Ce beau voisin qui fit exploser notre couple (3)

- Par l'auteur HDS Histiée -
Récit érotique écrit par Histiée [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ce beau voisin qui fit exploser notre couple (3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-12-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ce beau voisin qui fit exploser notre couple (3)
3 - Mon voisin Baakari offre mon cul à son ami Denis, qui m'initie au plaisir anal !

Résumé du deuxième épisode : Mon voisin Baakari et son copain Denis ont baisé ma
copine Charlotte comme jamais ! A cette occasion, j'ai appris qu'elle me trompait
depuis plusieurs semaines avec son supérieur Greg. Caché dans la chambre d'amis et à
moitié nu, j'ai pu assister à l'intégralité de mon cocufiage. Une fois Charlotte
partie, nous nous retrouvons à nouveau seuls dans l'appartement, moi toujours caché
dans la chambre, Baakari et Denis riant dans le salon...

Assis sur le lit de cette petite chambre d'amis, mon esprit bouillonnait et
ressassait en boucle les récents événements. Du salon me parvenaient les rires de
Baakari et de Denis, dont je ne discernais plus la conversation, perdu dans la brume
de mes pensées. A travers le mur, l'appartement mitoyen laissait échapper un bruit
d'eau qu'on faisait couler. C'était mon appartement, et c'était certainement Charlotte
que j'entendais prendre sa douche. Elle lavait la souillure que venaient de lui
infliger ses deux amants. Peut-être se touchait-elle en repensant au plaisir insensé
qu'elle avait pris ? Un peu à l'ouest, je fus bientôt ramené à la réalité par une
agitation nouvelle qui régnait au salon. Les deux compères, qui quelques temps plus
tôt avaient volé ma copine, étaient en mouvement.
- Tu es sérieux ? demandait Denis. Il est juste là, derrière ?
- On ne peut plus sérieux ! rétorquait Baakari. Et il est entièrement à toi ! Cela
fait déjà deux fois que je me vide depuis ce matin, je ne me sens pas la force de
recommencer aussi vite...
- Comme tu veux, mec ! répondit Denis. Je vais me faire plaisir en le rassasiant...
- Bonne idée ! l'encouragea mon voisin... Ah ! Attends, prends-ça avec toi, je suis
sûr que ça va lui plaire...
Je compris en moins d'une seconde ce qui se passait. Baakari venait de trahir
ma cachette ! Qu'allait-il encore m'arriver ? Humilié, bouleversé, je m'enfonçai un
peu plus vers le fond du lit, espérant ainsi échapper aux deux mâles dominants qui
rôdaient dans l'appartement. Des pas lourds se rapprochèrent de la chambre, une ombre
large et inquiétante se dessina dans l'entrebâillement de la porte. Recroquevillé sur
la couette, je retins mon souffle et attendis. D'un coup, ce grand panneau de bois,
qui m'avait tout ce temps protégé et permis d'assister au dévergondage de Charlotte,
fut grand ouvert. Dans l'encadrement de la porte, grand et fort, se tenait Denis. Il
posa sur moi un regard de feu, qui me figea sur place autant qu'il m'excita. Il était
encore plus impressionnant de face. Pieds nus, le survêtement enfilé à la va-vite et
la chemisette encore entrouverte, Denis tenait dans la main droite un bout de tissu
noir. Je reconnus très vite le string de Charlotte ! La salope était partie en
laissant aux deux compères un petit souvenir de leur baise... Apeuré par la présence
de Denis, qui me fixait toujours des yeux, je restai immobile alors qu'il pénétrait
dans la pièce. Baakari le suivait de près.
- Salut, Jean ! déclara le beau métis avec entrain. Je suis ravi de te rencontrer !
Baakari m'a dit que tu n'étais pas farouche... Tu m'intéresses !...
- C'est le moins qu'on puisse dire ! renchérit mon voisin. Il a assisté bien sagement
à son cocufiage, sans intervenir ! Un vrai petit soumis...
Je me sentais évidemment honteux devant ces deux bêtes de sexe, qui avaient
visité le vagin de Charlotte, et m'observaient maintenant avec amusement et mépris.
D'autant que mon accoutrement était loin d'inspirer le respect.
- Je t'avais promis ta première sodomie, m'annonça Baakari. Finalement, c'est Denis
qui va s'en charger ! Cela fait deux fois aujourd'hui que je promets à quelqu'un de
l'enculer, sans mettre mes menaces à exécution. D'abord Charlotte, maintenant toi...
Mais ne t'inquiète pas, je réglerai ça très prochainement... Crois-moi !
A vrai dire, je ne doutais pas des intentions de Baakari. Dès la fellation que
je lui avais offerte dans la matinée, j'avais senti qu'il finirait par m'avoir ! Ce
n'était que partie remise... Pour le moment, il m'offrait comme une pute à son ami
Denis, et je n'avais aucun moyen, ni d'ailleurs aucune envie d'y échapper ! Mon beau
voisin vint s'installer sur le lit, légèrement à l'écart. Il laissait ainsi le champ
libre à son pote et à sa future femelle. Soumis, acceptant mon sort, je tournai les
yeux vers Denis. Toujours debout près du lit, ce-dernier me fixait avec insistance. Je
lisais déjà la lubricité et l'excitation sur son visage. Je n'avais aucun moyen de
m'observer, mais je pense que ma position, ma tenue, et même le regard que je portais
sur ce métis incroyablement musclé trahissaient également mon attirance pour lui... Il
avait donné énormément de plaisir à ma copine, et cela me rendait jaloux. Il me
fallait moi aussi goûter à la puissance et à la virilité de cet homme magnifique ! Je
le vis me faire un clin d'œil, ce à quoi je répondis en me passant la langue sur les
lèvres. Je ne sais pas d'où me vint cette idée folle, mais je ressentais un
irrésistible besoin de le chauffer, de me comporter comme une femelle en chaleur pour
mieux provoquer son désir. C'était manifestement réussi : son pantalon était
complètement déformé au niveau de l'entrejambe. La bite de mon homme m'appelait de ses
vœux !
- Il paraît que tu suces comme une reine, me lança-t-il soudainement. J'attends de
voir ça ! Descends du lit et viens entamer ton dessert... Vite !
Je n'attendais que cet ordre pour m'abandonner totalement à l'appel du sexe.
Denis et Baakari m'avaient très bien cerné, ils avaient su voir la petite salope qui
sommeillait au fond de moi. Chacun de leurs ordres, chaque marque de domination
m'électrisait un peu plus. J'arrachai rageusement mon t-shirt blanc, pour me retrouver
vêtu d'un simple caleçon, encore souillé par la branlette qui avait accompagné mon
cocufiage, puis je me laissai tomber au sol depuis le lit. A quatre pattes, je rampai
vers Denis en faisant danser mon petit cul. Si Charlotte avait vu ça, je crois qu'elle
m'aurait immédiatement quitté ! Arrivé à hauteur de mon homme, je me mis à genoux et
leva les yeux vers lui.
- Sors ta bite, implorai-je avec lascivité. Je vais la bouffer toute crue...
- Oouuuh ! souffla Denis. Continue comme ça, et je vais t'offrir la baise de ta vie !
Mais avant, tiens ! Enfile ça ! Cela conviendra mieux à une salope comme toi...
Mon homme fit tomber à mes pieds le string noir qu'il tenait dans sa main.
Celui de Charlotte. Je m'empressai de retirer mon caleçon et d'enfiler ce dessous
féminin à la place. Je n'avais encore jamais porté de string, j'éprouvai donc une
sensation étrange, sentant mon entre-fesse violée par cet indécent fil de tissu. A la
fois, je me rendis compte que cette tenue faisait ressortir mes deux petites fesses
rebondies, ce qui décupla mon excitation. Je rapprochai mon visage du corps de Denis
et le suppliai une nouvelle fois de libérer son sexe puissant. Le survêtement fut
écarté et le caleçon tomba aux chevilles. Toujours à genoux, je me retrouvai nez à nez
avec l'instrument du plaisir de Charlotte. Cette belle queue, épaisse et bronzée,
éveillait en moi des sentiments jusque là inconnus. Elle était encore luisante et
recouverte d'un léger liquide, mélange du sperme de Denis et de la mouille de ma
copine. Je ne fus pas rebuté par cette apparente saleté, bien au contraire. D'un
mouvement décidé, j'ouvris la bouche pour accueillir la belle bite qui m'était
offerte. Ce n'était que ma deuxième fellation, mais je me sentais déjà expert en la
matière ! Je commençai par enrouler le gland de ma langue, en libérant sur cette verge
un premier flot de salive. J'entrepris de nettoyer la bûche de Denis avec application,
passant mes lèvres alternativement sur la tige et l'énorme champignon qui la
surplombait. Je n'oubliai pas non plus de m'occuper des testicules, les gobant et les
aspirant à l'envi. J'agrippais de mes mains les cuisses puissantes de mon amant, et je
m'efforçai de faire ressortir mon petit cul au maximum. Ce traitement dura de
nombreuses minutes, pendant lesquelles mon nouveau compagnon sexuel m'arrosa
d'insultes, trahissant le plaisir qu'il prenait en me baisant la bouche. « Oh putain !
Salope ! Vas-y... Ouais ! Même ta chienne de copine ne m'a pas aussi bien sucé !...
Petit pédé, tu vas la prendre ma queue, et tu t'en souviendras ! »
Comme j'ondulais mon corps tout en suçant Denis, le string que je portais
frottait mes testicules et mon anus avec un rythme de plus en plus soutenu. Je fus
surpris de constater que cela m'excitait énormément ! N'y tenant plus, je me sentis
soudain prêt à faire le grand saut, à abandonner ce qui me restait de virilité en
offrant mon antre à mon amant. Libérant ma bouche de sa verge, je le regardai droit
dans les yeux et lui lançai ces paroles pleines d'obscénité :
- Si tu veux me casser le cul, je suis prêt ! Je veux être ta pute !
- Tu n'auras pas à le dire deux fois ! s'exclama Denis, lui aussi électrisé par
l'énergie sexuelle qui régnait dans la chambre. Reste par terre, le cul en l'air ! Je
vais commencer par te prendre comme la petite chienne que tu es !
Obéissant aux ordres de mon maître, je me plaçai à quatre pattes, pointant mes
fesses vers le ciel. Les jambes écartées et la croupe cambrée au maximum, j'allongeai
mes bras vers l'avant et posai ma tête sur le sol, offrant ainsi le meilleur accès
possible vers mon anus. Denis avait raison : j'avais naturellement pris une position
de chienne, attendant impatiemment la saillie de mon mâle dominant. Malgré mon envie
irrésistible de me faire baiser, ramoner, siphonner comme jamais, les dimensions
impressionnantes du sexe de Denis m'inquiétaient. Comment allait-il entrer dans un si
petit trou ?
- Tu n'iras pas trop fort au début, hein ? m'inquiétai-je auprès de mon amant.
- Ne t'inquiète pas, me rassura Denis, des petits culs comme le tien, j'en ai brisé
des dizaines ! Je commencerai doucement, et après cinq minutes tu me supplieras de
tout te donner...
Comme il finissait sa phrase, mon homme plaça mon string sur le côté et
m'écarta les fesses de ses mains expertes. Son souffle chaud se rapprocha de mon
intimité. Je sentis alors l'humidité et la froideur de sa langue entrer en contact
avec ma rondelle. Tout mon corps frissonna d'excitation, et je ne pus retenir un petit
cri de surprise. Le plaisir grimpa progressivement en moi, à mesure que la langue de
mon homme détendait, par l'effet de ses lapements, l'entrée de mes entrailles.
- Ton cul est magnifique, souffla Denis. Pour le moment, il est tout serré... mais
plus pour longtemps !
- Hmmmmmmm, gémis-je avec insistance. Bouffe-le ! Bouffe-moi la chatte ! Je suis ta
femme, ta femelle !... Mon trou t'appartieeeent... !
La fin de ma phrase se perdit dans un gémissement aigu et sensuel. La langue
experte de mon beau métis accélérait ma transformation en petite traînée. Je crois
qu'il me mangea ainsi le cul pendant dix minutes, mais je perdis rapidement la notion
du temps sous l'effet du plaisir. Par moments, je relevais la tête et apercevais
Baakari, sur le lit, qui nous observait avec envie. Il avait sorti sa verge pour se
masturber devant le spectacle de ma soumission. Finalement, Denis libéra sa bouche de
mon entre-fesse et se redressa. Toujours immobile, j'attendais sagement qu'il vienne à
la rencontre de mon anus, ce qu'il fit très rapidement. Le souffle bruyant du fait de
l'excitation qu'il ressentait, mon amant vint se positionner derrière moi, à genoux,
et m'infligea une violente fessée. La claque provoqua en moi une onde de plaisir, qui
se répercuta jusque dans mon anus. Je me rendis compte que moi aussi, je respirais
très bruyamment : j'avais terriblement envie de la queue de cet homme !
- Allez ! Déclara solennellement Denis. Il est temps que tu rejoignes officiellement
la famille des femelles... Ta vraie famille !
Une main m'attrapa fermement une fesse, l'autre m'appuya dans le bas du dos
pour me forcer à me cambrer. Soudain, je sentis une pression contre ma rondelle. J'y
étais ! Denis guida son champignon pour qu'il force, tout doucement, l'entrée de mon
anus. J'étais totalement crispé et attendais calmement la suite, de peur qu'un geste
brusque ne m'empale sur la verge de mon amant. Finalement, Denis donna un ultime coup
de rein et pénétra entièrement en moi ! Je sentis ses couilles claquer contre mes
fesses.
- Haaaaan ! criai-je, secoué par la douleur qui me paralysa sur le coup.
- Doucement, ma belle ! me lança mon amant en me caressant les fesses. Attends
quelques secondes, tu vas te détendre naturellement...
La bite de Denis était enfoncée de moitié dans mon antre. J'avais le sentiment
que chaque millimètre de mon cul était occupé par cette énorme verge, qui menaçait de
me transpercer à tout moment. Puis, après quelques secondes d'immobilisme, je sentis
mon sphincter se détendre, et Denis put commencer à entreprendre de légers mouvements
de bassin.
- Voooilàààà, me rassura-t-il avec tendresse. Ton cul est cassé ! On va pouvoir passer
aux choses sérieuses, ma petite Jeanne... Tu es ma femme, maintenant !
Effectivement, j'étais à présent la traînée de Denis. Pour la première fois de
ma vie, une bite allait et venait dans mon anus, dont la douleur s'estompait peu à
peu. Mes jambes étaient écartées au maximum et mon string noir était déjà en train de
se distendre. S'en apercevant, mon amant, qui commençait à s'épanouir dans mon antre,
tira sur le tissu et l'arracha très facilement. Quelle virilité ! Je me sentais
totalement possédé, et la force avec laquelle mon assaillant me maintenait les hanches
me rendait totalement folle de lui... Le frottement de sa bite dans mon cul arracha
mes premiers gémissements de femelle.
- Alors ? me demanda-t-il. Han !... On y prend vite goût, hein ?
- Oui !... Je commence... Han !... à bien te sentir... en moi ! confiai-je à Denis, le
souffle court.
Après quelques minutes de ce traitement, la douleur des premiers instants
avait laissé place à une vague indicible de plaisir. De plus en plus sûr de lui, mon
homme me donnait maintenant de violents coups de boutoir, ponctués par ses insultes et
ses puissantes fessées.
- Traînée ! Pute ! Tu la sens bien, ma bite de cheval, hein ? T'es fait pour la baise,
t'es fait pour les grosses queues de black !
- Ouiiii ! répliquai-je, envoûté par ces paroles incroyablement viriles et
humiliantes. Je suis une affamée, une salope !
Plus je m'humiliais en reconnaissant ma soumission et ma condition de petite
pute, plus je prenais mon pied. Je m'abandonnais complètement entre les mains de
Denis, qui faisait de moi sa compagne docile et amoureuse. Je sentais dans mon anus la
chaleur et la jouissance provoquées par les assauts de mon amant. Je n'avais qu'une
envie, être baisé de la sorte pendant des heures et des heures. Et manifestement,
cette envie était partagée par mon partenaire.
- Ton cul est génial à baiser ! s'exclama-t-il. On dirait une petite chatte détrempée,
j'entre dedans comme dans du beurre !
- J'aimerais tant être une femme ! Han !... Une petite femme à tes ordres, Denis...
Han !
- Hmmm ! Tu m'excites à mort, Jeanne ! Suis-moi sur le lit, je vais te baiser comme
une femme, puisque c'est ce que tu veux !
Me tirant par les cheveux, Denis me força à me relever. Encore secoué par le
traitement que je venais de subir, je tenais à peine debout ! Mon amant me donna une
claque sur les fesses et m'invita à m'allonger sur la couette. Installé sur le dos, je
fis comme les femmes que j'avais vu faire dans les films pornographiques. J'écartai
les jambes et tendis les bras vers Denis, pour l'inviter à venir en moi. Il ne put
résister au spectacle de débauche que je lui offrais, et se jeta littéralement sur mon
corps. En bonne petite pute, j'enroulai naturellement mes cuisses autour de sa taille,
alors qu'il dirigeait une nouvelle fois sa bite vers mon anus. Je fus soulagé de le
sentir à nouveau dans mon cul, et l'accueillit avec un soupir de satisfaction !
Perdant la raison, j'agrippai le visage de mon amoureux et l'embrassai fougueusement.
D'abord surpris, Denis finit également par sortir sa langue, et nous partageâmes alors
le moment le plus sensuel que je vécus dans ma vie. Amoureuse, j'embrassai l'homme qui
me donnait un plaisir indescriptible à l'aide de sa bite, me fourrant et me
remplissant le cul en véritable bête de sexe. Je sentais contre mon torse son corps
musclé et viril, ruisselant de sueur. J'étais à deux doigts de délirer complètement.
- Je... Han !... vais te faire crier comme une chienne ! me confia alors Denis. Et je
jouirai en toi ! Je suis sûr que tu pourrais tomber enceinte, j'ai vraiment
l'impression... Han !... de baiser une petite femme !
Mon amant accéléra le rythme de ses coups de bite. Je l'enserrais toujours de
mes jambes, le forçant à entrer chaque fois plus profondément en moi. Je lui caressais
le dos de mes mains, j'allais au-devant de ses assauts en avançant mon bassin vers sa
queue. J'étais aux anges ! Sans m'en rendre compte, je m'étais mis à crier des
obscénités et des encouragements à l'attention de mon partenaire. Cette fois, je
délirais pour de bon ! « Plus fort ! », implorais-je, « Prends ta chatte ! »...
« J'aime ta queue ! »... Je ne vivais plus que pour le plaisir de sentir cette grosse
bite me défoncer le cul. Je pense que j'aurais fini par m'évanouir, si Denis n'avait
pas finalement lâché prise. Dans un ultime râle viril, il se vida en moi. Je sentis la
pression du foutre qui envahissait mon anus. J'avais l'impression qu'il y en avait des
litres !
- Aaaaaaaaah ! Aah ! Je t'ai rempli, salope ! Jeanne, tu m'as complètement vidé !!
Mon homme resta de longues minutes sur moi. Je pus sentir sa verge débander
doucement dans mon antre. Il m'embrassa dans le cou, sur le front, sur la bouche... Il
remerciait tendrement sa femelle après avoir bien profité de sa chatte ! Moi, heureux
d'avoir enfin connu le plaisir au féminin, je lui rendais ses baisers et lui caressais
les fesses rebondies et musclées, qui me fascinaient tant.
- Tu ne me feras pas croire que tu es hétéro ! ironisa-t-il. Tu as pris trop de
plaisir pour aimer les femmes ! C'est pour te faire enculer que tu es née, Jeanne !
- Oui... dus-je reconnaître. J'avoue qu'après ça, j'aurai du mal à me passer de
queue... Mais j'aime aussi les femmes ! Charlotte est très belle, elle...
- Charlotte n'est plus à toi ! nous interrompit soudain Baakari. Tu le sais aussi bien
que nous ! Tu es une pute, Jeanne, et tu es faite pour faire plaisir aux hommes. Mets-
toi ça dans la tête !
J'avais fini par complètement oublier la présence de mon voisin, qui s'était
masturbé à quelques centimètres de nous pendant tout ce temps. Je restai coi devant
ses provocations, rouge de honte, incapable de réagir aux humiliations que
m'infligeaient Baakari et Denis. J'avais certes pris un plaisir incroyable en offrant
mon corps à un mâle dominant, mais je n'étais pas pour autant prêt à laisser tomber
Charlotte... Dans l'idéal, j'aurais souhaité qu'elle ne soit jamais au courant de
cette histoire. Mon amant se redressa finalement et partit à la recherche de ses
affaires, abandonnées çà et là dans la chambre. Puis mon voisin reprit la parole d'une
voix autoritaire.
- Maintenant, rhabille-toi et dégage ! m'ordonna-t-il. Demain soir, tu viendras avec
Charlotte prendre l'apéro. 19h chez moi, est-ce que c'est clair ?
- … Ou... oui, balbutiai-je timidement. Comme tu voudras, je... je le dirai à
Charlotte ce soir.
Je me relevai et descendis du lit pour me rhabiller. A ce moment, je sentis le
sperme de Denis couler le long de mes cuisses, en même temps qu'une grande douleur au
niveau de l'anus. J'arrivais à peine à marcher ! Le contrecoup de cette baise
mémorable était pour le moins violent... De son côté, le pote de Baakari ne s'était
toujours pas remis de ses émotions.
- C'était vraiment dingue ! s'extasiait-il. Jeanne, tu fais partie de mes meilleures
coups ! Et pourtant, je préfère largement les femmes d'habitude... Je sais où tu
habites, alors je passerai certainement te voir de temps en temps, pour qu'on remette
ça !
- Haha ! ris-je d'un air gêné. En journée, alors ! Parce que le soir, il y a
Charlotte...
Titubant, sali par cette journée de débauche, je me dirigeai vers la porte
d'entrée. Baakari m'ouvrit la porte en me rappelant l'apéro du lendemain. « Tu n'auras
pas de mal à convaincre Charlotte de revenir me voir, je pense ! », ironisa-t-il en
guise d'aurevoir.

Lorsque je fus dans mon appartement, je me rendis compte qu'il était déjà
15h ! J'avais donc raté mon rendez-vous à Pôle Emploi. Charlotte était repartie au
travail et ne serait pas rentrée avant 20h. Depuis 10h du matin, j'étais passé par
tous les sentiments et tous les stades de la débauche. J'avais d'abord dû sucer
Baakari. Puis j'avais assisté, impuissant, au dévergondage de ma copine entre les
mains de mon voisin et de son ami Denis. Enfin, ce même Denis m'avait initié au
plaisir homosexuel en me faisant admirablement bien l'amour. L'anus douloureux,
épuisé, fourbu, je décidai de me coucher pour me reposer un peu. Baakari nous avait
convié, Charlotte et moi, à un apéritif le lendemain soir. Il nous avait promis à
chacun une sodomie, j'étais donc inquiet pour la suite des événements. J'avais peur
que Charlotte s'abandonne une nouvelle fois entre les mains de ce beau noir. Mais plus
que tout, j'avais peur qu'elle apprenne que moi aussi, j'étais en train de devenir une
salope affamée de verge...

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