Chap 2: la garde à vue - histoire érotique

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

(Cette histoire est la suite de Chap 1 :l'arrestation)
Rappel : "Cette histoire est un fantasme, pas une réalité."

Les deux policiers me relèvent alors et me détachent les chevilles avant de me repasser les menottes dans le dos. Ils me font ressortir de la salle d'interrogatoire ainsi, la chemise déchirée ouverte, les seins toujours sortis du soutient-gorge et la jupe à peine rabaissée et sans culotte dessous maintenant ce qui permet de voir le sperme du commissaire coulant de mon cul entre mes cuisses. Je me sens rouge de honte tenue humiliée comme ça.
Ils m'emmènent et me dirigent vers les cellules alors que je vois un petit groupe de policiers, sortir de la pièce d'à côté et nous suivre. Je ne peux pas les compter mais ils doivent être au moins 4 ou 5.En apercevant la bosse qui déforme leur pantalon, je peux me douter qu'ils ont pu bénéficier du spectacle précédent à travers la vitre sans tain et qu'ils ont visiblement appréciés. Je me sens encore plus ridicule et humiliée à cette pensée.
On arrive finalement au sous-sol du commissariat où se trouve les cellules. Quelques gardés à vue sifflent tout de suite en me voyant arrivée comme ça tenue menottée les seins à l'air sortis par dessus mon soutient-gorge, la jupe remontée qui laisse voir le haut de mes fesses.
Je les entends accourcir au près de barreaux pour être au premier rang du spectacle qui s'annonce.
Le groupe de policer m'immobilise alors au milieu de la coursive se met tout autour de moi et sans attendre, je les vois tous sortir leurs queues déjà raides autour de moi « Putain, avec ce qu'on a vu la haut, tu nous as bien chauffé ma salope alors maintenant, c'est notre tour et tu as intérêt à faire aussi bien, le spectacle doit être d'aussi bonne qualité pour nos détenus »
« Non svp arrêtez je ne suis pas comme ça » je demande alors apeurée mais sans attendre, me prenant par les menottes et appuyant fortement dessus, ils me forcent à me mettre à genoux au milieu « Allez, tu vas tous nous sucer maintenant et tu as intérêt à t'appliquer »
Un premier vient alors directement plaquer sa bite contre ma bouche que j'essaie de pourtant de garder fermée. Il me colle alors une gifle qui me laisse abasourdie en disant méchamment « on t'a dit de t'appliquer salope ».
J'entrouvre alors à peine les lèvres résignée. Il donne aussitôt un coup de rein pour enfoncer sa queue déjà toute gonflée jusqu'au fond de ma gorge. Il jouit presque immédiatement, sans doute trop excité par le spectacle précédent. Il appuie bien sur ma tête en poussant un grognement de soulagement. Il ne doit pas avoir l'occasion de jouir très souvent car la quantité de sperme qu'il envoie est si importante que malgré sa pression, je ne peux tout avaler et le surplus vient couler au coin de mes lèvres.
Il finit comme ça par se retirer et un autre vient alors tout de suite prendre le relais pour remplir à son tour ma bouche de sa queue raide tandis que 2 autres s'approchent déjà au plus près, prêt également à prendre le relais. Ils se branlent ainsi à coté de moi, me donnant des coups avec leur bite sur ma joue déjà déformée par une autre queue tout en jouant avec mes seins sortis de mon soutient-gorge, tirant bien sur mes tétons pour s'amuser à les faire pointer devant eux.
J’entends en même temps les prisonniers crier « Putain, elle a l'air de bien sucer la salope ! C'est sur,t'as vu la bouche de pute qu'elle a ! Je lui ferai bien goutter mon manche à celle la... » sortant eux aussi leur sexe pour pouvoir se branler en profitant du spectacle.
Pourtant, à ce moment, l'un des policiers ayant participé à la fouille initiale dit « Bon ben moi je sais déjà qu'elle arrive à sucer et j'en ai marre d'attendre mon tour alors je vais commencer à la baiser, il paraît qu'elle est bien serrée la pute et comme ça, vous pouvez continuer à vous faire pomper en même temps »
J'entends alors les gardés à vue surexcités « oui vas y défonce la cette chienne ».
Le policier vient alors derrière moi, m'arrache en quelques secondes le peu de fringue qui me restait et les jette dans un coin, puis, relevant mon cul en arrière et m'obligeant ainsi à me tenir cambrer devant lui, vient poser directement sa bite devant ma chatte et me pénètre violemment d'un coup.
Les autres s'arrêtent alors quelques secondes de me faire sucer pour pouvoir m'entendre crier sous la pénétration. Ils rigolent en entendant mon cri qui résonne dans la pièce comme le bruit des fessées qu'il m'assène en même temps.
Pendant qu'il me pénètre violemment, les autres reprennent leur ballet autour de moi. Ainsi pendant qu'un se fait sucer, les autres attendent leur tour en se branlant sur moi, profitant aussi de mon corps nu pour passer leur main et me tripoter de partout sans délicatesse. Les hommes ne tiennent pas longtemps dans ma bouche mais alors que les trois premiers m'ont obligé à avaler tout leur foutre, le quatrième s'amuse au contraire à se reculer au dernier moment pour jouir sur mon visage. Je ferme les yeux en sentant son sperme venir me souiller la figure alors qu'il s'amuse a bien l'étaler avec le bout de sa queue.
Lorsque je rouvre les yeux, ils ne sont plus que deux policiers debout devant moi à n'avoir pas joui alors que celui qui me pénètre, continue de me défoncer avec ardeur. Il dit alors « tiens attendez j'ai une idée comme ça les gars, on va changer de position et comme ça tous les 3, on va pouvoir lui remplir tous les trous à cette salope »
Il sort alors de ma chatte et s'allonge alors par terre la queue bien dressée et dit en rigolant « allez relevez-la et amenez-la moi, je vais l'enculer pendant qu'il y en a de vous qui va prendre sa chatte et que l'autre se fait sucer » Les 2 autres ne se font pas prier pour agir et, me tirant brutalement par les menottes, me placent au dessus de leur collègue.
Je m'agite complètement paniquée mais ils sont trop puissant et appuient fortement sur mes épaules pour m'obliger à venir m’empaler sur la bite dressée. Le policier la tient bien pour la guider à l'entrée de mon cul pendant que ses collègues continuent d'appuyer sur moi. Je sens ainsi la queue commencer à me pénétrer ce qui me fait crier plus fort à chaque centimètre gagné par le flic dans mon cul. Mes grimaces et mes protestations sous cette pénétration brutale pourtant aidée par le sperme du commissaire qui lubrifie encore un peu mon conduit serré ne font que rigoler et exciter davantage ses collègues qui appuient toujours plus fort pour m'obliger à venir m'empaler complètement sous les encouragements des prisonniers.
Je sens finalement ses couilles venir buter alors que le flic me prend et me penche encore davantage sur lui pour m'infliger la pénétration la plus profonde possible et permettre de faire de la place pour que son collègue vienne se mettre en place. L'un d'eux ne tarde pas alors à venir se positionner entre mes cuisses et donne un coup de rein violent pour venir envahir ma chatte. Je sens leur deux queues énormes venir me remplir les orifices et me faire hurler comme ça. Le troisième profite alors de ma bouche ouverte pour gueuler et y enfonce à son tour sa bite bien raide pour m'obliger à venir l'avaler au maximum.
J'entends les gardés à vue déchaînés dans leur cellule se branlant frénétiquement « allez-y défoncez la cette chienne » « Putain, allez-y oui élargissez lui tous ses trous à cette garce ».
Ils trouvent rapidement leur rythme pour faire aller et venir sans ménagement leurs queues en moi. Celui qui m'encule finit alors par jouir poussant un grognement bestial « putain que c'est bon de se vider dans un petit cul serré de salope comme celui-la, il avait bien raison le commissaire ».
En sentant tout cela à travers la fine paroi, son collègue joui à son tour et se vide entièrement dans ma chatte. Je sens ainsi tout leur sperme me tapisser l'intérieur. Quant à celui que je suis obligée de sucer, il résiste encore un petit peu en donnant quelques coups de rein et au dernier moment, s'amuse à se retirer pour me recouvrir le visage de tout son foutre. J’apparais ainsi rouge de honte sous les traînées blanches qui me recouvrent.
Visiblement satisfaits et soulagés, les policiers s'adressent alors directement aux prisonniers « allez c'est votre chance, vous allez tous pouvoir lui jouir dessus avant qu'on y aille ». Me traînant alors par les menottes, ils me font passer devant chaque cellule pour que chaque détenu puisse finir de se branler et me recouvrir de son sperme. J'en reçois comme ça partout sur moi.
Les policiers me détachent alors enfin les menottes et me poussent dans une cellule vide. Ils repartent joyeux sans rien me dire me laissant seule dans le noir. J'essaie alors d'enlever le sperme qui me sali grâce aux lambeaux de ma chemise et de ma jupe jetés dans un coin et m’endors rapidement, anéantie par ce que je viens de subir.