Victor, je crois que tu commences à comprendre ! Je t'ai fait monter pour
t'offrir la petite Hélène. Malgré son âge, c'est déjà une vraie salope, et je suis sûr
qu'elle te fera passer un moment inoubliable ! Et qui sait, si tu tiens de ton père,
peut-être lui donneras-tu également du plaisir...
Le vieux pervers termina sa phrase en donnant une petite claque sur les fesses
de ma copine, ce qui la fit tressaillir et pouffer de rire. Visiblement décidée à
passer aux choses sérieuses, Hélène se rapprocha jusqu'au bord du lit, toujours à
genoux. Elle se trouvait maintenant à quelques centimètres de Victor, qui n'avait pas
bougé depuis tout à l'heure. Sans aucune gêne, elle passa ses mains sous le t-shirt de
mon ami, et commença à lui caresser le torse. Dans cette position, ses fesses
rebondies ressortaient comme jamais. Le regard d'Hervé fut d'ailleurs rapidement
attiré par ces deux petites pêches, rondes et irrésistibles.
- Hmmmmm, soupira Hélène d'un air satisfait. Ça, c'est un corps d'homme ! Et ces
épaules ! Tu sais, il m'est arrivée plusieurs fois de me toucher en pensant à toi,
depuis qu'on se connaît... J'ai souvent rêvé de ce moment !
Ma copine invita Victor à retirer son t-shirt, ce qu'il fit sans aucune
hésitation. Elle découvrit alors un buste que j'aurais rêvé posséder ! Les pectoraux
et les tablettes de chocolat étaient bien dessinés, sans que cela soit exagéré. La
peau mate de mon ami lui donnait encore plus de charme. Il était vraiment comme son
père, un homme fait pour combler les femmes ! Hélène était manifestement ravie de ce
spectacle, et passait tendrement ses mains sur chacun des muscles qu'elle découvrait.
Aux anges, Victor respirait bruyamment et regardait la jeune fille qui s'offrait à lui
dans les yeux. Il positionna ses mains sur les hanches de ma copine, et d'un geste
autoritaire la colla contre lui. Surprise autant que comblée par cette initiative
virile, Hélène passa ses bras dans le dos musclé de son nouveau copain, et l'embrassa.
Leur baiser fut long et passionné, et Victor le prolongea en passant ses lèvres dans
le cou d'Hélène. Tête en arrière, le plaisir se lisait déjà sur le visage de la petite
cochonne.
Heureux de voir son fils dans de pareilles dispositions, Hervé avait fini par
quitter le lit pour s'installer sur un petit fauteuil, placé dans un coin de la
chambre. Toujours aussi nu, il se caressait la verge en observant celle qu'il venait
de dévergonder s'offrir à un nouveau partenaire. Il n'avait pas fallu longtemps à
Victor pour qu'il se sente à l'aise. Sa façon de caresser et d'embrasser ma copine
était incroyablement virile, et cela comblait Hélène qui s'abandonnait totalement
entre ces mains déjà expertes. Elle ondulait, ondoyait, frottait son ventre et ses
seins contre le corps musclé de son nouveau jouet sexuel. Régulièrement, mon meilleur
ami oubliait les lèvres rouges d'Hélène pour venir laper ses adorables tétons, ce qui
donnait à la petite salope des frissons de plaisir. J'étais pratiquement certain que
je ne me comporterais pas ainsi lors de ma première expérience sexuelle. Les hommes ne
sont pas tous égaux, me disais-je : certains sont, dès la naissance, faits pour donner
du plaisir aux femmes, d'autres pas. Force m'était d'admettre qu'Hervé et Victor
étaient de la race des forts, des Casanova, de ceux qui faisaient frémir de plaisir
celles qui avaient la chance de croiser leur route. Et Victor me donna raison en
s'adressant à ma copine de la sorte :
- Moi aussi, il m'est arrivé de fantasmer sur toi et ton petit cul, Hélène. Et à
chaque fois, tu commençais par me sucer comme une reine... Alors, qu'est-ce que tu
attends ?!
La voix de Victor avait été franche et autoritaire. Ce n'était pas la voix
d'un gamin de 17 ans, c'était la voix d'un homme décidé à guider sa petite femelle
vers le plaisir. A ce moment, le regard que lança Hervé à son fils était rempli de
fierté : Victor savait parler aux femmes !

Electrisée par l'ordre qu'elle venait de recevoir, ma copine fit un bond en
arrière pour se retrouver à quatre pattes sur le lit. Elle se cambra au maximum et
approcha sa tête de l'entrejambe de Victor, qui était toujours debout et torse nu. Il
me semblait qu'elle mettait tout en œuvre pour apparaître la plus obscène et la plus
lubrique possible. Ondulant son bassin avec vigueur, relevant son bras pour continuer
à caresser les abdominaux bronzés qui la surplombaient, elle goba avec envie le sexe
de Victor à travers son jean. Je vis de la bave couler en abondance le long du
pantalon. Malgré le tissu qui la séparait encore de l'objet de son désir, c'est une
fellation de véritable salope qu'entreprit alors Hélène. Elle suçait, embrassait,
lapait comme une affamée la bosse qui grossissait de plus en plus. Envoûté par le
petit cul qui bougeait sous ses yeux, Victor s'était légèrement penché pour lui donner
de puissantes fessées. Chaque claque arrachait à Hélène un cri aigu de satisfaction.
- Allez ! annonça soudain ma copine, reposant sa mâchoire quelques instants. Il faut
que je la libère, on a trop de choses à se dire, toutes les deux !
Elle parlait bien sûr de la bite de Victor. En véritable experte, elle défit
en quelques secondes la ceinture et la braguette qui lui barraient le passage, puis
fit tomber le jean de mon pote jusqu'à ses chevilles. Sans attendre et comme si sa vie
en dépendait, elle arracha le caleçon de Victor et libéra la verge qu'elle avait tant
convoitée.
Ce fut un choc pour tous les observateurs. Hélène resta bouche bée. Hervé eut
un léger sursaut et pouffa de rire. Moi-même, je fus scotché par la vision de l'objet
qui se présentait au visage de ma copine. Le sexe de Victor était tout simplement
énorme. Celui d'Hervé m'avait certes impressionné, mais ce n'était qu'un cure-dent au
regard de la bite que j'avais maintenant sous les yeux. Elle avait bien sûr ce teint
halé qui faisait le charme de Victor. Je pense qu'elle mesurait au moins 22 cm, mais
c'était surtout son épaisseur, que j'estimais à 8 cm, qui la rendait impressionnante.
Déjà décalotté, le gland turgescent, qui reposait au sommet d'un tronc interminable,
suintait légèrement. En mon for intérieur, je pensai qu'il devait y avoir des
Africains parmi les ancêtres de mon ami, qui n'avait manifestement aucun défaut
physique...
- Eh bien, mon salaud ! s'exclama le père de Victor. J'étais loin de me douter que tu
cachais un tel engin...
Mon meilleur ami était manifestement fier de la stupeur qu'il venait de
provoquer. Mais c'était l'avis d'Hélène qui semblait l'intéresser.
- Alors, demanda-t-il à ma copine, elle te plaît ? J'espère qu'elle sera à ton goût,
tu es la première à y avoir droit...
- C'est... juste incroyable ! s'écria Hélène, qui louchait d'envie sur la bûche
qu'elle avait en face d'elle. Je n'en ai jamais vu d'aussi grosse ! Tu... tu es plein
de surprises, Victor !
- Héhé ! ricana l'intéressé, maintenant certain de l'envie qu'il provoquait chez les
femmes. Je vais donc te remplir comme jamais ! Mais si tu la veux, il va falloir la
lubrifier... Au boulot !
Hélène ne se fit pas prier. Guidée par Victor qui lui agrippa fermement les
cheveux, la salope saisit la sexe immense à sa base et avala avec appétit le gland qui
s'offrait à elle. S'ensuivit une longue et gourmande fellation. La bite de Victor
était bien trop grosse pour la frêle mâchoire de ma copine, qui s'étouffait
régulièrement et devait la recracher pour ne pas vomir. Chaque régurgitation était
pour elle l'occasion de déverser un flot conséquent de salive, qui coulait sur le dard
et les testicules de son amant. Celui-ci poussait des grognements rauques et
maintenait autoritairement le visage de sa femelle. Rien de tout cela ne faisait
baisser la libido d'Hélène, bien au contraire ! A en croire les gémissements qu'elle
poussait, la petite pute semblait de plus en plus excitée par la position dominante
que prenait Victor. Ce beau gosse n'arrangea pas les choses lorsqu'il dirigea sa main
vers le cul de sa traînée. Je le vis écarter habilement les petites fesses de ma
chérie et y glisser deux doigts, pour commencer à lui titiller l'anus, les lèvres et
le clitoris. Cette initiative rendit Hélène complètement folle : ses mouvements de
bassin redoublèrent d'intensité, et seule l'imposante massue qu'elle avait en bouche
l'empêchait d'hurler son excitation. On aurait dit qu'elle était possédée et que plus
rien ne comptait à part son plaisir. Un peu gêné, debout dans mon couloir sombre,
j'eus soudain peur de la suite des événements : si ma copine se comportait déjà de
cette façon au stade des préliminaires, elle allait réveiller toute la maison lorsque
Victor la pénétrerait ! C'est ce moment qu'Hélène choisit pour se libérer de la bite
qui lui baisait la bouche, et supplier son amant de passer la vitesse supérieure.
- Je... ne peux plus attendre ! déclara-t-elle, encore haletante. Je veux ta bite !...
Viens, Victor ! Viens en moi toute de suite !
Il y avait de l'imploration dans la voix de ma copine. Elle s'affala sur le
lit et déplia ses jambes, s'aidant de ses mains pour écarter ses cuisses au maximum.
Elle présentait fièrement son vagin, détrempé par la mouille, à son bel amant et à sa
verge dressée. La scène était terriblement excitante : ma copine s'offrait
littéralement à mon meilleur ami ! Elle était une femelle en chaleur qui ne vivait
plus que pour le désir de se voir remplir et ramoner par son mâle dominant. Chaque
fibre de son corps, déjà ruisselant de sueur, appelait Victor à accomplir sa tâche, à
venir prendre possession du trou que lui offrait cette petite pute. Hélène poussait
des gémissements et lançait des regards de braise à son homme, qui se débarrassa
finalement de ses chaussures, du jean et du caleçon qui étaient restés à ses pieds, et
vint enfin rejoindre ma copine sur le lit. Il s'allongea tendrement sur elle, et les
deux amants recommencèrent à s'embrasser fougueusement. Hélène enroula ses jambes
autour de la taille de Victor et empoigna fermement sa verge, pour mieux la guider
vers l'entrée de son antre. Doucement, je vis l'énorme sexe pénétrer le vagin de ma
copine, dont le visage se crispa pendant quelques instants. 8 cm de diamètre lui
forçaient l'entrejambe et la déformaient totalement. Puis, après quelques secondes de
quasi-immobilisme, Victor et Hélène se détendirent. Les mouvements se firent plus
amples, les baisers et les gémissements reprirent, les mains de ma douce passèrent
dans le dos de son homme pour caresser ses fesses et ses épaules musclées. Mon ami
finit par se redresser légèrement, alors que ses saillies à l'intérieur d'Hélène se
faisaient de plus en plus rapides et assurées. Il surplombait le corps fragile de sa
femme, qui commençait à apprécier le rythme qu'imposait le bel Apollon entre ses
jambes. Elle lui faisait sentir en lui soufflant, entre deux gémissements, des mots
qui décuplaient son excitation. « Ouiii... Han... Plus fort, Victor !... Comme ça !...
Je la sens bien, ta biiiite... »
Les corps des deux amants semblaient parfaitement imbriqués. Ils ondulaient et
frémissaient comme un seul homme, chaque coup de boutoir provoquant un flot de
frissons, de gémissements et de remarques salaces. Après quelques minutes de cette
danse sensuelle, où je vis ma copine faire l'amour, et pas simplement baiser avec
Victor, ce-dernier se retira et demanda à sa femelle de venir s'empaler sur sa queue.
Il s'allongea sur le dos et attendit, le sexe pointé vers le ciel. Ma copine, docile
et prête à tout pour se faire du bien, commença par donner quelques coups de langues
sur le gland qui se présentait à elle, comme pour mieux le lubrifier, puis l'enjamba
pour se placer à califourchon sur Victor. Folle de désir, elle ne prit aucune
précaution et s'empala d'un coup sur la bite, jusqu'à la garde. Un cri puissant
s'échappa de sa bouche, emprunt de jouissance et de soulagement. Comme si ressentir le
chibre de mon meilleur ami en elle, après quelques secondes passées au-dehors, lui
faisait un bien fou. C'était à son tour de surplomber le corps de Victor, qui la
tenait par les hanches pour la faire aller et venir sur sa verge. Les yeux fermés et
la bouche entrouverte, Hélène se laissait une nouvelle fois aller au plaisir. Ses deux
mains étaient posées sur le torse de mon ami, sur lequel elle s'appuyait pour faire
rebondir ses petites fesses autour de la verge qui visitait son antre. Les deux
amoureux échangèrent des mots qui me glacèrent le sang.
- C'est boooon, soupira Hélène. C'est toi... Je le savais, c'est toi que je...
Han !... que je voulais depuis le début...
- Han ! grogna Victor. Moi aussi, je voulais... ta petite chatte, ma belle ! C'est un
mec comme moi qu'il te faut !...
- Ouiiiiii ! C'est clair ! Han... Vas-y ! Baise-moi, mon bébé !
Victor lâcha les hanches de sa femelle et lui saisit les seins, qu'il malaxa
avec vigueur. Hélène, transportée par le plaisir, leva ses bras en l'air et attrapa sa
tignasse de ses deux mains. Son visage était défiguré par le plaisir.
- Je vais te sauter encore et encore ! lui lança rageusement Victor. Et plus je te
baiserai, plus tu seras accro à ma bite !
- Han !... Han !... Je l'aime déjà, ta belle queue, mon chérii ! C'est ta première
fois, et tu me fais déjà plus de bien que ton père ! J'aime ça ! Han !... J'aime les
vrais mecs comme toi !
Je ne rêvais pas : Hélène venait d'appeler Victor « mon bébé », et même « mon
chéri » ! Deux surnoms qui, d'habitude, m'étaient destinés ! Cette baise de ma copine
avec mon meilleur ami était encore plus excitante que celle à laquelle j'avais assisté
un peu plus tôt avec Hervé, mais elle était aussi beaucoup plus dangereuse ! Hervé
était un homme mûr qui avait servi de plan cul à Hélène, je n'avais pas vu de
sentiments dans leur union. Cette fois, les choses étaient différentes, car les deux
amants semblaient s'abandonner dans un mélange de folie sexuelle et amoureuse. J'avais
accepté depuis quelques heures l'idée d'un partage du corps de ma chérie, mais je ne
pensais pas devoir partager son cœur... C'était pourtant, si les choses continuaient
ainsi, ce à quoi Victor allait m'obliger.
Dans un élan de rage sexuelle, Victor se redressa brusquement et renversa
Hélène sur le dos. La petite pute plaça ses jambes sur les épaules de son amant, qui
la dominait de son corps puissant et luisant de sueur. Il avait voulu reprendre le
contrôle sur sa nouvelle copine, en lui imprimant son propre rythme. Il donna de
violents coups de reins, défonçant littéralement la chatte d'Hélène.
- Han ! Han ! Prends ça, salope ! J'ai toujours su que tu étais une petite pute ! Une
affamée de bite ! Tiens ! Sens ma grosse queue en toi !
- Aaaaaaaaah ! cria Hélène. Ouiiiii ! Ouiii ! Défonce-moi, mon amour ! Je t'aime !
J'aime ta queue ! Je veux que tu me remplisses de sperme ! Je veux te sentir exploser
en moi ! Han !...
Ma copine délirait complètement, et venait d'avouer un amour improbable
quelques heures plus tôt à mon ami Victor. J'étais, évidemment, totalement effondré.
Je ne voyais pas comment j'allais pouvoir conserver l'amour d'Hélène après ce qui
venait d'être dit... J'étais complètement perdu ! Dans le coin de la chambre,
j'aperçus Hervé, dont j'avais oublié la présence, se tordre sur son fauteuil en
éjaculant. Le salaud n'avait pas résisté à la déclaration d'Hélène ! Finalement,
Victor acheva tous mes espoirs de retour à la normale en prononçant ces mots :
- Si tu veux que je jouisse en toi... Han !... Tu dois devenir MA copine ! Tu vas
lâcher Nicolas demain matin, et ensuite ton cul, ton vagin, ta petite gueule de
salope... tout ça m'appartiendra ! Tu viendras dormir à la maison, et on te passera
dessus chacun notre tour, mon père et moi !
Hervé éclata de rire et approuva cette proposition.
- Oui ! Je... bien sûr ! Je... je suis à toi ! Ma chatte est à toi ! A vous ! Nicolas,
je n'en ai rien à foutre !...
Comme pour sceller cette union, Hélène vint à la rencontre de Victor et
l'embrassa fougueusement. Je la vis passer tendrement sa main dans les cheveux de son
amant. Il était devenu son nouveau petit ami et, surtout, son compagnon de baise.
Cette prise de possession du corps et du cœur de ma copine vint à bout de l'endurance
de Victor, dont le souffle se fit soudain plus saccadé et bruyant.
- Ça y est ! Je... je viens, j'arrive ! Je vais te remplir comme promis, ma
salope !... Haaaaaaan ! Ouaaaaais !
Je vis Hélène enfoncer ses ongles dans le dos de son étalon, alors qu'il se
vidait complètement en elle. Elle suffoquait de plaisir sous le coup des ultimes
assauts menés contre son vagin. Dans la pénombre, les corps des deux amants luisaient
par l'effet de la sueur qui suintait et dégoulinait le long de chaque membre. Leurs
caresses et frottements laissaient d'ailleurs échapper des bruits de succion,
trahissant l'intense effort physique que chacun avait produit. Les gestes brusques et
les provocations sexuelles laissèrent bientôt la place aux baisers et aux mots doux.
- Reste en moi ! supplia Hélène. Je veux encore te sentir, je veux que tu débandes en
moi !... C'était si bon... si bon !
- Oui, ma chérie... lui promit Victor. Tout ce que tu voudras... Tu es à moi,
maintenant...
Hélène adressa un sourire amoureux à son petit ami.
- Je n'en reviens pas, reprit-elle, je n'avais jamais ressenti ça de toute ma vie ! Je
sens que je ne pourrai plus me passer de ta queue ! Au lycée, ce sera trop dur de
passer la journée sans y goûter... Je pense que les toilettes vont devenir notre
repère pendant les pauses !...
- C'est clair ! répondit Victor avec enthousiasme. Ta chatte est géniale, je ne
pensais pas prendre autant de plaisir pour ma première fois ! Vivement les vacances,
que je puisse te baiser à longueur de journée ! D'ailleurs, on part une semaine à la
montagne avec mon père pour la Toussaint, tu pourrais peut-être nous accompagner ? Tu
ne seras pas déçue ! N'est-ce pas, Papa ?
Hervé eut l'air surpris, mais également ravi par l'idée de son fils.
- Aucun problème ! s'exclama-t-il. Si ta copine tient le choc, nous pourrions la
prendre comme une reine pendant toute la semaine...
- Ce sera avec plaisir ! acquiesça sans hésiter mon ancienne copine. Ces vacances
seront inoubliables !

Je sentis ma gorge se nouer et mes jambes défaillir. Depuis mes dix ans, celui
qui, chaque novembre, accompagnait Hervé et Victor en vacances à la montagne, c'était
moi ! Cette année, c'était mon ex copine qui allait prendre ma place au chalet, pour
s'offrir sans retenue aux fantasmes et aux lubricités de ces deux bêtes de sexe !
J'eus le sentiment d'avoir tout perdu. Pourtant, les ébats incroyablement excitants
auxquels je venais d'assister me poussaient à reconnaître l'évidence : je ne méritais
pas une fille aussi belle et chaude qu'Hélène. Ce genre de fille était destiné aux
hommes, aux vrais ! Hervé et Victor en faisaient partie, pas moi... Meurtri, je
tournai les talons pour retourner me coucher au rez-de-chaussée, seul et toujours
puceau.
- Mais ?! entendis-je alors que je m'éloignais. Qu'est-ce que je sens ? Tu rebandes,
mon salaud ?
- Hmmmm... répondit la voix de Victor. Oui, je crois qu'on n'est pas prêt de dormir,
ma puce ! Tu vas subir mes assauts toute la nuit !

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