Ma copine baisée sous mes yeux par mon meilleur ami Victor et son père Hervé !
Récit érotique écrit par Histiée [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-12-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ma copine baisée sous mes yeux par mon meilleur ami Victor et son père Hervé !
Cette histoire, bien qu'un peu romancée, est tirée de faits réels.
C'était l'année de mes 18 ans. Je venais de passer en terminale, dernière
ligne droite avant le baccalauréat ! Bien sûr, à cet âge je n'avais pas uniquement la
tête aux études : je passais énormément de temps avec mon meilleur ami Victor, que je
connaissais depuis l'école primaire. Nous nous étions suivis pendant toute notre
scolarité, et nous étions peu à peu devenus inséparables. Nicolas n'allait jamais sans
Victor, et vice versa. Depuis trois mois toutefois, je partageais mes loisirs entre
Victor et ma petite amie, puisque je sortais avec Hélène, ma camarade de classe et ma
première copine ! Tous les garçons sauront de quoi je parle, la première copine a
vraiment quelque chose de spécial. On prend conscience que l'on peut plaire à
quelqu'un, on échange des centaines de textos chaque soir après les cours, on commence
même à penser au sexe... De mon côté, j'y pensais de plus en plus : après trois mois
passés avec Hélène, nous n'avions pas fait grand-chose à part quelques bisous et
caresses... Pourtant, bien qu'Hélène était âgée de 17 ans comme moi, elle était sortie
l'année précédente avec un étudiant de 22 ans, et elle m'avait confié qu'ils avaient
couché ensemble. Je commençais donc à me demander pourquoi nous n'avions toujours rien
fait tous les deux, et je me disais que le problème venait forcément de moi. A cette
époque, je faisais encore très gamin, j'étais assez maigre et pas très grand, et mes
traits étaient très enfantins. Hélène, par contre, était déjà une très jolie fille :
petite brunette d'1m60, elle avait les yeux bleus et des jolis petits seins qui
pointaient à travers ses t-shirts moulants, ne laissant personne au lycée indifférent.
Clairement, elle était bien mieux que moi physiquement parlant, et c'était
principalement mon humour qui l'avait séduite.
Hélène était une fille sociable, elle s'était très rapidement intégrée à mon
groupe d'amis. Elle était devenue bonne amie avec mon fameux pote Victor, que je
considérais à l'époque comme mon frère. Il faut avouer que Victor était plus beau que
moi : c'était un « grand brun ténébreux » comme disaient les filles, avec des yeux
vert clair et une mèche de cheveux qui lui donnait un grand succès auprès des
lycéennes. Pourtant, il était très timide et n'avait jamais eu de copine sérieuse. Il
était donc, comme moi, toujours puceau. Me sentant honteux de n'avoir toujours pas
couché avec Hélène, je lui avais menti en lui disant que nous avions fait l'amour. Je
n'étais pas fier de ce mensonge, mais cela me donnait une sorte de supériorité vis-à-
vis de Victor, ce qui faisait beaucoup de bien à mon ego.
Pendant la semaine, Victor était venu nous trouver à la fin d'un cours, Hélène
et moi, pour nous annoncer qu'il organisait une petite soirée chez lui le samedi
suivant.
- Toi aussi tu es invitée, Hélène, avait-il annoncé à ma copine.
- Merci Victor, ce sera avec plaisir ! lui avait-elle répondu avec enthousiasme. J'ai
hâte de voir Hervé, donc vous m'avez tant parlé ces derniers temps !
Hélène n'avait pas encore eu l'occasion de faire une soirée chez Victor et de
rencontrer son père Hervé. Cet homme était une véritable institution pour les membres
de mon groupe d'amis. Papa cool par excellence, il était âgé de 42 ans et était encore
très bien conservé. Brun, le teint halé (Victor avait de qui tenir), il était séparé
de son ex-femme depuis 15 ans, et ne s'était jamais recasé. Il aimait « toutes les
femmes, et pas une seule ! », comme je l'avais souvent entendu dire dans mon enfance.
Quand Victor organisait une soirée chez lui, Hervé restait pour la passer avec nous.
Il n'hésitait pas à nous servir de l'alcool et à partager nos joints, ce qui, vous
l'imaginez, lui valu rapidement une énorme popularité auprès de nos potes du lycée.
Au fond de moi, je misais énormément sur cette soirée, car j'espérais que
l'alcool aidant, je parviendrais à m'isoler avec Hélène pour enfin passer à l'acte.
Toute la semaine, j'avais échafaudé des plans rocambolesques pour parvenir à mes fins
le jour J. Quand je vous dis que le sexe m'obsédait !
Le samedi soir arriva finalement, après des jours qui me semblèrent une
éternité. A 19h, je retrouvais Hélène au niveau d'un arrêt de bus situé tout près de
la maison de Victor. Arrivé sur place, j'aperçus ma copine qui m'attendait sous
l'abribus. J'accourus vers elle, heureux de la retrouver.
- Salut mon chéri ! s'exclama-t-elle en venant vers moi.
- Hey ! Tu vas bien, mon cœur ? lui demandai-je en l'enlaçant.
- Très bien ! J'ai piqué une bouteille de rhum dans la cave de mon père avant de
venir, on va passer une super soirée !
Hélène s'était faite toute belle pour l'occasion. Il faisait encore chaud en
ce début d'année scolaire, elle ne portait donc en haut qu'un petit chemisier blanc, à
travers lequel on devinait nettement ses tétons, naturellement durs et tendus. Une
jupe assez courte invitait n'importe quel amateur de belle fille à regarder ses belles
jambes fines et impeccablement rasées, qui se terminaient sur des chaussures à
semelles compensées. Hélène n'était pas vulgaire, mais elle était clairement
désirable ! En l'observant, je me dis que j'avais énormément de chance d'être avec une
fille pareille, et je me sentis très amoureux.
Nous arrivâmes quelques minutes plus tard devant la maison de Victor. Située
en plein cœur d'un quartier cossu (le père de Victor était architecte), elle était
assez grande et pourvue de nombreuses pièces dispersées dans les deux étages.
J'espérais bien qu'une de ces pièces, d'ici quelques heures, serait le théâtre de mon
dépucelage ! Une dizaine de personnes était déjà arrivée, et on en attendait une
vingtaine d'autres. Victor et Hervé vinrent à notre rencontre pour nous saluer, et
Hélène fit enfin la connaissance de ce Papa pas comme les autres. Ce dernier était en
costume-cravate, mais il portait cet ensemble « à la cool », chemise sortie du
pantalon et cravate fine : il faisait très bobo et ne manquait pas de charme.
- Alors voici la fameuse Hélène ! s'exclama-t-il en enlaçant ma copine. Victor m'a
tant parlé de toi ! Tu es vraiment charmante !
Hélène sembla troublée par cette accolade aussi franche que spontanée.
- Mer... Merci, balbutia-t-elle. Moi aussi, on m'a beaucoup parlé de vous !
- En bien, j'espère ! Tu sais, tout ce qu'ils t'ont dit sur moi est faux... Hormis mes
aventures extra-conjugales, pour lesquelles je plaide coupable !
Hervé éclata de rire en passant sa main dans le dos de ma copine. Je vis bien
qu'elle était déstabilisée.
- Ah ! Euh... Non... On ne m'avait rien dit sur le sujet...
- Je plaisante, je plaisante ! la rassura Hervé. En tout cas, tu me plais beaucoup !
Tu vois, Victor, c'est une fille comme ça que tu dois me ramener à la maison, je me
tue à te le dire !
- Bon, bon ! l'interrompit Victor. Arrête d'embêter Hélène, tu viens à peine de la
rencontrer ! Installez-vous dans le salon, on vous rejoint tout de suite pour
commencer à boire !
Notre génération avait un seul objectif pendant ces soirées : boire et se
saouler au maximum ! Je dois dire qu'avec le recul, j'ai conscience que cette attitude
était assez stupide et parfois franchement dangereuse, mais c'était ainsi ! Nous
attaquâmes donc très rapidement les alcools forts, whisky, rhum, vodka... Hervé nous
accompagnait, et comme d'habitude, il tenait bien plus la longueur que nous autres,
jeunes adolescents maigrelets et inexpérimentés ! Hélène ne tarda pas à être, comme
moi, un peu pompette, et cette euphorie facilita son rapprochement avec Hervé. La gêne
des premiers instants fut vite oubliée, ils riaient comme des enfants à la moindre
occasion. Le père de Victor roula deux joints pour ma copine, et me servit plusieurs
verres de whisky. Je le voyais parfois murmurer des choses à l'oreille d'Hélène, qui
réagissait en pouffant et en rougissant comme une midinette. Je n'y prêtai pas
attention, car Hervé était d'un naturel farceur et tactile. Il avait « le sang chaud
des Italiens », comme Victor aimait le rappeler.
Vers 23h, je constatai que les verres de whisky et les joints avaient eu
raison de moi, car je somnolais déjà au fond du canapé. D'un coup, Hélène se leva et
me posa un baiser sur la joue.
- Je vais aux toilettes ! affirma-t-elle avec entrain. C'est... c'est où que
c'est ?...
Elle aussi était dans un sale état !
- A l'étage ! répondit Hervé. Je te montre si tu veux, et tu peux même t'y rendre à
dos de cheval !
Hervé se pencha et fit signe à ma copine de monter sur son dos. Celle-ci
explosa de rire et prit son élan pour mieux bondir sur lui. Il tituba un instant, car
il avait bu et fumé comme nous tous, puis se stabilisa et partit en hennissant.
- Hihihi ! Hue ! Hue cheval ! Portez-moi au royaume des toilettes, messire cheval !
La tête lourde et les yeux à moitié fermés, je vis la cavalière et sa monture
emprunter les escaliers qui se trouvaient dans l'axe du salon. Tous deux disparurent
bientôt à l'étage.
Puis plus rien. Le trou noir. A mes côtés, Victor aussi sombrait dans un
sommeil agité.
Lorsque je rouvris les yeux, tout était calme dans la maison. Victor et bien
d'autres camarades du lycée dormaient toujours autour de moi, sur les canapés ou
carrément sur le sol. Il me fallut quelques temps pour sortir totalement de ma
torpeur. Un coup d'œil vers la pendule du salon m'indiqua qu'il était 2h30 du matin.
Nous avions tous beaucoup trop bu, ce qui, par la force des choses, avait drôlement
écourté la soirée ! Je finis par me rappeler que j'étais venu chez Victor avec ma
petite amie Hélène. Je la cherchais donc du regard à travers la pièce, mais dus
rapidement me rendre à l'évidence : elle n'y était pas. Je me souvenais de l'avoir vue
bourrée, j'imaginais donc qu'elle s'était affalée dans un coin pour s'endormir et
cuver son vin... Mais après tout, peut-être allait-elle émerger comme moi, et à ce
moment là, peut-être aurait-elle envie de... sexe ! Je décidai qu'il me fallait la
retrouver et terminer la nuit à ses côtés, en espérant qu'elle se réveille et que
j'obtienne ce que je souhaitais depuis des semaines...
Au rez-de-chaussée, je ne trouvai aucune trace d'Hélène. Mais les chambres
étaient situées dans les étages, c'était donc là que j'avais le plus de chance de
tomber sur elle. Je m'engageai dans les escaliers qui partaient du salon, ceux-là
mêmes qu'avaient empruntés quelques heures plus tôt, en pleine euphorie, Hervé et ma
copine. Arrivé au premier étage, je fis quelques pas et m'arrêtai soudain, interpellé
par un bruit que j'avais cru entendre. Tendant l'oreille, je saisis en effet l'écho
d'une agitation, qui venait vraisemblablement de la pièce au fond du couloir. D'un
naturel curieux, je me rapprochai à pas feutrés de la porte, pour mieux comprendre ce
qui se passait dans cette pièce.
C'était un mélange de chuchotements et de gémissements qui filtrait au travers
de la porte. Il me semblait bien que des gens baisaient là-derrière ! Je fus
irrésistiblement attiré par une telle idée, et je voulus à tout prix observer la
scène. Par chance, la porte en question était entrouverte, ce qui me permit de jeter
un coup d'œil à l'intérieur.
Ce fut certainement la pire idée de ma vie. Ce que je découvris dans cette
chambre me figea sur place, et je crus que j'allais m'évanouir. La cochonne qu'on
entendait jouir depuis le couloir n'était autre que ma petite copine Hélène ! A quatre
pattes sur un grand lit, cambrée au maximum, elle était complètement nue, à
l'exception de ses petites chaussettes bleues qu'elle avait gardées aux pieds.
Derrière elle, entièrement nu également, se tenait ce salaud d'Hervé, qui besognait ma
chérie en levrette ! Ses grandes paluches bronzées caressaient et claquaient le petit
cul rebondi d'Hélène, qui émettait un léger cri de plaisir à chaque coup de butoir.
Son visage était transfiguré : les yeux fermés, la bouche entrouverte d'où s'échappait
un mince filet de salive, elle semblait transportée par le plaisir et l'excitation.
Encore plus humiliant pour moi, ma copine portait autour du cou la cravate d'Hervé, et
ce-dernier en agrippait la pointe de sa main : il tenait ma petite amie en laisse ! Il
tirait légèrement sur le bout de tissu, ce qui obligeait Hélène à maintenir la tête en
arrière.
- Han !... Han !... On dirait que tu l'aimes, ma bite de quadra ! lui souffla Hervé
entre deux grognements.
- Ooooh ouais ! Han !... Je la sens... bien... votre queue !...
La voix que prenait Hélène était terriblement sensuelle, je ne l'avais jamais
entendue parler ainsi.
- J'ai senti tout de suite que tu étais une petite affamée ! Han !... Je commence à
connaître les femmes...
- Hmmmmmm... Ca se voit, Monsieur Hervé ! Allez !... Oui !... Baisez-moi plus fort !
Hélène allait même au-devant des coups de pine en reculant volontairement son
bassin vers Hervé. Ce-dernier avait vu juste : ma copine semblait véritablement
affamée de bite. Je voyais nettement sa jolie poitrine se balancer après chaque assaut
de son amant. Parfois, Hervé passait sa main autour de la taille d'Hélène pour accéder
à ses seins et lui pincer les tétons. Cela décuplait le plaisir de ma belle, dont le
corps frissonnant ondulait d'excitation.
J'avais été figé sur place en découvrant Hélène et Hervé en plein ébat sexuel,
et je me rendis compte que cela faisait plusieurs minutes que je les observais par
l'entrebâillement de la porte, sans oser réagir. Dire que j'étais parti à sa recherche
dans l'espoir de faire l'amour ! La petite salope ne m'avait pas attendu... Je n'avais
pourtant ni la force ni le courage d'intervenir. Elle avait l'air de bien prendre son
pied avec cet homme deux fois plus âgé qu'elle... Comment aurais-je pu l'en empêcher,
moi qui n'étais même pas capable de coucher avec elle ? Impuissant, je restais là à
les observer, à la fois jaloux et terriblement excité par la scène qui se jouait
devant moi...
Les deux amants changèrent finalement de position. Hélène se retourna pour
s'allonger sur le dos, plaça ses jambes en l'air, reposées sur les épaules d'Hervé.
Puis elle lui agrippa la taille de ses deux mains pour l'encourager à venir en elle.
Le salaud ne se fit pas prier : il enfonça son sexe puissant, qui m'apparut d'ailleurs
bien plus gros que le mien, dans le vagin de ma copine, puis se pencha vers elle pour
l'embrasser. Ils échangèrent un long et tendre baiser, pendant qu'Hervé recommençait
les vas-et-vient énergiques.
- Tu es sûre que Nicolas te baise comme il faut ? lui demanda soudain le père de
Victor. Je sens bien que tu étais en manque !
- Non... Hmmm... Non ! On n'a jamais rien fait tous les deux ! Je n'en pouvais plus
d'attendre, c'est pour ça que j'ai sauté sur votre queue !...
- Tu es sérieuse ? s'étonna Hervé. Mais qu'est-ce que tu fais avec ce mec ? Il n'est
pas beau, et en plus il ne te baise pas ! Tu es bien trop belle pour lui !...
Cette discussion franchement humiliante pour mon grade sembla exciter encore
davantage Hélène, qui changea la position de ses jambes pour les enrouler autour du
bassin de son amant. Elle le serra avec force, pour l'obliger à aller toujours plus
profondément en elle. Hervé lui embrassa les seins, ce qui lui arracha un petit cri
aigu de jouissance.
- Je... sais !... Han !... Il ne m'excite pas beaucoup, mais il est gentil !...
- Ha ha !... Gentil ! C'est ce que les filles disent quand elles trouvent qu'un garçon
est naze ! Hmmm... Regarde mon fils Victor, ça c'est un vrai mec ! Han !... Lui, je
suis sûr qu'il te baiserait comme une reine !
- Hmmmm... soupira Hélène. S'il tient de vous, je n'en doute pas !... C'est vrai qu'il
est mignon, mais... Han !... c'est le meilleur ami de Nicolas, et je suis sûre que je
ne suis pas à son goût...
- Tu rigoles ! s'exclama le père de Victor. Il ne parle que de toi, et tu es une vraie
bombe ! Il faut que tu prennes conscience de ton potentiel, tu es une vraie salope en
herbe !...
Hervé s'allongea complètement sur ma copine et enfonça son visage dans son
cou. Les deux corps étaient parfaitement imbriqués et ondulaient selon le même rythme,
imprimé par les assauts répétés de ce vieux dégueulasse. Hélène se laissait
complètement faire, la tête en arrière et les yeux fermés, les jambes solidement
enroulés autour du corps puissant d'Hervé. D'une main, elle lui caressait les cheveux
pour l'inviter à continuer ses bisous dans le cou, de l'autre elle agrippait les
fesses musclées de son amant. C'est vrai qu'Hervé était drôlement bien foutu pour un
homme de 42 ans. Ses muscles parfaitement dessinés et son corps bronzé donnaient
l'impression qu'il sortait tout droit d'un film pornographique. Et quelle endurance !
Il baisait ma copine comme une reine depuis déjà longtemps (et encore, j'avais pris
« le film » en cours) et ne semblait pas décidé à ralentir son rythme. Par-dessus le
marché, il parvenait à la troncher de la sorte tout en discutant avec elle ! Aux
anges, Hélène continuait de gémir et de le supplier « de la baiser plus fort ! ».
Heureusement pour moi, malheureusement pour ma copine, toutes les bonnes
choses ont une fin. Hervé finit par se redresser et confia à Hélène qu'il allait
jouir.
- Je vais me vider sur tes petits seins, ma chérie ! lui annonça-t-il fièrement.
- Oui ! Allez-y ! Je suis à vous, faites-vous plaisir !
Le regard que lança la salope à Hervé était plein d'admiration et de fierté.
On sentait qu'elle prenait un plaisir pervers à vouvoyer son amant, comme pour
renforcer l'idée qu'elle se faisait sauter par un homme mûr. Hélène attendait la
semence de son mâle avec impatience et envie. A genoux sur le lit, elle fixait Hervé
d'un air provocateur, pour mieux l'exciter et accélérer la jouissance.
- Aaaaaaaaaah ! Je vieeeens !
Une quantité impressionnante de sperme fut déversée sur la poitrine d'Hélène.
Hervé fut remercié par une dernière pipe, son gland fut nettoyé consciencieusement et
langoureusement. Il tenait ma copine par les cheveux, comme pour prouver
définitivement qu'elle lui appartenait. De mon côté, j'étais soulagé que tout soit
terminé, et même si je restais dévoré par la jalousie et un sentiment d'humiliation,
je me disais que tout pourrait maintenant revenir à la normale. Car non, je n'avais
pas l'intention de larguer Hélène : comble de la soumission, j'avais toujours l'espoir
qu'elle veuille bien faire l'amour avec moi. En attendant, elle était totalement
absorbée par la verge d'Hervé, qui commençait à débander.
- Bon ! reprit Hervé. Comme tu es une vraie petite salope, j'ai un plan pour toi !
Il ramassa son pantalon à pinces et sortit un smartphone d'une poche. D'une
main il commença à pianoter, de l'autre il frottait toujours son sexe sur le visage
d'Hélène.
- Un plan ?... s'inquiéta timidement ma copine. De... de quoi parlez-vous ?
- J'écris à mon fils de nous rejoindre... Il est temps que Victor goûte au plaisir des
femmes ! Et tu es parfaite pour lui servir d'entrée en matière...
- Mais ! Attendez, je...
- Ne rétorque pas ! Quand je t'ai parlé de Victor, j'ai bien senti que tu en avais
envie ! Et ne t'inquiète pas, Nicolas comate en bas, vu son physique de poids plume il
ne risque pas d'émerger avant demain midi !
Hélène fit un petit sourire à Hervé. Manifestement, elle était d'accord ! Je
n'en revenais pas moi-même ! Le père de Victor voulait offrir ma copine à mon meilleur
ami ! Je me rappelai qu'il dormait sur un canapé quand je m'étais levé, je priai de
toutes mes forces pour qu'il ne se réveille pas...
Mes vœux ne furent pas exaucés. Quelques instants plus tard, j'entendis du
bruit dans les escaliers. Quelqu'un montait à l'étage ! Etait-ce Victor ? J'eus très
peur d'être surpris en train d'espionner aux portes, je me précipitai donc dans la
salle de bain située juste à côté, en laissant la porte entrouverte. Il ne fallut pas
longtemps avant que j'aperçoive une silhouette passer dans le couloir, et pénétrer
dans la chambre où ma copine venait de me tromper avec un homme de 42 ans. Il me
semblait bien avoir reconnu la carrure et la démarche de Victor !...
A suivre...
C'était l'année de mes 18 ans. Je venais de passer en terminale, dernière
ligne droite avant le baccalauréat ! Bien sûr, à cet âge je n'avais pas uniquement la
tête aux études : je passais énormément de temps avec mon meilleur ami Victor, que je
connaissais depuis l'école primaire. Nous nous étions suivis pendant toute notre
scolarité, et nous étions peu à peu devenus inséparables. Nicolas n'allait jamais sans
Victor, et vice versa. Depuis trois mois toutefois, je partageais mes loisirs entre
Victor et ma petite amie, puisque je sortais avec Hélène, ma camarade de classe et ma
première copine ! Tous les garçons sauront de quoi je parle, la première copine a
vraiment quelque chose de spécial. On prend conscience que l'on peut plaire à
quelqu'un, on échange des centaines de textos chaque soir après les cours, on commence
même à penser au sexe... De mon côté, j'y pensais de plus en plus : après trois mois
passés avec Hélène, nous n'avions pas fait grand-chose à part quelques bisous et
caresses... Pourtant, bien qu'Hélène était âgée de 17 ans comme moi, elle était sortie
l'année précédente avec un étudiant de 22 ans, et elle m'avait confié qu'ils avaient
couché ensemble. Je commençais donc à me demander pourquoi nous n'avions toujours rien
fait tous les deux, et je me disais que le problème venait forcément de moi. A cette
époque, je faisais encore très gamin, j'étais assez maigre et pas très grand, et mes
traits étaient très enfantins. Hélène, par contre, était déjà une très jolie fille :
petite brunette d'1m60, elle avait les yeux bleus et des jolis petits seins qui
pointaient à travers ses t-shirts moulants, ne laissant personne au lycée indifférent.
Clairement, elle était bien mieux que moi physiquement parlant, et c'était
principalement mon humour qui l'avait séduite.
Hélène était une fille sociable, elle s'était très rapidement intégrée à mon
groupe d'amis. Elle était devenue bonne amie avec mon fameux pote Victor, que je
considérais à l'époque comme mon frère. Il faut avouer que Victor était plus beau que
moi : c'était un « grand brun ténébreux » comme disaient les filles, avec des yeux
vert clair et une mèche de cheveux qui lui donnait un grand succès auprès des
lycéennes. Pourtant, il était très timide et n'avait jamais eu de copine sérieuse. Il
était donc, comme moi, toujours puceau. Me sentant honteux de n'avoir toujours pas
couché avec Hélène, je lui avais menti en lui disant que nous avions fait l'amour. Je
n'étais pas fier de ce mensonge, mais cela me donnait une sorte de supériorité vis-à-
vis de Victor, ce qui faisait beaucoup de bien à mon ego.
Pendant la semaine, Victor était venu nous trouver à la fin d'un cours, Hélène
et moi, pour nous annoncer qu'il organisait une petite soirée chez lui le samedi
suivant.
- Toi aussi tu es invitée, Hélène, avait-il annoncé à ma copine.
- Merci Victor, ce sera avec plaisir ! lui avait-elle répondu avec enthousiasme. J'ai
hâte de voir Hervé, donc vous m'avez tant parlé ces derniers temps !
Hélène n'avait pas encore eu l'occasion de faire une soirée chez Victor et de
rencontrer son père Hervé. Cet homme était une véritable institution pour les membres
de mon groupe d'amis. Papa cool par excellence, il était âgé de 42 ans et était encore
très bien conservé. Brun, le teint halé (Victor avait de qui tenir), il était séparé
de son ex-femme depuis 15 ans, et ne s'était jamais recasé. Il aimait « toutes les
femmes, et pas une seule ! », comme je l'avais souvent entendu dire dans mon enfance.
Quand Victor organisait une soirée chez lui, Hervé restait pour la passer avec nous.
Il n'hésitait pas à nous servir de l'alcool et à partager nos joints, ce qui, vous
l'imaginez, lui valu rapidement une énorme popularité auprès de nos potes du lycée.
Au fond de moi, je misais énormément sur cette soirée, car j'espérais que
l'alcool aidant, je parviendrais à m'isoler avec Hélène pour enfin passer à l'acte.
Toute la semaine, j'avais échafaudé des plans rocambolesques pour parvenir à mes fins
le jour J. Quand je vous dis que le sexe m'obsédait !
Le samedi soir arriva finalement, après des jours qui me semblèrent une
éternité. A 19h, je retrouvais Hélène au niveau d'un arrêt de bus situé tout près de
la maison de Victor. Arrivé sur place, j'aperçus ma copine qui m'attendait sous
l'abribus. J'accourus vers elle, heureux de la retrouver.
- Salut mon chéri ! s'exclama-t-elle en venant vers moi.
- Hey ! Tu vas bien, mon cœur ? lui demandai-je en l'enlaçant.
- Très bien ! J'ai piqué une bouteille de rhum dans la cave de mon père avant de
venir, on va passer une super soirée !
Hélène s'était faite toute belle pour l'occasion. Il faisait encore chaud en
ce début d'année scolaire, elle ne portait donc en haut qu'un petit chemisier blanc, à
travers lequel on devinait nettement ses tétons, naturellement durs et tendus. Une
jupe assez courte invitait n'importe quel amateur de belle fille à regarder ses belles
jambes fines et impeccablement rasées, qui se terminaient sur des chaussures à
semelles compensées. Hélène n'était pas vulgaire, mais elle était clairement
désirable ! En l'observant, je me dis que j'avais énormément de chance d'être avec une
fille pareille, et je me sentis très amoureux.
Nous arrivâmes quelques minutes plus tard devant la maison de Victor. Située
en plein cœur d'un quartier cossu (le père de Victor était architecte), elle était
assez grande et pourvue de nombreuses pièces dispersées dans les deux étages.
J'espérais bien qu'une de ces pièces, d'ici quelques heures, serait le théâtre de mon
dépucelage ! Une dizaine de personnes était déjà arrivée, et on en attendait une
vingtaine d'autres. Victor et Hervé vinrent à notre rencontre pour nous saluer, et
Hélène fit enfin la connaissance de ce Papa pas comme les autres. Ce dernier était en
costume-cravate, mais il portait cet ensemble « à la cool », chemise sortie du
pantalon et cravate fine : il faisait très bobo et ne manquait pas de charme.
- Alors voici la fameuse Hélène ! s'exclama-t-il en enlaçant ma copine. Victor m'a
tant parlé de toi ! Tu es vraiment charmante !
Hélène sembla troublée par cette accolade aussi franche que spontanée.
- Mer... Merci, balbutia-t-elle. Moi aussi, on m'a beaucoup parlé de vous !
- En bien, j'espère ! Tu sais, tout ce qu'ils t'ont dit sur moi est faux... Hormis mes
aventures extra-conjugales, pour lesquelles je plaide coupable !
Hervé éclata de rire en passant sa main dans le dos de ma copine. Je vis bien
qu'elle était déstabilisée.
- Ah ! Euh... Non... On ne m'avait rien dit sur le sujet...
- Je plaisante, je plaisante ! la rassura Hervé. En tout cas, tu me plais beaucoup !
Tu vois, Victor, c'est une fille comme ça que tu dois me ramener à la maison, je me
tue à te le dire !
- Bon, bon ! l'interrompit Victor. Arrête d'embêter Hélène, tu viens à peine de la
rencontrer ! Installez-vous dans le salon, on vous rejoint tout de suite pour
commencer à boire !
Notre génération avait un seul objectif pendant ces soirées : boire et se
saouler au maximum ! Je dois dire qu'avec le recul, j'ai conscience que cette attitude
était assez stupide et parfois franchement dangereuse, mais c'était ainsi ! Nous
attaquâmes donc très rapidement les alcools forts, whisky, rhum, vodka... Hervé nous
accompagnait, et comme d'habitude, il tenait bien plus la longueur que nous autres,
jeunes adolescents maigrelets et inexpérimentés ! Hélène ne tarda pas à être, comme
moi, un peu pompette, et cette euphorie facilita son rapprochement avec Hervé. La gêne
des premiers instants fut vite oubliée, ils riaient comme des enfants à la moindre
occasion. Le père de Victor roula deux joints pour ma copine, et me servit plusieurs
verres de whisky. Je le voyais parfois murmurer des choses à l'oreille d'Hélène, qui
réagissait en pouffant et en rougissant comme une midinette. Je n'y prêtai pas
attention, car Hervé était d'un naturel farceur et tactile. Il avait « le sang chaud
des Italiens », comme Victor aimait le rappeler.
Vers 23h, je constatai que les verres de whisky et les joints avaient eu
raison de moi, car je somnolais déjà au fond du canapé. D'un coup, Hélène se leva et
me posa un baiser sur la joue.
- Je vais aux toilettes ! affirma-t-elle avec entrain. C'est... c'est où que
c'est ?...
Elle aussi était dans un sale état !
- A l'étage ! répondit Hervé. Je te montre si tu veux, et tu peux même t'y rendre à
dos de cheval !
Hervé se pencha et fit signe à ma copine de monter sur son dos. Celle-ci
explosa de rire et prit son élan pour mieux bondir sur lui. Il tituba un instant, car
il avait bu et fumé comme nous tous, puis se stabilisa et partit en hennissant.
- Hihihi ! Hue ! Hue cheval ! Portez-moi au royaume des toilettes, messire cheval !
La tête lourde et les yeux à moitié fermés, je vis la cavalière et sa monture
emprunter les escaliers qui se trouvaient dans l'axe du salon. Tous deux disparurent
bientôt à l'étage.
Puis plus rien. Le trou noir. A mes côtés, Victor aussi sombrait dans un
sommeil agité.
Lorsque je rouvris les yeux, tout était calme dans la maison. Victor et bien
d'autres camarades du lycée dormaient toujours autour de moi, sur les canapés ou
carrément sur le sol. Il me fallut quelques temps pour sortir totalement de ma
torpeur. Un coup d'œil vers la pendule du salon m'indiqua qu'il était 2h30 du matin.
Nous avions tous beaucoup trop bu, ce qui, par la force des choses, avait drôlement
écourté la soirée ! Je finis par me rappeler que j'étais venu chez Victor avec ma
petite amie Hélène. Je la cherchais donc du regard à travers la pièce, mais dus
rapidement me rendre à l'évidence : elle n'y était pas. Je me souvenais de l'avoir vue
bourrée, j'imaginais donc qu'elle s'était affalée dans un coin pour s'endormir et
cuver son vin... Mais après tout, peut-être allait-elle émerger comme moi, et à ce
moment là, peut-être aurait-elle envie de... sexe ! Je décidai qu'il me fallait la
retrouver et terminer la nuit à ses côtés, en espérant qu'elle se réveille et que
j'obtienne ce que je souhaitais depuis des semaines...
Au rez-de-chaussée, je ne trouvai aucune trace d'Hélène. Mais les chambres
étaient situées dans les étages, c'était donc là que j'avais le plus de chance de
tomber sur elle. Je m'engageai dans les escaliers qui partaient du salon, ceux-là
mêmes qu'avaient empruntés quelques heures plus tôt, en pleine euphorie, Hervé et ma
copine. Arrivé au premier étage, je fis quelques pas et m'arrêtai soudain, interpellé
par un bruit que j'avais cru entendre. Tendant l'oreille, je saisis en effet l'écho
d'une agitation, qui venait vraisemblablement de la pièce au fond du couloir. D'un
naturel curieux, je me rapprochai à pas feutrés de la porte, pour mieux comprendre ce
qui se passait dans cette pièce.
C'était un mélange de chuchotements et de gémissements qui filtrait au travers
de la porte. Il me semblait bien que des gens baisaient là-derrière ! Je fus
irrésistiblement attiré par une telle idée, et je voulus à tout prix observer la
scène. Par chance, la porte en question était entrouverte, ce qui me permit de jeter
un coup d'œil à l'intérieur.
Ce fut certainement la pire idée de ma vie. Ce que je découvris dans cette
chambre me figea sur place, et je crus que j'allais m'évanouir. La cochonne qu'on
entendait jouir depuis le couloir n'était autre que ma petite copine Hélène ! A quatre
pattes sur un grand lit, cambrée au maximum, elle était complètement nue, à
l'exception de ses petites chaussettes bleues qu'elle avait gardées aux pieds.
Derrière elle, entièrement nu également, se tenait ce salaud d'Hervé, qui besognait ma
chérie en levrette ! Ses grandes paluches bronzées caressaient et claquaient le petit
cul rebondi d'Hélène, qui émettait un léger cri de plaisir à chaque coup de butoir.
Son visage était transfiguré : les yeux fermés, la bouche entrouverte d'où s'échappait
un mince filet de salive, elle semblait transportée par le plaisir et l'excitation.
Encore plus humiliant pour moi, ma copine portait autour du cou la cravate d'Hervé, et
ce-dernier en agrippait la pointe de sa main : il tenait ma petite amie en laisse ! Il
tirait légèrement sur le bout de tissu, ce qui obligeait Hélène à maintenir la tête en
arrière.
- Han !... Han !... On dirait que tu l'aimes, ma bite de quadra ! lui souffla Hervé
entre deux grognements.
- Ooooh ouais ! Han !... Je la sens... bien... votre queue !...
La voix que prenait Hélène était terriblement sensuelle, je ne l'avais jamais
entendue parler ainsi.
- J'ai senti tout de suite que tu étais une petite affamée ! Han !... Je commence à
connaître les femmes...
- Hmmmmmm... Ca se voit, Monsieur Hervé ! Allez !... Oui !... Baisez-moi plus fort !
Hélène allait même au-devant des coups de pine en reculant volontairement son
bassin vers Hervé. Ce-dernier avait vu juste : ma copine semblait véritablement
affamée de bite. Je voyais nettement sa jolie poitrine se balancer après chaque assaut
de son amant. Parfois, Hervé passait sa main autour de la taille d'Hélène pour accéder
à ses seins et lui pincer les tétons. Cela décuplait le plaisir de ma belle, dont le
corps frissonnant ondulait d'excitation.
J'avais été figé sur place en découvrant Hélène et Hervé en plein ébat sexuel,
et je me rendis compte que cela faisait plusieurs minutes que je les observais par
l'entrebâillement de la porte, sans oser réagir. Dire que j'étais parti à sa recherche
dans l'espoir de faire l'amour ! La petite salope ne m'avait pas attendu... Je n'avais
pourtant ni la force ni le courage d'intervenir. Elle avait l'air de bien prendre son
pied avec cet homme deux fois plus âgé qu'elle... Comment aurais-je pu l'en empêcher,
moi qui n'étais même pas capable de coucher avec elle ? Impuissant, je restais là à
les observer, à la fois jaloux et terriblement excité par la scène qui se jouait
devant moi...
Les deux amants changèrent finalement de position. Hélène se retourna pour
s'allonger sur le dos, plaça ses jambes en l'air, reposées sur les épaules d'Hervé.
Puis elle lui agrippa la taille de ses deux mains pour l'encourager à venir en elle.
Le salaud ne se fit pas prier : il enfonça son sexe puissant, qui m'apparut d'ailleurs
bien plus gros que le mien, dans le vagin de ma copine, puis se pencha vers elle pour
l'embrasser. Ils échangèrent un long et tendre baiser, pendant qu'Hervé recommençait
les vas-et-vient énergiques.
- Tu es sûre que Nicolas te baise comme il faut ? lui demanda soudain le père de
Victor. Je sens bien que tu étais en manque !
- Non... Hmmm... Non ! On n'a jamais rien fait tous les deux ! Je n'en pouvais plus
d'attendre, c'est pour ça que j'ai sauté sur votre queue !...
- Tu es sérieuse ? s'étonna Hervé. Mais qu'est-ce que tu fais avec ce mec ? Il n'est
pas beau, et en plus il ne te baise pas ! Tu es bien trop belle pour lui !...
Cette discussion franchement humiliante pour mon grade sembla exciter encore
davantage Hélène, qui changea la position de ses jambes pour les enrouler autour du
bassin de son amant. Elle le serra avec force, pour l'obliger à aller toujours plus
profondément en elle. Hervé lui embrassa les seins, ce qui lui arracha un petit cri
aigu de jouissance.
- Je... sais !... Han !... Il ne m'excite pas beaucoup, mais il est gentil !...
- Ha ha !... Gentil ! C'est ce que les filles disent quand elles trouvent qu'un garçon
est naze ! Hmmm... Regarde mon fils Victor, ça c'est un vrai mec ! Han !... Lui, je
suis sûr qu'il te baiserait comme une reine !
- Hmmmm... soupira Hélène. S'il tient de vous, je n'en doute pas !... C'est vrai qu'il
est mignon, mais... Han !... c'est le meilleur ami de Nicolas, et je suis sûre que je
ne suis pas à son goût...
- Tu rigoles ! s'exclama le père de Victor. Il ne parle que de toi, et tu es une vraie
bombe ! Il faut que tu prennes conscience de ton potentiel, tu es une vraie salope en
herbe !...
Hervé s'allongea complètement sur ma copine et enfonça son visage dans son
cou. Les deux corps étaient parfaitement imbriqués et ondulaient selon le même rythme,
imprimé par les assauts répétés de ce vieux dégueulasse. Hélène se laissait
complètement faire, la tête en arrière et les yeux fermés, les jambes solidement
enroulés autour du corps puissant d'Hervé. D'une main, elle lui caressait les cheveux
pour l'inviter à continuer ses bisous dans le cou, de l'autre elle agrippait les
fesses musclées de son amant. C'est vrai qu'Hervé était drôlement bien foutu pour un
homme de 42 ans. Ses muscles parfaitement dessinés et son corps bronzé donnaient
l'impression qu'il sortait tout droit d'un film pornographique. Et quelle endurance !
Il baisait ma copine comme une reine depuis déjà longtemps (et encore, j'avais pris
« le film » en cours) et ne semblait pas décidé à ralentir son rythme. Par-dessus le
marché, il parvenait à la troncher de la sorte tout en discutant avec elle ! Aux
anges, Hélène continuait de gémir et de le supplier « de la baiser plus fort ! ».
Heureusement pour moi, malheureusement pour ma copine, toutes les bonnes
choses ont une fin. Hervé finit par se redresser et confia à Hélène qu'il allait
jouir.
- Je vais me vider sur tes petits seins, ma chérie ! lui annonça-t-il fièrement.
- Oui ! Allez-y ! Je suis à vous, faites-vous plaisir !
Le regard que lança la salope à Hervé était plein d'admiration et de fierté.
On sentait qu'elle prenait un plaisir pervers à vouvoyer son amant, comme pour
renforcer l'idée qu'elle se faisait sauter par un homme mûr. Hélène attendait la
semence de son mâle avec impatience et envie. A genoux sur le lit, elle fixait Hervé
d'un air provocateur, pour mieux l'exciter et accélérer la jouissance.
- Aaaaaaaaaah ! Je vieeeens !
Une quantité impressionnante de sperme fut déversée sur la poitrine d'Hélène.
Hervé fut remercié par une dernière pipe, son gland fut nettoyé consciencieusement et
langoureusement. Il tenait ma copine par les cheveux, comme pour prouver
définitivement qu'elle lui appartenait. De mon côté, j'étais soulagé que tout soit
terminé, et même si je restais dévoré par la jalousie et un sentiment d'humiliation,
je me disais que tout pourrait maintenant revenir à la normale. Car non, je n'avais
pas l'intention de larguer Hélène : comble de la soumission, j'avais toujours l'espoir
qu'elle veuille bien faire l'amour avec moi. En attendant, elle était totalement
absorbée par la verge d'Hervé, qui commençait à débander.
- Bon ! reprit Hervé. Comme tu es une vraie petite salope, j'ai un plan pour toi !
Il ramassa son pantalon à pinces et sortit un smartphone d'une poche. D'une
main il commença à pianoter, de l'autre il frottait toujours son sexe sur le visage
d'Hélène.
- Un plan ?... s'inquiéta timidement ma copine. De... de quoi parlez-vous ?
- J'écris à mon fils de nous rejoindre... Il est temps que Victor goûte au plaisir des
femmes ! Et tu es parfaite pour lui servir d'entrée en matière...
- Mais ! Attendez, je...
- Ne rétorque pas ! Quand je t'ai parlé de Victor, j'ai bien senti que tu en avais
envie ! Et ne t'inquiète pas, Nicolas comate en bas, vu son physique de poids plume il
ne risque pas d'émerger avant demain midi !
Hélène fit un petit sourire à Hervé. Manifestement, elle était d'accord ! Je
n'en revenais pas moi-même ! Le père de Victor voulait offrir ma copine à mon meilleur
ami ! Je me rappelai qu'il dormait sur un canapé quand je m'étais levé, je priai de
toutes mes forces pour qu'il ne se réveille pas...
Mes vœux ne furent pas exaucés. Quelques instants plus tard, j'entendis du
bruit dans les escaliers. Quelqu'un montait à l'étage ! Etait-ce Victor ? J'eus très
peur d'être surpris en train d'espionner aux portes, je me précipitai donc dans la
salle de bain située juste à côté, en laissant la porte entrouverte. Il ne fallut pas
longtemps avant que j'aperçoive une silhouette passer dans le couloir, et pénétrer
dans la chambre où ma copine venait de me tromper avec un homme de 42 ans. Il me
semblait bien avoir reconnu la carrure et la démarche de Victor !...
A suivre...
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