Les mésaventures de Laure - Partie 3

- Par l'auteur HDS Laurescenario -
Auteur femme.
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Récit libertin : Les mésaventures de Laure - Partie 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-08-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Les mésaventures de Laure - Partie 3
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Le commissaire vient alors s’installer, marchant fièrement dans son uniforme. “Alors bonjour monsieur le juge. Alors pour commencer, nous surveillions dimanche dernier les forums internet de la région quand nous avons été interpellé par une petite annonce. Le procureur se lève alors et dit “j'aimerai montrer la pièce à conviction n°1 monsieur le juge, j’aimerai diffuser l’annonce en question” “oui bien sur allez y monsieur le procureur”. Celui-ci va alors brancher son ordinateur portable à la télé située sur le côté de la pièce et affiche directement à l’écran une photo de moi qu’il décrit à voix haute pour mettre dans l'ambiance “alors voici la suspecte, laure 21 ans, nue et à 4 pattes, avec au premier plan les pieds d’une barbie qui sortent de sa chatte et un stylo rouge planté dans son cul. On peut aussi clairement lire écrit sur son dos en rouge je cite “Trou vierge” avec une flèche dirigé vers le trou du cul de l’accusée. Enfin, sous la photo apparait la mention suivante, je cite encore : "petite pute en apprentissage, dépucelée de la journée, a des kilomètres de bites à rattraper. Alors, si vous souhaitez vous vider les couilles à pas cher, venez nous rejoindre. Si vous souhaitez être le premier à lui péter le cul, prévoyez un petit supplément et dépêchez-vous, il n'y en aura qu'un”. Je baisse les yeux honteusement, ne voulant ni voir ni entendre ça.
“Effectivement, très éloquent monsieur le procureur. Commissaire, reprenez je vous en prie”. “Donc, nous nous sommes rendus sur les lieux avec le major Ahmed et c’est Tom, le monsieur barbu assis là-bas qui nous a accueilli. Je lui ai dit que j’avais que cinq euros et il a dit que ça suffisait pas pour lui dépuceler le cul mais qu’on pouvait aller se faire sucer. Ahmed a demandé s’il pouvait la baiser plutôt et il nous a dit que c’était bon, qu’on avait qu’à donner les 5 euros et y aller. Depuis le début on l’entendait couiner depuis l’autre côté du parking et quand on est arrivé, on a compris pourquoi. Elle avait les jambes autour de la tête en train de se faire pignoler la chatte avec une barbie et le cul avec une bouteille de bière” “pièces à conviction n°3 et n°4 monsieur le juge ainsi que la pièce à conviction n°2 le stylo” dit alors rapidement le procureur en soulevant les objets posés sur une table dans leur sachet en plastique. Le commissaire reprend alors immédiatement “du coup, on lui a retiré ses jouets pour nous faire de la place et elle s’est mise à 4 pattes pour me sucer pendant qu’Ahmed l’a baisée. On a alors procédé à l’arrestation et fait les photos d’usage, je me suis vidé les couilles dans la bouche avant de la ramener au commissariat continuer la procédure jusqu’à aujourd’hui monsieur le juge”. Le procureur fait alors défiler en même temps les photos prises illustrant depuis cet instant jusqu’à la garde à vue.
Je regarde alors mon avocat espérant qu’il me défende mais il ne dit rien et me fait signe au contraire de rester silencieuse.
“Très bien commissaire, merci beaucoup pour vos explications, vous pouvez aller vous assoir. Major Ahmed, venez confirmer les dire et apporter votre témoignage s’il vous plait’. Celui-ci se lève et vient remplacer Fred à la barre des témoins. “Alors, comme nous a dit le commissaire, vous avez donc pu la baiser pour 5 euros c’est ça ? “euh 5 euros pour la pipe et la baise monsieur le juge” “et bien, je n’avais jamais vu une pute autant au rabais. Et alors, sa chatte était comment ?” “Poisseuse, mouillée mais encore très serrée quand-même monsieur le juge, ça se voyait qu’elle avait été dépucelée depuis pas longtemps, elle coulait sur ma bite. J’ai tenu le plus longtemps possible mais j’ai fini par bien lui remplir la chatte” “Merci major, votre témoignage est explicite. Et si vous aviez eu les moyens de lui prendre le cul, vous l’auriez fait ?” “Oh, c’est vrai qu’il faisait très envi monsieur le juge, il avait l’air à point mais on savait qu’il fallait le garder intact pour vous”.
Je regarde une nouvelle fois mon avocat espérant qu’il dise enfin quelque chose pour me défendre mais il me fait signe une nouvelle fois de me taire l’air agacé.
“Ah, c’est très bien penser mon ami, merci et très bon travail, vous pouvez allez-vous rassoir pour l’instant” dit d’un coup plus enjoué le juge Lantier.
“Alors monsieur le procureur, vous avez peut-être des témoins à faire appeler encore” “ Oui monsieur le juge, je voudrai remercier Mr Tom et Mr René d’être venu jusqu’ici et qui pourront nous raconter tout le début de l’histoire de cette affaire. Monsieur Tom, si vous voulez bien venir en premier”. Il se lève alors que pour l’occasion, il n’a pas pris la peine de mettre autre chose qu’un de ses marcels pleins de cambouis et jeans habituels.
Cette fois, c’est le procureur qui l’interroge : “Monsieur Tom, merci encore une fois d’être venu jusqu’ici aussi rapidement aujourd’hui pour témoigner. Dites-nous donc comment vous avez rencontré Laure ici présente.” “Ben, on était tranquille à boire des bières avec mes potes René, Max, Jean-Marc et son neveu Alfred, quand elle a débarqué. Elle a dit qu’elle était tombée en panne mais j’ai tout suite vu qu’elle avait une tête à aimer la bite alors je l’ai coincée dans la voiture et elle m’a sucé. Après, comme elle a dit qu’elle était vierge, ben je l’ai ramené aux copains pour vérifier et l’aider et qu’ils puissent s’amuser en se faisant vider les couilles aussi”.
Je regarde encore une fois mon avocat, outrée mais il me fait un chut sonore et sévère. Le juge tape avec son marteau comme pour ramener le silence et montrer son autorité “Continuez monsieur, je vous en prie” “Pis après, ben y a le gros René il l’a dépucelée dans l’herbe, allongé hein, parcequi peut pas grimper sur la table aha. Pis après c’est Max qui l’a prise à 4 pattes pendant qu’elle a sucé le Jean-Marc. Alfred lui il l’a pas prise parcequ’il a pas pu attendre et qu’il s’est branlé sur sa gueule. “Ah oui, merci monsieur pour vos explications. Et comment en êtes-vous venu à l’annonce alors ?” “Ben comme j’ai vu qu’elle mouillait beaucoup et qu’elle aimait ça, je me suis dit que j’allais lui faire un petit peu de pub pour l’aider et comme ça elle pourrait payer pour sa voiture. Par contre je regrette de lui avoir mis ma barbie dans la chatte, elle a tellement mouillé que ça a bavé et que maintenant on peut plus lire qu’est’ce qu’il y a écrit dessus » « oui merci, je comprends, vous vouliez juste rendre un service et voilà qu'elle vous abîme vos affaires, je suis désolé pour vous monsieur. Vous avez autre chose à nous dire avant de vous rassoir ? » « ben c'est que moi avant que les flics arrivent, je pensais que je pourrais encore jouer avec la salope et du coup j'ai pas pu bien me vide les couilles et pis du coup, depuis 3 jours à cause d'elle, j'ai mal à la bite". "Très bien monsieur, le greffier en prend bonne note ne vous inquiétez pas, nous allons essayer de trouver rapidement une solution pour vous dédommager, vous pouvez aller vous rassoir. Mr René, venez à votre tour, j’ai juste quelques questions à vous poser rapidement maintenant ».
Une nouvelle fois, les deux hommes échangent leur place dans le box des témoins sans que mon avocat n'intervienne. Une fois René installé, le procureur l'interroge à son tour "Alors Monsieur, racontez-nous ce qui s'est passé de votre point de vue s'il vous plait". Le gros René a fait un effort pour s'habiller pour venir au Tribunal en mettant une chemise blanche et en pantalon en velours complètement dépassé. "Ben pour moi c'est simple, quand le copain Tom l'a ramené et il a dit qu'on avait à faire à une petite pucelle et qui s'était fait sucer dans sa voiture alors les autres copains ils ont été d'accord pour que ce soit moi qui la prenne en premier comme c'était mon anniversaire hier" "Ah bon, et vous avez eu quel âge ?" "60 ans monsieur". Je suis mortifiée d'apprendre qu'un homme aussi vieux ait été celui qui m'ait pris ma virginité.
"Félicitation monsieur, et visiblement toujours en forme ahaha. Racontez nous donc comment ça s'est passé alors ?" "Ben les gars l'ont allongé et je me suis mis dessus. J'ai eu du mal à rentrer à cause de son hymen mais je la sentais déjà humide la petite coquine alors j'ai donné un coup de bassin pour faire passer ma queue et lui ouvrir la chatte et comme je bandais bien, ben c'est passé. Elle a un peu crier au début mais rapidement, elle s'est mis à couiner comme une chienne et à couler sur ma bite. Quand je l'ai senti jouir, je l'ai défoncé comme elle méritait la petite et je l'ai arrosé avec mon jus". "Merci beaucoup monsieur pour votre témoignage. Une dernière chose à ajouter ? Oh non, j'étais crevé après alors j'ai juste aidé à la branler un peu avec la barbie et la bière mais j'ai surtout regardé les copains s'amuser". "Merci, vous pouvez aller vous rassoir également. Votre honneur, je n'ai plus de témoin pour l'instant".
"Maitre, souhaitez-vous faire déposer l'accusée ?" "Oui, Monsieur le juge". Mon avocat me murmure à l'oreille "allez vas y, c'est ton tour, tu vas pouvoir répondre aux questions".
Je me lève pour aller à mon tour m'assoir sur l'estrade en dessous à la droite du juge. J'ai du mal à marcher avec les talons, les menottes et la culotte qui rentre dans ma chatoune mais j'arrive quand-même à m'installer sur le rebord de la chaise, dans le box. Sans que je le remarque, le juge Lantier passe les mains sous son bureau. Comme un vieux pervers, il commence à se branler doucement alors qu'il est nu directement sous sa robe de magistrat et que mon avocat commence à m'interroger : "Mademoiselle Laure, dites-nous, aviez-vous l'intention d'avoir des rapports sexuels en arrivant sur l'aire d'autoroute dimanche soir dernier ?" " Mais non monsieur, je vous jure !". Je le vois d'un coup me regarder sévèrement, agacé "euh non maître, je voulais juste faire une pause car j'avais une envie pressante je et ma voiture est tombée en panne" je reprends un peu perturbée. "Je vous ai pas demandé tous ces détails, répondez juste à mes questions ! Donc, étiez-vous encore vierge à ce moment-là ?" "Euh Oui, Maitre" "Et vous étiez-vous déjà caresser la chatte toute seule ?" "Euh non Maitre, jamais". Je suis de plus en plus rouge et gênée par les questions. "Vous ne saviez-donc pas ce que ca faisait de mouiller de la chatte mademoiselle ?" "Non Maitre" "Vous n'avez donc pas fait exprès de mouiller à chaque fois que vous preniez une bite dans la chatte ou quand on vous a mis avec la barbie". Ces questions se font de plus en plus crues, précises et humiliantes. On peut sentir que ça l'amuse d'autant que je dis bien Maitre à chaque fois. Je réponds sans réfléchir "euh non Maitre, je vous jure je n'ai pas fait exprès je ne voulais pas" "Taisez vous, n'en dites pas plus. Répondez juste à cette dernière question : Souhaitiez-vous être payée pour vous faire prendre comme une pute et vous faire dépuceler le cul ?" "Mais non Maitre, je vous jure je voulais pas".
« Je n'ai plus d'autre question votre honneur. Vous voyez, c'est pas une pute, elle voulait pas être payée. » et il conclut là sa défense.
« Monsieur le procureur, voulez-vous interroger l'accusée » « Merci votre honneur ». Le procureur rallume alors la télé pour lancer d'abord le film ou René me dépucèle. Alors que le film passe encore à l’écran, le procureur m’interroge : "Mademoiselle Laure, est-ce vous qu'on peut voir là en train de jouir à se faire mettre la chatte ? " Je bredouille, rouge de honte, n'osant pas regarder l'écran "euh oui monsieur". "Et c'est bien vous qu'on a vu sur l'annonce que j'ai lu tout à l'heure ?" "Oui monsieur, je suis désolée snif, c'est moi" "C'est un peu tard pour regretter mademoiselle ! Enfin, est-ce que le commissaire Fred et la major Ahmed ont bien payé cinq euros pour se faire sucer et vous baiser et que s’ils avaient payé plus cher, ils auraient pu vous péter le cul ?" "euh oui oui, dis comme ça c'est vrai monsieur" "Comme ça, ce qui est surtout très clair, c'est qu'on a bien à faire là à une pute, et pas la plus douée en plus votre honneur !". Pendant tout ce temps, celui-ci a continué à se branler comme un cochon excité de me voir assise menottée, mes gros seins qu'on devine nus sous ma chemise, toute rouge et gênée à devoir répondre à ces questions humiliantes.
"J'ai une dernière question à vous poser moi et je pourrai me faire un avis sur votre dossier. Finalement, votre petit trou est toujours vierge alors ?" Je suis choquée et surprise par la question mais je réponds tout de même "euh oui monsieur le juge".
Alors que je suis encore devant dans le box des témoins, le juge Lantier déclare "Ok, pour moi le dossier est très clair finalement. En fait t'es une pute mais qui connait mal ses tarifs et fait de la concurrence déloyale. En plus, il est intolérable d'avoir pris l'argent des agents de police et d'avoir tapiner sur internet, une bonne pute agit sur le trottoir. Donc désormais, pour faire une pipe, tu devras prendre 10 euros, 20 pour te faire prendre la chatte et 50 pour ton cul, mais t'as intérêt à mériter ton argent, t'as compris ?" "mais, mais vous faites une erreur !" je réponds complètement désemparée. " Et ça sera onc 100 euros de plus pour outrage à ajoute les 200 euros d'amende pour racolage sur internet. Ensuite, tu dois 70 euros à Mr Tom, au commissaire Fred et au major Ahmed au titre des dommages ainsi que 50 € à Mr René. Tu dois enfin 220 euros au titre des frais de justice soit 30 euros pour le brigadier Mohamed et mon ami Marcel, le greffier, et 80 euros pour Monsieur le procureur et Maitre Robert pour leur heure de travail. Ça fera donc une amende totale de 780 euros à payer". Je suis complètement affolée par tout ce qu'il dit.
"Maintenant tu vas voir, tu vas payer le premier acompte ahaha. Brigadier, installez là sur la table, je vais enfin aller lui péter le cul à cette pute. Et tu vas voir, ça sera 100 euros de moins direct sur ton dû si j'arrive à rentrer du premier coup ahaha".
Le brigadier arrive pour me faire lever. Il me tient fermement alors que je commence à m'agiter et m'installe comme demandé, allongée en avant sur le bureau les mains attachées dans le dos. Le juge se lève la main encore en train de s'agiter sous sa robe "S'il vous plait ne faites pas ça" je cris paniquée mais il me colle une grosse fessée par-dessus ma jupe plissée pour me calmer tout de suite "Ta gueule ! J'ai encore rien fait". Il relève alors ma jupe devant lui et tire d'un coup sur ma culotte avant de m'asséner trois nouvelles fessées très fortes, laissant la marque de ses doigts sur mon cul. Je me retiens de ne pas crier à chaque coup. Il écarte alors mes fesses et soulève sa robe pour venir poser sa queue déjà raide directement contre mon petit œillet complètement fermé et commence tout de suite à appuyer.
"Aaaaiiiieeee, aarretez, arretez, s'il vous plait, aiiie ça fait mal" "Détends-toi, pousse sur ma bite salope, allez ça va passer". Il continue d'appuyer mais je hurle de plus belle, mon petit trou n'étant absolument pas préparé. "Putain, fais chier, t'es vraiment bonne à rien comme pute" il commente alors énervé arrêtant sa poussée. "Bon, ben ça fera déjà 10 euros de moins de gagné !" il ajoute sévère en me donnant une nouvelle fessée. "Bon Marcel, va à la cantine trouver le chef et dis-lui qu'on a une salope qu'on arrive pas à ouvrir ici. Il a toujours de bonnes idées pour y arriver". Marcel le greffier sort alors de la salle pour se rendre jusqu'au réfectoire du palais.
Pendant ce temps, le juge prend une chaise et s'assoit. "Bon amenez-la moi sur les genoux en attendant". Mohamed me relève pour venir me positionner en avant sur les genoux du vieux juge Lantier, la poitrine et les jambes dans le vide, la culotte tombée sur les chevilles, les mains toujours menottées dans le dos alors que je sens sa queue encore raide sous mon ventre.
"Approchez tout le monde, on va regarder ce qu'elle cache un peu sous sa chemise en attendant, la petite pute qui sait pas se faire enculer ahaha". Tous les hommes se lèvent pour venir voir pendant que le juge ouvre les boutons de ma chemise. Mes gros seins tombent et pendent sous moi, allongée comme ça. "Putain, elle a une sacrée paire la salope" ne peuvent alors s'empêcher de s'exclamer en cœur le gros René et le brigadier Mohamed qui les découvre pour la première fois. Le juge les soupèse un peu dans ses mains, les malaxe en pinçant un peu les tétons comme pour tester leur réaction. "Bon, moi c'est surtout ton cul qui m'intéresse ma jolie pour l'instant, fais donc voir se que tu caches de plus prêt". Le juge dézipe alors ma petite jupe plissée aidé immédiatement par le brigadier qui tire dessus en me soulevant un peu les jambes pour l'enlever. Dans le même mouvement, il retire ma culotte qui trainait sur mes chevilles ne laissant que mes escarpins aux pieds. Le juge remonte également la chemise dans mon dos pour dégager complètement la vue sur mon fessier.
"Monsieur le procureur, ramenez-moi le stylo, on voit plus ce qui était marqué, c'est dommage". Le procureur prend tout de suite le sac contenant le stylo et le donne au juge alors que je suis toujours ridiculement allongée sur ses genoux, le cul et les nichons à l'air, menottée et impuissante devant toute l'assemblée qui observe. Le juge sors alors le stylo et s'applique à écrire de manière bien lisible et à sa façon "petit trou bientôt dépucelé" avec une nouvelle flèche vers le bas.
Je n'ai qu'une peur, c'est qu'il continue avec le stylo et me l'enfonce dans les fesses comme l'ont fait les routiers mais il le range dans son sac et le redonne au procureur pour qu'il le repose au contraire. Je suis soulagée un instant alors qu'il commence à malaxer doucement mon cul devant lui sans rien dire. Il écarte mes fesses et pose son index sur mon petit trou. Toutefois, il tourne alors doucement dessus sans appuyer vraiment, testant juste légèrement l'élasticité. Mais d'un coup, il relève sa main et enchaine violemment une dizaine des fessées sur mon cul me faisant crier de surprise et de douleur. Je sens mon cul écarlate qui me brule. Mais aussi brutalement qu'il a commencé, il arrête, recommençant à malaxer doucement mes fesses en caressant mon anus avec son doigt.
A ce moment là, Marcel rouvre la porte de la salle d'audience et revient un cabas rempli dans les bras. "Ah merci Marcel, on vous attendez. Alors, qu'est ce que nous à préparer mon ami Jacques, le cuisinier, pour aujourd'hui dites moi ?" En sortant les éléments du cabas, le greffier répond : "Ben d'abord, il y a une plaquette de beurre juge Lantier, c'est toujours utile d'en rajouter, ça glisse mieux après, enfin c'est ce qu'il m'a dit". En même temps, le juge s'amuse à me donner une nouvelle série de fessées "mm tu vas voir, avec ça, ça va finir par glisser tout seul, je vais te la mettre bien dans le cul tu vas voir" et il s'arrête de nouveau écoutant le greffier qui continue "Après, il a mis une spatule en bois. Il m'a dit que le manche était fin, ça abîme pas, on peut touiller et ça détend bien le sphincter normalement. Et on peut toujours la fesser aussi avec si ça marche pas. Après, il a mis une carotte, il a dit que ça marchait toujours les fruits et les légumes et qu'avec le vert au bout ça fait joli". Je reçois en même temps deux nouvelles fessées juste pour le plaisir de me surprendre et de me voir sursauter. "Enfin, il a dit que ça devrait passer déjà depuis longtemps mais que si ça marchait toujours pas, on pouvait lui mettre le manche du rouleau à pâtisserie, ça fait comme un plug et là, vous êtes sur" "Ah, je savais qu'on pouvait compter sur lui, il a toujours de bonnes idées Jacques. Le juge me dit alors « Mais t'inquiète pas, si tu travailles bien, avec le beurre, ça devrait suffire cette fois petite pute" "Par contre, du coup, il a dit qu'il passerait nous voir tout à l'heure, il a une pause dans 45 minutes et 20 euros à dépenser" ajoute Marcel. "Pas de souci, ça fera un peu d'argent bonus pour payer son amende à la pute".
"Allez, on va passer à la deuxième tentative maintenant, avec du beurre, et si tu t'appliques pas, tu sais ce qui t'attend. Je vais t'aider, mets toi par terre écarte les jambes à genoux et penche toi complètement le cul relevé". J'obéis sans réfléchir et glisse de ses genoux au sol. Il m'aide en me retenant par les menottes et en tapotant entre mes jambes pour me faire écarter les cuisses au maximum. Une fois en position souhaitée, la joue au sol, les mains dans le dos et le cul relevé, il prend la plaquette de beurre et l'ouvre pour venir prélever directement une grosse noisette avec ses deux doigts qu'il vient appliquer directement sur mon petit trou. Mais cette fois, il appuie en tournant, faisant chauffer et s'étaler le beurre sur mon anus. Je me mord les lèvres pour essayer de ne pas crier alors qu'il insiste encore jusqu'à faire pénétrer le bout de son majeur dans l'ouverture de mon anneau et l'enduire ainsi d'un peu de beurre.
Le juge Lantier me donne alors une dernière claque sur mon cul "Bon allez, deuxième tentative. Et cette fois applique toi sinon j'enlève directement encore 30 euros la prochaine fois”. Je sens alors de nouveau sa queue raide venir se poser sur mon petit anneau tandis que le bas de sa robe de magistrat me chatouille le dos dans cette position. J'essaie de me concentrer pour me détendre au maximum malgré la situation et ne pas crier. Il me prend alors par les hanches et commence de nouveau à appuyer, d'abord doucement. J'essaie de me retenir alors que j'ai déjà l'impression qu'il va me fendre en deux. Et pourtant, il ne progresse pas. Il s'impatiente et essaie de donner un coup de rein pour forcer l'ouverture mais le bout de son gland entrouvre à peine le passage que je hurle déjà. Il essaie de forcer encore un petit peu mais je le supplie d'arrêter. « Putain, c'est pas encore pour cette fois ». Il se relève et me dit « bouge pas et brigadier, tenez-lui les fesses bien écartées ». Ce dernier exécute l’ordre du juge pendant que celui-ci attrape alors la spatule.
Sans attendre, il revient et me la plante brutalement. Une nouvelle fois, je hurle dans la salle d'audience mais cette fois, le manche me pénètre. Il appuie pour continuer à l'enfoncer doucement sur au moins 5 centimètres. On dirait presque que mon cul l’aspire. Il attrape le bout et commence à remuer la spatule à l'intérieur de moi, comme s'il touillait avec le mauvais côté d'une cuillère. On peut voir mon sphincter qui commence à céder et arrêter de résister ce qui provoque un mouvement d'excitation dans les hommes de l'assistance. Tom « ça y est, elle s'ouvre enfin cette pute", l'avocat : « oui allez-y monsieur le juge, je suis sûr que vous pouvez lui péter le cul maintenant », René : « elle va voir la différence que ça fait une bite dans le fion la salope,, ça va lui plaire je suis sure à la petite", le major Ahmed « oui, défoncez la bien, ouvrez lui le cul et on ira après », le procureur « on va la défoncer et la faire payer jusqu'à ce qu'elle reste ouverte de tous les côtés » « grave elle pourra plus marcher demain la pauvre ahaha » ajoute encore Ahmed.
Le brigadier Mohamed continue de me maintenir les fesses écartées pendant que le juge fini de remuer avec la spatule. D'un coup, il l'enlève et vient se placer pour donner un coup de rein et enfoncer son gland dans mon anus avant qu'il ne se referme. Je pousse un nouveau cri mais j'arrive à le réfréner alors qu'il reste un instant comme ça, juste le gland planté dans mon cul. L'introduction faite, il peut prendre appuie sur mes hanches pour appuyer davantage et continuer son intromission. Le brigadier Mohamed qui est au premier plan s'exclame « oh putain je le vois ça rentre, elle est en train de s'ouvrir la chienne". Le juge soupire alors qu'il force encore le passage « allez sale pute, ouvre toi j'en suis qu'à la moitié. De toute façon ça va passer ! » dit il ajoutant une nouvelle fessée au passage.
Je me mords les lèvres pour m'empêcher de crier alors que j'ai l'impression que je vais suffoquer et que mon anus va exploser. Sans s'arrêter pourtant, il continue de pousser. Inconsciemment, je pousse des petits gémissements ridicules à chaque centimètre gagné dans mon cul en essayant de contenir mes cris.
Après plusieurs minutes à pousser, il réussit enfin à me pénétrer entièrement. Il donne un dernier coup de rein satisfait « Voilàaaa, enfin 60 euros de gagner, et tu mérites pas plus vraiment ! Jusqu'au couilles je te le met ! Tu vois que ca rentre 15 centimètres dans le cul. Et t'as de la chance j'ai pas la plus grosse la mienne est moyenne mais tu verras, ca rentrera aussi si t'es une bonne pute qui fait bien son travail ! » il me claque encore plusieurs fois les fesses en restant fiché au fond de mon cul encore tout serré en disant ça.
Il commence alors à faire de petits vas et viens pour laisser encore un petit peu de temps à mon cul pour s'habituer et pouvoir commencer à coulisser. Il continue comme ça progressivement jusqu'à pouvoir ressortir sa queue jusqu'à son gland et l'enfoncer à nouveau. Il donne alors une nouvelle claque sur mon cul comme un coup d’envoi une série de vas et viens puissants et rapides pour me défoncer et me faire crier à nouveau. « vas-y, vas-y gueule petite pute, tu pourras plus quand tu seras en train de sucer ahaha » alors qu'il m’encule sans ménagement. J'ai l'impression que je vais m’enfoncer dans le sol. Il se penche encore plus sur moi pour s'acharner dans mon conduit étroit « mmm voilà je viens bien te baptiser le fion salope. Mmmm voilà je te mets tout mon jus dans ton cul de pute ahhhh". Complètement vidé, il se retire pour admirer son œuvre. Alors que je suis incapable de bouger, il écartelui-même mes fesses pour pouvoir admirer mon anus entrouvert qui recrache son sperme. Avant de me laisser, il attrape la carotte et me l’enfonce d'un coup dans mon petit trou me faisant sursauter même si elle rentre sans mal, étant quand-même même plus fine que la bite du juge.
« ca va être à vous messieurs. Mettez vous d'accord entre vous pour savoir comment vous voulez commencer. Ne vous inquiétez pas, je fais les comptes et elle doit encore 720 euros alors vous pouvez vous amuser, elle pourra pas payer tout aujourd'hui avec ce qu’elle doit ahaha. Je vous demande juste de pas toucher à la carotte tant que mon ami Jacques n'est pas arrivé pour sa pause".
Les hommes se mettent rapidement d'accord. L'avocat dit « je propose que ce soit moi et le procureur qui commencions, c'est nous qui avons le plus à nous faire payer". Le procureur répond « je passe mon tour, je préfère l’enculer pour commencer, je vais attendre qu'on puisse enlever la carotte». «Moi, je suis chaud pour la baiser, ça fait 3 jours que j’attends de me vider les couilles et de la prendre cette petite pute. En plus c’est moi qui l'ai trouvé » argumente alors Tom. « Moi ça me va de me faire sucer dans ce cas » dit alors l'avocat comme pour clore la négociation sans que personne ne vienne le contredire.
« Alors, vous avez une préférence pour l’installation ? » « oh moi, tant que je peux mettre ma bite dans sa chatte et me vider enfin les couilles ça m’ira ». « bien, dans ce cas, brigadier Mohamed, enlevez-lui les menottes qu'elle puisse s'allonger sur la table du procureur. Comme ça, vous aurez juste à lui relever les jambes pour la prendre sans qu'elle s'assoit sur la carotte et moi je gouterai à sa bouche de l'autre côté ».
Les choses se mettent rapidement en place bien incapable de réagir ne pensant qu'à l'humiliation que je viens de subir. Le brigadier me relève et me retire les menottes avant de me donner à Tom pendant que d’autres dégage les affaires du procureur en les mettant les sacs contenant le stylo, la barbie et la bouteille de bière sur le côté de son bureau. Tom me prend par le bras pour m’allonger sur le dos et me relève directement les jambes autour de son cou, sa bite directement à hauteur de ma vulve et la carotte toujours bien enfoncée dans mon petit trou. Comment dire qu’après le spectacle auquel il vient d’assister et les 3 jours passés sans baiser, sa bite est raide comme du bois. Il la place alors à l’entrée de ma chatoune et l'enfonce immédiatement sans autre préliminaire. Bien qu'elle soit plus petite que celle de René ou Max, pas plus de 13 centimètres, je la sens plus que passer, ma chatte n'ayant pas été touchée depuis trois jours non plus.
En même temps l’avocat vient tirer mes cheveux en arrière pour me faire pencher la tête de l'autre côté de la table et présenté sa queue devant ma bouche. Je peux apercevoir les objets de mon humiliation à posés à côté de moi « Allez, ouvre la bouche ma salope, tu vas goûter la bite de Maitre Robert. Tu vas voir elle est bonne ». Dans cette position et prise comme je le suis par Tom, je suis bien incapable de fermer la bouche de toute façon. Il en profite alors pour avancer sa bite et me la fourrer dans la bouche. Tous les autres hommes ont sorti leurs queues autour de la table pour se branler en attendant leur tour. Je sens régulièrement des mains tripoter mes nichons en même temps sans savoir qui c'est, aveuglée par la bite de l'avocat dans cette position.
La porte de la salle d’audience s’ouvre à ce moment-là. Le cuisinier Jacques rentre, sifflant en voyant le spectacle en cours.
Le juge l’accueille assis sur son fauteuil de président, la bite ramollie à l’air, sa robe encore relevée. « ah mon ami, ça fait plaisir de te voir ! » « Ben c'est moi, j'ai bien fait de passer à ce que je vois, on a l'air de bien s'amuser ici. Alors, c'est elle la salope que t’arrivais pas à ouvrir tout à l’heure ? » « oui c'est elle, ça y est, je viens de finir de l’enculer il y a 5 minutes. J’ai pas réussi direct avec le beurre mais après l'avoir préparé avec la spatule, j’ai fini pas réussir à la mettre mais ça a été laborieux ! Et c’était que la mienne !».
En même temps, on peut entendre Tom commencer à grogner de plus en plus fort, continuant de me baiser férocement sur la table pendant que l'avocat profite des à-coups en se faisant sucer, se contentant de garder sa main sur mes cheveux. Il donne encore quelques coups de rein avant de se retirer d'un coup pour se branler comme un fou devant ma chatte. Il envoie tout son jus sur ma vulve qui coule jusque sur la carotte. Sans que je m’y attende, ça fait jouir l’avocat dans ma bouche. Surprise, je recrache une partie de son sperme sur sa robe par reflex. Il me donne alors une giffle, énervé « putain, c'est quoi cette pute qui sait pas avaler. Monsieur le juge, vous pouvez le rajouter à la note ? j'en ai pour au moins 30 euros de pressing à cause de cette conne » « oui bien sûr c’est normal, ne vous inquiétez pas Maitre Robert. Et je vous compte pas la pipe du coup, normal. Elle vous devra donc encore 110.euros la prochaine fois et il restera 50 euros pour Mr Tom soit encore 740 euros après les frais de pressing. Jacques, mon ami, t'es pressé ? Je t'offre un coup, je le déduirai de son amende ». « C'est gentil merci mais ça va je suis pas pressé, je vais la regarder un peu avant ».
« euh excusez moi mais nous on est pressé monsieur le juge, il faut qu'on retourne travailler, on a laissé des détenus » dit alors le commissaire. « Pas de problème, passez en priorité messieurs ». « Et on peut enlever la carotte monsieur le juge ? » « Oui, allez-y ».
Le commissaire Fred prend alors la direction des opérations. « «Ahmed, allonge toi par terre, elle va venir s’empaler la chatte sur toi". Il se met immédiatement en position le pantalon aux chevilles la bite dressée. Le commissaire me prend par le bras pour me guider sans que je ne résiste. Je m'asseois doucement, elle m'ouvre bien encore car elle est nettement plus grosse que la précédente, dans les 18 centimètres de long et 5 de large. Il me sert fort dans ses bras pour me coller contre lui tout en faisant aller et venir sa bite tranquillement dans ma chatte. « Bon maintenant Mohamed va te faire sucer ». celui-ci vient sans hésiter devant moi et me prend par les cheveux pour me coller sa bite dans la bouche que j'ouvre sans réfléchir. Il les laisse faire quelques instants histoire de me laisser m’habituer déjà à cette présence simultanée. « Bon maintenant arrêtez vous une seconde, j'arrive ». Le juge en voyant où il veut en venir dit : « Ouh la ! je sais pas si elle est prête pour ça. » « Oh, vous inquiétez pas monsieur le juge, on sait ce qu'on fait, je suis sur qu'elle va très bien encaisser maintenant la petite ». Ahmed me bloque bien allongée contre lui la bite enfoncée dans la chatte les jambes écartées de part et d'autre de sa taille tandis que Mohamed me tient la tête sur sa queue enfoncée jusqu'à la gorge, le nez touchant son ventre. Sans que je le vois arriver, le commissaire Fred vient derrière moi et commence par me retirer la carotte toujours coincée dans mon anus. Il pose une main sur mes hanches pour me cambrer encore plus et de l'autre, vient guider sa queue de mon petit trou encore bien entrouvert, surtout dans cette position et s'enfonce en moi, lentement mais sûrement, arrivant à s'enfoncer ainsi jusqu'au couilles, d’une traite.
Je suis presque moi-même ébahie d’en être arrivé là. Je suis remplie par tout les trous. Mmm qu’est ce qui m'arrive encore. Oh non, je suis prise par tous les côtés, je bave sur une queue qui me remplit la bouche et deux autres me remplissent la chatte et le cul et je recommence à mouiller. C'est si humiliant mais c'est incontrôlable. C'est encore plus fort que la première fois, sur l’aire d'autoroute. Oh non, je jouis en dégoulinant sur leurs queues sous le regard admiratif des autres.
« Et voilà, je vous l'avais dit, c'est la pire des salopes, elle en voulait 3 c'est tout ahaha» dit Fred en me pistonnant le cul par-dessus son collègue Ahmed.
« Putain je vais bientôt jouir chef ! » « Moi aussi chef » disent ensemble Ahmed et Mohamed. « Allez y les gars ! Mais toi Mohamed, fait lui bien avaler cette fois qu'elle te salisse pas" « oui commissaire ! ». Les deux commencent alors à grogner. Mohamed prend garde à me tenir la tête quand il se vide au fond de ma gorge et me faire tout avaler. Mohamed accélère quelques secondes sous moi avant de jouir à son tour. Le commissaire quand à lui, me prend encore pendant encore au moins deux longues minutes presque à califourchon sur moi, alors que Mohamed et Ahmed laissent leurs queues ramolli en moi, avant de jouir à son tour dans mon cul.
Il se retire en me donnant une fessée de satisfaction. Ahmed me pousse sur le côté pour pouvoir se relever me laissant gisante, par terre. « Vous avez encore besoin de nous monsieur le juge, on doit y aller » demande alors le commissair, pressé de partir. « Laissez nous juste vos menottes, quand elle va voir Jacques, elle risque de gigoter ahaha. Mais elle est pas dangereuse,ça va ller. Elle vous les rendra quand elle viendra vous payer le reste. Si je récapitule, elle vous doit encore 20 euros à Fred et Mohamed et 50 euros à Ahmed. Et je lui enlève encore 10 de son amende parcequ'elle a réussi à se prendre une triple et ça je m‘y attendais pas. 90 euros d‘un coup , c'est bien ma petite pute. Allez, Jacques, va t'amuser maintenant ».
Le gros René, Marcel le greffier et le procureur qui attendent encore leur tour râlent un peu de se faire doubler messieurs. « Désolé messieurs mais mon ami est pressé et après lui, elle pourra plus marcher. Vous avez qu'à vous branler gratuitement pour aujourd'hui, excusez-moi de l’inconvénient mais je vois duoble votre crédit à chacun pour me faire pardonner pardonner et vous serez prioritaires pour nous donner vos disponibilités pour la prochaine fois ». Devant l’opportunité, ils acceptent « Bon d'accord mais on veut du spectacle pour se branler alors !» dit alors le procureur pour marquer sa bonne foi tout de même. « Pas de problème, avec mon ami Jacques, il y en a toujours ahaha”.
“Allez, vas-y Jacques montre leur, à toi de jouer. » « Je peux utiliser ce que je veux ? ». « Oui t'inquiète fais toi plaisir, il faut bien qu'elle payer son amende la petite et on a vu qu'elle encaissait bien finalement. Ca va être l'apothéose ahaha ».
Jacques vient alors devant moi encore allongée par terre entièrement nue. D'une voix calme mais ferme, il m’ordonne « Mets-toi à genoux devant moi. Ouvre mon pantalon ». Je ne sais comment ni pourquoi mais j'obéis sans réfléchir, impressionnée par son allure. « Maintenant, mets ta main dedans et attrape ma queue. Tu la sens ? » « Oh euh oui monsieur ». Elle n'est pas encore raide mais elle me paraît complètement démesurée. « Sors la maintenant. Tu vois je te présente passe partout. 25×6,5 mais elle passe partout ahaha ». En même temps il la récupère entre ses mains et s’amuse à la tapoter contre ma joue, sans que je ne bouge ébahie par la taille de son engin. « On va passer à l'échauffement. Ouvre bien la bouche » “ Mais, mais, ça ne rentrera jamais monsieur” Il me gifle ”Ta gueule et ouvre! Réfléchis pas et obéis tu vas voir”. Je suis un peu sonnée. J’ouvre alors grand la bouche devant lui toute rouge..Il soulève alors sa queue et la pose sur mon nez en prenant et rassemblant ses couilles dans la main. Il me penche un peu la tête en arrière et les enfonçant entre les lèvres pour permettre de les faire passer. « mmm voilà, gobe mes couilles en entier dans la bouche". Il me tapote la joue comme pour me féliciter d'avoir réussi avant de les retirer. «Tu vois, t’as déjà réussi à gober mes couilles salope, maintenant la bite" il prend alors son sexe qui continue de grossir encore et m‘enfonce sur le côté son gland dans la joue pour s'amuser à la déformer et tapoter encore. Puis il recule un peu pour pouvoir mieux me l'enfoncer dans la gorge. Elle est tellement grosse qu'elle rentre à peine à la moitié. « Allez c'est pas grave si tu la rentres pas plus mais bave bien. Tu vois, tu commences à bien me faire bander". Il me fait sucer comme ça jusqu’à ce que sa bite soit entièrement recouverte de salive.
Il s’adresse alors au juge Lantier « Excuse-moi, je peux utiliser ton fauteuil ? ». Le juge se relève et lui laisse. Le cuisinier me prend alors par le bras et me fait mettre à genoux sur le fauteuil face au dossier. Il attache mes chevilles de part et d’autre des accoudoirs avec les menottes laissées par le policier. Je suis bloquée comme ça en avant à 4 pattes les jambes écartées. Il arrive sans attendre derrière moi et place sa queue directement à l'entrée de mon petit trou. Il donne un coup de bassin tellement rapide et brutal qu'il s'enfonce directement au tiers sans que j'ai le temps de crier. Je suis complètement sidérée. Le procureur, qui se branle de puis toute à l’heure, vient à côté de lui pour regarder le spectacle de la bite géante qui arrive petit peu à petit peu à me prendre mon petit trou malgré tout. Quand le cuisinier arrive enfin au bout, ça en fait gicler le procureur sur mon cul.”aaaah salope, tu vas voir, je vais t‘enculer direct la prochaine fois, aaah tu prends bien sale pute, aaaaah je t‘arrose pendant que tu te fais enculer”. Je sens son sperme visqueux gicler sur mes fesses.
Jacques commence alors à tranquillement coulisser dans mon cul. « Tiens tu peux me passer ton marteau. J’ai une idée. ». Le juge lui passe alors son maillet ravi. Le cuisinier m‘enfonce alors le manche dans la bouche "Tiens suce ça en attendant, t’as besoin de t'entrainer et j'en ai pas fini avec ta bouche, continu à la faire travailler. Il continue encore de me pistonner quelques instants, changeant régulièrement de rythme et de profondeur pendant que je tête bêtement le marteau du juge.
Au moment où je commence presque à m’habituer enfin à sa présence, il se retire. Il m’enlève le manche du marteau de la bouche pour me le mettre directement dans le cul à la place laissée vide par sa bite. ”Voilà, comme ça, ça te fera pas trop de vide pas trop vite ahaha“.
Il passe devant la chaise. Il me penche « Allez, vient gouter ton cul de salope, nettoie ma queue !” Sans réfléchir, je sors la langue et commence à la lécher. ”Tu sens ? il était trop rempli alors je pouvais pas jouir dedans moi aussi mais du coup je vais jouir sur ta jolie petite gueule de pute tu vas voir". René et Marcel viennent à ses côtés pour se branler aussi. “Allez lève les mains, branle nos amis pendant que tu me suces qu’on voit si tu sais faire quelque chose d‘utile". Je remonte alors les mains en tâtonnant. Marcel et René m’attrapent les poignets et guident ma main sur leurs queues pour les branler devant moi tandis que Jacques rentre et sort régulièrement de ma bouche ouverte en se masturbant lui-même. Les deux hommes que je branle me jouissent quasi simultanément sur le visage, alors que Jacques vient quelques secondes après comme pour finir le tableau, me recouvrant complètement la figure et les cheveux, le sperme finissant même de couler sur mes seins.
« Et bien, pour une première devant le Tribunal, je crois que t’as pris une bonne leçon ma salope” constate alors le juge “Bon on va récapituler ce qui t’attends et tu pourras rentrer chez toi te reposer. Déjà, on va faire les comptes. Avec les pénalités et les retards, tu dois encore de l’argent à tout le monde malheureusement. Déjà, maintenant, tu dois 160 euros à monsieur le procureur et 80 euros à Maitre Lantier” “euh 110 monsieur le juge, avec le pressing” “Oui, c’est vrai pardon, excusez-moi, par contre, tu dois plus que 50 euros à Mr Tom, 50 au Major Ahmed et 20 au commissaire Fred et au brigadier Mohamed. Pour finir, il te reste encore 170 euros d’amende à payer. Ça te fait encore un total de...” Je le vois compter “de 740 euros donc. Finalement, ça fait que 40 euros de gagner pour la matinée, c’est pas beaucoup, il va falloir que tu t’améliores. Bon, je vais être sympa, je vais te donner encore 50 euros que je vais déduire de ton amende et comme ça tu pourras aller t‘acheter des fringues pour travailler. Je te donnerai une adresse sympa, si t’y va de ma part, ils te feront un prix en plus”.
Le juge part chercher son portefeuille et les clés des menottes sur son bureau. Il me détache enfin et me jette un billet de 50 euros pris dans son portefeuille dans le dos “Allez rhabille toi maintenant tu peux partir et rentrer chez toi te laver. Je t’appelle demain, je te dirai comment ça va se passer”.
Les hommes ramassent alors leurs affaires et me laissent enfin seul. Je suis encore nue, à genoux sur la chaise, recouverte de sperme, cherchant à réaliser ce qui vient de se passer...

Fin (peut-être que pour le moment...)

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