Chap. 3: Le procès - histoire érotique

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Ce texte est la suite de Chap.1: L'arrestation et Chap. 2: La garde à vue
Rappel : "Cette histoire est un fantasme, pas une réalité."

Profondément endormie après ce qui je crois a été un cauchemar, je suis brusquement réveillée le lendemain matin par des discussions d'hommes qui arrivent vers moi. Je revois alors autour de moi les barreaux de ma cellule dans laquelle gît le lambeau de mes vêtements et comprend que je suis bel et bien dans la réalité.
Je vois alors arriver dans le couloir un homme en costume accompagné du commissaire et de 2 policiers. L'homme en costume n'a pas l'air étonné de me voir ainsi nue recouverte de traînées blanchâtres de sperme mal essuyé. Il prend la parole s'adressant directement à moi d'un air sévère « Bon Mademoiselle, vous allez passer directement en comparution immédiate devant le juge aujourd'hui. Je serai votre avocat pour l'occasion. Ces messieurs vont vous préparer et je vous rejoindrai directement là-bas » puis il tourne les talons et repart aussitôt, raccompagné par le commissaire.
Les policiers ouvrent alors ma cellule « alors sale droguée on fait moins la maligne maintenant ». Ils entrent et me relèvent en me prenant brutalement par les bras. Ils m'emmènent comme ça jusque dans le douches et me jettent dans la première « allez lave toi sale pute, t'as l'air de quoi recouverte de foutre comme ça, il faut que tu sois plus propre que ça pour aller voir le juge. Et puis après tu mettras la tenue qu'a laissé l'avocat pour toi mais dépêche toi salope, on a pas que ça à foutre de nous occuper de traînées de ton genre ».
Je me relève alors et allume immédiatement la douche trop heureuse à l'idée de pouvoir enfin me nettoyer de tout ce foutre qui me salit et de retrouver des habits pour couvrir ma pudeur. Il n' y a que de l'eau froide mais je me frotte énergiquement pour enlever chaque goutte de sperme qui me souille.
Les policiers coupent alors l'eau et me jettent une serviette « allez sèche toi et habille toi maintenant et plus vite que ça » me disent-ils méchamment.
Je m'essuie alors et ouvre le paquet laissé par l'avocat. Je suis rouge de honte rien qu'en voyant la tenue qui m'attend mais je n'ai pas le choix, c'est ça ou être nue.
J'enfile alors en premier les bas blancs et la mini-jupe d’écolière qui m'attendent et m'aperçois rapidement que la jupe est tellement courte, qu'elle recouvre à peine mes fesses et qu'elle laisse entièrement voir les bas dessous. Pour le haut, je ne trouve qu'un soutient-gorge ouvert permettant de redresser mes seins et une chemise blanche trop petite et transparente. Je m'aperçois en plus bien vite qu'il manque les boutons du haut permettant de laisser voir un décolleté très vulgaire. J'ai beau chercher dans ce paquet, je ne trouve en revanche aucune trace de culotte et suis donc obligée de rester les fesses nues sous ma micro-jupe.
Les policiers me détaillent alors des pieds à la tête un sourire pervers accroché à leur visage. Ils me repassent rapidement les menottes et m'emmènent jusqu'à un fourgon dans lequel ils montent à l'arrière avec moi. « Allez direction le tribunal et pendant le trajet, tu as de la chance ma salope, c'est l'heure du petit déjeuner ». Ils rigolent alors que je les voie aussitôt défaire leur braguette pour sortir leurs queues encore à demi-molle de leur uniforme.
Un premier me prend alors brutalement par les cheveux et me penche pour m'enfourner directement sa bite en bouche. Je la sens tout de suite raidir sous ma langue alors que j'entends son collègue dire « vas y dépêche toi moi aussi j'ai envie de lui mettre sa dose avant d'arriver à cette pute ».
Il donne alors rapidement des coups de bassin me baisant littéralement la bouche sans aucun ménagement et soudainement, je sens son sperme éclater au fond de ma gorge. Il grogne en appuyant sur ma tête « oui vas y avale tout sale chienne, t'as pas intérêt à laisser une goutte, il faut que tu sois toute propre pour le juge ». Il finit ainsi de se vider complètement, laissant sa queue commencer à ramollir dans ma bouche avant de se dégager.
Son collègue me prend alors par les cheveux pour m'amener à se bite immédiatement et l'enfonce directement dans ma bouche en poussant un soupir de satisfaction « hummm oui vas y c'est bon ça de se faire pomper le dard par une garce pareille. Allez vas y suce moi bien ma salope, je vais bien te faire bouffer tout mon foutre avant qu'on arrive ».
Il me fait aller et venir rapidement sur sa queue, imprimant le rythme de la fellation en me tenant toujours fermement par les cheveux. Puis m'immobilisant en gorge profonde, il jouit à son tour au fond de ma gorge pour que j'avale tout son sperme sans en laisser une goutte « Pile au bon moment » dit-il alors qu'on arrive au tribunal.

Le fourgon s'immobilise alors devant le tribunal et les policiers me font descendre et m'emmènent en me tenant par les menottes. Je suis rouge de honte de devoir ainsi passer devant tout le monde menottée sachant que tout le monde peut voir mes bas sous ma jupe ras les fesses ainsi que mes seins redressés par un soutient-gorge ouvert sous ma chemise largement ouverte et transparente.
L'avocat nous attend devant une salle d'audience et je remarque tout de suite son air salace quand il me voit arriver ainsi. Il me détaille des pieds à la tête. Il s'approche alors et sans rien me dire, s'amuse à me faire de couettes pour me donner l'air encore plus ridicule. Il se recule alors comme pour admirer son œuvre et s'exclame « Voilà, comme ça t'a l'air d'une vraie salope d'innocente ! ».
Je proteste alors outrée « mais non Mr ça ne va pas je ne suis pas comme ça ». Sans attendre, l'avocat sors alors quelque chose de sa poche et le donne à un des policiers « Tenez, bâillonnez la aussi cette garce, j'ai pas envie de l'entendre cette conne et qu'elle foute en l'air toute la défense que j'ai préparé pour elle » ce qu'il fait aussitôt.

La porte de la salle d'audience s'ouvre alors. Elle n'est pas très grande et je la découvre impressionnée et apeurée. En regardant partout autour de moi, je m'aperçois rapidement qu'il n'y a que des hommes dans la salle parmi lesquels on trouve quelques spectateurs, 3 gardiens, le procureur mais également le commissaire. Ils applaudissent tous en me voyant arriver alors que les policiers m'emmènent au centre de la salle et m'attachent directement les menottes à la barre.
Le juge rentre alors et tout le monde se tait. Il sourit en me voyant déjà installé, appréciant visiblement la tenue choisie par l'avocat. Il dit alors solennellement « Très bien, nous allons commencer l'audience. Mr l'avocat, je vous laisse la parole ».
Celui-ci se lève alors pour prendre la parole : « Mr le juge, Mr le procureur, Messieurs de l'assistance, ma cliente aujourd'hui a été arrêtée grâce à la perspicacité des agents de Mr le commissaire ici présent, qui ont su déceler en elle au premier coup d’œil une salope en puissance encore cachée sous les traits d'une innocente bien serrée et qui à ce titre, mérite une punition exemplaire qu'il vous appartient de définir. Pour cela, j'aimerai citer Mr le commissaire comme témoin ».
J'aimerai crier ma révolte en entendant ces propos outrageux sur moi mais j'en suis incapable bâillonnée et menottée.
Le juge dit alors au commissaire de se lever pour venir témoigner « Mr le commissaire, veuillez nous faire part de vos découvertes lors de l'arrestation de Mademoiselle ».
« Eh bien Mr le juge, Mr le procureur, comme j'ai déjà pu en informer Mr l'avocat, lors de la fouille à laquelle j'ai procédé, je me suis vite aperçue en ne mettant qu'un doigt dans la chatte et un dans le cul de cette salope, cette chienne gueulait déjà et paraissait toute serrée. Avec l'aide de mes collègues qui l'ont faite taire, j'ai voulu alors procéder à une fouille approfondie grâce à ma bite et j'ai pu confirmer mon impression première, cette garce est vraiment bien serrée. A y réfléchir, je pense même avoir été le premier à l'enculer »
J'entends alors un murmure parcourir l'assistance visiblement très intéressée par ces dernières révélations. Le juge se tourne alors vers le procureur pour connaître son avis. Celui-ci se lève alors et dit « Mr le juge, j'entends bien les déclarations de Mr l'avocat ainsi que le témoignage très intéressant de Mr le commissaire. Toutefois, afin de déterminer la peine adéquate à cette petite pute, je pense qu'un test grandeur nature dans cette salle s'impose »
Le juge répond alors « Je suis bien de votre avis Mr le procureur. Et vous Mr l'avocat, êtes vous d'accord »
Ce dernier se relève alors tout de suite se précipitant à mes cotés « Mais bien sur Mr, je n'y vois aucun inconvénient au contraire regardez, je l'ai préparé exprès ». Il me prend alors brutalement par les couettes pour me faire pencher à 90° en avant et relève complètement ma jupe sur mes hanches.
Le juge se lève alors ainsi que le procureur et tous deux et s'approchent me regardant avec appétit. Une fois arrivé, le juge me donne une grande claque sur les fesses en rigolant laissant la marque de ses doigts rougir sur mon cul. Ils commencent par tourner autour de moi et me tripoter de partout sans délicatesse sous les encouragements de l'avocat qui leur dit de ne pas hésiter. Ils en profitent notamment pour tirer sur ma chemise et faire ainsi ballotter mes seins dans le vide par dessus mon soutient-gorge penchée en avant comme ça, tirant sur les pointes tout en commençant à se masser d'une main leur queue.
L'ensemble des hommes présents se lève alors et s'approche également pour être aux premières loges. Le juge repasse alors dans mon dos et sans prévenir, me pénètre violemment d'un doigt me faisant faire un bond en avant. Il le fait aller et venir quelques fois avant de rapidement en ajouter un deuxième et continue de fouiller attentivement mon vagin avec commençant malgré moi à me faire devenir honteusement humide. Le juge rigole alors en montrant ses doigts luisant à l'assemblée « cette salope est bien serrée effectivement mais elle mouille bien la pute. Maintenant, on va voir comment son cul réagit à cette chienne ». Il pose alors aussitôt son majeur enduit de cyprine sur mon anus et l'enfonce sans ménagement « mm oui c'est vraiment serré, ça a déjà du mal à passer, ma bite va se régaler avec un trou pareil »
Faisant alors signe à l'avocat de bien me pencher en avant, le juge vient alors sans attendre poser son gland à l'entrée de mon anus et, m'agrippant fermement par les hanches, donne un coup de rein brutal pour venir l'enfoncer.
Je sens alors sa queue raide m'envahir cm par cm incapable de crier bâillonnée jusqu'à ce que je sente ses couilles venir s'écraser contre ma chatte. Il commence alors progressivement un va et vient dans mon cul sous le regard attentif et envieux des spectateurs puis me sodomise de plus en plus brutalement jusqu'à jouir et se vider complètement en moi.
Il se retire alors la queue amollie et dit « mmmm c'est bon de gicler dans un petit cul encore bien serré. Allez, maintenant à vous de jouer messieurs, défoncez la bien que je vois comment elle encaisse cette petite garce »
Je vois alors tous les hommes présents autours de moi sortir sans attendre leurs queues. L'avocat me retire alors le bâillon et le remplace immédiatement par sa queue qu'il me plante au fond de la gorge tandis que le procureur vient immédiatement emplir ma chatte de son sexe bien dur et que les autres attendent leur tour en me pelotant de partout sans délicatesse sous les encouragements du juge « allez y oui messieurs dépêchez vous baisez la à la chaîne cette pute, je veux la voir remplie par tous les trous qu'elle s'y habitue un peu cette chienne »
Les hommes tournent autour de moi venant alors chacun leur tour emplir ma bouche, ma chatte ou mon cul. J'encaisse ainsi tous ces assauts qui me souillent régulièrement de sperme sous l’œil attentif du juge et les insultes des participants à chaque coup de butoir.
Une fois les hommes rassasiés, le juge se relève alors et vient devant moi pour m'enfiler directement sa queue revigorée par le spectacle en bouche. Me tenant par les cheveux pour me faire aller et venir sur sa queue, il commence alors à déclamer son verdict « Mademoiselle, vous êtes condamnée à la prison ferme ou vous serez laissée à la disposition de mon ami Mr le directeur. Au cours de votre peine, des points seront régulièrement faits pour voir votre évolution et notamment pour voir votre capacité à devenir une bonne salope docile et serviable » puis, m'enfonçant bien la bite au fond de la gorge pour jouir, il déclare « la séance est levée ! ».