Chap 1: L'arrestation

- Par l'auteur HDS Laurescenario -
Auteur femme.
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Récit libertin : Chap 1: L'arrestation Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-01-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(7.0 / 10)

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Chap 1: L'arrestation
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Bonjour,
En premier lieu, je me présente, je m'appelle Laure, j'ai 20 ans et suis une jeune étudiante naïve, timide et coincée. Cette histoire est un fantasme, pas une réalité. Je mesure 1m 62 pour 53 kg, suis châtain avec les yeux bleus et fais du 90 C.

Je rentrais tranquillement tard un soir après une réunion à la fac habillée sagement en jupe chemise soutient-gorge et culotte lorsque sur ma route, j'aperçois un barrage de police avec un policier en uniforme me faisant signe de me garer. Surprise j'obtempère gentiment et me gare sur le côté, attendant le moteur éteint.
Le policier arrive doucement à ma hauteur et en me voyant, ouvre alors brutalement ma portière et me prend par le bras pour me plaquer violemment face au capot
« Ceci est un contrôle de police, ne faites pas d'histoire pendant qu'on fouille votre voiture » me dit-il alors sévèrement sans m'avoir laisser le temps de dire quoi que se soit.
Il me tient fermement m’empêchant de bouger face au capot faisant un clin d’œil à son collègue en lui disant de commencer à chercher
« Mais que se passe-t-il ? » je demande apeurée et impressionnée par leur brutalité
« Ta gueule ! Tu pourras partir quand on te le dira et si on trouve rien, parce qu'on les connaît les petites putes dans ton genre »
Je suis outrée, sidérée par de tels propos.
Pendant ce temps, son collègue fait semblant de fouiller mon coffre et se relève, un sachet rempli de poudre blanche à la main.
« Ça y est j'ai trouvé »
Me collant alors exprès le sachet sous le nez pour m'en faire respirer il dit en rigolant « alors c'est ça que tu cachais sale droguée. Tiens, passes lui les menottes qu'on la ramène au commissariat cette garce »
Son collègue ma passe aussitôt les mains dans le dos et me serre fort les menottes aux poignets avant de me relever et de me pousser brutalement en avant.
« Mais arrêtez, je n'ai rien fait » je crie choquée et énervée par la drogue.
« Ta gueule j'ai dit » me répond-il sévèrement me poussant à l'arrière de la voiture. Je tombe alors la tête en avant sur le siège incapable de me retenir menottée. Ils rigolent en me voyant comme ça les fesses en arrière, ma jupe remontant sur mes cuisses.
L'un en profite alors pour m'asséner une grande fessée avant de dire à son collègue « je vais rester avec elle à l'arrière pendant que tu conduis, comme ça, si elle gueule encore, je lui en remets une. Enfin, je suis sur qu'une prise pareille ça va faire plaisir au chef ».
Le premier s'installe alors au volant et démarre en trombe en mettant la sirène tandis que son collègue, assis à mes cotés, ne m'aide absolument pas à me redresser et s'amuse à me retenir sous le prétexte de m'éviter de tomber en tirant sur ma chemise ou sur ma jupe. Je suis révoltée et me sens ridicule comme ça mais je n'ose rien dire de peur de me reprendre une fessée.
On arrive assez rapidement au commissariat. Me redressant par les menottes, ils me font sortir sans délicatesse de la voiture. Debout après ce voyage, je m’aperçois que ma chemise est complètement déchirée et laisse facilement apparaître mon soutient-gorge a chacun de mes pas. De même, ma jupe remonte largement sur mes cuisses recouvrant à peine le bas de mes fesses.
Visiblement satisfait par l'allure que j'ai comme ça, ils me poussent en avant et me font entrer dans le commissariat « Bonsoir, chers collègues, regardez la traînée qu'on a ramassé ».
Je suis à la fois rouge de honte, outrée et révoltée d'être présentée comme ça et me contente alors de regarder par terre, n'osant pas lever les yeux. Au contraire, tous les hommes présents se retournent vers moi et sourient en me voyant.
On me fait ainsi traverser tout le commissariat puis ils m'emmènent dans une salle d'interrogatoire ou se trouve juste un bureau et un miroir sans tain. Ils m'attachent alors les bras en l'air au centre de la pièce en attendant la venue du commissaire tandis que tous leurs collègues prennent place dans la pièce à côté pour profiter du spectacle visible par la glace sans tain.
Le commissaire entre alors et referme la porte derrière lui. Il s'approche de moi et s'amuse a me coller à nouveau le sachet de coke sous le nez pour m'en faire respirer « alors, petite pute, c'est ça qu'on a trouvé dans ta voiture »
« Mais non arrêtez lâchez moi je n'ai rien fait » je crie agitée par la drogue
« C'est ce qu'elles disent toutes les putes dans ton genre. Et ils t'ont fouillé mes collègues pour voir si tu n'avais rien d'autre de cacher sur toi »
« mais non arrêtez je n'ai rien lâchez moi » je répète toujours énervée par la coke
Le commissaire se tourne alors vers ses collègues « eh bien messieurs, si je comprend bien, il va falloir que je la fouille moi-même. C'est pourtant pas bien difficile avec une garce pareil regardez »
Il se retourne alors face à moi et d'un coup, finit de déchirer ma chemise. Puis, sans hésitation, il empoigne brutalement mes seins et les fait sortir par dessus mon soutient-gorge. « Bon vous voyez apparemment, il n' y a rien en haut » leur dit-il s'amusant à pincer mes tétons pour les faire pointer malgré moi sans égard à mes protestations. « Et en bas, vous avez regardé, parce que je le les connais les salopes comme ça, elles n'hésitent jamais à en mettre dans leur chatte ou dans leur cul »
« Non mr » répondent-ils sérieusement alors que je continue de crier vainement choquée, incapable de bougée menottée.
« Bon, ben je vais être encore obligée de le faire moi-même. Installez la sur le bureau que je m'en occupe ».
Les 2 autres policiers me détachent alors les menottes et me plaquent brutalement sur le bureau. L'un des deux m'attache alors les chevilles de part et d'autre du bureau pour m'obliger à avoir les cuisses écartées tandis que son collègue me tient fortement par les poignets pour m'obliger à me tenir à 90° face au bureau, les seins écrasés contre la table.
J’entends alors le commissaire enfiler un gant en latex et s'approcher derrière moi. D'un coup, il baisse ma culotte qui reste coincée sur mes genoux et relève ma jupe sur mes hanches devant lui.
Je crie révoltée me sentant ridicule comme ça à leur merci mais suis incapable de bouger alors que je sens un doigt venir me pénétrer sans ménagement la chatte.
« Bon apparemment, il n' y a rien ici, maintenant, on va voir si elle a rien de cacher ds le cul » dit-il alors y enfonçant alors directement son doigt.
Je pousse un hurlement au passage de cette brutale pénétration.
Il fait quelques allers-retours avant de déclarer « bon apparemment il n'y a rien non plus mais c bien serré. Enfin, tenez la bien que je fouille mieux que ça et faites la taire en même temps, j'en ai marre de l'entendre gueuler »
J’entends alors derrière moi le bruit d'une fermeture éclair qui est descendue alors que le commissaire continue en même temps de me pénétrer brutalement avec 1 doigt dans la chatte et 1 dans le cul.
Je vois au même moment les deux policiers devant moi défaire leur pantalon et sortir leurs queues déjà bien raides.
« Tu vas voir comment on les fait taire chez nous les délinquantes » dit l'un deux alors qu'il m'attrape par les cheveux et me plaque la bouche face a sa queue. J'essaye de tourner la tête dégoûtée mais son collègue vient me pincer le nez pour m'obliger à ouvrir la bouche pour respirer. Aussitôt fait, le policier en profite pour donner un coup de rein et enfoncer sa queue dans ma bouche. Pendant ce temps, je sens la queue du commissaire se placer à l'entrer de ma chatte et d'un coup de rein violent,il enfonce sa bite déjà grosse et dure à l'intérieur.
Mon cri est cette fois étouffé par la queue que j'ai en bouche. Le policier me tient par les cheveux pour me faire aller et venir rapidement dessus en faisant toutefois attention à ne jamais l'enlever complètement.
Après quelques coups de rein, le commissaire lui dit « bon effectivement, il n' y a rien la dedans mais maintenant, c'est ce petit cul bien serré qu'il faut que je fouille profondément » Le deuxième policier en profite alors pour dire « oui mais dans ce cas, c'est à moi de la faire taire ».
Il présente alors a son tour sa bite à ma bouche et me prend brutalement par les cheveux pour m'obliger à venir la gober alors qu'au même moment, le commissaire sort sa queue de ma chatte pour venir la poser à l'entrée de mon anus. Il me tient fermement par les hanches et appuie pour commencer à s'enfoncer alors que le policer devant moi maintient bien sa pression pour garder sa queue dans ma bouche et m’empercher de crier.
Une fois sa bite entièrement enfoncée, le commissaire commence à donner des coups de reins puissants et s'amuse à me claquer les fesses pour les faire rougir alors que les 2 autres, me tenant toujours par les cheveux, me font alterner sur leur queue pour que je puisse les sucer chacun leur tour.
Je sens rapidement leurs queues gonfler au maximum alors qu'ils se déchaînent sur moi, me prenant sans égard ne pensant qu'à leur plaisir.
Je sens alors le commissaire s'enfoncer une dernière fois profondément et son sperme commencer à se déverser dans mon cul. Je l'entends dire en rigolant « Hmmm qu'il est bon ce cul ! Putain cette salope, elle avait rien dedans eh bien voilà que je lui ai bien rempli » me donnant au passage une nouvelle fessée avant de se retirer une fois bien vidé.
Au même moment, je sens la queue du policier que je suis en train de sucer faire un soubresaut. J'aimerai reculer mais au contraire, il accentue sa pression pour me maintenir sa bouche sur sa bite et gicler au fond de ma gorge. Je suis obligée de tout avaler pour ne pas m'étouffer alors que je l'entends pousser un râle de satisfaction. L'autre impatient lui dit alors « allez, dépêche-toi, moi aussi j'ai envie de lui faire goutter mon foutre à cette pute. Le premier une fois bien vidé me prend alors à nouveau par les cheveux et me plaque sur la bite de son collègue. Il m'imprime la cadence en m'obligeant à aller et venir dessus rapidement et je sens alors un nouveau jet de sperme éclater au fond de ma gorge que je suis une nouvelle fois obligée d'avaler pour ne pas m'étouffer.
J’entends alors le commissaire se rhabiller en disant « bon vous allez l'amener en garde à vue pendant que j'appelle le procureur voire ce qu'il veut qu'on fasse d'elle. En tout cas, je vous félicite messieurs, vous m'avez ramené là une bonne salope bien serrée qui va plaire » Il ressort alors, prenant juste soin de m'arracher ma culotte qui était encore bloquée au niveau de mes genoux avant de partir et de me laisser au soin de ses collègues.

La suite de la garde à vue bientôt…
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Les avis des lecteurs

Intéressant fantasme ;)

Laure, la soumission l'humiliation font fantasmer pas mal de femmes, je fais partie de celles là.
j'avoue que parfois j'aime être prise de cette façon et j'y trouve beaucoup de plaisir.

je pense que, dans ta suite, tu dois faire ressortir ton émotion le plaisir pris, ainsi que de décrire la situation et les paroles humiliantes de tes tortionnaires.

hâte de te lire

bises
flo

Histoire Erotique
Bonjour,
Découvert par hasard votre récit.
J'ai apprécié.
J'aime ce côté direct, non vulgaire mais franc.
Dites-moi.
Bises

Histoire Libertine
Bonne histoire qui m'a bien fait mouiller!
Mon mari est flic et j'ai déjà rêvé que ce genre d'aventure m'arrive avec certains de ses collègues...
Vivement la suite!

Histoire Erotique
Bonsoir,

Je trouve ton texte trop brutal et trop violent ... Il ne s'agit ni plus ni moins que d'un viol par des personnes ayant autorité.

Par contre ton style direct peut selon moi coller parfaitement dans une histoire avec un peu plus de psychologie et de descriptions des personnages.
Une histoire ou l'heroine soumise peut compter sa decouverte bien malgré elle de son desir inavouée et inavouable de soumission.

Histoire Erotique
J'aime bien ton histoire, je me suis caressé en la lisant,toutefois á mon goût j'aurais aimé lire ton ressenti, et que tu fasse plus ressortir ton plaisir. J'attends la suite... à bientôt

Histoire Erotique
laure
pas besoin d etre freud pour comprendre que tu aimes la soumission , tu la decris parfaitement . felicitation .
continue
mimi de toulon

Histoire Erotique
Un récit intéressant. Documentaire fiction. Erotique et jouissif. Cela donne envie d'en savoir plus.

Histoire Libertine
Mm tu m'as fait mmouillé ... j'aimerais bien avoir la grosse bite du policier dans la chatte

Histoire Erotique
super ,,merçi pour cette histoire qui
ma fait bander grave ,,hummmm
en attente de la suite ,,

Histoire Erotique
Bonjour Laure,

Je dois avouer que ton fantasme est terriblement bandant et que je regrette seulement de ne pas avoir de carte de police et le grade de commissaire.

Toi, pendant ces événements, as tu mouillé, as tu pris du plaisir à te faire peter ton prit cul.

Merci encore,

Luc



Texte coquin : Chap 1: L'arrestation
Histoire sexe : Une rose rouge
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