Ce beau voisin qui fit exploser notre couple
Récit érotique écrit par Histiée [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ce beau voisin qui fit exploser notre couple
1 - Je finis par sucer notre nouveau voisin en espérant qu'il laissera ma copine
tranquille.
Je m'appelle Jean, j'ai 25 ans et je vis depuis quatre ans avec ma petite amie
Charlotte, âgée de 23 ans. Charlotte est ce qu'on appelle une jolie fille. C'est une
vraie blonde aux yeux noisettes. Elle mesure 1m64 pour 50 kg. Elle a la chance d'avoir
de très belles formes : ses hanches sont bien dessinées, elle a un joli petit cul
rebondi et est dotée d'un bonnet 85D, ce qui pour sa taille donne l'impression qu'elle
possède une énorme poitrine.
Je suis conscient d'avoir énormément de chance d'être avec une fille aussi belle et
désirable, mais je dois avouer que côté sexe, je n'en profite pas au maximum.
Charlotte n'est pas très demandeuse en la matière, mais je pense que c'est un peu de
ma faute, car je suis loin d'être le coup du siècle. Je sais pourtant qu'elle aime
faire l'amour et qu'il lui arrive d'être en manque, car j'ai déjà trouvé dans
l'historique de son ordinateur la trace de sites pornographiques. Toutes les vidéos
consultées montraient des mecs bâtis et montés comme des taureaux (je ne mesure
qu'1m75 pour 68kg, et mon sexe mesure 15cm en érection...), défonçant des femmes qui
hurlaient leur plaisir. Cela m'avait fait un choc et m'avait même un peu vexé...
Cela faisait quelques jours que nous avions emménagé dans notre nouvel appartement,
situé au rez-de-chaussée d'un petit immeuble de deux étages. Charlotte travaillait
dans un magasin de prêt-à-porter, elle faisait beaucoup d'heures et rentrait tous les
soirs vers 20h. Moi, j'avais récemment perdu mon emploi d'informaticien, j'occupais
donc mon temps libre à chercher du travail et, depuis le déménagement, à faire toutes
les démarches nécessaires auprès des impôts, de notre banque, de notre fournisseur
d'accès internet...
Il était 17h et je rentrais du supermarché où j'avais fait quelques courses. Nous
n'avions pas encore croisé notre voisin de pallier, et nous nous étions demandé à quoi
il pouvait bien ressembler. J'eus la réponse alors que j'arrivais dans le hall de
l'immeuble. Au moment où je sortais la clé de l'appartement de ma poche, j'entendis la
porte d'à côté s'ouvrir. Je me retournais pour saluer notre nouveau voisin, et j'eus
un choc en le découvrant. Un homme noir d'une trentaine d'années, qui devait bien
mesurer 1m90 pour une centaine de kilos de muscles, se tenait à quelques mètres de
moi. Il était habillé de façon très cool et sportive, avec un pantalon de survêtement
et un t-shirt qui moulait ses imposants pectoraux. Son crâne était rasé et ses yeux
étaient d'un marron très clair, ce qui lui donnait un regard pénétrant et
déstabilisant. Je me sentis tout de suite intimidé face à lui.
- Bonjour ! me lança-t-il joyeusement.
Il avait un accent africain assez marqué, ce qui me fit dire qu'il n'avait
probablement pas grandi en France.
- … Bon... Bonjour, balbutiai-je. Comme vous voyez, je suis votre nouveau voisin !
- Enchanté, répondit-il. Je m'appelle Baakari, j'entraîne l'équipe de foot' de la
commune ! Et vous ?
- Euh... Je m'appelle Jean, je... je suis content de vous rencontrer. On ne s'était
pas encore croisés depuis notre emménagement.
- C'est vrai ! Mais je vous ai aperçu avec votre camionnette de location l'autre jour,
vous et votre... amie. C'est votre femme ?
Cela me dérangea qu'il pose cette question, car en l'apercevant quelques secondes
auparavant, j'avais justement pensé à Charlotte, en me disant qu'un tel homme allait
beaucoup lui plaire...
- Nous ne sommes pas mariés, Charlotte et moi, rétorquai-je. Mais nous sommes ensemble
depuis 6 ans.
Je rajoutais volontairement du temps à notre relation, pour qu'il comprenne qu'entre
Charlotte et moi, c'était du sérieux !
- Charlotte... C'est un joli prénom. Je l'ai trouvée très jolie, en tout cas ! Tout à
fait mon genre de femme...
Je fus frappé par la franchise de Baakari. « Pourquoi ne pas me dire que tu t'es
branlé en pensant à elle, connard ? » me dis-je en mon for intérieur.
- Merci, c'est vrai qu'elle est charmante... Et... Et vous, vous avez une femme ?
- Oh non ! s'exclama-t-il instantanément. Moi et les femmes, ce n'est jamais sérieux.
Je les aime trop pour n'en avoir qu'une, si vous voyez ce que je veux dire !...
Je voyais tout à fait ce qu'il voulait dire. Même si je savais que Charlotte n'était
pas une femme volage, ces quelques mots m'avaient suffit pour considérer Baakari comme
un rival potentiel. Un rival face à qui, bien sûr, je ne faisais pas le poids...
- Ok, Chacun son truc ! Moi et Charlotte, nous préférons les relations sérieuses...
- Je comprends, mais vous savez, les goûts peuvent évoluer... Il suffit de rencontrer
la bonne personne pour vous faire changer d'avis !
Je ne savais pas vraiment à quel jeu jouait mon interlocuteur, mais j'étais déjà
troublé par le peu qu'il m'avait dit, et j'eus soudain envie de me débarrasser de lui.
- Tout à fait, tout à fait... Veuillez m'excuser, Baakari, mais je suis un peu pressé,
j'ai des choses à mettre au frais et un repas à préparer pour ce soir ! Nous aurons
certainement l'occasion de nous recroiser pour discuter.
- Pas de problème, dit Baakari. De toute façon, je dois être au stade pour 17h30. Je
demande aux jeunes d'être à l'heure à l'entraînement, alors ce ne serait pas normal
que moi, je sois en retard... A bientôt alors, Jean !
Je le vis, lui et ses épaules incroyablement carrées, sortir du hall d'immeuble et
s'éloigner à travers le parking.
Une fois rentré dans l'appartement, je ne parvins pas à me sortir ce Baakari de la
tête. Je l'avais trouvé bien trop séduisant, et surtout bien trop intéressé par ma
copine ! Je me demandais également ce que Charlotte allait penser de ce nouveau
voisin. Malgré toutes ces questions qui se bousculaient dans mon esprit, je dus
revenir à des considérations plus pragmatiques, et au repas que j'avais promis à
Charlotte pour son retour ! J'ouvris grand les fenêtres qui donnaient sur la terrasse
pour aérer, car nous avions repeint l'appartement avant d'emménager, et l'odeur
n'avait pas complètement disparu. Puis je me dirigeai vers la cuisine pour me mettre à
la tâche...
Un peu avant 20h, alors que je rêvassais en regardant la télé depuis la cuisine, je
fus interpellé par un éclat de rire qui venait de l'extérieur. Après quelques
instants, je crus reconnaître les intonations et le timbre de ma petite amie
Charlotte. Heureux de la savoir de retour, je me dirigeai vers la fenêtre pour tenter
de l'apercevoir. Même si nous habitions au rez-de-chaussée, notre terrasse était un
peu en retrait par rapport au parking, ce qui me permit de voir ce qui s'y passait
sans être vu. Charlotte était bien là, à côté de sa voiture qu'elle venait de garer,
mais elle n'était pas seule ! La personne avec qui elle discutait en riant aux éclats
n'était autre que notre nouveau voisin Baakari ! J'eus instantanément la boule au
ventre. Ce salaud devait rentrer de l'entraînement de football, et profitait de mon
absence pour faire connaissance avec ma copine. Je ne parvenais pas à discerner les
mots qu'ils prononçaient, mais cela semblait réjouir Charlotte, qui avait le sourire
jusqu'aux oreilles. Elle passait son temps à se toucher les cheveux et à se
trémousser. Peut-être me faisais-je des idées, mais j'avais l'impression qu'elle
faisait tout pour aguicher ce beau black. Leur conversation dura un bon quart d'heure.
Au moment de se quitter, ils sortirent chacun leur téléphone portable : je compris
qu'ils étaient en train de s'échanger leur numéro ! J'étais fou de rage, mais je me
rendis compte que les avais épié 15 minutes durant sans oser intervenir. Quelle
lavette j'étais ! Quand j'entendis la clé dans la serrure, je me précipitai dans la
cuisine pour reprendre ma position initiale.
- C'est moi, chéri ! annonça Charlotte en pénétrant dans la pièce. Ca sent drôlement
bon, c'est la dinde que tu m'as promis ?...
Nous échangeâmes quelques banalités. Je pris soin de ne pas parler de ce que j'avais
vu, pour voir si elle allait oser aborder le sujet. Elle ne toucha pas un mot de sa
rencontre avec Baakari ! Pire, lorsque j'annonçai innocemment avoir fait la
connaissance du nouveau voisin dans le hall, un « grand black imposant », elle prit un
air surpris et me dit qu'elle avait hâte de le croiser pour voir à quoi il
ressemblait ! J'étais de plus en plus vexé. Je n'osai évidemment pas lui dire ce que
j'avais vu même si je me sentais trahi.
Nous passâmes une soirée ordinaire. Moi dans le bureau, sur l'ordinateur pour
rechercher des offres d'emploi, Charlotte dans le salon, sur la canapé devant la
télévision. Même si je repensai à Baakari toute la soirée, je finis par relativiser :
Charlotte avait sûrement eu peur de ma réaction, sachant que j'étais d'un naturel
jaloux et qu'elle s'était très bien entendue avec notre nouveau voisin. Je décidai
donc d'oublier cette histoire. Nous ne fîmes pas l'amour au moment du coucher, mais
alors que je la prenais dans mes bras pour lui souhaiter bonne nuit, il me sembla que
Charlotte avait le sexe humide. Mais peut-être, encore une fois, avais-je rêvé...
Le lendemain matin, Charlotte partit travailler à 8h. J'avais rendez-vous à Pôle
Emploi à 14h, ce qui me laissait la matinée libre. Je m'installai devant l'ordinateur
pour traîner sur internet, vêtu d'un simple t-shirt et d'un caleçon. Au bout d'une
heure, je fus dérangé par la sonnette de l'appartement. C'était la première fois que
je l'entendais retentir. Pris de court, j'enfilai en vitesse ma robe de chambre et me
dirigeai vers la porte d'entrée. Un rapide coup d'oeil à travers le judas : c'était
Baakari ! Décidément, cet homme devenait encombrant ! L'immeuble n'était pas très bien
isolé, il m'avait donc forcément entendu me déplacer dans l'appartement : j'étais
obligé d'ouvrir, où j'allais passer pour un malotru. A regret, je tournai le verrou et
entrouvris la porte. Le sourire impeccablement blanc de Baakari m'attendait.
- Bonjour Jean ! Désolé de vous déranger, mais je viens de m'apercevoir que je n'ai
plus d'oeufs chez moi, et il m'en faudrait deux pour ce midi. Comme nous avons fait
connaissance hier, je me suis dis que j'allais passer vous en demander ! C'est
important l'entraide entre voisins.
Je n'étais pas ravi de le revoir aussi vite, mais après tout, il ne s'agissait que de
quelques œufs.
- Ah ! Eh bien, justement j'en ai racheté hier. Entrez, je vais vous donner ça.
Baakari pénétra dans l'appartement à ma suite. Il avait la même tenue « sportive » que
le jour précédent. J'engageai la conversation pendant que je cherchais les œufs dans
le frigo. Lui se tenait debout dans le salon, de l'autre côté du bar de la cuisine
américaine.
- Vous allez bien depuis hier ? L'entraînement s'est-il bien passé ?
- Parfaitement bien, me répondit Baakari. J'ai aussi passé une belle soirée, qui avait
bien commencé puisque j'ai rencontré Charlotte...
Mon sang se glaça lorsque j'entendis ces paroles. Baakari les avait prononcées d'un
air tellement satisfait, on aurait dit qu'il me provoquait... J'avais toujours la tête
dans le frigo, mais je sentais son regard pénétrant dans mon dos.
- Ah ! C'est très bien ! répondis-je d'un air faussement détaché. Et... vous vous êtes
bien entendus ?
- Vous n'avez pas idée ! Elle me plaît encore plus de près que depuis ma fenêtre ! Et
j'ai eu le sentiment que c'était réciproque... D'ailleurs, nous avons échangé des
textos toute la soirée ! J'espère que ça ne vous dérange pas !
A ces mots, je fis volte-face pour le regarder dans les yeux. Cet homme allait
décidément trop loin ! Je restais très intimidé par sa carrure, mais je ne pouvais
plus supporter ses allusions lubriques. Dans le même temps, j'étais choqué par ce
qu'il venait de m'annoncer. Des textos toute la soirée ! C'était peut-être une
provocation, mais il est vrai que je n'avais pas pu surveiller Charlotte, puisqu'elle
avait regardé la télévision dans le salon jusqu'à minuit.
- Vous... vous m'ennuyez avec votre petit jeu, osai-je lui lancer. Vous essayez
manifestement de casser mon couple, mais je ne crois pas à vos mensonges ! J'aime
Charlotte, et vous ne parviendrez pas à nous séparer !
- Je vois... Le numéro des amoureux fidèles, ironisa-t-il. Dans ce cas, pourquoi ne
pas vérifier par vous-même... Regardez !
Baakari sortit son portable de sa poche de survêtement, appuya sur quelques touches,
puis me tendit l'appareil. Je ne voulais pas entrer dans son jeu, mais la curiosité me
poussa à y jeter un œil. Il s'agissait bien d'un échange de textos avec une certaine
« Charlotte », et le numéro correspondait à celui de ma copine ! Il commençait par lui
avouer qu'il l'avait trouvée charmante, ce à quoi elle répondait par des remerciements
gênés. Mais à mesure que les messages s'enchaînaient, la conversation devenait de plus
en plus chaude. Il lui demandait si elle était toujours restée fidèle, la réponse
était oui (ce qui me soulagea grandement), mais elle finissait par lui confier qu'elle
se touchait régulièrement en pensant à d'autres hommes. Il se vantait carrément
d'avoir un sexe de 25cm et de donner énormément de plaisir aux femmes, et Charlotte
lui répondait « Hmmm... Arrête ça tu me troubles... ». Et la conversation continuait
ainsi de 20h45 à 23h30 !
Tout s'effondrait autour de moi. Ma petite amie avait flirté toute la soirée avec un
homme bien plus viril et séduisant que moi ! Si je n'avais pas été là, dieu sait ce
qui aurait pu se passer entre eux ! Je n'osais maintenant plus regarder Baakari dans
les yeux. J'avais le sentiment d'être une proie en face d'un mâle dominant, satisfait
d'avoir gagné son combat et prêt à me voler ma vie et ma copine. Je sanglotais, de
honte et de tristesse. Lui ricanait en me toisant du regard. Lorsqu'il reprit la
parole, son ton n'était plus du tout le même.
- Ecoute-moi, Jean. Je vais te tutoyer, puisque je tutoie déjà ta copine. Charlotte
est beaucoup trop belle pour toi, tu le sais. Tu pensais pouvoir faire toute une vie
avec elle sans pouvoir la satisfaire ? Ce genre de femme a besoin d'un vrai mâle, d'un
homme comme moi qui lui donne du plaisir et en fait une petite chienne affamée de
bite. En à peine 5 minutes de conversation, je l'ai compris, et elle aussi. Je n'ai
plus qu'un mot à dire pour qu'elle se jette à mes pieds et me supplie de lui bourrer
la chatte. Tu l'as déjà perdue, tu dois l'accepter...
- Non... non, je t'en supplie... On s'aime, laisse-la tranquille... Je te donnerai
tout ce que tu voudras, mais ne bousille pas mon couple, s'il-te-plaît...
J'en étais réduit à supplier un homme pour qu'il ne baise pas ma copine. J'étais
pitoyable. Jamais de ma vie je ne m'étais senti aussi soumis et impuissant face à
quelqu'un. J'étais complètement pris au piège : d'après les textos, il avait réussi à
séduire Charlotte, je ne pouvais que le reconnaître.
- Tout ce que je veux ? Mais c'est le corps de ta copine que je veux ! Non, non... Si
je renonçais à Charlotte, il me faudrait autre chose pour compenser... Elle m'a
drôlement excité hier soir, la petite salope... Je suis sûr que c'est un bon coup, je
ne peux pas m'asseoir dessus sans contrepartie !
Naïvement, j'eus l'impression qu'il ouvrait la porte à un possible compromis. Je me
jetai dessus avec l'énergie du désespoir.
- Une contrepartie ? Oui, dis-moi ! Tu veux que je te paye une escort ? C'est comme tu
veux, je te paye qui tu veux !
- Hmmmm, tu n'as pas l'air de comprendre, me lança Baakari avec condescendance et
mépris. Je voulais baiser la bouche de ta copine et lui dépuceler le cul. Elle m'a dit
qu'elle en mourait d'envie. Si je ne peux pas avoir ça, c'est TA bouche et TON cul que
je veux ! Avec ton tempérament de soumis, je suis sûr que tu serais foutu d'aimer ça !
J'étais loin de m'attendre à ça ! Je me sentais encore plus humilié par sa demande. Je
dois bien avouer que le sentiment de soumission que j'avais ressenti en lisant les
textos faisait de Baakari une sorte de sur-homme à mes yeux, contre qui je ne pouvais
absolument pas lutter. L'humiliation qu'il m'infligeait en séduisant ma femme
quasiment sous mes yeux instaurait entre nous un rapport de virilité presque sexuel.
Mais de là à me laisser abuser par lui ! Je n'avais jamais eu d'expérience
homosexuelle, même s'il m'était arrivé d'y penser pendant mon adolescence. Si je le
laissais me prendre la bouche et le cul, je le laissais en même temps aller au bout de
son entreprise de soumission, car je m'offrais complètement à lui. Et force m'était de
constater que sa demande, qui me poussait à abandonner toute forme de virilité, avait
quelque chose d'excitant.
- Tu... tu es sérieux ? lui demandai-je. Si je fais ce que tu demandes, tu laisseras
Charlotte tranquille ?
- Il ne te faut pas longtemps pour envisager de passer à la casserole ! s'exclama-t-
il. J'étais sûr qu'il y avait deux femmes dans votre couple ! Qu'on soit bien clair :
si tu te laisses aller entre mes mains, peut-être que j'oublierai ta copine... Tout ce
que je veux, c'est une salope à baiser !
- … Alors c'est d'accord, dis-je en gardant les yeux baissés. Je vais le faire...
J'avais dit oui. A cet instant précis, j'avais définitivement accepté la victoire de
Baakari. Désormais, il était le mâle, et moi sa chose... Et ce uniquement pour garder
Charlotte...
- Très bien, Jean, voilà qui est raisonnable. Enlève-moi cette robe de chambre et
mets-toi à genoux, et vite !
Je m'exécutai et me retrouvai en caleçon et en t-shirt, ce qui me donnait vraiment
l'air d'une crevette à côté de Baakari et son imposante silhouette. Il ôta son t-shirt
et libéra un buste excessivement musclé. J'aurais tellement aimé être bâti comme lui !
- Approche-toi de moi en tordant du cul ! Fais la salope, vas-y ! Par terre,
maintenant ! Ma bite attend qu'on s'occupe d'elle !
J'obéissais à ses ordres et je me tortillais sur place, en essayant d'imiter les
femmes que j'avais vu faire dans les pornos. Je me cambrai au maximum avant de
terminer à genoux, la visage à quelques centimètres de son paquet. Visiblement, mon
petit numéro lui avait plu, puisqu'une bosse énorme s'était dessinée au niveau de son
entrejambe. Je ne voyais pas encore son sexe, mais je me disais qu'il n'avait
finalement pas menti en se vantant auprès de ma copine !
- Commence par me la gober à travers le survêtement... Oui... N'avale pas ta salive,
laisse tout couler comme une vraie femelle ! Aaaah...
A travers le tissu, je pouvais sentir un léger goût salé. Sa verge devait déjà
commencer à suinter... Soudain, Baakari s'écarta de quelques centimètres et fit tomber
son pantalon et son caleçon au niveau de ses chevilles. Il libéra alors un pénis
absolument magnifique. Noir comme l'ébène, il était décalotté et mesurait
effectivement 25cm. Les veines apparentes qui courraient le long de la verge et le
gland extrêmement large (environ 6cm selon moi) donnaient à l'ensemble un air
incroyablement puissant. Je fus estomaqué devant ce qui m'apparut être la quintessence
de la virilité. A ce moment, je me sentais comme n'importe quelle femme se serait
sentie devant un tel engin : totalement excité. Alors qu'il était encore penché pour
ôter complètement son survêtement et son caleçon, Baakari m'attrapa la tête de ses
deux mains et me pinça le nez. J'ouvris la bouche par réflexe, et mon amant en profita
pour y engouffrer violemment son chibre. Surpris, je déglutis violemment et je crus un
moment que j'allais vomir. Au lieu de ça, je déversai une quantité impressionnante de
salive, qui dégoulina sur le sexe en érection et sur mon menton. Baakari me maintint
un moment le visage sans bouger, puis commença des va-et-vient qui s'accélérèrent
rapidement. Il me baisait littéralement la bouche. Si je ne me sentais pas homosexuel
quelques minutes auparavant, j'étais désormais une suceuse, soumise au fantasme et au
rythme de son mâle dominant. Je le suçai ainsi pendant de nombreuses minutes. Aux
soupirs de plaisir qu'il lançait, je compris que Baakari prenait de plus en plus son
pied. Moi même, qui avait si longtemps ignoré ma vraie nature, je commençais à me
prendre au jeu de la soumission. La scène était terriblement excitante : mon amant
était debout, complètement nu excepté ses chaussures et ses chaussettes qu'il avait
gardés aux pieds ; moi, j'étais à genoux, son sexe en bouche et de la salive plein le
cou et le t-shirt, ce qui me donnait l'air d'une salope de film porno. Sans m'en
rendre compte, je m'étais moi-même mis à bander. La vérité était que je souhaitais
satisfaire Baakari : je voulais qu'il connaisse la meilleure fellation de sa vie ! Je
me mis donc à imprimer mon propre rythme pour pomper au mieux la verge d'ébène qui
m'était offerte. Je tournais frénétiquement ma langue autour du gland qui remplissais
ma bouche. Baakari était aux anges.
- Oh putaaaiiiin... Mmmhhhhhhhhhhh... T'es une vraie salope toi ! Suce-moi bien, ma
petite Jeanne ! Ca te va mieux que Jean, hein ? T'es une petite femelle qui s'ignore,
voilà la vérité ! Mets-toi à quatre pattes et cambre-toi !
J'obéis, en prenant la liberté de baisser mon caleçon jusqu'aux genoux. Je me cambrai
une nouvelle fois, pour donner à mon cul la plus belle forme possible.
- Waaooh ! renchérit Baakari. Même ton corps est digne des plus belles femelles ! On
se demande comment une femme comme Charlotte peut être attirée par une pédale comme
toi ! Souriiiiiis !
J'entendis un bruit d'appareil photo. Relevant les yeux vers Baakari, je vis qu'il me
visait avec son portable. Il venait d'immortaliser ma position humiliante, sa bite en
bouche et les fesses ressorties au maximum. Au fond de moi, je voulais protester, lui
demander de supprimer la photo qu'il avait prise, mais l'excitation me faisait
complètement perdre la tête. Je n'avais plus aucune notion des réalités. Plus Baakari
m'insultait, me traitait de salope, de traînée, plus j'avalais sa verge avec envie. En
me tirant par les cheveux, il me traîna jusqu'au salon, sans que son chibre ne quitte
un seul instant ma bouche. Il s'assit dans le canapé, et m'ordonna de continuer ma
besogne. Il avait toujours son téléphone à la main.
- Dire que c'est sur ce canapé que ta copine s'est doigtée hier soir en pensant à
moi ! Je crois qu'on va changer les règles du jeu, ma petite Jeanne. Tu es une très
bonne suceuse, mais j'ai vraiment très envie de baiser Charlotte, et sous tes yeux en
plus !
Je me libérai un instant de sa bite pour lui répondre. Il en profita pour me donner
des petits coups de verge sur le visage.
- Comment ça ? protestai-je. Tu m'avais promis ! Je suis une bonne salope, je te suce
depuis au moins dix minutes !
- Ne réponds-pas, petite pute ! m'asséna-t-il. Tu préfères peut-être que ta copine et
toute ta famille reçoivent des photos de toi en train de me pomper ? Alors tu vas être
bien sage et continuer à me sucer pendant que je donne rendez-vous à Charlotte... Et
j'ai une petite idée pour que tu profites du spectacle sans qu'elle s'en aperçoive !
J'étais encore une fois pris au piège. Mais j'étais loin d'être aussi révolté que
quinze minutes auparavant, lorsque Baakari m'avait annoncé qu'il avait réussi à
séduire Charlotte. Dorénavant, je me sentais la pute de ce beau noir, et après tout,
il était normal qu'il ait également le droit de soumettre ma copine... D'ailleurs,
j'avais machinalement recommencé à lécher la bite de Baakari, pendant qu'il me
menaçait de publier les photos. Une vraie salope !
- Et puis tiens, j'ai une meilleure idée, s'exclama soudain Baakari. C'est toi qui vas
lui écrire le message que je te dicterai, pendant que tu me pompes !
Mon homme me tendit une nouvelle fois son portable, et me dicta le message suivant :
« J'ai croisé ton copain impuissant qui partait faire des courses. Arrange-toi pour
t'absenter du boulot, je t'attends à mon appart dans 20 minutes. Tu vas prendre la
bite dont tu as rêvé toute la nuit... » Baakari m'ordonna de garder son téléphone pour
lui lire moi-même la réponse. Elle ne tarda pas à arriver. Le message de Charlotte
disait : « Je pars tout de suite. J'ai hâte ». Cela excita encore plus Baakari, qui me
confia qu'il était sur le point de jouir. Il sortit sa verge de mon trou oral et se
masturba frénétiquement à quelques millimètres de mon visage. Dans un râle puissant,
il déversa ce qui me sembla être des litres de sperme sur « ma gueule de salope »,
comme il l'appelait. Au fond de moi, j'étais heureux : cela signifiait que je l'avais
satisfait.
- Ooooouh ! C'est trop booooon, lâcha Baakari. Mais vu ton attitude, on dirait que toi
aussi tu as aimé, ma petite Jeanne ?
En me disant cela, il me caressa tendrement le front avec sa bite. Elle commençait
déjà à débander, mais gardait une taille impressionnante. Moi, j'avais le visage
recouvert de sa semence, et je ne pouvais plus ouvrir mon œil droit, collé par le
sperme. Le jus de mon amant commençait à goutter sur le tapis du salon. J'avais tout
d'une traînée, et pourtant, à cet instant précis, je me sentais incroyablement bien.
- Oui... J'avoue que j'ai aimé être ta petite femelle en chaleur...
Je n'en revenais pas de prononcer des paroles aussi indécentes. Mais c'était vrai :
Baakari m'avait rendu fou de sa bite en seulement 15 minutes.
- Tu n'as pas de chance, ta copine est tellement affamée qu'elle accourt pour se
prendre mon chibre ! Mais ne t'inquiète pas, ton petit cul ne m'échappera pas
longtemps...
Je fis le sourire le plus lubrique possible en regardant dans les yeux ce beau noir au
corps puissant et musclé. Je me demandais ce qui allait se passer avec Charlotte, mais
plus encore, je me demandais si j'allais un jour aller jusqu'au bout avec Baakari, qui
venait de m'initier à un plaisir nouveau et intense. Plus rien ne comptait à part le
sexe et la virilité de mon nouvel amant. Pas même le fait que manifestement, il était
sur le point de dévergonder ma copine...
tranquille.
Je m'appelle Jean, j'ai 25 ans et je vis depuis quatre ans avec ma petite amie
Charlotte, âgée de 23 ans. Charlotte est ce qu'on appelle une jolie fille. C'est une
vraie blonde aux yeux noisettes. Elle mesure 1m64 pour 50 kg. Elle a la chance d'avoir
de très belles formes : ses hanches sont bien dessinées, elle a un joli petit cul
rebondi et est dotée d'un bonnet 85D, ce qui pour sa taille donne l'impression qu'elle
possède une énorme poitrine.
Je suis conscient d'avoir énormément de chance d'être avec une fille aussi belle et
désirable, mais je dois avouer que côté sexe, je n'en profite pas au maximum.
Charlotte n'est pas très demandeuse en la matière, mais je pense que c'est un peu de
ma faute, car je suis loin d'être le coup du siècle. Je sais pourtant qu'elle aime
faire l'amour et qu'il lui arrive d'être en manque, car j'ai déjà trouvé dans
l'historique de son ordinateur la trace de sites pornographiques. Toutes les vidéos
consultées montraient des mecs bâtis et montés comme des taureaux (je ne mesure
qu'1m75 pour 68kg, et mon sexe mesure 15cm en érection...), défonçant des femmes qui
hurlaient leur plaisir. Cela m'avait fait un choc et m'avait même un peu vexé...
Cela faisait quelques jours que nous avions emménagé dans notre nouvel appartement,
situé au rez-de-chaussée d'un petit immeuble de deux étages. Charlotte travaillait
dans un magasin de prêt-à-porter, elle faisait beaucoup d'heures et rentrait tous les
soirs vers 20h. Moi, j'avais récemment perdu mon emploi d'informaticien, j'occupais
donc mon temps libre à chercher du travail et, depuis le déménagement, à faire toutes
les démarches nécessaires auprès des impôts, de notre banque, de notre fournisseur
d'accès internet...
Il était 17h et je rentrais du supermarché où j'avais fait quelques courses. Nous
n'avions pas encore croisé notre voisin de pallier, et nous nous étions demandé à quoi
il pouvait bien ressembler. J'eus la réponse alors que j'arrivais dans le hall de
l'immeuble. Au moment où je sortais la clé de l'appartement de ma poche, j'entendis la
porte d'à côté s'ouvrir. Je me retournais pour saluer notre nouveau voisin, et j'eus
un choc en le découvrant. Un homme noir d'une trentaine d'années, qui devait bien
mesurer 1m90 pour une centaine de kilos de muscles, se tenait à quelques mètres de
moi. Il était habillé de façon très cool et sportive, avec un pantalon de survêtement
et un t-shirt qui moulait ses imposants pectoraux. Son crâne était rasé et ses yeux
étaient d'un marron très clair, ce qui lui donnait un regard pénétrant et
déstabilisant. Je me sentis tout de suite intimidé face à lui.
- Bonjour ! me lança-t-il joyeusement.
Il avait un accent africain assez marqué, ce qui me fit dire qu'il n'avait
probablement pas grandi en France.
- … Bon... Bonjour, balbutiai-je. Comme vous voyez, je suis votre nouveau voisin !
- Enchanté, répondit-il. Je m'appelle Baakari, j'entraîne l'équipe de foot' de la
commune ! Et vous ?
- Euh... Je m'appelle Jean, je... je suis content de vous rencontrer. On ne s'était
pas encore croisés depuis notre emménagement.
- C'est vrai ! Mais je vous ai aperçu avec votre camionnette de location l'autre jour,
vous et votre... amie. C'est votre femme ?
Cela me dérangea qu'il pose cette question, car en l'apercevant quelques secondes
auparavant, j'avais justement pensé à Charlotte, en me disant qu'un tel homme allait
beaucoup lui plaire...
- Nous ne sommes pas mariés, Charlotte et moi, rétorquai-je. Mais nous sommes ensemble
depuis 6 ans.
Je rajoutais volontairement du temps à notre relation, pour qu'il comprenne qu'entre
Charlotte et moi, c'était du sérieux !
- Charlotte... C'est un joli prénom. Je l'ai trouvée très jolie, en tout cas ! Tout à
fait mon genre de femme...
Je fus frappé par la franchise de Baakari. « Pourquoi ne pas me dire que tu t'es
branlé en pensant à elle, connard ? » me dis-je en mon for intérieur.
- Merci, c'est vrai qu'elle est charmante... Et... Et vous, vous avez une femme ?
- Oh non ! s'exclama-t-il instantanément. Moi et les femmes, ce n'est jamais sérieux.
Je les aime trop pour n'en avoir qu'une, si vous voyez ce que je veux dire !...
Je voyais tout à fait ce qu'il voulait dire. Même si je savais que Charlotte n'était
pas une femme volage, ces quelques mots m'avaient suffit pour considérer Baakari comme
un rival potentiel. Un rival face à qui, bien sûr, je ne faisais pas le poids...
- Ok, Chacun son truc ! Moi et Charlotte, nous préférons les relations sérieuses...
- Je comprends, mais vous savez, les goûts peuvent évoluer... Il suffit de rencontrer
la bonne personne pour vous faire changer d'avis !
Je ne savais pas vraiment à quel jeu jouait mon interlocuteur, mais j'étais déjà
troublé par le peu qu'il m'avait dit, et j'eus soudain envie de me débarrasser de lui.
- Tout à fait, tout à fait... Veuillez m'excuser, Baakari, mais je suis un peu pressé,
j'ai des choses à mettre au frais et un repas à préparer pour ce soir ! Nous aurons
certainement l'occasion de nous recroiser pour discuter.
- Pas de problème, dit Baakari. De toute façon, je dois être au stade pour 17h30. Je
demande aux jeunes d'être à l'heure à l'entraînement, alors ce ne serait pas normal
que moi, je sois en retard... A bientôt alors, Jean !
Je le vis, lui et ses épaules incroyablement carrées, sortir du hall d'immeuble et
s'éloigner à travers le parking.
Une fois rentré dans l'appartement, je ne parvins pas à me sortir ce Baakari de la
tête. Je l'avais trouvé bien trop séduisant, et surtout bien trop intéressé par ma
copine ! Je me demandais également ce que Charlotte allait penser de ce nouveau
voisin. Malgré toutes ces questions qui se bousculaient dans mon esprit, je dus
revenir à des considérations plus pragmatiques, et au repas que j'avais promis à
Charlotte pour son retour ! J'ouvris grand les fenêtres qui donnaient sur la terrasse
pour aérer, car nous avions repeint l'appartement avant d'emménager, et l'odeur
n'avait pas complètement disparu. Puis je me dirigeai vers la cuisine pour me mettre à
la tâche...
Un peu avant 20h, alors que je rêvassais en regardant la télé depuis la cuisine, je
fus interpellé par un éclat de rire qui venait de l'extérieur. Après quelques
instants, je crus reconnaître les intonations et le timbre de ma petite amie
Charlotte. Heureux de la savoir de retour, je me dirigeai vers la fenêtre pour tenter
de l'apercevoir. Même si nous habitions au rez-de-chaussée, notre terrasse était un
peu en retrait par rapport au parking, ce qui me permit de voir ce qui s'y passait
sans être vu. Charlotte était bien là, à côté de sa voiture qu'elle venait de garer,
mais elle n'était pas seule ! La personne avec qui elle discutait en riant aux éclats
n'était autre que notre nouveau voisin Baakari ! J'eus instantanément la boule au
ventre. Ce salaud devait rentrer de l'entraînement de football, et profitait de mon
absence pour faire connaissance avec ma copine. Je ne parvenais pas à discerner les
mots qu'ils prononçaient, mais cela semblait réjouir Charlotte, qui avait le sourire
jusqu'aux oreilles. Elle passait son temps à se toucher les cheveux et à se
trémousser. Peut-être me faisais-je des idées, mais j'avais l'impression qu'elle
faisait tout pour aguicher ce beau black. Leur conversation dura un bon quart d'heure.
Au moment de se quitter, ils sortirent chacun leur téléphone portable : je compris
qu'ils étaient en train de s'échanger leur numéro ! J'étais fou de rage, mais je me
rendis compte que les avais épié 15 minutes durant sans oser intervenir. Quelle
lavette j'étais ! Quand j'entendis la clé dans la serrure, je me précipitai dans la
cuisine pour reprendre ma position initiale.
- C'est moi, chéri ! annonça Charlotte en pénétrant dans la pièce. Ca sent drôlement
bon, c'est la dinde que tu m'as promis ?...
Nous échangeâmes quelques banalités. Je pris soin de ne pas parler de ce que j'avais
vu, pour voir si elle allait oser aborder le sujet. Elle ne toucha pas un mot de sa
rencontre avec Baakari ! Pire, lorsque j'annonçai innocemment avoir fait la
connaissance du nouveau voisin dans le hall, un « grand black imposant », elle prit un
air surpris et me dit qu'elle avait hâte de le croiser pour voir à quoi il
ressemblait ! J'étais de plus en plus vexé. Je n'osai évidemment pas lui dire ce que
j'avais vu même si je me sentais trahi.
Nous passâmes une soirée ordinaire. Moi dans le bureau, sur l'ordinateur pour
rechercher des offres d'emploi, Charlotte dans le salon, sur la canapé devant la
télévision. Même si je repensai à Baakari toute la soirée, je finis par relativiser :
Charlotte avait sûrement eu peur de ma réaction, sachant que j'étais d'un naturel
jaloux et qu'elle s'était très bien entendue avec notre nouveau voisin. Je décidai
donc d'oublier cette histoire. Nous ne fîmes pas l'amour au moment du coucher, mais
alors que je la prenais dans mes bras pour lui souhaiter bonne nuit, il me sembla que
Charlotte avait le sexe humide. Mais peut-être, encore une fois, avais-je rêvé...
Le lendemain matin, Charlotte partit travailler à 8h. J'avais rendez-vous à Pôle
Emploi à 14h, ce qui me laissait la matinée libre. Je m'installai devant l'ordinateur
pour traîner sur internet, vêtu d'un simple t-shirt et d'un caleçon. Au bout d'une
heure, je fus dérangé par la sonnette de l'appartement. C'était la première fois que
je l'entendais retentir. Pris de court, j'enfilai en vitesse ma robe de chambre et me
dirigeai vers la porte d'entrée. Un rapide coup d'oeil à travers le judas : c'était
Baakari ! Décidément, cet homme devenait encombrant ! L'immeuble n'était pas très bien
isolé, il m'avait donc forcément entendu me déplacer dans l'appartement : j'étais
obligé d'ouvrir, où j'allais passer pour un malotru. A regret, je tournai le verrou et
entrouvris la porte. Le sourire impeccablement blanc de Baakari m'attendait.
- Bonjour Jean ! Désolé de vous déranger, mais je viens de m'apercevoir que je n'ai
plus d'oeufs chez moi, et il m'en faudrait deux pour ce midi. Comme nous avons fait
connaissance hier, je me suis dis que j'allais passer vous en demander ! C'est
important l'entraide entre voisins.
Je n'étais pas ravi de le revoir aussi vite, mais après tout, il ne s'agissait que de
quelques œufs.
- Ah ! Eh bien, justement j'en ai racheté hier. Entrez, je vais vous donner ça.
Baakari pénétra dans l'appartement à ma suite. Il avait la même tenue « sportive » que
le jour précédent. J'engageai la conversation pendant que je cherchais les œufs dans
le frigo. Lui se tenait debout dans le salon, de l'autre côté du bar de la cuisine
américaine.
- Vous allez bien depuis hier ? L'entraînement s'est-il bien passé ?
- Parfaitement bien, me répondit Baakari. J'ai aussi passé une belle soirée, qui avait
bien commencé puisque j'ai rencontré Charlotte...
Mon sang se glaça lorsque j'entendis ces paroles. Baakari les avait prononcées d'un
air tellement satisfait, on aurait dit qu'il me provoquait... J'avais toujours la tête
dans le frigo, mais je sentais son regard pénétrant dans mon dos.
- Ah ! C'est très bien ! répondis-je d'un air faussement détaché. Et... vous vous êtes
bien entendus ?
- Vous n'avez pas idée ! Elle me plaît encore plus de près que depuis ma fenêtre ! Et
j'ai eu le sentiment que c'était réciproque... D'ailleurs, nous avons échangé des
textos toute la soirée ! J'espère que ça ne vous dérange pas !
A ces mots, je fis volte-face pour le regarder dans les yeux. Cet homme allait
décidément trop loin ! Je restais très intimidé par sa carrure, mais je ne pouvais
plus supporter ses allusions lubriques. Dans le même temps, j'étais choqué par ce
qu'il venait de m'annoncer. Des textos toute la soirée ! C'était peut-être une
provocation, mais il est vrai que je n'avais pas pu surveiller Charlotte, puisqu'elle
avait regardé la télévision dans le salon jusqu'à minuit.
- Vous... vous m'ennuyez avec votre petit jeu, osai-je lui lancer. Vous essayez
manifestement de casser mon couple, mais je ne crois pas à vos mensonges ! J'aime
Charlotte, et vous ne parviendrez pas à nous séparer !
- Je vois... Le numéro des amoureux fidèles, ironisa-t-il. Dans ce cas, pourquoi ne
pas vérifier par vous-même... Regardez !
Baakari sortit son portable de sa poche de survêtement, appuya sur quelques touches,
puis me tendit l'appareil. Je ne voulais pas entrer dans son jeu, mais la curiosité me
poussa à y jeter un œil. Il s'agissait bien d'un échange de textos avec une certaine
« Charlotte », et le numéro correspondait à celui de ma copine ! Il commençait par lui
avouer qu'il l'avait trouvée charmante, ce à quoi elle répondait par des remerciements
gênés. Mais à mesure que les messages s'enchaînaient, la conversation devenait de plus
en plus chaude. Il lui demandait si elle était toujours restée fidèle, la réponse
était oui (ce qui me soulagea grandement), mais elle finissait par lui confier qu'elle
se touchait régulièrement en pensant à d'autres hommes. Il se vantait carrément
d'avoir un sexe de 25cm et de donner énormément de plaisir aux femmes, et Charlotte
lui répondait « Hmmm... Arrête ça tu me troubles... ». Et la conversation continuait
ainsi de 20h45 à 23h30 !
Tout s'effondrait autour de moi. Ma petite amie avait flirté toute la soirée avec un
homme bien plus viril et séduisant que moi ! Si je n'avais pas été là, dieu sait ce
qui aurait pu se passer entre eux ! Je n'osais maintenant plus regarder Baakari dans
les yeux. J'avais le sentiment d'être une proie en face d'un mâle dominant, satisfait
d'avoir gagné son combat et prêt à me voler ma vie et ma copine. Je sanglotais, de
honte et de tristesse. Lui ricanait en me toisant du regard. Lorsqu'il reprit la
parole, son ton n'était plus du tout le même.
- Ecoute-moi, Jean. Je vais te tutoyer, puisque je tutoie déjà ta copine. Charlotte
est beaucoup trop belle pour toi, tu le sais. Tu pensais pouvoir faire toute une vie
avec elle sans pouvoir la satisfaire ? Ce genre de femme a besoin d'un vrai mâle, d'un
homme comme moi qui lui donne du plaisir et en fait une petite chienne affamée de
bite. En à peine 5 minutes de conversation, je l'ai compris, et elle aussi. Je n'ai
plus qu'un mot à dire pour qu'elle se jette à mes pieds et me supplie de lui bourrer
la chatte. Tu l'as déjà perdue, tu dois l'accepter...
- Non... non, je t'en supplie... On s'aime, laisse-la tranquille... Je te donnerai
tout ce que tu voudras, mais ne bousille pas mon couple, s'il-te-plaît...
J'en étais réduit à supplier un homme pour qu'il ne baise pas ma copine. J'étais
pitoyable. Jamais de ma vie je ne m'étais senti aussi soumis et impuissant face à
quelqu'un. J'étais complètement pris au piège : d'après les textos, il avait réussi à
séduire Charlotte, je ne pouvais que le reconnaître.
- Tout ce que je veux ? Mais c'est le corps de ta copine que je veux ! Non, non... Si
je renonçais à Charlotte, il me faudrait autre chose pour compenser... Elle m'a
drôlement excité hier soir, la petite salope... Je suis sûr que c'est un bon coup, je
ne peux pas m'asseoir dessus sans contrepartie !
Naïvement, j'eus l'impression qu'il ouvrait la porte à un possible compromis. Je me
jetai dessus avec l'énergie du désespoir.
- Une contrepartie ? Oui, dis-moi ! Tu veux que je te paye une escort ? C'est comme tu
veux, je te paye qui tu veux !
- Hmmmm, tu n'as pas l'air de comprendre, me lança Baakari avec condescendance et
mépris. Je voulais baiser la bouche de ta copine et lui dépuceler le cul. Elle m'a dit
qu'elle en mourait d'envie. Si je ne peux pas avoir ça, c'est TA bouche et TON cul que
je veux ! Avec ton tempérament de soumis, je suis sûr que tu serais foutu d'aimer ça !
J'étais loin de m'attendre à ça ! Je me sentais encore plus humilié par sa demande. Je
dois bien avouer que le sentiment de soumission que j'avais ressenti en lisant les
textos faisait de Baakari une sorte de sur-homme à mes yeux, contre qui je ne pouvais
absolument pas lutter. L'humiliation qu'il m'infligeait en séduisant ma femme
quasiment sous mes yeux instaurait entre nous un rapport de virilité presque sexuel.
Mais de là à me laisser abuser par lui ! Je n'avais jamais eu d'expérience
homosexuelle, même s'il m'était arrivé d'y penser pendant mon adolescence. Si je le
laissais me prendre la bouche et le cul, je le laissais en même temps aller au bout de
son entreprise de soumission, car je m'offrais complètement à lui. Et force m'était de
constater que sa demande, qui me poussait à abandonner toute forme de virilité, avait
quelque chose d'excitant.
- Tu... tu es sérieux ? lui demandai-je. Si je fais ce que tu demandes, tu laisseras
Charlotte tranquille ?
- Il ne te faut pas longtemps pour envisager de passer à la casserole ! s'exclama-t-
il. J'étais sûr qu'il y avait deux femmes dans votre couple ! Qu'on soit bien clair :
si tu te laisses aller entre mes mains, peut-être que j'oublierai ta copine... Tout ce
que je veux, c'est une salope à baiser !
- … Alors c'est d'accord, dis-je en gardant les yeux baissés. Je vais le faire...
J'avais dit oui. A cet instant précis, j'avais définitivement accepté la victoire de
Baakari. Désormais, il était le mâle, et moi sa chose... Et ce uniquement pour garder
Charlotte...
- Très bien, Jean, voilà qui est raisonnable. Enlève-moi cette robe de chambre et
mets-toi à genoux, et vite !
Je m'exécutai et me retrouvai en caleçon et en t-shirt, ce qui me donnait vraiment
l'air d'une crevette à côté de Baakari et son imposante silhouette. Il ôta son t-shirt
et libéra un buste excessivement musclé. J'aurais tellement aimé être bâti comme lui !
- Approche-toi de moi en tordant du cul ! Fais la salope, vas-y ! Par terre,
maintenant ! Ma bite attend qu'on s'occupe d'elle !
J'obéissais à ses ordres et je me tortillais sur place, en essayant d'imiter les
femmes que j'avais vu faire dans les pornos. Je me cambrai au maximum avant de
terminer à genoux, la visage à quelques centimètres de son paquet. Visiblement, mon
petit numéro lui avait plu, puisqu'une bosse énorme s'était dessinée au niveau de son
entrejambe. Je ne voyais pas encore son sexe, mais je me disais qu'il n'avait
finalement pas menti en se vantant auprès de ma copine !
- Commence par me la gober à travers le survêtement... Oui... N'avale pas ta salive,
laisse tout couler comme une vraie femelle ! Aaaah...
A travers le tissu, je pouvais sentir un léger goût salé. Sa verge devait déjà
commencer à suinter... Soudain, Baakari s'écarta de quelques centimètres et fit tomber
son pantalon et son caleçon au niveau de ses chevilles. Il libéra alors un pénis
absolument magnifique. Noir comme l'ébène, il était décalotté et mesurait
effectivement 25cm. Les veines apparentes qui courraient le long de la verge et le
gland extrêmement large (environ 6cm selon moi) donnaient à l'ensemble un air
incroyablement puissant. Je fus estomaqué devant ce qui m'apparut être la quintessence
de la virilité. A ce moment, je me sentais comme n'importe quelle femme se serait
sentie devant un tel engin : totalement excité. Alors qu'il était encore penché pour
ôter complètement son survêtement et son caleçon, Baakari m'attrapa la tête de ses
deux mains et me pinça le nez. J'ouvris la bouche par réflexe, et mon amant en profita
pour y engouffrer violemment son chibre. Surpris, je déglutis violemment et je crus un
moment que j'allais vomir. Au lieu de ça, je déversai une quantité impressionnante de
salive, qui dégoulina sur le sexe en érection et sur mon menton. Baakari me maintint
un moment le visage sans bouger, puis commença des va-et-vient qui s'accélérèrent
rapidement. Il me baisait littéralement la bouche. Si je ne me sentais pas homosexuel
quelques minutes auparavant, j'étais désormais une suceuse, soumise au fantasme et au
rythme de son mâle dominant. Je le suçai ainsi pendant de nombreuses minutes. Aux
soupirs de plaisir qu'il lançait, je compris que Baakari prenait de plus en plus son
pied. Moi même, qui avait si longtemps ignoré ma vraie nature, je commençais à me
prendre au jeu de la soumission. La scène était terriblement excitante : mon amant
était debout, complètement nu excepté ses chaussures et ses chaussettes qu'il avait
gardés aux pieds ; moi, j'étais à genoux, son sexe en bouche et de la salive plein le
cou et le t-shirt, ce qui me donnait l'air d'une salope de film porno. Sans m'en
rendre compte, je m'étais moi-même mis à bander. La vérité était que je souhaitais
satisfaire Baakari : je voulais qu'il connaisse la meilleure fellation de sa vie ! Je
me mis donc à imprimer mon propre rythme pour pomper au mieux la verge d'ébène qui
m'était offerte. Je tournais frénétiquement ma langue autour du gland qui remplissais
ma bouche. Baakari était aux anges.
- Oh putaaaiiiin... Mmmhhhhhhhhhhh... T'es une vraie salope toi ! Suce-moi bien, ma
petite Jeanne ! Ca te va mieux que Jean, hein ? T'es une petite femelle qui s'ignore,
voilà la vérité ! Mets-toi à quatre pattes et cambre-toi !
J'obéis, en prenant la liberté de baisser mon caleçon jusqu'aux genoux. Je me cambrai
une nouvelle fois, pour donner à mon cul la plus belle forme possible.
- Waaooh ! renchérit Baakari. Même ton corps est digne des plus belles femelles ! On
se demande comment une femme comme Charlotte peut être attirée par une pédale comme
toi ! Souriiiiiis !
J'entendis un bruit d'appareil photo. Relevant les yeux vers Baakari, je vis qu'il me
visait avec son portable. Il venait d'immortaliser ma position humiliante, sa bite en
bouche et les fesses ressorties au maximum. Au fond de moi, je voulais protester, lui
demander de supprimer la photo qu'il avait prise, mais l'excitation me faisait
complètement perdre la tête. Je n'avais plus aucune notion des réalités. Plus Baakari
m'insultait, me traitait de salope, de traînée, plus j'avalais sa verge avec envie. En
me tirant par les cheveux, il me traîna jusqu'au salon, sans que son chibre ne quitte
un seul instant ma bouche. Il s'assit dans le canapé, et m'ordonna de continuer ma
besogne. Il avait toujours son téléphone à la main.
- Dire que c'est sur ce canapé que ta copine s'est doigtée hier soir en pensant à
moi ! Je crois qu'on va changer les règles du jeu, ma petite Jeanne. Tu es une très
bonne suceuse, mais j'ai vraiment très envie de baiser Charlotte, et sous tes yeux en
plus !
Je me libérai un instant de sa bite pour lui répondre. Il en profita pour me donner
des petits coups de verge sur le visage.
- Comment ça ? protestai-je. Tu m'avais promis ! Je suis une bonne salope, je te suce
depuis au moins dix minutes !
- Ne réponds-pas, petite pute ! m'asséna-t-il. Tu préfères peut-être que ta copine et
toute ta famille reçoivent des photos de toi en train de me pomper ? Alors tu vas être
bien sage et continuer à me sucer pendant que je donne rendez-vous à Charlotte... Et
j'ai une petite idée pour que tu profites du spectacle sans qu'elle s'en aperçoive !
J'étais encore une fois pris au piège. Mais j'étais loin d'être aussi révolté que
quinze minutes auparavant, lorsque Baakari m'avait annoncé qu'il avait réussi à
séduire Charlotte. Dorénavant, je me sentais la pute de ce beau noir, et après tout,
il était normal qu'il ait également le droit de soumettre ma copine... D'ailleurs,
j'avais machinalement recommencé à lécher la bite de Baakari, pendant qu'il me
menaçait de publier les photos. Une vraie salope !
- Et puis tiens, j'ai une meilleure idée, s'exclama soudain Baakari. C'est toi qui vas
lui écrire le message que je te dicterai, pendant que tu me pompes !
Mon homme me tendit une nouvelle fois son portable, et me dicta le message suivant :
« J'ai croisé ton copain impuissant qui partait faire des courses. Arrange-toi pour
t'absenter du boulot, je t'attends à mon appart dans 20 minutes. Tu vas prendre la
bite dont tu as rêvé toute la nuit... » Baakari m'ordonna de garder son téléphone pour
lui lire moi-même la réponse. Elle ne tarda pas à arriver. Le message de Charlotte
disait : « Je pars tout de suite. J'ai hâte ». Cela excita encore plus Baakari, qui me
confia qu'il était sur le point de jouir. Il sortit sa verge de mon trou oral et se
masturba frénétiquement à quelques millimètres de mon visage. Dans un râle puissant,
il déversa ce qui me sembla être des litres de sperme sur « ma gueule de salope »,
comme il l'appelait. Au fond de moi, j'étais heureux : cela signifiait que je l'avais
satisfait.
- Ooooouh ! C'est trop booooon, lâcha Baakari. Mais vu ton attitude, on dirait que toi
aussi tu as aimé, ma petite Jeanne ?
En me disant cela, il me caressa tendrement le front avec sa bite. Elle commençait
déjà à débander, mais gardait une taille impressionnante. Moi, j'avais le visage
recouvert de sa semence, et je ne pouvais plus ouvrir mon œil droit, collé par le
sperme. Le jus de mon amant commençait à goutter sur le tapis du salon. J'avais tout
d'une traînée, et pourtant, à cet instant précis, je me sentais incroyablement bien.
- Oui... J'avoue que j'ai aimé être ta petite femelle en chaleur...
Je n'en revenais pas de prononcer des paroles aussi indécentes. Mais c'était vrai :
Baakari m'avait rendu fou de sa bite en seulement 15 minutes.
- Tu n'as pas de chance, ta copine est tellement affamée qu'elle accourt pour se
prendre mon chibre ! Mais ne t'inquiète pas, ton petit cul ne m'échappera pas
longtemps...
Je fis le sourire le plus lubrique possible en regardant dans les yeux ce beau noir au
corps puissant et musclé. Je me demandais ce qui allait se passer avec Charlotte, mais
plus encore, je me demandais si j'allais un jour aller jusqu'au bout avec Baakari, qui
venait de m'initier à un plaisir nouveau et intense. Plus rien ne comptait à part le
sexe et la virilité de mon nouvel amant. Pas même le fait que manifestement, il était
sur le point de dévergonder ma copine...
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