Parcours d'une initiation (partie 1)
Récit érotique écrit par Laurescenario [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 6 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.7
- • L'ensemble des récits érotiques de Laurescenario ont reçu un total de 86 392 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-05-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 8 008 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Parcours d'une initiation (partie 1)
Bonjour,
Cette histoire est un fantasme pour lecteur averti.
J'avais alors 19 ans. J'étais une petite étudiante encore très sage, timide, naive et surtout très coincée. Je mesure 1m60 pour 53kg. Je suis chatain aux yeux bleus et je fait un bon 95c que je cache sous des hauts amples pour ne pas provoquer les garçons. J'ai déjà eu un petit copain mais il m'a quitté il y a 3 mois. On sortait ensemble depuis 3 ans, on se faisait des bisous, on allait se ballader main dans la main et quelque fois on a même dormi ensemble mais en pyjama et c'est tout.
Après une année à étudier sérieusement, l'heure des examens approche. Pour l'occasion, mes parents m'ont prété leur voiture et confié les clés de notre maison de campagne que je puisse y aller seule réviser.
Nous somme samedi et plusieurs heures de route m'attendent. Il fait chaud et sachant la route déserte, pour y aller, je me suis permise exceptionnellement de mettre une petite robe qui arrive juste au dessus du genoux, une chemise et un un soutient-gorge et une petite culotte en coton blancs. C'est osé de ne pas avoir mis de collant mais il n'y a vraiment personne par ici et il fait chaud. Je me dis qu'après tout je ne risque rien, c'est comme quand je vais à la plage.
Les heures défilent et j'arrive. J'ai tout juste le temps de filer en voiture au village pour acheter du pain et des trucs pour le week end. Pour être sure d'arriver avant la fermeture j'accélère et ose monter à 95 au lieu de 90 en priant pour que se soit encore ouvert avant que j'arrive.
Oohhh zuuuuuuuuuuuuuuuuttt les deux gendarmes qui leve la main au bout de la route.....Oh mince ils me font signe de m'arrêter. Je savais qu'il ne fallait pas rouler trop vite et la nuit va tomber, je sais deja que je n'arriverai pas avant la fermeture du coup
Mmm et l'amende! Mes parents qui seront faché!!! (pour un ptit truc de rien je me sens coupable;...) en meme temps.. ce n'est pas si grave.. je travaillerai cette été et je paierai avec largent gagné s'il le faut.
Je me gare sur le bas-côté. Un policier s'approche à ma fenêtre : "mademoiselle; papier du véhicule et sortez" dit-il l'air sévère.
"Euh oui tout de suite Mr" et j'obetmpère immédiatement sans remarquer le clin doeil complice des deux flics quand ils remarquent que je semble très timide et coincée.
"- vous rouliez à 96 soit 16 de plus que la vitesse.. vous savez que depuis quelques jours, la vitesse est limitée à 80 sur les departementales?
- Oh non je suis désolée Mr, je croyais que c'etait encore 90 j'ai pas vu de panneau.
- Ah! vous navez pas regardé les panneaux!! encore mieux!!! Autre chose a nous signaler mademoiselle????
- euh non vraiment désolée mr, je voulais juste aller faire des courses avant que se soit fermé.
- bien sur, à la dernière minutes, on va y croire dit-il ironiquement. Ca doit plutôt pour aller acheter du shit... vous logez ou ???
- dans la maison de campagne chez mes parents, je suis venue pour reviser avant mes exam mr.
- et vos parents savent que vous roulez a cette vitesse,????? on va etre obligé de les prévenir que leur voiture va etre mise a la fourrrière... a leur frais bien sur... bon soufflez dans le ballon..."
Le policier fait un clin d'oeil à son collègue et sort un faux ballon pour tester l'alcoolémie, une sorte de truc acheté dans un magasin de farce et attrape symbolisant un vraie test pour alccol mais en forme de petit sexe, et me le tend de facon très serieuse.
" - je suis désolée Mr, d'habitude je fais attention.
- bien sur bien sur... en tous les cas je note deja infraction à la vitesse; non regard des panneaux;. puis mise a la fourrière;. ca va couter cher....j'epsère que vous n'avez pas d'alcool ou de substance prohibée sur vous! Allez dépéchez vous soufflez, on n'a pas que ça à faire!"
- oh mais non mr je ne suis pas comme ca, pas de problème."
Je souffle dans l'espèce d'embouchure. A ma grande surprise, le truc vire au rouge.....
"- et bien bravo Melle!!!!" au moins 1gramme 8.... notez brigadier.
- mais ce n'est pas possiblen mr je n'ai rien bu.
- ça réagit autant à l'alcool que la drogue. .notez brigadiez . mademoiselle n'a rien bu. cela veut dire qu'elle se drogue.... notez brigadiez que mlle avoue avoir consommé de la drogue..."
Je commence à paniquer. Mon cœur bat la chamade.
"- Mais non mr, vous déformez mes propos, je n'ai rien consommé du tout.
- bon brigadiez ajoutez.... ""rebellion devant force de l'ordre...." autre chose mademoiselle,???? dit-il le ton arrogant et menacant. Ou alors on en reste la pour pas agraver votre cas??"
Je baisse les yeux perdue apeurée n'osant rien ajouter
- Alors on signe!!!! si on veut bien s'en sortir. dit-il m'infantlisant.
Il me tend le formulaire et me donne un stylo.
- Allez, dépéchez vous signez en bas de la page dit-il en me mettant la pression pour ne pas me laisser le temps de lire ou réfléchir. Tremblante, j'obéis et signe rapidement. Il range la feuillle dans la voiture de gendarmerie et dit alors encore plus sévèrement:
"- maintenant qu'il y a aveu de prise de drogue je dois procéder a des examens supplémentaire, une mise en fourrière du véhciule et une mise en examen. Allez, sortez du vehicule et tournez vous face au capot. A partir de maintenant et pour 48 heures mademoiselle laure xxxxx vous etes mise en examen pour une durée de 48 heures ; vous pourrez après autorisation vous faire aider d'un avocat."
Je me sens completement depassée par ce qui m'arrive.
"- Bon allez j'ai pas que ca à faire, dépéchez vous et obéissez, mains sur le capot!
J'obeis alors et me met en position impressionée par son air sever.
- je vais procéder à la fouille; ne bougez pas; dit-il d'un ton sec.
Puis, alors qu'il pose sa matraque à coté de moi sur le capot, je sens ses deux mains fermes commencer à me toucher les epaules, les deux en meme temps...puis glisser le long des bras mais lentement en prenant son temps. Je frissone ; c'est si... inhabituel qu'un homme me touche.. n'importe qui d'ailleurs ; peu de gens m'ont touchés, meme les docteur je les evite.. meme les petits copains...
L'air de rien, le policier appuie pour m'obliger à me pencher et me cambrer davantage sans pouvoir bouger devant lui, me faisant sentir sa puissance. Je suis penchée en avant, c'en est genant, presque degradant ; presque a angle droit. J'ai peur que ma robe remonte et qu'on puisse voir ma culote. Je sens ses deux grosses mains glisser sur les bras et puis revenir sur mes epaules et glissre sur mon dos puis mes hanches en meme temps toute les deux lentement monter et descendre. Je me sens devenir de plus en plus nerveuse seule ici.
Le policier ne dit rien pendant que le brigadier observe et continue de prendre des notes. Deja cinq minutes entières qu'il me palpe les bras les hanches les epaules... Je respire plus fort mais par docilité et bonne education je me laisse faire. on ne se rebelle pas contre un policier quand on est une fille bien elevee n'est ce pas? J'aurai envie de lui dire stop.. ca va . vous avez assez profitez!!!! (car j'ai bien l'impresion qu'il me .. pelote!! il me touche les bras et le dos et les epaules. c'est comme s'il me pelotait!!! c'est ca que ca veut dire hein???)Mais bon.. deja trois ou quatre amande, c'est peut etre pas la peine d'en rajouterr. et puis dans dix minutes ca sera terminé ; il verra bien que je n'ai pas de drogue et je rentrerai chez moi.. et puis apres tout ils sont de la police et j'etais en excès de vitesse ils savent ce qu'ils font, pour le reste ca va s'arranger, en plus tu nes pas une delinquante!! ils sont lhabitude de voir des gens plus malpolis que moi ; alors moi toute timide et gentille... ca va s'arranger...
"- ecartez les jambes!!!"
Je suis reveillée de mes pensee par ... ces mots qui me glacent un peu le sang. Je les desserre un peu obeissante. Il prend alors son baton et tapote à l'interieur de mes jambes pour les faire ecarter un peu.. la position est genante en etant penchee en avant...
Il commence alors à remonter entre mes jambes mais à l'interieur cette fois. Je me dis intérieurement c'est la procedure, c'est la procedure prenant une grande respiation pour ne pas crier mais .. je me laisse faire... les deux mains a l'interieur de mes cuisses remontant très haut lentement...
Je n'ai rien fait, il va arreter, c'est la procedure je me repete intérieurement comme pour me convaincre et me rassurer. Je pousse un mini gemissemnt non pas de plaisir mais de gene quand il frole ma culotte avec sa main.
"- euh il y a un probleme? je demande timidement.
- brigadier. notez que la suspect essaye de detourner l'attention pendant al fouille.. notez.... que cela soit inscrit dans le rapport", la voie severe et serieuse.
Bon, je reprend la fouille! et il retire ses mains pour cette fois les poser directemnet au dessus de ma robe sur mes deux seins les empognants fermement.
- mais non svp arretez je n'ai rien dis-je essayant de les repousser choquée et surprise.
- et la suspect essaye de cacher quelque chose sous sa robe!! je vois bien qu'il semble sérieux et que le brigadier ecrit des choses.
- reposez les mains sur le capot et ne bougez pas!! sinon je devrais vous menoter dit-il séchement en reposant ses mains directement sur mes deux seins les palpe allégrement.
- mais non ce n'est pas vrai je vous jure je cache rien mr!
- et bien on verra ca pendant la fouille appronfondie avec le docteur ; bon allez on l'embarque au commissariat, on y verra plus clair la bas ce qu'on va faire de ton cas" dit-il me la lachant les seins et me prenant brutalement les bras pour me les menotter dans le dos.
Attachee mains dans le dos, je suis emmenee dans la voiture des policiers alors que la celle de mes parents reste là porte ouverte clef sur le contact ajoutant à mon angoisse.
- mais vous ne pouvez pas laisser la voiture comme ca quelqu'un va la voler je dis betement
- vous voulez que le brigadier rajoute corruption??? vous croyez qu'on veut voler votre voiture? il répond menacant alors que la voiture démarre toutes sirenes hurlantes comme si j'etais une criminelle.
- mais non pardon mr je voulais pas dire ca.
Je me retrouve comme ca, comme une criminelle accusee de trafic de drogue dans une voiture de police mains dans le dos menottées...je ne comprend pas comment j'ai pu en arriver la. Je cogite dans la voiture pensant que tout ca est un cauchemard...Je les entend parler tous les deux sans que je n'ose rien dire.
"- ahh putain elle va morfler avec le chef chavard. il aime pas les trafficant de drogue (ohhh non non ils disent pas ca pour moi. ca peut pas etre pour moi...) il parait que le juge en comparution immédiate c'est le juge prevost.. celui qui est severe la,??? ohh putain elle va en baver!!! En plus elle a un avocat commis d'office".
Je me sens perdue, condamnée davance alors que je n'ai rien fait et ne peux rien faire. Les dix minutes séparant l'endroit de l'interpelation du commissariat paraissent une eternité... la voiture se gare... le policier vient ouvrir la porte de derrière et me tire par le bras, presque la main entre mon bras et le sein...Mais je ne peux quand meme pas dire au policier hhhhhééééé ne me touchez pas les seins, après tout il fait son boulot.
Ils me font monter des escaliers en faisnt des petits pas tirée par le bras toujours. Je fais des ahhh des ohhhh chaque fois que ca te tire sur les menotes ou sur le bras montrant que suis fragile, frele, bref une fille, une jeune fille bien élevée. Ils devraient voir que je n'ai pas le profil de la delinquante. Le policier me retient chaque fois l'air de rien imposant sa puissance a coté de moi, me tirant à travers le commissariat. Je vois les yeux qui se tournent vers moi. Les 5 ou 6 policiers présents dans les bureaux sortent pour nous suivre. Le policier frappe à la porte du commissaire me tenant toujours.
"- c'est la jeune fille dont je vous ai parlé au telephone, dit-il au commissaire qui se leve fronce les sourcis et me regarde d'un air severe.
- vous m'en avez amenée une belle cette fois ci! s'adressant aux deux gendarmes ; bravo.... bravo. bon specimen, semblant me jauger.
- tourne toi... dit-il alors en ma regardant alors que je suis debout au milieu du couloir.
Je suis etonnée et génée par cette demande comme ca devant tout le monde.
- tourne toi!! je dois le repeter!!! tourne toi!! ou alors il te faut un tapis rouge pour defiler?? princesse!!
Je fais alors un petit tour sur moi meme commencant a rougir baissant les yeux les mains toujours dans le dos apeurée et impressionnée.
- tourne encore allez plus vite que ca, me mettant la pression pour m'obliger à obéir sans réfléchir.
J'entend le rire des deux policiers. Le commissaire semble plus "sérieux" mais je vois bien quand je me retrouve face a lui qu'il me matte ce qui me fait rougir encore plus.
"- on a quoi contre elle???
- excès de vitesse, conduite sous l'emprise de drogue, dissimulation de drogue... enfin c'est ce qu'on a mis dans le rapport" répond le policier en faisant un sourire complice au commissaire.
- parfait, on a de quoi la garder
- oui.. son avocat ne viendra que demain. c'est maitre lelonbare avocat d'office" ajoute le policier à l'adresse du commissaire d'un clin d'oeil celui-ci imite aussitôt.
- bon emmenez la à la fouille avec le doc on a encore besoin de preuve avant demain. Et il faut analyser ses habits, si jamais elle a dissiumé des trucs... il faut qu'on envoie tout au labo...
- c'est bon j'ai un ciseau dit alors un des policiers qui étaient dans un bureau en s'approchant et sans hésiter il commence à rapidement découper ma robe, mon soutient-gorge et ma culotte pour me laisser nue menottée devant eux.
C'est si humiliant moi qui suis si pudique exposée comme ça. En plus il rammasse tout et se contente de tout jeter dans une poubelle, c'est embarassant. Je regarde par terre n'osant afronter leurs regards. Je marche pied nue traversant le commissariat, essayant de baisser au maximum les yeux toute nue ; jeune fille devant des hommes mur si forts si grand avec leurs unformes et moi la petite vierge toute nue, c'est rabaissant; degradant. A cause de la peur je frissonne. Puis le flic me pousse presque dans une pièce .. vide.. seulment une table et une chaise... se tient un docteur en blouse blanche visblement presque la soixantaine.
Bêtement je murmure un "bonjour monsieur"... mais faiblement . sans oser lever la tete. Je suis debout et je serre les deux jambes même si on peut apercevoir mon petit ticket de métro0
- bon installez la sur la table je vais regarder ca dit il sans meme me regarder.
Il y a quatre sorte d'annaux sur la table pour fixer les poignet et les chevilles à des sortes de menottes. Il m'installe les seins face à la table et me réattache pour m'obliger à ma tenir pencher à 90° les cuisses écartées, les bras en croix. Je suis ainsi offerte sans pouvoir savoir qui va me toucher, m'examiner ni pouvoir me rebeller.
Le docteur enfile un gant en latex et dit l'air tout à fait normal :
- bon, il n'y a pas mille endroit pour cacher de la drogue, on va y aller directement.
Il pose alors son index directement contre mon anus et appuie un peu.
- mmouais non pas par là, impossible c'est trop serré... bon ben on va regarder dans sa chatte alors...
Et il enfonce son index brutalement d'un coup me faisant pousser un cri ridicule, surprise. Son doigt fouille et bouge de droite à gauche.
- mm je ne vois rien... peut etre plus loin... dit-il enfoncant vraiment son index et semblant chercher dans ma petite chatoune.
- aaaiie non arretez svp, je m'agitant.
Je sens que l'index fouille et fouille et fouille encore le docteur parlant comme un prof enregistrant sur son dictaphone "je ne sens aucune cavité pouvant cacher des paquets... peut etre si j'explore la paroi interne plus profondement...le sujet est étonnament étroit comme jamais vu encore à son age mais ne semble ne pas faire obstacle à la fouille...une humidication commence même à déjà se faire sentir".
Je commence à sentir une sensation bizarre dans mon bas ventre malgré moi sans comprendre ce qui m'arrive. Ca me rend encore plus honteuse.
Le vieux docteur continue de parler en bougeant son index "oui c'est ca, le sujet mouille carrément maintenant et ce malgré l'introduction d'un seul doigt c'est impressionnant".
Je commence à me tortiller tant que je peux mais je ne peux pas beaucoup attachee à la table sur laquelle je laisse sans le savoir une tache de cyprine, c'est de pire en pire. Tout d'un coup je pousse un cri...j'ai un orgasme sans meme le savoir, sans même savoir ce qu'il m'arrive... J'entend que le docteur continue de parler sur son dictaphone mais je n'arrive plus à écouter.
"- bon je crois que j'ai ce qu'il me faut pour mon rappport!"
A suivre....
Cette histoire est un fantasme pour lecteur averti.
J'avais alors 19 ans. J'étais une petite étudiante encore très sage, timide, naive et surtout très coincée. Je mesure 1m60 pour 53kg. Je suis chatain aux yeux bleus et je fait un bon 95c que je cache sous des hauts amples pour ne pas provoquer les garçons. J'ai déjà eu un petit copain mais il m'a quitté il y a 3 mois. On sortait ensemble depuis 3 ans, on se faisait des bisous, on allait se ballader main dans la main et quelque fois on a même dormi ensemble mais en pyjama et c'est tout.
Après une année à étudier sérieusement, l'heure des examens approche. Pour l'occasion, mes parents m'ont prété leur voiture et confié les clés de notre maison de campagne que je puisse y aller seule réviser.
Nous somme samedi et plusieurs heures de route m'attendent. Il fait chaud et sachant la route déserte, pour y aller, je me suis permise exceptionnellement de mettre une petite robe qui arrive juste au dessus du genoux, une chemise et un un soutient-gorge et une petite culotte en coton blancs. C'est osé de ne pas avoir mis de collant mais il n'y a vraiment personne par ici et il fait chaud. Je me dis qu'après tout je ne risque rien, c'est comme quand je vais à la plage.
Les heures défilent et j'arrive. J'ai tout juste le temps de filer en voiture au village pour acheter du pain et des trucs pour le week end. Pour être sure d'arriver avant la fermeture j'accélère et ose monter à 95 au lieu de 90 en priant pour que se soit encore ouvert avant que j'arrive.
Oohhh zuuuuuuuuuuuuuuuuttt les deux gendarmes qui leve la main au bout de la route.....Oh mince ils me font signe de m'arrêter. Je savais qu'il ne fallait pas rouler trop vite et la nuit va tomber, je sais deja que je n'arriverai pas avant la fermeture du coup
Mmm et l'amende! Mes parents qui seront faché!!! (pour un ptit truc de rien je me sens coupable;...) en meme temps.. ce n'est pas si grave.. je travaillerai cette été et je paierai avec largent gagné s'il le faut.
Je me gare sur le bas-côté. Un policier s'approche à ma fenêtre : "mademoiselle; papier du véhicule et sortez" dit-il l'air sévère.
"Euh oui tout de suite Mr" et j'obetmpère immédiatement sans remarquer le clin doeil complice des deux flics quand ils remarquent que je semble très timide et coincée.
"- vous rouliez à 96 soit 16 de plus que la vitesse.. vous savez que depuis quelques jours, la vitesse est limitée à 80 sur les departementales?
- Oh non je suis désolée Mr, je croyais que c'etait encore 90 j'ai pas vu de panneau.
- Ah! vous navez pas regardé les panneaux!! encore mieux!!! Autre chose a nous signaler mademoiselle????
- euh non vraiment désolée mr, je voulais juste aller faire des courses avant que se soit fermé.
- bien sur, à la dernière minutes, on va y croire dit-il ironiquement. Ca doit plutôt pour aller acheter du shit... vous logez ou ???
- dans la maison de campagne chez mes parents, je suis venue pour reviser avant mes exam mr.
- et vos parents savent que vous roulez a cette vitesse,????? on va etre obligé de les prévenir que leur voiture va etre mise a la fourrrière... a leur frais bien sur... bon soufflez dans le ballon..."
Le policier fait un clin d'oeil à son collègue et sort un faux ballon pour tester l'alcoolémie, une sorte de truc acheté dans un magasin de farce et attrape symbolisant un vraie test pour alccol mais en forme de petit sexe, et me le tend de facon très serieuse.
" - je suis désolée Mr, d'habitude je fais attention.
- bien sur bien sur... en tous les cas je note deja infraction à la vitesse; non regard des panneaux;. puis mise a la fourrière;. ca va couter cher....j'epsère que vous n'avez pas d'alcool ou de substance prohibée sur vous! Allez dépéchez vous soufflez, on n'a pas que ça à faire!"
- oh mais non mr je ne suis pas comme ca, pas de problème."
Je souffle dans l'espèce d'embouchure. A ma grande surprise, le truc vire au rouge.....
"- et bien bravo Melle!!!!" au moins 1gramme 8.... notez brigadier.
- mais ce n'est pas possiblen mr je n'ai rien bu.
- ça réagit autant à l'alcool que la drogue. .notez brigadiez . mademoiselle n'a rien bu. cela veut dire qu'elle se drogue.... notez brigadiez que mlle avoue avoir consommé de la drogue..."
Je commence à paniquer. Mon cœur bat la chamade.
"- Mais non mr, vous déformez mes propos, je n'ai rien consommé du tout.
- bon brigadiez ajoutez.... ""rebellion devant force de l'ordre...." autre chose mademoiselle,???? dit-il le ton arrogant et menacant. Ou alors on en reste la pour pas agraver votre cas??"
Je baisse les yeux perdue apeurée n'osant rien ajouter
- Alors on signe!!!! si on veut bien s'en sortir. dit-il m'infantlisant.
Il me tend le formulaire et me donne un stylo.
- Allez, dépéchez vous signez en bas de la page dit-il en me mettant la pression pour ne pas me laisser le temps de lire ou réfléchir. Tremblante, j'obéis et signe rapidement. Il range la feuillle dans la voiture de gendarmerie et dit alors encore plus sévèrement:
"- maintenant qu'il y a aveu de prise de drogue je dois procéder a des examens supplémentaire, une mise en fourrière du véhciule et une mise en examen. Allez, sortez du vehicule et tournez vous face au capot. A partir de maintenant et pour 48 heures mademoiselle laure xxxxx vous etes mise en examen pour une durée de 48 heures ; vous pourrez après autorisation vous faire aider d'un avocat."
Je me sens completement depassée par ce qui m'arrive.
"- Bon allez j'ai pas que ca à faire, dépéchez vous et obéissez, mains sur le capot!
J'obeis alors et me met en position impressionée par son air sever.
- je vais procéder à la fouille; ne bougez pas; dit-il d'un ton sec.
Puis, alors qu'il pose sa matraque à coté de moi sur le capot, je sens ses deux mains fermes commencer à me toucher les epaules, les deux en meme temps...puis glisser le long des bras mais lentement en prenant son temps. Je frissone ; c'est si... inhabituel qu'un homme me touche.. n'importe qui d'ailleurs ; peu de gens m'ont touchés, meme les docteur je les evite.. meme les petits copains...
L'air de rien, le policier appuie pour m'obliger à me pencher et me cambrer davantage sans pouvoir bouger devant lui, me faisant sentir sa puissance. Je suis penchée en avant, c'en est genant, presque degradant ; presque a angle droit. J'ai peur que ma robe remonte et qu'on puisse voir ma culote. Je sens ses deux grosses mains glisser sur les bras et puis revenir sur mes epaules et glissre sur mon dos puis mes hanches en meme temps toute les deux lentement monter et descendre. Je me sens devenir de plus en plus nerveuse seule ici.
Le policier ne dit rien pendant que le brigadier observe et continue de prendre des notes. Deja cinq minutes entières qu'il me palpe les bras les hanches les epaules... Je respire plus fort mais par docilité et bonne education je me laisse faire. on ne se rebelle pas contre un policier quand on est une fille bien elevee n'est ce pas? J'aurai envie de lui dire stop.. ca va . vous avez assez profitez!!!! (car j'ai bien l'impresion qu'il me .. pelote!! il me touche les bras et le dos et les epaules. c'est comme s'il me pelotait!!! c'est ca que ca veut dire hein???)Mais bon.. deja trois ou quatre amande, c'est peut etre pas la peine d'en rajouterr. et puis dans dix minutes ca sera terminé ; il verra bien que je n'ai pas de drogue et je rentrerai chez moi.. et puis apres tout ils sont de la police et j'etais en excès de vitesse ils savent ce qu'ils font, pour le reste ca va s'arranger, en plus tu nes pas une delinquante!! ils sont lhabitude de voir des gens plus malpolis que moi ; alors moi toute timide et gentille... ca va s'arranger...
"- ecartez les jambes!!!"
Je suis reveillée de mes pensee par ... ces mots qui me glacent un peu le sang. Je les desserre un peu obeissante. Il prend alors son baton et tapote à l'interieur de mes jambes pour les faire ecarter un peu.. la position est genante en etant penchee en avant...
Il commence alors à remonter entre mes jambes mais à l'interieur cette fois. Je me dis intérieurement c'est la procedure, c'est la procedure prenant une grande respiation pour ne pas crier mais .. je me laisse faire... les deux mains a l'interieur de mes cuisses remontant très haut lentement...
Je n'ai rien fait, il va arreter, c'est la procedure je me repete intérieurement comme pour me convaincre et me rassurer. Je pousse un mini gemissemnt non pas de plaisir mais de gene quand il frole ma culotte avec sa main.
"- euh il y a un probleme? je demande timidement.
- brigadier. notez que la suspect essaye de detourner l'attention pendant al fouille.. notez.... que cela soit inscrit dans le rapport", la voie severe et serieuse.
Bon, je reprend la fouille! et il retire ses mains pour cette fois les poser directemnet au dessus de ma robe sur mes deux seins les empognants fermement.
- mais non svp arretez je n'ai rien dis-je essayant de les repousser choquée et surprise.
- et la suspect essaye de cacher quelque chose sous sa robe!! je vois bien qu'il semble sérieux et que le brigadier ecrit des choses.
- reposez les mains sur le capot et ne bougez pas!! sinon je devrais vous menoter dit-il séchement en reposant ses mains directement sur mes deux seins les palpe allégrement.
- mais non ce n'est pas vrai je vous jure je cache rien mr!
- et bien on verra ca pendant la fouille appronfondie avec le docteur ; bon allez on l'embarque au commissariat, on y verra plus clair la bas ce qu'on va faire de ton cas" dit-il me la lachant les seins et me prenant brutalement les bras pour me les menotter dans le dos.
Attachee mains dans le dos, je suis emmenee dans la voiture des policiers alors que la celle de mes parents reste là porte ouverte clef sur le contact ajoutant à mon angoisse.
- mais vous ne pouvez pas laisser la voiture comme ca quelqu'un va la voler je dis betement
- vous voulez que le brigadier rajoute corruption??? vous croyez qu'on veut voler votre voiture? il répond menacant alors que la voiture démarre toutes sirenes hurlantes comme si j'etais une criminelle.
- mais non pardon mr je voulais pas dire ca.
Je me retrouve comme ca, comme une criminelle accusee de trafic de drogue dans une voiture de police mains dans le dos menottées...je ne comprend pas comment j'ai pu en arriver la. Je cogite dans la voiture pensant que tout ca est un cauchemard...Je les entend parler tous les deux sans que je n'ose rien dire.
"- ahh putain elle va morfler avec le chef chavard. il aime pas les trafficant de drogue (ohhh non non ils disent pas ca pour moi. ca peut pas etre pour moi...) il parait que le juge en comparution immédiate c'est le juge prevost.. celui qui est severe la,??? ohh putain elle va en baver!!! En plus elle a un avocat commis d'office".
Je me sens perdue, condamnée davance alors que je n'ai rien fait et ne peux rien faire. Les dix minutes séparant l'endroit de l'interpelation du commissariat paraissent une eternité... la voiture se gare... le policier vient ouvrir la porte de derrière et me tire par le bras, presque la main entre mon bras et le sein...Mais je ne peux quand meme pas dire au policier hhhhhééééé ne me touchez pas les seins, après tout il fait son boulot.
Ils me font monter des escaliers en faisnt des petits pas tirée par le bras toujours. Je fais des ahhh des ohhhh chaque fois que ca te tire sur les menotes ou sur le bras montrant que suis fragile, frele, bref une fille, une jeune fille bien élevée. Ils devraient voir que je n'ai pas le profil de la delinquante. Le policier me retient chaque fois l'air de rien imposant sa puissance a coté de moi, me tirant à travers le commissariat. Je vois les yeux qui se tournent vers moi. Les 5 ou 6 policiers présents dans les bureaux sortent pour nous suivre. Le policier frappe à la porte du commissaire me tenant toujours.
"- c'est la jeune fille dont je vous ai parlé au telephone, dit-il au commissaire qui se leve fronce les sourcis et me regarde d'un air severe.
- vous m'en avez amenée une belle cette fois ci! s'adressant aux deux gendarmes ; bravo.... bravo. bon specimen, semblant me jauger.
- tourne toi... dit-il alors en ma regardant alors que je suis debout au milieu du couloir.
Je suis etonnée et génée par cette demande comme ca devant tout le monde.
- tourne toi!! je dois le repeter!!! tourne toi!! ou alors il te faut un tapis rouge pour defiler?? princesse!!
Je fais alors un petit tour sur moi meme commencant a rougir baissant les yeux les mains toujours dans le dos apeurée et impressionnée.
- tourne encore allez plus vite que ca, me mettant la pression pour m'obliger à obéir sans réfléchir.
J'entend le rire des deux policiers. Le commissaire semble plus "sérieux" mais je vois bien quand je me retrouve face a lui qu'il me matte ce qui me fait rougir encore plus.
"- on a quoi contre elle???
- excès de vitesse, conduite sous l'emprise de drogue, dissimulation de drogue... enfin c'est ce qu'on a mis dans le rapport" répond le policier en faisant un sourire complice au commissaire.
- parfait, on a de quoi la garder
- oui.. son avocat ne viendra que demain. c'est maitre lelonbare avocat d'office" ajoute le policier à l'adresse du commissaire d'un clin d'oeil celui-ci imite aussitôt.
- bon emmenez la à la fouille avec le doc on a encore besoin de preuve avant demain. Et il faut analyser ses habits, si jamais elle a dissiumé des trucs... il faut qu'on envoie tout au labo...
- c'est bon j'ai un ciseau dit alors un des policiers qui étaient dans un bureau en s'approchant et sans hésiter il commence à rapidement découper ma robe, mon soutient-gorge et ma culotte pour me laisser nue menottée devant eux.
C'est si humiliant moi qui suis si pudique exposée comme ça. En plus il rammasse tout et se contente de tout jeter dans une poubelle, c'est embarassant. Je regarde par terre n'osant afronter leurs regards. Je marche pied nue traversant le commissariat, essayant de baisser au maximum les yeux toute nue ; jeune fille devant des hommes mur si forts si grand avec leurs unformes et moi la petite vierge toute nue, c'est rabaissant; degradant. A cause de la peur je frissonne. Puis le flic me pousse presque dans une pièce .. vide.. seulment une table et une chaise... se tient un docteur en blouse blanche visblement presque la soixantaine.
Bêtement je murmure un "bonjour monsieur"... mais faiblement . sans oser lever la tete. Je suis debout et je serre les deux jambes même si on peut apercevoir mon petit ticket de métro0
- bon installez la sur la table je vais regarder ca dit il sans meme me regarder.
Il y a quatre sorte d'annaux sur la table pour fixer les poignet et les chevilles à des sortes de menottes. Il m'installe les seins face à la table et me réattache pour m'obliger à ma tenir pencher à 90° les cuisses écartées, les bras en croix. Je suis ainsi offerte sans pouvoir savoir qui va me toucher, m'examiner ni pouvoir me rebeller.
Le docteur enfile un gant en latex et dit l'air tout à fait normal :
- bon, il n'y a pas mille endroit pour cacher de la drogue, on va y aller directement.
Il pose alors son index directement contre mon anus et appuie un peu.
- mmouais non pas par là, impossible c'est trop serré... bon ben on va regarder dans sa chatte alors...
Et il enfonce son index brutalement d'un coup me faisant pousser un cri ridicule, surprise. Son doigt fouille et bouge de droite à gauche.
- mm je ne vois rien... peut etre plus loin... dit-il enfoncant vraiment son index et semblant chercher dans ma petite chatoune.
- aaaiie non arretez svp, je m'agitant.
Je sens que l'index fouille et fouille et fouille encore le docteur parlant comme un prof enregistrant sur son dictaphone "je ne sens aucune cavité pouvant cacher des paquets... peut etre si j'explore la paroi interne plus profondement...le sujet est étonnament étroit comme jamais vu encore à son age mais ne semble ne pas faire obstacle à la fouille...une humidication commence même à déjà se faire sentir".
Je commence à sentir une sensation bizarre dans mon bas ventre malgré moi sans comprendre ce qui m'arrive. Ca me rend encore plus honteuse.
Le vieux docteur continue de parler en bougeant son index "oui c'est ca, le sujet mouille carrément maintenant et ce malgré l'introduction d'un seul doigt c'est impressionnant".
Je commence à me tortiller tant que je peux mais je ne peux pas beaucoup attachee à la table sur laquelle je laisse sans le savoir une tache de cyprine, c'est de pire en pire. Tout d'un coup je pousse un cri...j'ai un orgasme sans meme le savoir, sans même savoir ce qu'il m'arrive... J'entend que le docteur continue de parler sur son dictaphone mais je n'arrive plus à écouter.
"- bon je crois que j'ai ce qu'il me faut pour mon rappport!"
A suivre....
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Laurescenario
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vivement la suite
Continuez! Les débuts sont difficiles mais c'est en forgeant qu'on devient forgeron.
(orthographe à revoir, je peux vous aider)
(orthographe à revoir, je peux vous aider)