Chapitre VI Pola la lopette - le club et le haras

- Par l'auteur HDS Wlad -
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Récit libertin : Chapitre VI Pola la lopette - le club et le haras Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-12-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Chapitre VI Pola la lopette - le club et le haras
Chapitre 6
Le club et le haras !

Bernard se dirige vers le bar.

- Que voulez-vous boire ?
- Sers-nous des vodkas , s’il te plaît ! propose Nils
- Lisa, cela te va ?
- …
- Lisa ??
- Euh, … oui ! C’est parfait !

Bernard verse trois petits verres et revient vers ses visiteurs. Il sert Lisa en
premier puis tend son verre à Nils. Ils boivent en silence. Le liquide qui coule en
eux leur apporte une chaleur et une détente salutaire. Nils est le premier à prendre
la parole.

- Je vous présente Akiko. C’est une jeune femme japonaise qui parle très bien
notre langue. Viens ici et présente-toi !

La jeune femme qui était restée en arrière, tête baissée, s’avance.

- Bonsoir Madame, bonsoir Monsieur. Je suis Akiko esclave de Maître Nils. Mon
nom veut dire « fille de l’automne » car je suis née à la chute des feuilles d’une
mère âgée. J’ai 32 ans et je vis en France depuis 5 ans. J’ai été acheté par Maître
Nils, il y a deux mois dans une vente aux enchères d’esclaves.
- Bien Akiko. Reste debout que mes amis te regardent.
- Nils … Je peux avoir une explication ?

Bernard s’est de nouveau assis, après avoir rempli les verres une deuxième fois. Il
jette un coup d’œil vers Caroline et pola. Caroline s’est rapprochée du fauteuil de
Lisa. Elle s’est assise en tailleur, cuisses ouvertes. Son clitoris est redevenu petit
mais Bernard voit toujours le bouton poindre. Pola est toujours à quatre pattes. Elle
est toujours au même endroit. De là où il se trouve, pola lui offre involontairement
son anus ouvert de face. Bernard se caresse doucement le sexe car, de nouveau, il a
envie de la féconder.

- Lisa ! Tu vas tout savoir…

« … Il y a deux mois, en repartant de chez toi, je suis tombé en panne. C’était à 50
km d’ici. J’ai dû marcher un moment car, comble de malheur, mon téléphone n’avait plus
de batterie et la batterie de ma voiture était à plat. Je voyais les lumières d’un
village un peu plus loin. Tout était fermé à l’exception d’une boîte : « le cochon
rose ». J’ai expliqué au videur à l’entrée mon problème. Comme c’était une boîte très
privée, j’ai dû attendre qu’il communique avec le propriétaire qui a accepté de me
laisser entrer pour téléphoner. A l’intérieur, j’ai tout de suite compris que j’étais
dans un club SM. Une femme toute nue dans une cage attendait en me tournant le dos.
Marc, le proprio est venu à ma rencontre et m’a, tout de suite, indiqué son bureau. Il
était plus de minuit et je n’ai eu personne qui puisse me dépanner tout de suite. Un
garagiste sympa m’a promis un camion pour 6 h seulement le lendemain. Je m’apprêtais à
prendre congé en le remerciant quand Marc m’a demandé si je savais où j’étais. Je lui
ai répondu que je connaissais les clubs BDSM. Marc a tout de suite changé d’attitude.
De prudent, il est s’est mis à sourire. En effet, un homme vanille n’aurait pas
employé ce terme directement. Je lui ai expliqué que je fréquentais régulièrement le
club « Dommes ». Marc m’a alors ouvert la porte et invité à le suivre dans la salle.
On s’est assis au bar pendant que sur la scène un homme était en train d’être fouetté
par deux femmes.

- Il y a beaucoup de monde ce soir car nous faisons une vente aux enchères !
- Une vente aux enchères ?
- Oui, des esclaves qui sont vendus en toute propriété légale car ils sont
consentants.
- Je ne savais pas que cela se pratiquait !
- C’est une spécialité de l’établissement. Des Dominants viennent de toute
l’Europe pour ces ventes. Les esclaves s’inscrivent en ligne sur un catalogue. Je
vérifie toutes les identités des esclaves et des Dominants. Puis, quand j’ai assez de
clients et de marchandises, j’organise une vente.
- Je suis assez soufflé !
- Oui, c’est assez inhabituel. D’ordinaire, c’est sur Internet que les gens se
donnent entre eux. Est-ce que cela t’intéresserait ?
- Euh … Je suis curieux de voir cela oui !
- Si tu veux participer, même comme spectateur, il me faut des renseignements
sur toi. Tu peux me donner tes papiers et m’indiquer le nom de trois personnes qui
peuvent parler pour toi ?
- Mes papiers ?
- Oui, j’ai un pote qui travaille aux Renseignements Généraux. C’est lui qui me
vérifie les noms.
- Ah, je comprends.

… J’ai pris mes papiers dans mon portefeuille. Pour les noms, j’ai donné celui de
Bernard, celui de la propriétaire du « Dommes » et celui du Maître qui m’a initié.
Marc est parti. Pendant ce temps, je me suis installé à une table et j’ai assisté au
spectacle des punitions assez dures qui sont pratiquées dans ce club. Au bout d’une
demi-heure, Marc est revenu.
- Tiens Nils, voilà tes papiers. Tout est en règle. Tu es un Maître connu et
reconnu et je suis ravi de t’accueillir chez moi. Désormais, tu as tes entrées ici
quand tu veux.
- Merci !
- Viens, je t’emmène dans la salle où se déroulent les enchères.

… Nous sommes descendus dans une cave voûtée. Il y avait une bonne dizaine de
personnes installées sur des tabourets assez hauts. Sur une scène, un homme
complètement nu était exposé. Il devait avoir 50 ans. Une femme superbe vêtue d’une
combinaison de cuir rouge lui ouvrait la bouche pour vérifier sa dentition. Les
enchères en étaient déjà à 1.000 €.

- Tu vois la femme sur la scène ?
- Oui !
- C’est mon Epouse ! Une belle femme, non ?
- Très belle !
- C’est ma Maîtresse !
- Tu es soum…
- … Oui. Absolument. Le club lui appartient. C’est Elle qui a initié les ventes
aux enchères.
- Je découvre des choses extraordinaires !
- Pourquoi extraordinaire ?
- Un club Sm qui vend des esclaves et un patron de club soumis !
- En fait, je suis son esclave : regarde.
… Marc ouvre sa braguette et montre sa ceinture de chasteté.

- Tu vois, je suis maintenu chaste depuis 5 ans sans aucune permission. Cela
fait 5 ans que je n’ai pas touché mon zizi. C’est ma Maîtresse qui le nettoie et le
rase tous les jours.
- Cinq ans que tu ne baises plus !!!
- Oui !
- Et ta Fem… ta Maîtresse ?
- Ma Maîtresse fait l’amour avec qui Elle veut quand Elle veut.
- Tu es donc cocu !
- Oui ! Absolument. Mais toi, tu peux employer ce terme, pas moi !
- Pourquoi ? Tu es marié avec ta Maîtresse ?
- Oui
- Alors, Elle couche avec d’autres hommes : tu es donc cocu !
- Non, parce que ma Maîtresse est une Femme Gynarchique.
- Gynarchique ?
- Oui. C’est un mouvement qui prône le Pouvoir aux Femmes. Elles ont tous les
droits. Les hommes qui choisissent de vivre dans le monde gynarchique renoncent à tous
leurs droits, tous.
- Je comprends.

… C’est à ce moment là qu’est entrée Akiko. J’ai eu un flash terrible. Elle est
arrivée vêtue d’une longue robe de mousseline rose transparente. Elle s’est avancée
sur la scène. Elle était magnifique. La Maîtresse de Marc sur scène l’a laissée
approcher.

- Voici chers amis Akiko qui nous vient du japon. Elle a 32 ans et a fait des
études médicales en France. Elle parle parfaitement le français. Elle s’est offerte
librement à cette vente d’esclaves. Elle désire vivre auprès d’un Maître en tant que
Ponygirl. Les enchères commencent à 1 000 €.

… Rapidement des voix se sont faites entendre dans la salle. Les enchères sont montées
à 4 500 € en quelques minutes.

- Comme le prix a atteint cette somme, elle va être mise nue et écartée.

… De fait, la Maîtresse retira la robe de mousseline. Akiko avait un corps magnifique.
De petits seins avec de beaux tétons pointus, une chatte parfaitement taillée. Fine et
menue, elle était musclée.

- Mais que deviennent les sommes des enchères ?
- Elles sont placées sur un compte bloqué, une fois la redevance payée au club
qui se monte à 10% de la somme totale. Ce compte est donné à l’esclave qui pourra en
bénéficier le jour où il est libéré.
- Et s’il n’est jamais libéré.
- Il peut en faire don à son Maître au bout de 25 ans seulement d’esclavage. Le
compte est géré par une banquière SM qui place l’argent et le fait fructifier.
- Bravo pour l’organisation.
- C’est l’organisation du monde gynarchique.
- Mais cela ne gène pas ta Maîtresse qu’une femme soit mise aux enchères ?
- Chaque femme choisit sa vie. Celle qui est sur scène a choisi sa voie.
Maîtresse Mathilde la respecte pour cela. Tu remarqueras qu’Elle est très douce avec
elle.

… En effet, Mathilde lui ouvrit la bouche puis elle lui écarta les cuisses afin
d’ouvrir son sexe. Maintenant, elle la mettait de dos et la penchait en avant afin
d’ouvrir ses fesses et d’exposer son anus. Tous ses gestes étaient précis et sans
aucune violence. Akiko se laissait faire docilement.

- Celui qui va l’avoir va faire une affaire !
- Pourquoi ?
- Elle est propriétaire d’un haras dans la région.
- Et elle se vend ???
- Oui, elle a hérité cette propriété de son père.
- Un japonais ?
- Non un français. Sa mère était japonaise. Quand elle est morte, elle est venue
vivre en France avec lui. Mais c’était un salaud qui l’a violait dès qu’elle est
arrivée. Elle avait 15 ans.
- Merde !
- Ouais ! 17 ans de viol quotidien et de dressage comme jument : ça laisse des
traces.
- Dressage comme jument ? Tu veux dire que son père l’utilisait comme une jument
?
- Oui ! Elle a appris à aimer cela et c’est pourquoi elle veut se vendre comme
ponygirl. Tu sais ce que c’est quand même ?
- Oui j’ai vu des photos mais jamais rencontré une vraie.
- Eh ben, c’est fait ! Elle ne t’intéresse pas ?
- Elle est belle mais j’ai pas un radis.

… Les enchères étaient maintenant à 6.000 € et cela montait toujours. Marc restait
silencieux. Il reportait toute son attention sur sa Maîtresse. Je restais fasciné par
ce que Marc venait de m’apprendre sur lui, sa femme et cette fille. Je ne me suis pas
rendu compte tout de suite mais soudain, j’ai vu Marc devant la scène qui parlait à sa
Maîtresse. Il ne la regardait pas mais baissait la tête et parlait à voix basse. Il
hochait la tête et se retira en reculant.

- Tu aimerais être propriétaire d’un haras ?
- Quoi ?
- Est-ce que tu as envie de cette fille et de sa propriété ?
- Qu’est-ce que tu me racontes ?
- C’est simple, je te demande si tu veux acheter cette fille ?
- Je ne sais pas comment je pourrais le faire. Tu as vu le prix offert !
- Donc, tu aimerais l’acheter !
- Tu as vu la fille. Elle est magnifique !!!
- Tu la veux oui ou non !
- J’aimerais beaucoup mais c’est un rêve.
- OK !

… Marc fit un signe à sa Maîtresse qui hocha la tête à son tour.
- Annonce 8.000 € !
- Que dis-tu ?
- Annonce 8.000 € et fais pas chier. Je t’explique après. Tu ne crains rien.
C’est une affaire que je te propose. N’oublie pas que j’ai pris des renseignements sur
toi et c’est le ciel qui t’a fait tomber en panne ici. Allez ! vas-y ! Vite !!!

… Sans trop savoir pourquoi, ni comment, j’ai lancé d’une voix peu assurée : 8.000 !
Heureusement que Mathilde était aux aguets car elle a repris mon enchère à haute voix.
Toute la salle s’est tournée vers moi et il n’y a eu aucune surenchère. Mathilde a
déclaré que Akiko était vendu pour 8.000 € à l’homme brun à côté de l’esclave Marc !!!
J’étais propriétaire d’une fille japonaise et d’un haras !

- Tu veux dire que tu t’es laissé faire, oui ? !

Lisa venait d’interrompre l’histoire de Nils. Elle semblait hors d’elle. Elle
regardait sans arrêt la japonaise avec un air de dégoût.

- Oui ! Tu as raison : je me suis laissé faire mais regarde Akiko ! Elle est
magnifique et son histoire m’a touché.
- Tu ne t’es pas dit que tu avais déjà une autre femme, non !
- Lisa. On est ensemble depuis six mois mais on n’est pas marié ! Depuis que je
te connais j’ai fait l’amour avec d’autres femmes. Tu le savais.

Bernard jubilait intérieurement. Lisa et Nils c’était, à son avis, déjà de l’histoire
ancienne. Il ne pensait pas que ce serait si facile. Nils était un coureur depuis
toujours mais il faisait fort quand même.

- Non ! Je te découvre et je suis très étonnée de ce que j’apprends. Ainsi tu
m’as trompée !
- Lisa ! Je crois que Nils veut être franc avec toi ce soir. Votre relation
était basée sur un désir de soumettre pola. C’est une chose faite. Il ne faut pas
oublier que nous sommes là pour elle.
- Oui, Bernard ! Tu as raison. Je crois que finalement, je vais accepter tes
propositions de tout à l’heure.
- Tu m’en vois ravi ! Toutes mes propositions ?
- Toutes !
- Parfait !
- On peut savoir ? demande Nils.
- Non ! répondit Lisa d’un ton sec et tranchant. Mais continue. Je suis très
intéressée de connaître la suite.

Nils hésite un instant, considérant Lisa d’un œil interrogateur.

- Bien, alors…

… J’étais abasourdi par ce qui se passait. Mathilde avait recouvert Akiko de sa robe
de mousseline et la guidait vers moi.
- Marc, peux-tu m’expliquer maintenant ?
- C’est Maîtresse Mathilde qui va tout t’expliquer. Viens, suis-moi.

… Nous sommes remontés dans le bureau. Mathilde et Akiko nous suivaient. Marc ouvre la
porte et s’efface. Mathilde referme la porte derrière elle et Akiko laissant Marc
dehors.

- il n’a rien à faire ici !
- Bonsoir Madame !
- Bonsoir, vous vous appelez ???
- Nils ….
- Bien Nils ! Vous devez vous demander à quoi tout cela rime ?
- Oui, j’avoue que je ne comprends pas.
- Asseyez-vous ! Akiko, mets-toi à côté de Maître Nils !

… Akiko se place à côté de moi. Je sens un parfum discret qui émane de son corps. Elle
respire rapidement et jette de petits coups d’œils furtifs vers moi.

- Marc vous a repéré dans la salle. Il a pris des renseignements sur vous et
vous l’homme providentiel.
- Je ….
- Laissez-moi parler !

… Mathilde est vraiment une femme Dominante. J’avoue que je la regardais avec une
pointe d’admiration.

- Akiko est venue chercher protection auprès de moi, il y a quelques années.
Elle était martyrisée par son père. Elle avait entendu parler de mon club et voulait
savoir comment se protéger. Mais je préfère qu’Akiko vous le dise elle même. Quand
elle a voulu être vendue, je lui ai promis que je chercherais quelqu’un qui me
convienne. Je n’ai trouvé personne dans la région. Ici, les hommes sont des porcs qui
ne pensant qu’à baiser comme le faisait son père. La semaine dernière, Akiko est venue
me supplier de la vendre car elle ne voulait plus attendre. J’ai donc dû la mettre en
vente ce soir contre mon gré. Quand Marc vous a repéré, il a tout de suite compris que
vous étiez un Maître sérieux. Les gens que vous avez cités comme garants ont confirmé
qui vous étiez. Je suppose que vous n’avez pas les 8.000€ ?
- Non ! je n’ai pas le premier centime.
- Je vous avance l’argent. Plus exactement, je place, personnellement 8.000 €
sur le compte d’Akiko.

… Mathilde s’interrompt et se penche sur plusieurs feuillets qui sont sur son bureau.
Elle reste silencieuse un grand moment, le front plissé sur sa lecture. Je profite de
son silence pour me tourner vers Akiko. Elle est toujours debout nue sous sa robe
transparente.

- Akiko !
- Oui Maître
- Viens t’asseoir à mes pieds.

… Sans discuter, Akiko obéit. Mathilde lève un instant son regard et un sourire de
satisfaction s’affiche sur son visage.

- Marc a vraiment le flair. Il va avoir une récompense pour cela. Vous venez de
me prouver que vous êtes le Maître qu’il faut pour Akiko.
- Mais je n’ai rien fait !
- Si vous venez de lui ordonner de se mettre à vos pieds avec douceur et
fermeté.

… S’adressant à la jeune femme :

- Tu vois, je tiens ma promesse.
- Oui Maîtresse.
- Maintenant, je ne suis plus ta Maîtresse. Tu appartiens à Nils.
- Oui M. ????
- Appelle-moi désormais Madame.
- Oui Madame.
- Ce que je lis me plait beaucoup. Vous êtes un petit représentant de commence
qui voyage beaucoup et n’a pas un sou d’avance. Vous êtes un Dominant depuis que vous
avez 18 ans. Vous avez eu des esclaves mâles et femelles. En ce moment, vous couchez
avec la femme d’une lope le plus souvent.
- Vos renseignements sont exacts.
- Toujours. C’est mon devoir d’être informée. Avec l’achat d’Akiko, vous devenez
le propriétaire d’un haras. C’est une petite exploitation sur laquelle, il n’y a plus
aucun cheval. Les bâtiments sont délabrés. L’ancien propriétaire était un ivrogne qui
a bu son exploitation.
- Qu’attendez-vous de moi ?
- J’y arrive. J’avance donc les 8.000 € pour Akiko. Je paie les réparations
nécessaires à la remise en état des bâtiments qui m’intéressent. Vous êtes le
propriétaire officiel mais nous allons passer un contrat commercial.
- Je vois ce que vous voulez dire : c’est une association que vous me proposez.
- Exactement. Et croyez-moi, chacun d’entre nous, Akiko comprise, va y trouver
son compte. Je veux ouvrir un centre de dressage SM dans la région. J’ai besoin d’un
Maître pour la diriger. Vous êtes cet homme. Dans ce centre, il y aura un centre de
ponygirl puisque nous sommes dans un ancien haras mais aussi un centre de détention et
de rééducation. Ce centre sera mixte. Il comprendra des installations SM hétéro et des
installations gynarchiques. Vous dirigerez l’installation hétéro. Je me charge de
l’installation gynarchique. Vous vous engagez à vous occuper d’Akiko jusqu’à ce
qu’elle est 45 ans. A cette date, elle pourra choisir la liberté ou de rester le reste
de sa vie esclave. Donc, vous devez vous engager pour les 13 ans qui viennent.
- 13 ans ! Mais je n’ai jamais eu de vues aussi loin.
- Pour vous convaincre d’accepter, sachez que vous aurez un salaire de 20.000 €
par mois et un intéressement sur le chiffre d’affaire de 5%. En plus, vous pourrez
bénéficier des conseils de placements de la banquière gynachique Sophie de Rovex
gratuitement. En somme, je fais votre fortune, je vous donne un travail agréable et
une belle esclave. Il ne vous est demandé que de « supporter » tout cela durant 13
ans.
- Présenté comme cela, je ne vois pas pourquoi je refuserais. Mais si Akiko
décide de reprendre sa liberté ?
- Dans ce cas, vous recevrez un dédommagement de 500.000 € et vous devrez
immédiatement quitté vos fonctions. En revanche, si Akiko décide de rester esclave,
elle sera définitivement votre propriété et le haras vous appartiendra. Je deviendrais
votre locataire et, en prime, je vous offrirais le club en prenant ma retraite.
- Vous … !!!
- Oui, vous avez parfaitement entendu. Vous êtes un homme malin et opportuniste.
Vous avez un bel avenir. Evidemment, vous êtes à cette seconde là obligé de vous
séparer de votre ancienne vie et de votre compagne.

… J’ai réfléchi un moment et j’ai accepté car rien que le salaire mensuel représentait
16 mois de mes salaires de représentant. En regardant Akiko, je ne pouvais passer
devant cette occase.

- Voilà pourquoi je suis ici, ce soir. Je voulais tout te dire devant nos amis
et te présenter celle qui m’appartient et qui m’oblige à me séparer de toi.

Lisa regarde Nils un grand moment.

- Je comprends tout. Je crois que j’aurais fait comme toi. Je ne t’en veux plus.
Sache que j’ai aussi accepté de coucher avec Bernard. Je lui donne pola et je deviens
la Maîtresse de Caroline, sa secrétaire.
- Bernard ! Je savais que tu avais des vues sur Lisa. Je te félicite. Je vous
félicite tous les deux. Lisa, Bernard a un sexe plus gros que le mien. Je sais que tu
aimes être défoncée. Tu as trouvé celui qu’il fallait. Bien. Vu tous les changements
intervenus ce soir, je vous propose de commencer par signer le contrat de pola puis
chacun poursuivra la soirée selon sa convenance.
- Bonne idée ! dit Lisa, impatiente d’en finir.

Bernard appelle Caroline. Celle-ci jette un regard à Lisa qui l’autorise à se lever.

- Va me chercher le dossier « pola » et n’oublie pas le tien.
Caroline sort de la pièce et revient très vite avec deux dossiers. Bernard prend le
premier, l’ouvre et appelle pola.

- Viens ici chienne ! Viens en rampant à plat ventre en gardant les fesses en
l’air.

Pola, insensible à toutes les personnes qui la regardent, s’allonge au sol et rampe
jusqu’au notaire, les fesses offertes.

- Pola, hier, tu as fait une déclaration devant des centaines de personnes en
déclarant que tu voulais renoncer à ton statut de mâle libre. Tu persistes ?
- Oui Maître.
- Dis simplement Monsieur.
- Oui Monsieur.
- Bien. Tu as aussi déclaré que tu renonçais à tous tes droits, à ta liberté et
que tu voulais devenir une fiotte, une lope. Tu persistes ?
- Oui Monsieur
- Bien, tu viens ici pour signer. Je demande à Nils et à Lisa de servir de
témoins. Vous signez aussi.
….
- Voilà ! C’est fait.
- Caroline, approche maintenant. Ton dossier est prêt depuis longtemps. Tu
déclares que tu désires appartenir à celui ou celle qui te fera bander. Tu sais que
cette appartenance est définitive et que tu resteras le reste de ta vie une esclave
sans possibilité de retrouver ta liberté. Tu demandes que ta condition ne soit pas
dévoilée publiquement tant que ton ancien mari sera connu. Tu es toujours d’accord ?
- Oui Maître. Seulement, je voudrais, si c’est possible, changer cette dernière
close. Ma Maîtresse peut dès maintenant me présenter publiquement comme son esclave.
Je renonce à la close d’anonymat.
- Bien je note ce changement.

Bernard prend son stylo et modifie le contrat.

- Voilà, viens signer. Lisa, tu signes aussi et Nils et Akiko, j’aimerais que
vous soyez les témoins de ce contrat.
- Akiko, peut-elle signer ? Demande Nils.
- Absolument. D’après ce que tu as dis, Akiko n’a pas encore signé de document
établissant la vente définitive de sa personne et de sa propriété ?
- Non, Mathilde doit établir les papiers. Nous signons dans une semaine.
- Alors Akiko est libre de signer, avec ton autorisation.
- Je suis d’accord.

Les deux contrats sont signés par toutes les parties. Nils décide de partir. Avant, il
cherche Lisa et s’éloigne avec elle un moment.
- Lisa ! Merci d’avoir accepté et d’avoir compris.
- Je t’en prie. Finalement, tu me facilites la vie. J’espère que l’on se reverra
quand même?
- J’espère bien que oui. Tu es invitée au haras quand tu veux. Une chambre te
sera toujours réservée.

Lisa rendit un sourire pour toute réponse.

- Il faut que je passe chez toi récupérer mes affaires. Je peux le faire
maintenant ?
- Oui bien sûr. Tu as les clés ?
- Oui ! Je te les laisse sur la tablette à l’entrée.
- Non, attend que j’arrive pour partir. … j’aimerais connaître la suite de
l’histoire d’Akiko
- Ok, on t’attend mais ne tarde pas.

Nils dépose un baiser sur les lèvres de Lisa.

- Tu vas être très heureuse toi aussi.

Une fois Nils et Akiko partis, Lisa revient dans le bureau de Bernard. Caroline vient
immédiatement se mettre aux pieds de Lisa.

- Il faut maintenant que l’on règle la question de pola. Elle doit faire un
stage normalement.
- C’est vrai ! Avec tout çà, j’avais oublié.
- Je te propose de nous mettre d’accord tout de suite. Nous faisons le contrat
de vente de pola et je m’occupe de contacter notre ami le gagnant d’hier soir. Toi, tu
peux ainsi t’occuper de Caroline dès ce soir. Elle a vraiment besoin et envie de toi.
Il faut juste que tu me la laisses encore un peu, car j’en ai besoin pour l’étude.
Après le retour de stage de pola, Caroline la formera et pola deviendra ma nouvelle
secrétaire.
- Cela me va. Et nous ?
- Nous ! Si j’ai bien compris, tu es libre désormais. J’ai très envie de toi. Je
te propose une union libre.
- Une union libre ?!
- Oui ! Nous vivons chacun chez soi avec nos esclaves respectifs et quand nous
avons envie l’un de l’autre, on se retrouve. Tu seras la seule femme avec laquelle je
coucherai désormais. Mais, je n’exige pas de toi la même fidélité. Quand tu as envie
d’un étalon, sonne-moi et je viens.
- D’accord.
- Super ! Je te laisse car je dois m’occuper de ma lope et j’ai encore un peu de
travail.
- Moi, je récupère caroline. Elle viendra demain matin pour faire son travail.

Bernard prend immédiatement son ordinateur portable et se met à taper sur le clavier.
Il appelle pola et lui demande de le sucer pendant qu’il travaille. Pola passe sous le
bureau et écarte le pagne de son nouveau Maître.

Lisa emmène Caroline dans sa chambre. La pièce est nue : un lit, une chaise et une
armoire. Aucune image ou décoration.

- Dis-moi, c’est très austère chez toi !
- Maître Bernard ne voulait pas que je m’installe définitivement. Puis-je
prendre ma valise Maîtresse.
- Déshabille-toi d’abord entièrement.
- Oui Maîtresse.

Caroline retire sa jupe et son chemisier et monte sur la chaise pour prendre sa valise
sur le sommet de l’armoire. Lisa admire la fine musculature de la femme mûre.

- Tu es une belle femme Caroline !
- Merci Maîtresse. Je suis heureuse de vous plaire. Puis-je vous dire que vous
me plaisez aussi beaucoup. Je n’ai jamais autant joui qu’entre vos mains. Personne
avant vous ne m’a donné autant de plaisir.
- C’est gentil et je te remercie. J’attends que tu me serves et que tu me donnes
aussi beaucoup de plaisir.
- Oh Oui Maîtresse.

Caroline se déplace nue devant elle sans la moindre gène. Elle est avec sa maîtresse
et elle est heureuse.

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