Chapitre VIII - Sir Lievin
Récit érotique écrit par Wlad [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-01-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Chapitre VIII - Sir Lievin
Chapitre 8
Sir Lievin !
- Bonjour Lisa ! Entre ma chérie.
- Du calme, Bernard. Je suis venue te parler très sérieusement.
- Oh là ! Tu sembles terriblement sérieuse !
Lisa s’assoit sur le bord du lit et jette un œil sur le sexe légèrement gonflé de son
ami. Un instant tentée de le caresser, elle préfère se lever et faire face à la
fenêtre et au soleil levant.
- Ce matin, très tôt, j’ai eu un coup de fil de Nils. Il voudrait que j’aille
passé quelques jours dans son haras.
- Oui ! Et ?
- Accepterais-tu de reprendre Caro pour quelques jours ?
- Ah, je vois ! Tu veux t’en débarrasser ?
- Oh non pas du tout !
- Alors… explique-moi !
- Je ne veux pas la laisser seule. Elle pourrait justement croire que je ne veux
pas d’elle. C’est tout le contraire. Mais Nils me propose de me montrer le haras.
- Ah ! Je préfère cette explication. Ecoute, pars tranquille. Caroline va m’être
plus qu’utile car pola doit partir ce matin pour son « stage ». Je vais avoir besoin
d’une secrétaire. Donc prends ton temps.
- Merci Bernard. Evidemment, tu as toute la jouissance de Caro pendant mon
absence.
- Evidemment. Tu pars quand ?
- Aujourd’hui même.
Lisa se penche sur Bernard et l’embrasse sur la bouche.
- Je laisse ta queue à pola. Merci encore. Caro est au courant. Je pars
maintenant car si j’attends trop, j’ai peur de ne pas avoir envie de la laisser.
Bernard se lève en soupirant. Il s’habille rapidement et appelle pola. Il lui ordonne
de mettre une jupe, un corsage et des ballerines. Pola se prépare rapidement. Sans un
mot pour Caroline, le couple disparaît. Dans la voiture, Bernard ne dit pas un mot.
Pola, assise à côté de lui, regarde fixement devant elle. Elle ne regarde par vraiment
la route. Tout son esprit est tourné vers ce qui l’attend. Son Maître lui a un peu
expliqué mais elle a peur.
Après une bonne heure de route sous une pluie battante, la voiture s’engage dans un
petit chemin de terre et débouche dans la cour d’une ferme. Un homme assez jeune se
tient debout. Il porte, étonnamment un kilt très anglais. Il doit avoir 25 ans. De
grandes moustaches coupent son visage en deux.
Bernard ordonne à pola de sortir de la voiture. Lui-même sort rapidement et vient
mettre un genou à terre devant l’homme. Il baise le bas de son kilt
- Bonjour Sir ! Je viens Vous livrer la lope.
- Bonjour Bernard ! Cela fait longtemps que je ne t’ai pas vu. Que deviens-tu ?
- Bien Sir ! Beaucoup de travail comme toujours.
- Oui …
Sir Lievin se tourne vers pola qui est restée en arrière, surprise par l’attitude de
son maître.
- Approche lope et prosterne-toi.
- Sir, lope pola n’est au courant de rien, comme Vous me l’avez demandé.
- Parfait ! Tu peux repartir. Je n’ai plus besoin de toi. Tu reviens ici, à la
même heure dans 8 jours.
- Oui Sir !
Bernard baise à nouveau le bas de la jupe écossaise et se relève. Il part sans
adresser un regard à pola. Il remonte en voiture qui disparaît bientôt au bout du
chemin de terre.
Pola s’est agenouillée devant son curieux Maître. Par imitation, elle baise le bas de
son kilt. Elle reçoit immédiatement un coup de genou qui l’envoie au sol.
- Que fais-tu salope ? Cette marque de respect est réservée aux Dominants. Toi
tu es une fiotte. Tu lèches ma chaussure. Immédiatement.
Pola se penche et, avec sa langue, lèche le dessus en cuir ciré de la botte du Maître.
- Bien ! Tu restes à quatre pattes et tu me suis.
Sir Lievin entre dans la maison. Il se dirige vers un salon voûté tout en pierres. Il
désigne une sorte de chaise très basse à pola. Celle-ci fait mine de s’y asseoir.
- Non, lope. Agenouille-toi ! C’est un prie-Dieu. Tu ne pries jamais ?
- Non Maître !
Sir Lievin s’installe dans un large fauteuil en osier. Le fauteuil est posé sur une
petite estrade. Pola est à genoux devant lui. Son visage est alors à la hauteur des
cuisses du Maître.
- Lève la tête et regarde devant toi !
Pola aperçoit alors, sous la jupe de l’homme chez qui elle va passer les huit
prochains jours, son sexe. Sir lievin écarte les cuisses pour que pola profite au
maximum du spectacle. Le sexe est moins volumineux que celui de son vrai Maître. Mais
les testicules sont par contre beaucoup plus gros.
- Ici, tu dois toujours avoir les yeux fixés sur ma bitte. Elle est ton Dieu que
tu vas apprendre à vénérer et à servir.
- Oui Maître !
- Silence ! Tu n’as pas droit à la parole. Tu vas passer huit jours avec moi
sans dire un seul mot sauf si je te pose une question qui appelle une réponse. Inutile
donc de dire « oui » tout le temps car tu as là pour obéir.
Sir Lievin marque une pause et observe sa nouvelle lope.
- J’ai huit jours et sept nuits pour profiter de toi au maximum. Durant tout ce
temps, tu dormiras, tu mangeras, tu pisseras seulement quand je le voudrai. Mais dans
une semaine, j’aurais fait de toi une parfaite sissy. Tu sauras te maquiller et de
comporter comme une femelle. Tu auras perdu définitivement toute attitude masculine,
bien que ce mot n’ait aucune résonance chez toi. Tu penseras en femelle, tu marcheras
comme une pute soumise. Chaque geste sera celui d’une presque femme. As-tu quelque
chose à dire ?
Pola ne bouge pas. Ni elle ne lève les yeux vers son Maître ni elle ne dit un mot.
- Parfait ! Tu confirmes les bonnes impressions que j’ai eues de toi en webcam.
Je crois que je vais faire de toi un chef-d’œuvre. Déshabille-toi entièrement et mets-
les dans ce panier.
Pola fait mine de se lever mais une gifle s’abat sur sa tête. Elle comprend
immédiatement qu’elle doit rester à genoux. Elle retire son bustier, sa jupe et ses
chaussures et les dépose dans le récipient. Sir Lievin se lève et jette le tout dans
le feu de la cheminée.
- Voilà ! tu vas mettre des vêtements plus adaptés. Lève-toi que je te regarde.
Tu vas faire comme-ci tu étais une pute qui aguiche le client.
Pola se lève et prend des pauses qu’elle espère sexy. Mais elle est très mal à l’aise.
- Tu es pitoyable mais tu as un beau cul. Tu connais le code de ta cage de
chasteté ?
Pola secoue la tête en signe de réponse.
- C’est le 4589. Je veux que tu la retires car elle ne va pas aller avec ton
nouveau look. Mais je te rassure, tu ne vas pas pourvoir t’amuser avec ta petite
virgule non plus.
Pola retire la cage qui fait partie d’elle depuis quelques jours. Elle se sent tout à
coup vraiment nue.
Sir Lievin se lève et s’approche d’elle. Il prend la verge de pola dans la main par
l’anneau. Il tient dans son autre main un petit cadenas. Il tire vigoureusement sur la
verge pour l’étirer et relis le cadenas au petit anneau placé entre ses cuisses. Une
fois le cadenas fermé, la verge disparaît entre les cuisses. Elle est très fine et
appuie sur les testicules qui rentrent.
- Voilà ! Tu es presque châtrée. C’est plus joli et c’est mieux pour une sissy.
Tu vas pouvoir porter des tenues très sexy et très près du corps. Aucune bosse ne
viendra perturber la vue.
Sir Lievin retire tout à coup sa jupe et son pull. Il est très musclé.
- Maintenant, tu vas me montrer comment tu fais jouir ton homme.
* * *
Lisa est partie immédiatement la route vers la gare. Son train partant dans une heure,
elle avait juste le temps de le prendre. Elle se sent coupable d’abandonner Caroline.
Après pola, c’est maintenant le tour de son esclave. Mais la proposition de Nils lui a
donné très envie. Elle repense à son réveil auprès de la femme avec qui elle a fait
l’amour cette nuit. Lesbienne ! Elle n’aurait jamais cru cela possible et pourtant …
Là voilà dans son wagon. Elle roule à grande vitesse vers Nils et vers de nouvelles
sensations. Ce matin, le téléphone l’a sorti de son extase.
- Bonjour Lisa, je te réveille ?
- Nils, quelle surprise ! Non, je rêvais mais toute éveillée.
- Oh toi, je te sens amoureuse !
- Amoureuse ! Je n’aurais pas dit cela… mais, tu dois avoir raison !
- C’est qui, Bernard ?
- Non, pas du tout !
- Je te taquine. Je t’appelle car, on parlant avec Mathilde, nous avons eu une
idée.
- Mathilde ?
- Oui ! Tu sais, c’est la femme gynarchique avec qui je m’associe pour le haras.
- Ah oui ! Et de quelle idée veux-tu me parler ?
- Mathilde voudrait t’inviter à passer quelques jours au haras. Je lui ai parlé
de toi cette nuit…
- Cette nuit ?
- Euh, oui !
- Tu as couché avec elle ?
- Oui, un peu !
- Comment cela un peu !!!
- Tu sais c’est une femme très puissante. Elle a exigé que je la pénètre devant
son esclave de mari. Mais ensuite nous avons parlé de toi.
- De moi ?!
- Oui Mathilde voulait savoir comment tu étais arrivée à soumettre ton mari.
Elle voudrait discuter avec toi.
- Discuter de quoi ? Je n’ai pas de conseils à lui donner ?
- Viens et tu verras.
Lisa était troublée par ce que lui disait son ancien amant. Non pas qu’il est couché
avec une autre femme. Mais bien qu’il ait parlé d’elle avec une femme qui comme elle a
castré son mari pour en faire un esclave. Une femme gynarchique. Lorsque Nils a
prononcé ce mot devant elle, Lisa a frissonné sans savoir pourquoi. Elle ressent à
nouveau ce frisson.
- D’accord. Quand voudrait-elle que je vienne ?
- Pourquoi pas aujourd’hui…
La voilà dans le train. Sa vie bascule sur une trajectoire totalement incertaine et
différente. Aurait-elle pu imaginer de vivre tout cela, il y a encore quelques
semaines !
Sir Lievin !
- Bonjour Lisa ! Entre ma chérie.
- Du calme, Bernard. Je suis venue te parler très sérieusement.
- Oh là ! Tu sembles terriblement sérieuse !
Lisa s’assoit sur le bord du lit et jette un œil sur le sexe légèrement gonflé de son
ami. Un instant tentée de le caresser, elle préfère se lever et faire face à la
fenêtre et au soleil levant.
- Ce matin, très tôt, j’ai eu un coup de fil de Nils. Il voudrait que j’aille
passé quelques jours dans son haras.
- Oui ! Et ?
- Accepterais-tu de reprendre Caro pour quelques jours ?
- Ah, je vois ! Tu veux t’en débarrasser ?
- Oh non pas du tout !
- Alors… explique-moi !
- Je ne veux pas la laisser seule. Elle pourrait justement croire que je ne veux
pas d’elle. C’est tout le contraire. Mais Nils me propose de me montrer le haras.
- Ah ! Je préfère cette explication. Ecoute, pars tranquille. Caroline va m’être
plus qu’utile car pola doit partir ce matin pour son « stage ». Je vais avoir besoin
d’une secrétaire. Donc prends ton temps.
- Merci Bernard. Evidemment, tu as toute la jouissance de Caro pendant mon
absence.
- Evidemment. Tu pars quand ?
- Aujourd’hui même.
Lisa se penche sur Bernard et l’embrasse sur la bouche.
- Je laisse ta queue à pola. Merci encore. Caro est au courant. Je pars
maintenant car si j’attends trop, j’ai peur de ne pas avoir envie de la laisser.
Bernard se lève en soupirant. Il s’habille rapidement et appelle pola. Il lui ordonne
de mettre une jupe, un corsage et des ballerines. Pola se prépare rapidement. Sans un
mot pour Caroline, le couple disparaît. Dans la voiture, Bernard ne dit pas un mot.
Pola, assise à côté de lui, regarde fixement devant elle. Elle ne regarde par vraiment
la route. Tout son esprit est tourné vers ce qui l’attend. Son Maître lui a un peu
expliqué mais elle a peur.
Après une bonne heure de route sous une pluie battante, la voiture s’engage dans un
petit chemin de terre et débouche dans la cour d’une ferme. Un homme assez jeune se
tient debout. Il porte, étonnamment un kilt très anglais. Il doit avoir 25 ans. De
grandes moustaches coupent son visage en deux.
Bernard ordonne à pola de sortir de la voiture. Lui-même sort rapidement et vient
mettre un genou à terre devant l’homme. Il baise le bas de son kilt
- Bonjour Sir ! Je viens Vous livrer la lope.
- Bonjour Bernard ! Cela fait longtemps que je ne t’ai pas vu. Que deviens-tu ?
- Bien Sir ! Beaucoup de travail comme toujours.
- Oui …
Sir Lievin se tourne vers pola qui est restée en arrière, surprise par l’attitude de
son maître.
- Approche lope et prosterne-toi.
- Sir, lope pola n’est au courant de rien, comme Vous me l’avez demandé.
- Parfait ! Tu peux repartir. Je n’ai plus besoin de toi. Tu reviens ici, à la
même heure dans 8 jours.
- Oui Sir !
Bernard baise à nouveau le bas de la jupe écossaise et se relève. Il part sans
adresser un regard à pola. Il remonte en voiture qui disparaît bientôt au bout du
chemin de terre.
Pola s’est agenouillée devant son curieux Maître. Par imitation, elle baise le bas de
son kilt. Elle reçoit immédiatement un coup de genou qui l’envoie au sol.
- Que fais-tu salope ? Cette marque de respect est réservée aux Dominants. Toi
tu es une fiotte. Tu lèches ma chaussure. Immédiatement.
Pola se penche et, avec sa langue, lèche le dessus en cuir ciré de la botte du Maître.
- Bien ! Tu restes à quatre pattes et tu me suis.
Sir Lievin entre dans la maison. Il se dirige vers un salon voûté tout en pierres. Il
désigne une sorte de chaise très basse à pola. Celle-ci fait mine de s’y asseoir.
- Non, lope. Agenouille-toi ! C’est un prie-Dieu. Tu ne pries jamais ?
- Non Maître !
Sir Lievin s’installe dans un large fauteuil en osier. Le fauteuil est posé sur une
petite estrade. Pola est à genoux devant lui. Son visage est alors à la hauteur des
cuisses du Maître.
- Lève la tête et regarde devant toi !
Pola aperçoit alors, sous la jupe de l’homme chez qui elle va passer les huit
prochains jours, son sexe. Sir lievin écarte les cuisses pour que pola profite au
maximum du spectacle. Le sexe est moins volumineux que celui de son vrai Maître. Mais
les testicules sont par contre beaucoup plus gros.
- Ici, tu dois toujours avoir les yeux fixés sur ma bitte. Elle est ton Dieu que
tu vas apprendre à vénérer et à servir.
- Oui Maître !
- Silence ! Tu n’as pas droit à la parole. Tu vas passer huit jours avec moi
sans dire un seul mot sauf si je te pose une question qui appelle une réponse. Inutile
donc de dire « oui » tout le temps car tu as là pour obéir.
Sir Lievin marque une pause et observe sa nouvelle lope.
- J’ai huit jours et sept nuits pour profiter de toi au maximum. Durant tout ce
temps, tu dormiras, tu mangeras, tu pisseras seulement quand je le voudrai. Mais dans
une semaine, j’aurais fait de toi une parfaite sissy. Tu sauras te maquiller et de
comporter comme une femelle. Tu auras perdu définitivement toute attitude masculine,
bien que ce mot n’ait aucune résonance chez toi. Tu penseras en femelle, tu marcheras
comme une pute soumise. Chaque geste sera celui d’une presque femme. As-tu quelque
chose à dire ?
Pola ne bouge pas. Ni elle ne lève les yeux vers son Maître ni elle ne dit un mot.
- Parfait ! Tu confirmes les bonnes impressions que j’ai eues de toi en webcam.
Je crois que je vais faire de toi un chef-d’œuvre. Déshabille-toi entièrement et mets-
les dans ce panier.
Pola fait mine de se lever mais une gifle s’abat sur sa tête. Elle comprend
immédiatement qu’elle doit rester à genoux. Elle retire son bustier, sa jupe et ses
chaussures et les dépose dans le récipient. Sir Lievin se lève et jette le tout dans
le feu de la cheminée.
- Voilà ! tu vas mettre des vêtements plus adaptés. Lève-toi que je te regarde.
Tu vas faire comme-ci tu étais une pute qui aguiche le client.
Pola se lève et prend des pauses qu’elle espère sexy. Mais elle est très mal à l’aise.
- Tu es pitoyable mais tu as un beau cul. Tu connais le code de ta cage de
chasteté ?
Pola secoue la tête en signe de réponse.
- C’est le 4589. Je veux que tu la retires car elle ne va pas aller avec ton
nouveau look. Mais je te rassure, tu ne vas pas pourvoir t’amuser avec ta petite
virgule non plus.
Pola retire la cage qui fait partie d’elle depuis quelques jours. Elle se sent tout à
coup vraiment nue.
Sir Lievin se lève et s’approche d’elle. Il prend la verge de pola dans la main par
l’anneau. Il tient dans son autre main un petit cadenas. Il tire vigoureusement sur la
verge pour l’étirer et relis le cadenas au petit anneau placé entre ses cuisses. Une
fois le cadenas fermé, la verge disparaît entre les cuisses. Elle est très fine et
appuie sur les testicules qui rentrent.
- Voilà ! Tu es presque châtrée. C’est plus joli et c’est mieux pour une sissy.
Tu vas pouvoir porter des tenues très sexy et très près du corps. Aucune bosse ne
viendra perturber la vue.
Sir Lievin retire tout à coup sa jupe et son pull. Il est très musclé.
- Maintenant, tu vas me montrer comment tu fais jouir ton homme.
* * *
Lisa est partie immédiatement la route vers la gare. Son train partant dans une heure,
elle avait juste le temps de le prendre. Elle se sent coupable d’abandonner Caroline.
Après pola, c’est maintenant le tour de son esclave. Mais la proposition de Nils lui a
donné très envie. Elle repense à son réveil auprès de la femme avec qui elle a fait
l’amour cette nuit. Lesbienne ! Elle n’aurait jamais cru cela possible et pourtant …
Là voilà dans son wagon. Elle roule à grande vitesse vers Nils et vers de nouvelles
sensations. Ce matin, le téléphone l’a sorti de son extase.
- Bonjour Lisa, je te réveille ?
- Nils, quelle surprise ! Non, je rêvais mais toute éveillée.
- Oh toi, je te sens amoureuse !
- Amoureuse ! Je n’aurais pas dit cela… mais, tu dois avoir raison !
- C’est qui, Bernard ?
- Non, pas du tout !
- Je te taquine. Je t’appelle car, on parlant avec Mathilde, nous avons eu une
idée.
- Mathilde ?
- Oui ! Tu sais, c’est la femme gynarchique avec qui je m’associe pour le haras.
- Ah oui ! Et de quelle idée veux-tu me parler ?
- Mathilde voudrait t’inviter à passer quelques jours au haras. Je lui ai parlé
de toi cette nuit…
- Cette nuit ?
- Euh, oui !
- Tu as couché avec elle ?
- Oui, un peu !
- Comment cela un peu !!!
- Tu sais c’est une femme très puissante. Elle a exigé que je la pénètre devant
son esclave de mari. Mais ensuite nous avons parlé de toi.
- De moi ?!
- Oui Mathilde voulait savoir comment tu étais arrivée à soumettre ton mari.
Elle voudrait discuter avec toi.
- Discuter de quoi ? Je n’ai pas de conseils à lui donner ?
- Viens et tu verras.
Lisa était troublée par ce que lui disait son ancien amant. Non pas qu’il est couché
avec une autre femme. Mais bien qu’il ait parlé d’elle avec une femme qui comme elle a
castré son mari pour en faire un esclave. Une femme gynarchique. Lorsque Nils a
prononcé ce mot devant elle, Lisa a frissonné sans savoir pourquoi. Elle ressent à
nouveau ce frisson.
- D’accord. Quand voudrait-elle que je vienne ?
- Pourquoi pas aujourd’hui…
La voilà dans le train. Sa vie bascule sur une trajectoire totalement incertaine et
différente. Aurait-elle pu imaginer de vivre tout cela, il y a encore quelques
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