Pola la lopette - Première journée
Récit érotique écrit par Wlad [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Pola la lopette - Première journée
ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS
Chapitre 4 : Une première journée en lope!
Nils sort de la pièce et revient bientôt avec de la corde et du ruban adhésif. Il demande à Lisa d’aller prendre une couverture et un coussin. Nils attache chaque poignet de pola avec la corde et la fixe solidement avec le ruban adhésif. Puis il relie les poignets au collier de cuir que pola porte toujours autour du cou. Maintenant pola a les mains à hauteur de ses seins. En aucun cas, elle ne peut se toucher le zizi et se donner du plaisir. Nils lui ordonne de se coucher sur la couverture que Lisa vient d’apporter dans le bureau.
- Je vais laisser l’ordinateur allumé pour que tu vois lope yves sur son pilori. Sache que cela t’arrivera aussi sûrement quand tu seras désobéissante.
- Oui Maître.
- Je ne veux pas t’entendre. Tu as le droit de te lever pour aller aux toilettes uniquement. Dès que le jour se lève, tu ne dois plus bouger. Tu te mettras sur le dos, les cuisses ouvertes et la nouille offerte. Tu resteras sans bouger. Si je viens te voir dans la nuit. Tu te mets immédiatement dans la même position. Vas-y montre-moi !
Pola se couche sur le dos et écarte ses cuisses. Elle éprouve un sentiment étrange, nouveau et doux. Elle a conscience de la signification profonde de cette position. C’est celle du chien qui marque sa soumission. Son petit zizi est vraiment minuscule et pitoyable. Nils approche la main. Pola a un mouvement de recul instinctif. Mais Nils lui caresse seulement. Sa main est douce et chaude. Pola aime se faire toucher par une main d’homme. Elle découvre un plaisir nouveau et inattendu. Nils se relève et sort en éteignant les lumières. Pola reste seule avec juste la lueur de l’écran. Elle reste sans bouger, les cuisses ouvertes pour prolonger la douceur de la caresse. Sur l’écran, plusieurs membres semblent discuter. Le centre de l’image reste noir pour l’instant.
Soudain, le bureau se fait plus lumineux. L’écran s’est enrichi d’une image centrale. Une femme bedonnante apparaît. Elle est habillée d’une robe rose très courte qui lui enserre la taille en la boudinant. Elle vient près de la cam et salut en baisant les yeux. Cette femme est en fait un homme. La future gladys sans doute ! La soixantaine passée, les cheveux blancs et bouclés, lope yves se déshabille entièrement. Dessous, elle porte un soutien-gorge, un panti et des bas de contention. Elle retire tous ses vêtements sauf les bas. Sa poitrine est bien développée du fait du gras qui la sangle. Son zizi est encore plus petit que cela de pola. Il dépasse à peine du bas ventre. Une autre personne apparaît à l’image. Maître Fabert. C’est, par contre, un jeune homme. Tout au plus 25 ans. Il porte des lunettes et fait penser à un étudiant. Il porte un pantalon de cuir et des bretelles de cuir pour toute chemise. Il amène un véritable pilori comme on utilisait au moyen-âge. Lope yves passe sa tête et ses mains dans les trous et Maître Fabert referme la planche qu’il cadenasse des deux côtés. Il montre la clé à la caméra et l’accroche à un crochet inaccessible pour la lope. Il fixe ensuite ses chevilles à une barre qui lui écarte les pieds et l’oblige à se cambrer fortement. Maître Fabert baisse la planche afin que la cambrure soit moins forte et que la lope se retrouve penchée en avant. Ses fesses s’ouvrent et laissent apercevoir sa chatte offerte lisse et parfaitement propre. Maître Fabert prend un objet métallique que pola connaît mal. Cela ressemble à un tube qui s’ouvre en deux et s’écarte. Sans être certaine, pola croit avoir vu ce genre d’ustensile chez le gynécologue de Lisa – de Maîtresse quand, pola était le mari de Lisa. Oui, c’est bien cela : un spéculum. Maître Fabert enduit le spéculum de pommade et introduit le bout entre les lèvres anales du vagin de la lope. Lope yves fléchit légèrement les genoux au contact du métal. Maître Fabert poursuit son introduction rapide puis écarte les deux mâchoires. Pola voit la lope se cambrer, sans doute, sous la douleur de l’ouverture profonde qu’elle est entrain de subir. Le Maître complète son dispositif de punition par des pinces munies de poids qu’il suspend aux tétons charnus de son esclave. Il se tourne ensuite vers la caméra et salut les membres du groupe avant de se retirer de la pièce. Lope yves reste seule. Pola a du mal à croire qu’elle va devoir rester ainsi 24 heures !
La nuit est longue et pénible. Pola a du mal à trouver le sommeil. Elle n’a pas l’habitude de dormir par terre, à la dure. Elle a toujours détesté le camping. Le froid du carrelage monte même à travers la couverture. Et puis, que de changements depuis le matin. Comment aurait-elle pu imaginer ce matin, en se levant, pour aller prendre son train, qu’il serait devenu elle dans la journée et qu’elle connaîtrait tant d’humiliations , mais aussi de plaisirs et de souffrances, en une seule journée. Pola pense aussi sans arrêt à Lisa ! Sa Maîtresse désormais. Lisa dort en ce moment même avec un homme sous leur propre toit et ils font sans doute l’amour en ce moment, sans se soucier de lui – non d’elle. Cocue ! Elle est cocue, le sait, l’accepte et en est malheureuse et heureuse à la fois ! Elle repense à la déclaration qu’elle a fait devant des dizaines d’inconnus. Les mots lui venaient naturellement. Oui naturellement – c’est bien le mot. Il était naturel qu’elle dise cela un jour.
Tout au long de cette longue nuit, pola regarde très souvent la lope sur l’écran. Elle est toujours « pendue » à son pilori. Il semble que son Maître ait aménagé son supplice car elle a le buste allongé sur une planche. Cela doit lui soulager le dos et lui permettre de reposer un peu ses jambes. Les poids pendent toujours des seins qui se sont allongés sous la traction permanente et la chatte est toujours grande ouverte par le spéculum. Pola remarque que le ventre de lope yves s’est débarrassé de quelques fluides corporels. Un tas sombre est au sol derrière elle. Pola se demande qu’elle sera la réaction de son Maître demain !
Le plus dur est de se lever pour aller faire pipi. Pola doit faire de gros efforts pour cela. Se lever sans les mains est très compliqué. Elle s’applique à ne pas faire de bruit. Arrivée au WC, nouvelle difficulté. Comment faire pipi sans en mettre partout. Son zizi « froissé » ne gicle pas droit. Elle essaie de se plier un peu sur ses cuisses mais le jet part un peu dans tous les sens et elle en met à côté et sur la planche. Elle ne peut même pas essuyer. Penaude, elle retourne sur sa couverture. Le couchage est aussi difficile que le lever.
Au petit matin, pola est réveillée quand elle entend son Maître se lever. Immédiatement, elle se met sur le dos et écarte les cuisses. Elle aimerait que la cam soit allumée pour que tout le monde puisse la voir, comme hier soir. Elle est prête pour accueillir son Dominant. Nils passe devant le bureau et jette un œil. Puis se dirige vers la cuisine. Il fait soudain irruption dans le bureau et attrape pola par les cheveux et tire pour l’obliger à se lever. Il attrape la laisse et l’entraîne rudement derrière lui. Il la mène devant les toilettes.
- Qu’est-ce que c’est, sale truie ?
- Pardon ! en voulant faire …. , j’ai fait à côté.
Une gifle part immédiatement dans sa figure, suivie d’une autre mais située sur son bas-ventre. Pola a l’impression d’être éventrée par la douleur. Le coup a porté directement sur les testicules. Pola a le souffle coupé.
- Le « je » t’est interdit salope ! C’est pardon Maître ! Et enfin, tu dois pisser comme une femelle : tu t’assoies sur la faïence directement. La planche est réservée aux Dominants. La seule différence c’est que femme pisse de face et toi de dos uniquement. Tu dois faire tes besoins en te cachant. Tu as compris lope ?
- Oui Maître !
- Bien ! A genoux putain !
Pola se met à genoux devant Nils. La douleur est toujours là. Nils lui attrape les cheveux, une nouvelle fois, et l’oblige à se courber. Quand elle a le visage au raz de la faïence, Nils lui dit :
- Lèche maintenant ! Tu vas nettoyer tes salissures sur la cuvette et parterre avec ta langue.
Pola veut se lever et refuser cet ordre. Cela dépasse ses limites. Non, elle ne veut pas faire cela. Elle tente de faire non avec la tête. Mais Nils augmente sa pression de la main. Il plaque avec force la tête de pola contre la cuvette des WC. Pola se cogne la lèvre supérieure. La cuvette est froide et sa bouche est sur une flaque de pisse. Pola réprime un frisson de dégoût. Elle est coincée. Lécher de la pisse ! Non, elle ne peut pas faire cela, jamais !
- Je te rappelle que tu as renoncée hier soir à toutes tes libertés et que tu t’es donnée à tous. Tu n’as pas le choix. Sinon, tu pars tout de suite et tu ne reviens jamais. Décide. Je compte jusqu’à trois. Un …., deux, ….
Pola sort sa langue et lape très vite la première flaque.
- Avale aussi.
Pola a envie de vomir en avalant. Mais n’ayant rien avalé depuis hier midi, elle n’y arrive même pas.
Pourquoi pola s’est-elle décidée ?
pola ne veut pas tout arrêter car elle sait que c’est cette vie qu’elle a toujours voulu. C’est vrai qu’elle a tout accepté hier. Tout, même l’inacceptable, comme en ce moment ! Puisque c’est désormais le genre de vie qu’elle aura, elle doit lécher la pisse. Elle sait, à cette seconde, qu’elle fera désormais tout ce qu’on lui dira de faire.
- Continue ! Nettoie toute la cuvette puis le sol. Attend, je vais te détacher les mains pour le faire.
Nils coupe la cordelette et libère les mains du cou. Pendant ce temps, Lisa réveillée par le bruit, arrive et assiste en frissonnant à la scène. Pola en se tournant, aperçoit son ex-femme. Le sentiment de honte refait surface et elle rougit. Mais elle vient d’accepter tout. Alors elle se tourne et offre ses fesses à ses Maîtres. Elle lèche maintenant le sol en prenant soin de bien écarter les fesses. Curieusement, le fait que Lisa soit là, donne à pola du plaisir à le faire. Devant Lisa, elle a toujours honte mais encore plus de plaisir à s’humilier.
Lisa, elle, détourne rapidement les yeux et repart. Elle aussi a envie de vomir. Jamais elle n’aurait pensé que son mari pourrait être cela.
Une fois le nettoyage terminé, Nils ordonne à pola d’aller dans la cuisine et de préparer le déjeuner. Pola se lève et disparaît dans la cuisine. Lisa s’y trouve.
- Maîtresse ?
- Oui pola !
- Que prend le Maître le matin ?
Lisa et pola sont aussi gênées l’une que l’autre. C’est la première fois qu’un matin se déroule ainsi depuis le début de leur histoire.
- Du café ! Pour le reste c’est comme pour moi. Tu nous sers au salon !
- Oui Maîtresse.
Lisa sort de la pièce et rejoint Nils. Pola les entend discuter de manière vive. Elle se concentre sur sa tâche. Elle sort un plateau et dispose tout ce qui est nécessaire à un bon petit déjeuner. En sentant l’odeur du café, elle réalise qu’elle a faim. Peut-elle manger elle aussi ? Le Maître n’a rien dit. Elle n’a pas envie de connaître rapidement la même douleur au bas-ventre. Elle a encore mal d’ailleurs. Elle ne touchera pas une miette du déjeuner. Mieux vaut mourir de faim !
Pola apporte le plateau fumant au salon. Lisa est dans les bras de Nils. Ils se câlinent. La discussion semble finie. Pola pose le plateau et va pour se retirer.
- As-tu mangé quelque chose dans la cuisine ?
- Non Maîtresse.
- Bien ! Tu n’auras droit qu’à deux repas par jour. Le matin et le soir. Rien à midi. Le repas du soir sera limité et contrôlé. Mais le matin tu pourras manger ce que tu veux sauf si tu es punie. Aujourd’hui, tu es punie et tu devras attendre ce soir.
- Oui Maîtresse.
- Mets-toi à genoux, les cuisses ouvertes et les mains sur la tête pendant que nous mangeons.
Pola obéit et assiste avec la faim au ventre et la douleur au bas-ventre au repas de ses Maîtres. Elle se sent de plus en plus chienne. Tout en déjeunant, Nils et Lisa bavardent. Leur sujet de conversation est bien sûr pola. Ils parlent comme-ci pola était transparente.
- Tu la rases entièrement puis tu l’habilles.
- Crois-tu que je vais trouver sa taille ?
- Oui, elle n’est pas très grosse. Pense à prendre un peu serré car elle va perdre du poids. Pas question de garder une lope grasse.
- Tu as réservé pour les piercings ?
- C’est fait. On t’attend à 11 heures.
- Bien. Et toi, tu reviens quand ?
- Normalement demain matin. Le trajet est toujours plus long dans ce sens.
- Je n’aime pas être toute seule jusqu’à demain ici avec elle.
- N’aie crainte, elle ne pourra rien faire.
Nils finit son petit déjeuner, se lève et embrasse Lisa. Il passe devant pola sans un regard. Lisa pensive, reste à table. Elle mange machinalement. Nils s’habille très vite et après un dernier baiser, claque la porte.
Lisa se tourne alors vers pola.
- Tu vas débarrasser, ranger et nettoyer. Puis tu me rejoins dans ma chambre.
- Oui Maîtresse.
Lisa sort de la pièce. Pola se lève et accomplit sa tâche. En prenant le bol de Nils, elle le porte à ses lèvres et lèche le bord. Un frisson la parcourt. Un moment, elle est tout à la pensée que peut être Lisa va la libérer de ses tourments et qu’ils vont faire l’amour dans leur lit. Pleine d’espoir, elle se dépêche et tout ranger et se présente devant la chambre. Déception ! Lisa est déjà habillée. Sur le lit ouvert aux draps froissés, pola découvre un soutien-gorge, un porte-jarretelles et une paire de bas. Pola reconnaît ces vêtements. Paul les avait offert à Lisa pour son anniversaire. Mais Lisa a toujours refusé de les mettre. Le soutien-gorge était trop petit et elle ne voulait pas mettre cet ustensile qu’elle jugeait barbare et dégradant.
- Tiens regarde ce que j’ai retrouvé. Je te les donne. Mais d’abord, tu vas aller t’allonger sur le bureau.
Pola prend les vêtements et retourne dans le bureau. Lope yves, toujours à l’écran est dans la même position. Son Maître est là. Il a un fouet à la main et martyrise les fesses de la lope. D’après la couleur des fesses, la fessée a commencé depuis un moment. Lope a les yeux fermés, des larmes coulent et elle semble souffrir beaucoup.
- Hum la lope a l’air de jouir. Allonge-toi sur le dos et écarte tes jambes.
Lisa tient un rasoir, une serviette, une cuvette d’eau et de la mousse à raser. Elle attaque le rasage complet de pola en commençant par les jambes. Puis elle remonte au pubis, le ventre. Elle termine par les bras et la barbe. Puis pola se tourne et Lisa rase intégralement la partie arrière de son corps.
- Tu ne dois avoir aucun poil. Dans quelques temps, tu iras te faire épiler au laser. Mais pour aujourd’hui cela va suffire. C’est fini ! Viens te doucher !
Pola se lève et suit Lisa à la salle de bain. Elle ouvre la porte de la cabine de douche.
- Laisse la porte ouverte et n’utilise que l’eau froide !
- L’eau froide ?
- Oui !
- Mais, Maîtresse, je…. Pola craint l’eau froide ! elle ne peut pas…
- Ta gueule. Ouvre le robinet ! Mouille-toi, savonne et rince en silence.
Pola obéit et ouvre le robinet. L’eau est glacée et le supplice est immense. C’est presque plus difficile à faire que de laper la cuvette des toilettes. Pola se savonne et se rince très vite. Paul passait de longues minutes sous de l’eau bouillante. Cela aussi est bien fini.
Lisa tend une serviette à la lope qui s’essuie en grelottant.
- Bien ! Tu vois que ce n’es pas si difficile !
- Oui Maîtresse.
- Suis-moi !
Lisa retourne dans le bureau et fais signe à pola de se remettre sur le bureau. Une fois en place, elle attrape un ceinturon qui était posé à côté du rasoir et que pola n’a pas vu tout à l’heure.
- Tu as fauté cette nuit. Et ce matin, tu as commis plusieurs erreurs. Tu as aussi failli refuser d’obéir à ton Maître. Tu as été punie de déjeuner mais la punition n’est pas terminée. Je vais te fouetter la nouille que tu as entre les cuisses. Sois tu restes immobile et tu reçois 10 coups. Soi tu bouges, je suis obligée de t’attacher et tu en reçois le double.
- Maîtresse, lope pola a déjà très mal au sexe !
- Tu viens de gagner 5 coups de plus pour avoir dit un mot qui n’a pas de sens pour toi. Un sexe, toi !!!
Sans aucune préparation, Lisa lève le ceinturon et applique le premier coup sur la verge molle de pola. Nils lui recommandé d’y aller doucement pour les premiers coups. Pola ne réagit pas au premier. Elle appuie un peu le deuxième : pola bouge légèrement. Le troisième puis le quatrième tombent. Pola commence à gémir. Au cinquième, Lisa appuie son coup vraiment et là, pola ferme ses cuisses et met ses mains en protection. Lisa n’attendait que cela. Nils lui a dit que pola allait tenté de résister d’abord puis se protègerait. Elle pose la ceinture et prend le ruban adhésif. Elle fixe les mollets aux pieds de la table et les poignets au collier de chien que pola porte toujours. Puis elle monte sur le bureau et s’assoit sur le ventre de pola en lui tournant le dos. Elle reprend son ceinturon.
- Donc, tu as bougé. Tu vas recevoir 25 coups et on recommence à zéro !
- Non Maîtresse, pitié !
- Non pola ! Tu vas apprendre à obéir, c’est tout !
Sans écouter les suppliques de pola, Lisa frappe et frappe encore. Elle y met un peu de rage. Elle a honte aussi de faire subir cela à son ancien mari. Mais elle y prend aussi du plaisir. Elle se venge de toutes les jouissances perdues en couchant avec lui. Il l’inondait et la laissait insatisfaite. Elle le sent sous elle qui se tord, souffre. Mais elle sent aussi sa culotte qui s’inonde. Elle jouit elle aussi ! Il reste encore 5 coups à porter. Soudain, pola se met à bander. Lisa n’a jamais vu Paul bander aussi fort. Le zizi est presque impressionnant. Rien à voir avec celui de Nils mais quand même. Lisa est tentée de le prendre dans sa main et de jouer avec. Mais elle résiste. Pola ne doit plus utiliser cet objet. Elle n’aura d’ailleurs plus aucune possibilité de bander dans quelques heures. Lisa continue de frapper le zizi. Il bande toujours et il se met bientôt à s’agiter de petits soubresauts. Lisa n’a plus compté ses coups. Il y en a eu plus que 25. Si elle continue, pola va jouir. Elle s’arrête. Pola crie presque derrière elle. Heureusement qu’elle n’a pas de voisin ! Lisa redescend. Pola est en larmes. Elle geint, elle crie, elle pleure. Son visage est inondé de larmes. Le zizi est toujours dressé droit mais les tressaillements ont cessé. Tout doucement, la verge retombe molle et flasque. Elle reprend sa taille normale.
Joli chant du cygne pense Lisa. Pour la dernière fois que cette nouille peut bander, elle a donné un beau spectacle. Dommage que la lope ne l’ait même pas vu !
Sans que pola comprenne, Lisa se met à rire. Elle détache sa soumise et l’aide à se relever.
- Mets-toi à genoux devant moi.
Pola obéit en sanglotant mais sans dire un mot.
- Désormais, tu as bien compris qu’il n’y aura jamais de retour en arrière. N’espère plus rien de moi que de la souffrance et de l’humiliation.
- Oui Maîtresse ! pola a compris que tout le passé est mort à jamais. Pola est, et sera toujours, pour Vous, une lope soumise obéissante. Pola ne sera plus jamais un homme, ni le mari de Maîtresse. Maîtresse peut tout exiger de pola et pola le fera.
- Bien pola. Tu vas voir très vite que je vais tout exiger de toi. Maintenant habille-toi !
Pola enfile maladroitement le soutien-gorge. Il est serré mais cela va quand même. Lisa règle les bretelles puis lui explique comment mettre les bas et le porte-jarretelles. Pola enfile par-dessus un pantalon et un blouson. Lisa lui donne des ballerines à talonnettes. On voit nettement que c’est des chaussures de femme. Mais Lisa ne fait aucun commentaire et pola s’abstient d’en faire aucun.
Lisa prend un manteau et elles quittent l’appartement. Dans l’ascenseur, elles ne rencontrent personne. Lisa prend sa voiture. Pola s’assoit à côté.
- Serre tes cuisses, pola ! tiens-toi droite, cambre-toi !
Lisa mène la voiture en centre-ville. Elle se gare dans un parking et les deux femmes se dirigent dans la partie basse de la vieille ville. Lisa s’arrête plusieurs fois pour se repérer. Elle lit les plaques des rues et compare leur nom avec un petit plan qu’elle tient à la main. Pola doit affronter la rue en femme. C’est la première fois. Elle n’ose pas regarder les passants. Elle garde les yeux baissés.
Lisa entre soudain dans une boutique. Pola est effarée : c’est un sex-shop !
Ni pola ni Paul n’étaient jamais entrés dans ce genre d’endroits. Lisa semble à l’aise. Le magasin ressemble à n’importe quel magasin : des rayons et des allées. Seuls les produits et les affiches sont particulières. Il y a le rayon des DVD ou des cassettes vidéos pornos soft ou hard. Le rayon des godemichés est plus loin. Un fléchage est présent dans tout le magasin. Sur la droite, des cabines permettent de visionner des films. Sur la gauche, ce sont les vêtements. A côté, des salons d’essayage et plus loin des salons de massage. Lisa se dirige vers un escalier qui descend. Au sous-sol, c’est l’antre du S.M.. C’est ce qui est écrit. Une vendeuse habillée en vampe, tout en cuir et assez dénudée, accueille Lisa et pola.
- Bonjour ! Bienvenue. Puis-je vous être utile ?
- Bonjour, je désire m’équiper pour cette lope.
La vendeuse jette un œil vers pola et le détourne immédiatement. Son regard revient vers Lisa.
- Oui Madame ! Je suis toute dévouée à vous servir. Commandez et Vous serez obéie.
- Bien. Il me faut le contenu de cette liste.
Elle tend à la vendeuse une liste. La vendeuse consulte la feuille de papier et disparaît après avoir proposée un siège uniquement à Lisa. Pola reste debout à côté. Lisa lui ordonne de retirer son blouson et son pantalon. Pola, le rouge au joues, se déshabille. Un homme passe devant elles et la reluque. Un regard de Lissa le fait se détourner. Pola est presque soulagée de voir revenir la vendeuse.
Celle-ci marque un léger temps d’arrêt pour apprécier la vue. Elle porte différents objets dans ses bras.
- Voici déjà les premiers éléments :
o Une cagoule
o Une cravache
o Un fouet
o Une série de plugs de différentes tailles. Ils sont vendus ensemble afin de s’adapter aux possibilités de la soumise.
o Un écarteur buccal
o Un spéculum
o Des pinces mammaires
o Des poids. C’est également un assortiment.
o Des bracelets de contention.
o 4 paires de menottes
o une gamelle
- Est-il possible que tout cela soit livré chez moi ?
- Absolument Madame. Il suffira de donner Votre adresse à la caisse et un livreur sera chez Vous à l’heure qui Vous conviendra. Pour la cage de chasteté, j’ai besoin de connaître la taille.
- Je n’ai aucune idée. Le mieux est peut être que vous voyez directement avec pola !
- Oui Madame, en effet !
Pola se recule légèrement en voyant la vendeuse tendre la main vers son bas-ventre.
- pola semble nouvelle et peu habituée.
- Oui c’est son premier jour !
- Puis-je l’aider Madame ?
- Faites.
- Merci. Pola n’ait crainte. Je suis moi aussi une soumise. Regarde !
La vendeuse soulève sa jupe. Elle baisse, ensuite, son string de cuir et offre le spectacle d’un sexe entièrement fermé par des anneaux. Pola regarda sans y croire, tellement il y a d’anneaux.
- Mon Maître m’interdit la pénétration depuis deux ans. Je m’appelle Nelly.
Nelly prend un mètre de couturière et mesure le tour des testicules et la longueur du pénis. Pola se laisse manipuler rouge de honte.
- Suivez-moi Madame. Viens pola !
Le trio s’enfonce dans le sous-sol et arrive très vite au rayon des ceintures de chasteté. Il y a le côté femmes et le côté hommes. Du côté femme, une dame est en train de faire son choix. Elle a retiré sa jupe et essaie sur elle différents modèles. Elle jette un coup d’œil à pola et revient très vite à son choix.
- Hum ! Il n’est pas grand ! Je pense que le modèle CB 2000 est le seul qui conviendra. Mais il faut le sécuriser. Avez-Vous, Madame, l’intention de la faire percer ?
- Oui en effet ! Je vais mettre un Prince-Albert. J’y vais tout à l’heure.
- Alors c’est le choix qu’il faut. Voici le modèle en question.
Nelly sort d’un emballage une cage en plastique transparent composé de deux anneaux dont un est renforcé par une cage et reliés par des tiges.
- Le système de fermeture est au choix par un cadenas à clé ou à code chiffré.
- Quelle est la meilleure sécurité ?
- Le code. Il permet de n’avoir pas de clés que l’on peut toujours perdre. Mais pour pola, il faut deux cadenas car le Prince-Albert doit être cadenassé par devant. Cela maintien le pénis au fond de la cage et rend impossible tout retrait.
- Bien je prends ce modèle. Pouvez-vous le placer tout de suite avec un cadenas à code ?
- Tout de suite Madame. Je Vous montre comment le mettre.
- Vous préférez quelle couleur ? Je l’ai en transparent, noir ou rose.
- Le rose fera très bien avec son teint.
- Oui Madame. Nelly sourit.
Nelly ouvre le paquet et en sort les différents éléments. Elle mesure à nouveau la circonférence des parties génitales de pola. Recherche le meilleur anneau. Pour le placer, elle passe l’anneau autour des testicules puis fait rentrer le pénis en l’écrasant. Pola se laisse manipuler. Elle n’a plus aucune gène. La femme, sa propre ceinture de chasteté à la main, regarde la mise en place. Nelly place ensuite la tige centrale puis la cage elle-même. Elle place ensuite le cadenas.
- Voilà Madame, si Vous voulez bien fermer Vous-même la fixation !
Lisa prend le cadenas et le referme en regardant pola dans les yeux, manifestement satisfaite et soulagée.
- Voilà lope ! Désormais ta nouille est définitivement inutile.
- Oui Maîtresse, Merci !
- Tu verras pola, intervient Nelly. C’est le plus merveilleux cadeau à faire à ta Maîtresse que de renoncer à jouir comme un être humain normal.
La femme, un peu voyeuse, approche et regarde sans aucune gène la cage de plus près.
- Vous avez des modèles plus grands ?
- Oui Madame, bien sûr.
- Parce que mon mari a un bidule beaucoup plus gros que cet avorton ridicule.
- C’est normal, se permet d’intervenir Lisa. Cette lope n’est pas un homme. Cela se voit d’ailleurs. Elle n’a pas besoin d’avoir quelque chose de plus grand.
- Oui en effet. Je trouve que vous avez beaucoup de courage de garder une chose pareille.
- Mais vous-même, pourquoi prendre une ceinture pour vous et pour votre mari.
- Oh non ! Celle-ci n’est pas pour moi mais pour sa secrétaire. Ils sont amants. Mais avec ça, ils ne pourront que travailler ensemble…
Pola assiste sans rien dire à sa déchéance totale. Des femmes parlent entre elles de sa virilité absente et se moquent visiblement d’elle.
Lisa semble ne pas vouloir continuer cette conversation.
- J’ai encore besoin d’une cage.
- Une cage animale ?
- Oui, c’est cela.
- Suivez-moi.
- Le trio repart à l’opposé du magasin, laissant la cliente à sa ceinture de chasteté.
- Voici les cages. Je me permets très respectueusement de conseiller à Madame celle-ci. Elle convient parfaitement à la taille de pola mais peut être réduite de moitié par une cloison amovible. Le sol est protégé par un plateau qui peut recueillir les salissures et autres déjections. Les mailles de la grille ont une bonne taille pour fixer pola et empêcher qu’elle puisse sortir plus qu’un doigt. La sécurité est totale grâce à un système de fixation hors de portée de l’intérieur. De plus la cage peut être suspendue en permanence.
- Elle me semble parfaite. Je la prends.
- Bien Madame, elle sera livrée et montée par notre livreur.
- C’est parfait. Je crois que j’ai tout ce qui me faut.
Nelly tend à pola le pantalon et le blouson. Pola se rhabille rapidement trop heureuse de ne plus exhiber sa cage de chasteté. La cage fait une bosse sur le devant du pantalon. Lisa ne semble pas l’avoir remarqué. Elle semble plus détendue maintenant. Nelly les raccompagne jusqu’à la caisse. Lisa paie. Le caissier lui indique par un signe sur le ticket le code du cadenas. Il lui remet un autre cadenas à code pour le piercing futur. Les deux femmes sortent du magasin. Pola respire d’un grand coup.
- Alors pola, comment te sens-tu ?
- Bien Maîtresse.
- Pas évident de se montrer toute nue dans un magasin et de faire à savoir à tout le monde que tu es impuissante ?
- Non Maîtresse, pola a eu honte.
- C’est bien ! Mais tu vas souvent avoir honte maintenant car tu vas avoir beaucoup d’occasions de te montrer telle que tu es. Je te félicite pour ton obéissance. Je ne te croyais pas capable de ça !
Lisa n’en dit pas plus. Elle montre la direction à prendre et part. Pola la suit . Le magasin suivant n’est pas très loin. C’est une boutique de fringues. La devanture affiche clairement sa destination. « Chez Sonia, tout pour les trans et TV ».
- Ici on va t’habiller un peu !
La vendeuse est sans l’ombre d’un doute une travestie. Sa voix est plutôt grave. Elle est maquillée outrageusement et ses vêtements petits et serrés laisse voir son absence de poitrine et son pénis écrasé sous un pantalon de soie rose presque transparent.
Lisa n’a visiblement pas l’intention de rester longtemps. Elle indique à la vendeuse ce qu’elle désire. La vendeuse, sans insister pour faire l’article, invite Lisa et pola à la suivre. Lisa achète plusieurs soutiens-gorge bien à sa taille, des bas. Deux robes assez courtes ainsi que deux jupes très courtes et deux chemisiers transparents. Pola essaie, rideau ouvert, chaque vêtement. La vendeuse lorgne pendant tout le temps de l’essayage, la cage de chasteté de pola avec des yeux gourmands. Mais elle ne fait aucun commentaire.
Lisa règle et sort. Pola porte les paquets.
- Je n’aime pas cette boutique. Mais c’est la seule dans le coin.
- Maîtresse est déjà venue ?
- Oui lope. Tu n’es pas la première lope que je dresse. Pendant 3 mois, j’ai eu une lope comme toi. Elle ne vit pas très loin d’ici d’ailleurs. Mais depuis que j’ai rencontré Nils, je l’ai revendue à un ami et elle est à l’hôpital pour le moment pour des examens. Nous la rencontrerons sûrement. La fille a essayé de m’arnaquer.
Lisa n’insiste pas. Pola est surprise d’entendre que sa femme a eu une autre lope.
Lisa repart d’un bon pas. Elles marchent un bon moment avant d’entrer dans un troisième magasin. « Tatoue et piercing ».
- Bonjour Jean. C’est moi !
Lisa se tourne vers pola.
- Ici aussi, je suis déjà venue et j’y viens encore.
- Bonjour Lisa. Tu es juste à l’heure. Je m’occupe de toi tout de suite.
- Bien ! Je m’installe où ?
- Va dans le salon 4, j’arrive.
Lisa parle avec un jeune homme d’une vingtaine d’année tout juste. Lisa se dirige vers le salon 4. Elle s’assoit dans un fauteuil et laisse pola debout.
- Retire ton pantalon et ton blouson !
- Oui Maîtresse.
Chapitre 4 : Une première journée en lope!
Nils sort de la pièce et revient bientôt avec de la corde et du ruban adhésif. Il demande à Lisa d’aller prendre une couverture et un coussin. Nils attache chaque poignet de pola avec la corde et la fixe solidement avec le ruban adhésif. Puis il relie les poignets au collier de cuir que pola porte toujours autour du cou. Maintenant pola a les mains à hauteur de ses seins. En aucun cas, elle ne peut se toucher le zizi et se donner du plaisir. Nils lui ordonne de se coucher sur la couverture que Lisa vient d’apporter dans le bureau.
- Je vais laisser l’ordinateur allumé pour que tu vois lope yves sur son pilori. Sache que cela t’arrivera aussi sûrement quand tu seras désobéissante.
- Oui Maître.
- Je ne veux pas t’entendre. Tu as le droit de te lever pour aller aux toilettes uniquement. Dès que le jour se lève, tu ne dois plus bouger. Tu te mettras sur le dos, les cuisses ouvertes et la nouille offerte. Tu resteras sans bouger. Si je viens te voir dans la nuit. Tu te mets immédiatement dans la même position. Vas-y montre-moi !
Pola se couche sur le dos et écarte ses cuisses. Elle éprouve un sentiment étrange, nouveau et doux. Elle a conscience de la signification profonde de cette position. C’est celle du chien qui marque sa soumission. Son petit zizi est vraiment minuscule et pitoyable. Nils approche la main. Pola a un mouvement de recul instinctif. Mais Nils lui caresse seulement. Sa main est douce et chaude. Pola aime se faire toucher par une main d’homme. Elle découvre un plaisir nouveau et inattendu. Nils se relève et sort en éteignant les lumières. Pola reste seule avec juste la lueur de l’écran. Elle reste sans bouger, les cuisses ouvertes pour prolonger la douceur de la caresse. Sur l’écran, plusieurs membres semblent discuter. Le centre de l’image reste noir pour l’instant.
Soudain, le bureau se fait plus lumineux. L’écran s’est enrichi d’une image centrale. Une femme bedonnante apparaît. Elle est habillée d’une robe rose très courte qui lui enserre la taille en la boudinant. Elle vient près de la cam et salut en baisant les yeux. Cette femme est en fait un homme. La future gladys sans doute ! La soixantaine passée, les cheveux blancs et bouclés, lope yves se déshabille entièrement. Dessous, elle porte un soutien-gorge, un panti et des bas de contention. Elle retire tous ses vêtements sauf les bas. Sa poitrine est bien développée du fait du gras qui la sangle. Son zizi est encore plus petit que cela de pola. Il dépasse à peine du bas ventre. Une autre personne apparaît à l’image. Maître Fabert. C’est, par contre, un jeune homme. Tout au plus 25 ans. Il porte des lunettes et fait penser à un étudiant. Il porte un pantalon de cuir et des bretelles de cuir pour toute chemise. Il amène un véritable pilori comme on utilisait au moyen-âge. Lope yves passe sa tête et ses mains dans les trous et Maître Fabert referme la planche qu’il cadenasse des deux côtés. Il montre la clé à la caméra et l’accroche à un crochet inaccessible pour la lope. Il fixe ensuite ses chevilles à une barre qui lui écarte les pieds et l’oblige à se cambrer fortement. Maître Fabert baisse la planche afin que la cambrure soit moins forte et que la lope se retrouve penchée en avant. Ses fesses s’ouvrent et laissent apercevoir sa chatte offerte lisse et parfaitement propre. Maître Fabert prend un objet métallique que pola connaît mal. Cela ressemble à un tube qui s’ouvre en deux et s’écarte. Sans être certaine, pola croit avoir vu ce genre d’ustensile chez le gynécologue de Lisa – de Maîtresse quand, pola était le mari de Lisa. Oui, c’est bien cela : un spéculum. Maître Fabert enduit le spéculum de pommade et introduit le bout entre les lèvres anales du vagin de la lope. Lope yves fléchit légèrement les genoux au contact du métal. Maître Fabert poursuit son introduction rapide puis écarte les deux mâchoires. Pola voit la lope se cambrer, sans doute, sous la douleur de l’ouverture profonde qu’elle est entrain de subir. Le Maître complète son dispositif de punition par des pinces munies de poids qu’il suspend aux tétons charnus de son esclave. Il se tourne ensuite vers la caméra et salut les membres du groupe avant de se retirer de la pièce. Lope yves reste seule. Pola a du mal à croire qu’elle va devoir rester ainsi 24 heures !
La nuit est longue et pénible. Pola a du mal à trouver le sommeil. Elle n’a pas l’habitude de dormir par terre, à la dure. Elle a toujours détesté le camping. Le froid du carrelage monte même à travers la couverture. Et puis, que de changements depuis le matin. Comment aurait-elle pu imaginer ce matin, en se levant, pour aller prendre son train, qu’il serait devenu elle dans la journée et qu’elle connaîtrait tant d’humiliations , mais aussi de plaisirs et de souffrances, en une seule journée. Pola pense aussi sans arrêt à Lisa ! Sa Maîtresse désormais. Lisa dort en ce moment même avec un homme sous leur propre toit et ils font sans doute l’amour en ce moment, sans se soucier de lui – non d’elle. Cocue ! Elle est cocue, le sait, l’accepte et en est malheureuse et heureuse à la fois ! Elle repense à la déclaration qu’elle a fait devant des dizaines d’inconnus. Les mots lui venaient naturellement. Oui naturellement – c’est bien le mot. Il était naturel qu’elle dise cela un jour.
Tout au long de cette longue nuit, pola regarde très souvent la lope sur l’écran. Elle est toujours « pendue » à son pilori. Il semble que son Maître ait aménagé son supplice car elle a le buste allongé sur une planche. Cela doit lui soulager le dos et lui permettre de reposer un peu ses jambes. Les poids pendent toujours des seins qui se sont allongés sous la traction permanente et la chatte est toujours grande ouverte par le spéculum. Pola remarque que le ventre de lope yves s’est débarrassé de quelques fluides corporels. Un tas sombre est au sol derrière elle. Pola se demande qu’elle sera la réaction de son Maître demain !
Le plus dur est de se lever pour aller faire pipi. Pola doit faire de gros efforts pour cela. Se lever sans les mains est très compliqué. Elle s’applique à ne pas faire de bruit. Arrivée au WC, nouvelle difficulté. Comment faire pipi sans en mettre partout. Son zizi « froissé » ne gicle pas droit. Elle essaie de se plier un peu sur ses cuisses mais le jet part un peu dans tous les sens et elle en met à côté et sur la planche. Elle ne peut même pas essuyer. Penaude, elle retourne sur sa couverture. Le couchage est aussi difficile que le lever.
Au petit matin, pola est réveillée quand elle entend son Maître se lever. Immédiatement, elle se met sur le dos et écarte les cuisses. Elle aimerait que la cam soit allumée pour que tout le monde puisse la voir, comme hier soir. Elle est prête pour accueillir son Dominant. Nils passe devant le bureau et jette un œil. Puis se dirige vers la cuisine. Il fait soudain irruption dans le bureau et attrape pola par les cheveux et tire pour l’obliger à se lever. Il attrape la laisse et l’entraîne rudement derrière lui. Il la mène devant les toilettes.
- Qu’est-ce que c’est, sale truie ?
- Pardon ! en voulant faire …. , j’ai fait à côté.
Une gifle part immédiatement dans sa figure, suivie d’une autre mais située sur son bas-ventre. Pola a l’impression d’être éventrée par la douleur. Le coup a porté directement sur les testicules. Pola a le souffle coupé.
- Le « je » t’est interdit salope ! C’est pardon Maître ! Et enfin, tu dois pisser comme une femelle : tu t’assoies sur la faïence directement. La planche est réservée aux Dominants. La seule différence c’est que femme pisse de face et toi de dos uniquement. Tu dois faire tes besoins en te cachant. Tu as compris lope ?
- Oui Maître !
- Bien ! A genoux putain !
Pola se met à genoux devant Nils. La douleur est toujours là. Nils lui attrape les cheveux, une nouvelle fois, et l’oblige à se courber. Quand elle a le visage au raz de la faïence, Nils lui dit :
- Lèche maintenant ! Tu vas nettoyer tes salissures sur la cuvette et parterre avec ta langue.
Pola veut se lever et refuser cet ordre. Cela dépasse ses limites. Non, elle ne veut pas faire cela. Elle tente de faire non avec la tête. Mais Nils augmente sa pression de la main. Il plaque avec force la tête de pola contre la cuvette des WC. Pola se cogne la lèvre supérieure. La cuvette est froide et sa bouche est sur une flaque de pisse. Pola réprime un frisson de dégoût. Elle est coincée. Lécher de la pisse ! Non, elle ne peut pas faire cela, jamais !
- Je te rappelle que tu as renoncée hier soir à toutes tes libertés et que tu t’es donnée à tous. Tu n’as pas le choix. Sinon, tu pars tout de suite et tu ne reviens jamais. Décide. Je compte jusqu’à trois. Un …., deux, ….
Pola sort sa langue et lape très vite la première flaque.
- Avale aussi.
Pola a envie de vomir en avalant. Mais n’ayant rien avalé depuis hier midi, elle n’y arrive même pas.
Pourquoi pola s’est-elle décidée ?
pola ne veut pas tout arrêter car elle sait que c’est cette vie qu’elle a toujours voulu. C’est vrai qu’elle a tout accepté hier. Tout, même l’inacceptable, comme en ce moment ! Puisque c’est désormais le genre de vie qu’elle aura, elle doit lécher la pisse. Elle sait, à cette seconde, qu’elle fera désormais tout ce qu’on lui dira de faire.
- Continue ! Nettoie toute la cuvette puis le sol. Attend, je vais te détacher les mains pour le faire.
Nils coupe la cordelette et libère les mains du cou. Pendant ce temps, Lisa réveillée par le bruit, arrive et assiste en frissonnant à la scène. Pola en se tournant, aperçoit son ex-femme. Le sentiment de honte refait surface et elle rougit. Mais elle vient d’accepter tout. Alors elle se tourne et offre ses fesses à ses Maîtres. Elle lèche maintenant le sol en prenant soin de bien écarter les fesses. Curieusement, le fait que Lisa soit là, donne à pola du plaisir à le faire. Devant Lisa, elle a toujours honte mais encore plus de plaisir à s’humilier.
Lisa, elle, détourne rapidement les yeux et repart. Elle aussi a envie de vomir. Jamais elle n’aurait pensé que son mari pourrait être cela.
Une fois le nettoyage terminé, Nils ordonne à pola d’aller dans la cuisine et de préparer le déjeuner. Pola se lève et disparaît dans la cuisine. Lisa s’y trouve.
- Maîtresse ?
- Oui pola !
- Que prend le Maître le matin ?
Lisa et pola sont aussi gênées l’une que l’autre. C’est la première fois qu’un matin se déroule ainsi depuis le début de leur histoire.
- Du café ! Pour le reste c’est comme pour moi. Tu nous sers au salon !
- Oui Maîtresse.
Lisa sort de la pièce et rejoint Nils. Pola les entend discuter de manière vive. Elle se concentre sur sa tâche. Elle sort un plateau et dispose tout ce qui est nécessaire à un bon petit déjeuner. En sentant l’odeur du café, elle réalise qu’elle a faim. Peut-elle manger elle aussi ? Le Maître n’a rien dit. Elle n’a pas envie de connaître rapidement la même douleur au bas-ventre. Elle a encore mal d’ailleurs. Elle ne touchera pas une miette du déjeuner. Mieux vaut mourir de faim !
Pola apporte le plateau fumant au salon. Lisa est dans les bras de Nils. Ils se câlinent. La discussion semble finie. Pola pose le plateau et va pour se retirer.
- As-tu mangé quelque chose dans la cuisine ?
- Non Maîtresse.
- Bien ! Tu n’auras droit qu’à deux repas par jour. Le matin et le soir. Rien à midi. Le repas du soir sera limité et contrôlé. Mais le matin tu pourras manger ce que tu veux sauf si tu es punie. Aujourd’hui, tu es punie et tu devras attendre ce soir.
- Oui Maîtresse.
- Mets-toi à genoux, les cuisses ouvertes et les mains sur la tête pendant que nous mangeons.
Pola obéit et assiste avec la faim au ventre et la douleur au bas-ventre au repas de ses Maîtres. Elle se sent de plus en plus chienne. Tout en déjeunant, Nils et Lisa bavardent. Leur sujet de conversation est bien sûr pola. Ils parlent comme-ci pola était transparente.
- Tu la rases entièrement puis tu l’habilles.
- Crois-tu que je vais trouver sa taille ?
- Oui, elle n’est pas très grosse. Pense à prendre un peu serré car elle va perdre du poids. Pas question de garder une lope grasse.
- Tu as réservé pour les piercings ?
- C’est fait. On t’attend à 11 heures.
- Bien. Et toi, tu reviens quand ?
- Normalement demain matin. Le trajet est toujours plus long dans ce sens.
- Je n’aime pas être toute seule jusqu’à demain ici avec elle.
- N’aie crainte, elle ne pourra rien faire.
Nils finit son petit déjeuner, se lève et embrasse Lisa. Il passe devant pola sans un regard. Lisa pensive, reste à table. Elle mange machinalement. Nils s’habille très vite et après un dernier baiser, claque la porte.
Lisa se tourne alors vers pola.
- Tu vas débarrasser, ranger et nettoyer. Puis tu me rejoins dans ma chambre.
- Oui Maîtresse.
Lisa sort de la pièce. Pola se lève et accomplit sa tâche. En prenant le bol de Nils, elle le porte à ses lèvres et lèche le bord. Un frisson la parcourt. Un moment, elle est tout à la pensée que peut être Lisa va la libérer de ses tourments et qu’ils vont faire l’amour dans leur lit. Pleine d’espoir, elle se dépêche et tout ranger et se présente devant la chambre. Déception ! Lisa est déjà habillée. Sur le lit ouvert aux draps froissés, pola découvre un soutien-gorge, un porte-jarretelles et une paire de bas. Pola reconnaît ces vêtements. Paul les avait offert à Lisa pour son anniversaire. Mais Lisa a toujours refusé de les mettre. Le soutien-gorge était trop petit et elle ne voulait pas mettre cet ustensile qu’elle jugeait barbare et dégradant.
- Tiens regarde ce que j’ai retrouvé. Je te les donne. Mais d’abord, tu vas aller t’allonger sur le bureau.
Pola prend les vêtements et retourne dans le bureau. Lope yves, toujours à l’écran est dans la même position. Son Maître est là. Il a un fouet à la main et martyrise les fesses de la lope. D’après la couleur des fesses, la fessée a commencé depuis un moment. Lope a les yeux fermés, des larmes coulent et elle semble souffrir beaucoup.
- Hum la lope a l’air de jouir. Allonge-toi sur le dos et écarte tes jambes.
Lisa tient un rasoir, une serviette, une cuvette d’eau et de la mousse à raser. Elle attaque le rasage complet de pola en commençant par les jambes. Puis elle remonte au pubis, le ventre. Elle termine par les bras et la barbe. Puis pola se tourne et Lisa rase intégralement la partie arrière de son corps.
- Tu ne dois avoir aucun poil. Dans quelques temps, tu iras te faire épiler au laser. Mais pour aujourd’hui cela va suffire. C’est fini ! Viens te doucher !
Pola se lève et suit Lisa à la salle de bain. Elle ouvre la porte de la cabine de douche.
- Laisse la porte ouverte et n’utilise que l’eau froide !
- L’eau froide ?
- Oui !
- Mais, Maîtresse, je…. Pola craint l’eau froide ! elle ne peut pas…
- Ta gueule. Ouvre le robinet ! Mouille-toi, savonne et rince en silence.
Pola obéit et ouvre le robinet. L’eau est glacée et le supplice est immense. C’est presque plus difficile à faire que de laper la cuvette des toilettes. Pola se savonne et se rince très vite. Paul passait de longues minutes sous de l’eau bouillante. Cela aussi est bien fini.
Lisa tend une serviette à la lope qui s’essuie en grelottant.
- Bien ! Tu vois que ce n’es pas si difficile !
- Oui Maîtresse.
- Suis-moi !
Lisa retourne dans le bureau et fais signe à pola de se remettre sur le bureau. Une fois en place, elle attrape un ceinturon qui était posé à côté du rasoir et que pola n’a pas vu tout à l’heure.
- Tu as fauté cette nuit. Et ce matin, tu as commis plusieurs erreurs. Tu as aussi failli refuser d’obéir à ton Maître. Tu as été punie de déjeuner mais la punition n’est pas terminée. Je vais te fouetter la nouille que tu as entre les cuisses. Sois tu restes immobile et tu reçois 10 coups. Soi tu bouges, je suis obligée de t’attacher et tu en reçois le double.
- Maîtresse, lope pola a déjà très mal au sexe !
- Tu viens de gagner 5 coups de plus pour avoir dit un mot qui n’a pas de sens pour toi. Un sexe, toi !!!
Sans aucune préparation, Lisa lève le ceinturon et applique le premier coup sur la verge molle de pola. Nils lui recommandé d’y aller doucement pour les premiers coups. Pola ne réagit pas au premier. Elle appuie un peu le deuxième : pola bouge légèrement. Le troisième puis le quatrième tombent. Pola commence à gémir. Au cinquième, Lisa appuie son coup vraiment et là, pola ferme ses cuisses et met ses mains en protection. Lisa n’attendait que cela. Nils lui a dit que pola allait tenté de résister d’abord puis se protègerait. Elle pose la ceinture et prend le ruban adhésif. Elle fixe les mollets aux pieds de la table et les poignets au collier de chien que pola porte toujours. Puis elle monte sur le bureau et s’assoit sur le ventre de pola en lui tournant le dos. Elle reprend son ceinturon.
- Donc, tu as bougé. Tu vas recevoir 25 coups et on recommence à zéro !
- Non Maîtresse, pitié !
- Non pola ! Tu vas apprendre à obéir, c’est tout !
Sans écouter les suppliques de pola, Lisa frappe et frappe encore. Elle y met un peu de rage. Elle a honte aussi de faire subir cela à son ancien mari. Mais elle y prend aussi du plaisir. Elle se venge de toutes les jouissances perdues en couchant avec lui. Il l’inondait et la laissait insatisfaite. Elle le sent sous elle qui se tord, souffre. Mais elle sent aussi sa culotte qui s’inonde. Elle jouit elle aussi ! Il reste encore 5 coups à porter. Soudain, pola se met à bander. Lisa n’a jamais vu Paul bander aussi fort. Le zizi est presque impressionnant. Rien à voir avec celui de Nils mais quand même. Lisa est tentée de le prendre dans sa main et de jouer avec. Mais elle résiste. Pola ne doit plus utiliser cet objet. Elle n’aura d’ailleurs plus aucune possibilité de bander dans quelques heures. Lisa continue de frapper le zizi. Il bande toujours et il se met bientôt à s’agiter de petits soubresauts. Lisa n’a plus compté ses coups. Il y en a eu plus que 25. Si elle continue, pola va jouir. Elle s’arrête. Pola crie presque derrière elle. Heureusement qu’elle n’a pas de voisin ! Lisa redescend. Pola est en larmes. Elle geint, elle crie, elle pleure. Son visage est inondé de larmes. Le zizi est toujours dressé droit mais les tressaillements ont cessé. Tout doucement, la verge retombe molle et flasque. Elle reprend sa taille normale.
Joli chant du cygne pense Lisa. Pour la dernière fois que cette nouille peut bander, elle a donné un beau spectacle. Dommage que la lope ne l’ait même pas vu !
Sans que pola comprenne, Lisa se met à rire. Elle détache sa soumise et l’aide à se relever.
- Mets-toi à genoux devant moi.
Pola obéit en sanglotant mais sans dire un mot.
- Désormais, tu as bien compris qu’il n’y aura jamais de retour en arrière. N’espère plus rien de moi que de la souffrance et de l’humiliation.
- Oui Maîtresse ! pola a compris que tout le passé est mort à jamais. Pola est, et sera toujours, pour Vous, une lope soumise obéissante. Pola ne sera plus jamais un homme, ni le mari de Maîtresse. Maîtresse peut tout exiger de pola et pola le fera.
- Bien pola. Tu vas voir très vite que je vais tout exiger de toi. Maintenant habille-toi !
Pola enfile maladroitement le soutien-gorge. Il est serré mais cela va quand même. Lisa règle les bretelles puis lui explique comment mettre les bas et le porte-jarretelles. Pola enfile par-dessus un pantalon et un blouson. Lisa lui donne des ballerines à talonnettes. On voit nettement que c’est des chaussures de femme. Mais Lisa ne fait aucun commentaire et pola s’abstient d’en faire aucun.
Lisa prend un manteau et elles quittent l’appartement. Dans l’ascenseur, elles ne rencontrent personne. Lisa prend sa voiture. Pola s’assoit à côté.
- Serre tes cuisses, pola ! tiens-toi droite, cambre-toi !
Lisa mène la voiture en centre-ville. Elle se gare dans un parking et les deux femmes se dirigent dans la partie basse de la vieille ville. Lisa s’arrête plusieurs fois pour se repérer. Elle lit les plaques des rues et compare leur nom avec un petit plan qu’elle tient à la main. Pola doit affronter la rue en femme. C’est la première fois. Elle n’ose pas regarder les passants. Elle garde les yeux baissés.
Lisa entre soudain dans une boutique. Pola est effarée : c’est un sex-shop !
Ni pola ni Paul n’étaient jamais entrés dans ce genre d’endroits. Lisa semble à l’aise. Le magasin ressemble à n’importe quel magasin : des rayons et des allées. Seuls les produits et les affiches sont particulières. Il y a le rayon des DVD ou des cassettes vidéos pornos soft ou hard. Le rayon des godemichés est plus loin. Un fléchage est présent dans tout le magasin. Sur la droite, des cabines permettent de visionner des films. Sur la gauche, ce sont les vêtements. A côté, des salons d’essayage et plus loin des salons de massage. Lisa se dirige vers un escalier qui descend. Au sous-sol, c’est l’antre du S.M.. C’est ce qui est écrit. Une vendeuse habillée en vampe, tout en cuir et assez dénudée, accueille Lisa et pola.
- Bonjour ! Bienvenue. Puis-je vous être utile ?
- Bonjour, je désire m’équiper pour cette lope.
La vendeuse jette un œil vers pola et le détourne immédiatement. Son regard revient vers Lisa.
- Oui Madame ! Je suis toute dévouée à vous servir. Commandez et Vous serez obéie.
- Bien. Il me faut le contenu de cette liste.
Elle tend à la vendeuse une liste. La vendeuse consulte la feuille de papier et disparaît après avoir proposée un siège uniquement à Lisa. Pola reste debout à côté. Lisa lui ordonne de retirer son blouson et son pantalon. Pola, le rouge au joues, se déshabille. Un homme passe devant elles et la reluque. Un regard de Lissa le fait se détourner. Pola est presque soulagée de voir revenir la vendeuse.
Celle-ci marque un léger temps d’arrêt pour apprécier la vue. Elle porte différents objets dans ses bras.
- Voici déjà les premiers éléments :
o Une cagoule
o Une cravache
o Un fouet
o Une série de plugs de différentes tailles. Ils sont vendus ensemble afin de s’adapter aux possibilités de la soumise.
o Un écarteur buccal
o Un spéculum
o Des pinces mammaires
o Des poids. C’est également un assortiment.
o Des bracelets de contention.
o 4 paires de menottes
o une gamelle
- Est-il possible que tout cela soit livré chez moi ?
- Absolument Madame. Il suffira de donner Votre adresse à la caisse et un livreur sera chez Vous à l’heure qui Vous conviendra. Pour la cage de chasteté, j’ai besoin de connaître la taille.
- Je n’ai aucune idée. Le mieux est peut être que vous voyez directement avec pola !
- Oui Madame, en effet !
Pola se recule légèrement en voyant la vendeuse tendre la main vers son bas-ventre.
- pola semble nouvelle et peu habituée.
- Oui c’est son premier jour !
- Puis-je l’aider Madame ?
- Faites.
- Merci. Pola n’ait crainte. Je suis moi aussi une soumise. Regarde !
La vendeuse soulève sa jupe. Elle baisse, ensuite, son string de cuir et offre le spectacle d’un sexe entièrement fermé par des anneaux. Pola regarda sans y croire, tellement il y a d’anneaux.
- Mon Maître m’interdit la pénétration depuis deux ans. Je m’appelle Nelly.
Nelly prend un mètre de couturière et mesure le tour des testicules et la longueur du pénis. Pola se laisse manipuler rouge de honte.
- Suivez-moi Madame. Viens pola !
Le trio s’enfonce dans le sous-sol et arrive très vite au rayon des ceintures de chasteté. Il y a le côté femmes et le côté hommes. Du côté femme, une dame est en train de faire son choix. Elle a retiré sa jupe et essaie sur elle différents modèles. Elle jette un coup d’œil à pola et revient très vite à son choix.
- Hum ! Il n’est pas grand ! Je pense que le modèle CB 2000 est le seul qui conviendra. Mais il faut le sécuriser. Avez-Vous, Madame, l’intention de la faire percer ?
- Oui en effet ! Je vais mettre un Prince-Albert. J’y vais tout à l’heure.
- Alors c’est le choix qu’il faut. Voici le modèle en question.
Nelly sort d’un emballage une cage en plastique transparent composé de deux anneaux dont un est renforcé par une cage et reliés par des tiges.
- Le système de fermeture est au choix par un cadenas à clé ou à code chiffré.
- Quelle est la meilleure sécurité ?
- Le code. Il permet de n’avoir pas de clés que l’on peut toujours perdre. Mais pour pola, il faut deux cadenas car le Prince-Albert doit être cadenassé par devant. Cela maintien le pénis au fond de la cage et rend impossible tout retrait.
- Bien je prends ce modèle. Pouvez-vous le placer tout de suite avec un cadenas à code ?
- Tout de suite Madame. Je Vous montre comment le mettre.
- Vous préférez quelle couleur ? Je l’ai en transparent, noir ou rose.
- Le rose fera très bien avec son teint.
- Oui Madame. Nelly sourit.
Nelly ouvre le paquet et en sort les différents éléments. Elle mesure à nouveau la circonférence des parties génitales de pola. Recherche le meilleur anneau. Pour le placer, elle passe l’anneau autour des testicules puis fait rentrer le pénis en l’écrasant. Pola se laisse manipuler. Elle n’a plus aucune gène. La femme, sa propre ceinture de chasteté à la main, regarde la mise en place. Nelly place ensuite la tige centrale puis la cage elle-même. Elle place ensuite le cadenas.
- Voilà Madame, si Vous voulez bien fermer Vous-même la fixation !
Lisa prend le cadenas et le referme en regardant pola dans les yeux, manifestement satisfaite et soulagée.
- Voilà lope ! Désormais ta nouille est définitivement inutile.
- Oui Maîtresse, Merci !
- Tu verras pola, intervient Nelly. C’est le plus merveilleux cadeau à faire à ta Maîtresse que de renoncer à jouir comme un être humain normal.
La femme, un peu voyeuse, approche et regarde sans aucune gène la cage de plus près.
- Vous avez des modèles plus grands ?
- Oui Madame, bien sûr.
- Parce que mon mari a un bidule beaucoup plus gros que cet avorton ridicule.
- C’est normal, se permet d’intervenir Lisa. Cette lope n’est pas un homme. Cela se voit d’ailleurs. Elle n’a pas besoin d’avoir quelque chose de plus grand.
- Oui en effet. Je trouve que vous avez beaucoup de courage de garder une chose pareille.
- Mais vous-même, pourquoi prendre une ceinture pour vous et pour votre mari.
- Oh non ! Celle-ci n’est pas pour moi mais pour sa secrétaire. Ils sont amants. Mais avec ça, ils ne pourront que travailler ensemble…
Pola assiste sans rien dire à sa déchéance totale. Des femmes parlent entre elles de sa virilité absente et se moquent visiblement d’elle.
Lisa semble ne pas vouloir continuer cette conversation.
- J’ai encore besoin d’une cage.
- Une cage animale ?
- Oui, c’est cela.
- Suivez-moi.
- Le trio repart à l’opposé du magasin, laissant la cliente à sa ceinture de chasteté.
- Voici les cages. Je me permets très respectueusement de conseiller à Madame celle-ci. Elle convient parfaitement à la taille de pola mais peut être réduite de moitié par une cloison amovible. Le sol est protégé par un plateau qui peut recueillir les salissures et autres déjections. Les mailles de la grille ont une bonne taille pour fixer pola et empêcher qu’elle puisse sortir plus qu’un doigt. La sécurité est totale grâce à un système de fixation hors de portée de l’intérieur. De plus la cage peut être suspendue en permanence.
- Elle me semble parfaite. Je la prends.
- Bien Madame, elle sera livrée et montée par notre livreur.
- C’est parfait. Je crois que j’ai tout ce qui me faut.
Nelly tend à pola le pantalon et le blouson. Pola se rhabille rapidement trop heureuse de ne plus exhiber sa cage de chasteté. La cage fait une bosse sur le devant du pantalon. Lisa ne semble pas l’avoir remarqué. Elle semble plus détendue maintenant. Nelly les raccompagne jusqu’à la caisse. Lisa paie. Le caissier lui indique par un signe sur le ticket le code du cadenas. Il lui remet un autre cadenas à code pour le piercing futur. Les deux femmes sortent du magasin. Pola respire d’un grand coup.
- Alors pola, comment te sens-tu ?
- Bien Maîtresse.
- Pas évident de se montrer toute nue dans un magasin et de faire à savoir à tout le monde que tu es impuissante ?
- Non Maîtresse, pola a eu honte.
- C’est bien ! Mais tu vas souvent avoir honte maintenant car tu vas avoir beaucoup d’occasions de te montrer telle que tu es. Je te félicite pour ton obéissance. Je ne te croyais pas capable de ça !
Lisa n’en dit pas plus. Elle montre la direction à prendre et part. Pola la suit . Le magasin suivant n’est pas très loin. C’est une boutique de fringues. La devanture affiche clairement sa destination. « Chez Sonia, tout pour les trans et TV ».
- Ici on va t’habiller un peu !
La vendeuse est sans l’ombre d’un doute une travestie. Sa voix est plutôt grave. Elle est maquillée outrageusement et ses vêtements petits et serrés laisse voir son absence de poitrine et son pénis écrasé sous un pantalon de soie rose presque transparent.
Lisa n’a visiblement pas l’intention de rester longtemps. Elle indique à la vendeuse ce qu’elle désire. La vendeuse, sans insister pour faire l’article, invite Lisa et pola à la suivre. Lisa achète plusieurs soutiens-gorge bien à sa taille, des bas. Deux robes assez courtes ainsi que deux jupes très courtes et deux chemisiers transparents. Pola essaie, rideau ouvert, chaque vêtement. La vendeuse lorgne pendant tout le temps de l’essayage, la cage de chasteté de pola avec des yeux gourmands. Mais elle ne fait aucun commentaire.
Lisa règle et sort. Pola porte les paquets.
- Je n’aime pas cette boutique. Mais c’est la seule dans le coin.
- Maîtresse est déjà venue ?
- Oui lope. Tu n’es pas la première lope que je dresse. Pendant 3 mois, j’ai eu une lope comme toi. Elle ne vit pas très loin d’ici d’ailleurs. Mais depuis que j’ai rencontré Nils, je l’ai revendue à un ami et elle est à l’hôpital pour le moment pour des examens. Nous la rencontrerons sûrement. La fille a essayé de m’arnaquer.
Lisa n’insiste pas. Pola est surprise d’entendre que sa femme a eu une autre lope.
Lisa repart d’un bon pas. Elles marchent un bon moment avant d’entrer dans un troisième magasin. « Tatoue et piercing ».
- Bonjour Jean. C’est moi !
Lisa se tourne vers pola.
- Ici aussi, je suis déjà venue et j’y viens encore.
- Bonjour Lisa. Tu es juste à l’heure. Je m’occupe de toi tout de suite.
- Bien ! Je m’installe où ?
- Va dans le salon 4, j’arrive.
Lisa parle avec un jeune homme d’une vingtaine d’année tout juste. Lisa se dirige vers le salon 4. Elle s’assoit dans un fauteuil et laisse pola debout.
- Retire ton pantalon et ton blouson !
- Oui Maîtresse.
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