Pola la lopette - percée et tatouée
Récit érotique écrit par Wlad [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Pola la lopette - percée et tatouée
ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS
Chapitre 5 :Percée et tatouée!
Pola est de nouveau presque toute nue. En soutien-gorge et porte-jarretelles et bas, elle exhibe sa cage de chasteté.
- Mets tes mains derrière le dos afin de ne rien cacher. Tu dois toujours montrer ce que tu es.
- Oui Maîtresse.
Le jeune homme de tout à l’heure entre et s’arrête un moment pour regarder pola.
- Tu as changé de lope, ma chérie ? dit-il en embrassant Lisa.
- Oui ! Cette fois je te présente pola. C’est mon ex-mari.
- Ah ! Ca y est, tu t’es décidée ! Très bien. Bonjour pola. Je vois que tu as déjà ta cage. Lisa m’a souvent parlé de ta nouille molle. Je vois en effet qu’il fallait la mettre en cage. C’est la meilleure manière de bien la voir.
Il éclata de rire ainsi que Lisa.
- Allez viens ici. Couche-toi ici.
Il désigne à pola un fauteuil de dentiste.
- Bien ! Alors que faut-il lui faire à la chérie ?
- Je veux un Prince-Albert avec un anneau derrière les couilles et des mamelons. Un code barre sur le pubis et un logo entre les reins.
- Super. Je vais chercher les modèles. Il me faut le code barre et le logo.
- Pour le logo, le voilà. Pour le code barre, tu peux me faire une inscription sur le registre ?
- Pas de problème. Je reviens avec le micro.
- Tu vas voir Yann est un artiste. Tu vas avoir le gland de ta nouille percé et un anneau sera placé dedans. Tes seins vont recevoir aussi un anneau.
- Mais Maîtresse ! Cela doit être très douloureux sur le zizi !
- Oui peut-être mais cela ne fait rien, n’est-ce pas ?
- …
- N’est-ce pas ???
- Non … Maîtresse !
Yann revient. Il pose un ordinateur portable sur la tablette et tape pendant un instant. En attendant une réponse de l’ordinateur, il montre à Lisa des modèles d’anneaux.
- Je veux ceux-là pour les seins et celui-là semble bien pour le P.A., non ?
- Pour les seins, tu veux lui éclater les tétons ?
- Oui !
- Alors c’est très bien. Pour le P.A., il faudrait que je vois l’engin, de plus près.
Lisa actionne le code d’ouverture du cadenas et laisse Yann retirer la cage. Pola se laisse faire, sans résistance. Elle a posé ses mollets sur les bras du fauteuil. Elle est devant cet homme, les cuisses ouvertes et offertes. Elle se laisse toucher le zizi par un étranger. Après Nelly, la vendeuse du sex-shop, c’est maintenant Yann qui la touche. Tout le monde peut la tripoter ! D’ailleurs ce n’est pas désagréable de se faire toucher le zizi par un homme !
- Oui ! Je vois ! Cela va convenir parfaitement. La sécurité sera totale, je peux te l’assurer. Il…
- Elle !
- Elle va avoir un peu mal quand je percerai mais à part cela, tout ira très bien. Je suis sur le site. Tu veux bien entrer les différents éléments pour avoir le code. Moi, je vais commencer par le gland.
Lisa se met à l’ordinateur et commence à taper sur les touches de manière régulière. Pola ne quitte pas des yeux Yann. Il attache pola avec des sangles puis retrousse le gland et le désinfecte.
- Je vais te faire mal mais cela va être très rapide. Un conseil, ne regarde pas. Je t’explique ce que je vais faire. Je vais passer cette aiguille dans ton trou à pipi et ressortir sous le gland par derrière en perçant le canal urinaire. C’est là que cela fait un peu mal. Avant, je vais t’injecter un anesthésiant local. Tu es prête ?
- Oui Monsieur !
- Lisa, dès que tu as le code tu l’imprimes, s’il te plaît !
Lisa répond d’un hochement de tête. Pola, un instant distraite par ce que faisait Lisa, sent tout à coup une douleur aiguë.
- Voilà, tu vois. Tu es percée ! Maintenant l’anneau…. Voilà. C’est fait. Regarde tu as un bel anneau sur ton zizi.
Pola regarde son zizi. Il saigne un peu et un gros anneau lui transperce le gland.
- pola pourra faire … pipi normalement, Monsieur ?
- Oui pola, tu pourras faire normalement. Pendant trois semaines, tu dois être désinfectée deux fois par jour et tu dois faire tourner l’anneau régulièrement aussi souvent que tu peux le faire. C’est pour éviter qu’il colle à la plaie et qu’elle s’infecte. Si tu fais bien, le trou sera très beau et très propre. Pour les seins et le périnée, ce sera pareil !
- Voilà Yann, j’ai imprimé le code.
Yann prend le code et le pose à côté de lui. Il désinfecte maintenant le téton gauche. La douleur de l’aiguille est plus grande. La douleur reste longtemps et lance. Puis c’est le téton droit qui subit l’outrage du piercing. Pola a les larmes aux yeux mais ne dit rien. Elle sert les dents. Yann lui présente enfin un miroir. Pola peut voir deux anneaux assez gros prendre de ses tétons. Pour finir, il perce rapidement la peau du périnée et y pose un dernier anneau plus petit.
- Regarde comme elle est belle maintenant !
Lisa observe pola en souriant.
- Le code est SLRN 491-420-315 ! annonça-t-elle. Désormais tu es fichée et reconnue comme lope soumise castrée. Voilà le code barre.
- Tu veux juste le code ?
- Non mets aussi le matricule au dessus.
- Et pour le logo.
- Regarde !
- Hum ! Joli ! pola sais-tu ce qu’il représente ?
- Non Monsieur !
- Regarde lope tu vas avoir un succès fou avec ça !
Yann lui tend un feuillet sur lequel est dessiné le cul d’un homme dans lequel un bras musclé et poilu est introduit dans son anus jusqu’au milieu de l’avant-bras.
- Tu peux le dessiner ?
- Bien sûr ! Si tu permets, je ferai des photos ensuite et « elle » prendra place dans mon catalogue.
- D’accord mais tu mettras aussi les référence de la lope : son nom et son matricule. Si un client est intéressé, il n’aura qu’à aller sur le Registre et trouvera mes coordonnées.
- C’est une idée géniale. Bon, je me mets au travail. Si tu veux aller faire des courses, reviens dans deux heures. Elle sera prête.
- Ok ! Je vais aller faire les magasins. A toute à l’heure !
Lisa part sans un regard pour pola qui reste attachée à son fauteuil. Yann prépare ses instruments en silence. Pola n’est plus pour lui qu’une toile sur laquelle il va exercer son art. Le temps passe très vite car pola se concentre tant qu’elle peut le faire sur le travail de Yann. Assez rapidement, une série de lettres et de chiffres puis des lignes noires plus ou moins épaisses apparaissent sur son pubis lisse. Yann tire de temps à autre sur la cage de chasteté qu’il a replacé. Il a aussi mis le deuxième cadenas qui fixe le gland de la lopette. Puis il détache pola et la retourne. Cette fois, il ne l’attache pas. Pola se laisse allongée sur la chaise qui vient de se transformer en banquette. Yann reprend son travail. Il dessine maintenant le logo.
Lisa revient au bout de deux heures, les bras chargés de paquets. Elle s’assoit dans le fauteuil et observe en silence. Une jeune femme vient lui apporte un rafraîchissement. Pola se souvient alors qu’elle n’a pas mangé depuis la veille. Son estomac se tord de contractions.
- Voilà ! C’est fait ! annonce Yann.
Lisa se lève et vient admirer le travail.
- Tourne-toi lope !
- Je l’ai placé un peu haut afin qu’il soit visible même si elle doit mettre un maillot ou autre
- Tu es un génie ! Comme toujours, le travail est bien fait. Bravo. Lope, dès que Yann a fini avec les photos, prends la robe rose et habille- toi !
Pola réalise qu’elle va devoir sortir dans la rue en fille. Elle va devoir rentrer chez elle en portant une robe rose.
- Yann, je peux te donner le pantalon et le blouson ?
- Bien sûr ! Je peux les donner à un clodo qui vient quelques fois.
- Absolument. Si cela t’intéresse, j’ai tout une garde-robe à te donner.
- Super, je vais pouvoir habiller mes clodos.
- C’est gentil de faire cela !
- Oui mais j’y gagne. Ils se laissent faire quand j’essaie de nouveaux modèles. Ce sont mes cobayes !
- Tu as le sens du commerce !
Pendant ce temps, pola a remis son soutien gorge et ses bas. Elle enfile sa robe. Yann lui tend des compresses stériles.
- Mets ces compresses sur tes seins. Cela évitera que tu tâches ta robe et la cicatrisation se fera plus vite s’il n’y a pas d’irritations.
Lisa a payé ; Il faut maintenant affronter la sortie. Pola hésite mais Lisa la pousse littéralement dans la rue. Elle est dehors et tout le monde peut la voir en fille. Pourtant, les gens passent sans marquer le moindre étonnement. Rassurée, pola aligne son pas sur celui de sa Maîtresse.
- La journée n’est pas encore finie lopette. Nous allons maintenant chez le notaire. Évidemment, tu n’as pas faim ?
- Non … Maîtresse !
- Je sais que c’est faux mais tu n’as pas le droit de manger à midi.
- Oui Maîtresse, pola le sait.
- Moi, j’ai fait un excellent repas au petit resto en face. Une bonne salade de tomates et de concombres avec des filets de rougets et une crème brûlée. Excellent.
- Oui Maîtresse …
Lisa regarde pola en coin et s’aperçoit que son tourment porte comme elle le voulait. Pola a un visage défait. Elle marche à deux pas derrière elle. Lisa aime de plus en plus cette domination qu’elle ne pensait pas pouvoir mener si loin aussi vite.
Pola a de nouveau une angoisse. C’est vrai qu’une secrétaire a dû mettre son engagement par écrit. Une nouvelle humiliation l’attend sans doute.
L’étude de Maître Brouillard se trouve dans le centre-ville. Les deux femmes sont obligées de traverser toute la zone piétonne. Pola aperçoit quelques regards sur son passage. Elle est rouge de honte mais avance en essayant de ne pas y penser.
- Je crois que tu es repérée lopette ! Regarde les deux mecs là-bas.
Pola tourne la tête dans la direction désignée par sa Maîtresse. Deux jeunes garçons d’environ 15 ans, la montre du doigt en rigolant. Un des garçons sort son téléphone portable et s’approche. Dès qu’il est assez près, il pointe son téléphone vers elle et prend une photo. Puis il part en courant.
- Tu vois, tu es déjà célèbre.
- Oui Maîtresse, murmure pola honteuse.
- Nous voilà arrivées. Entre là.
La porte cochère monumentale, par laquelle elles viennent d’entrer, est entièrement sculptée. Elles pénètrent dans une cour à moitié dans la pénombre. Lisa regarde un instant les boîtes à lettres disposées dans un petit couloir. Elle pointe du doigt un nom et se dirige vers l’entrée d’un immeuble en fond de cour. L’entrée est fraîche. Pola frissonne. Lisa s’arrête devant un ascenseur.
- C’est au troisième, enlève ta robe et prend les escaliers.
- …
pola ne semble pas comprendre. Lisa envoie une paire de claques à pola.
- Puisque tu es conne, enlève ta robe.
Pola retire sa robe et se retrouve dans le hall de l’immeuble en sous vêtements. Elle regarde de tous les côtés, craignant de voir quelqu’un apparaître.
- La prochaine fois, tu réagiras plus vite. Maintenant tu montes à pieds et tant pis pour toi si tu croises quelqu’un. Cela lui fera des souvenirs de voir une fiotte en soutien-gorge avec une cage de chasteté.
- Oui Maîtresse.
Lisa appelle l’ascenseur et regarde pola monter. Quand elle arrive au troisième, pola est devant la porte de l’ascenseur et attend. Elle est essoufflée.
- Tu es montée trop vite !
- Pola avait peur de rencontrer quelqu’un, Maîtresse.
- Peut-être mais il va falloir attendre que tu respires normalement maintenant. Mets-toi à quatre pattes en haut des escaliers et écarte tes fesses.
Pola ne discute pas cette fois, elle se place dans la position voulue et écarte ses fesses. Lentement, sa respiration redevient normale.
- Allez, relève-toi et rhabille-toi.
Pola a, à peine le temps de remettre sa robe que Lisa, déjà, sonne à la porte de Maître Brouillard. Une dame dans la cinquantaine vient ouvrir.
- Bonjour mesdames !
- Bonjour, je viens voir Maître Brouillard.
- Oui, vous avez rendez-vous ?
- Monsieur Nils Saransk a téléphoné ce matin.
- Absolument, vous êtes Madame Fontaine.
- Exactement !
- Veuillez vous donner la peine de passer dans le salon d’attente, Maître Brouillard viendra vous chercher.
- Merci !
Lisa s’avance vers le pièce indiquée par la secrétaire.
- Euh… Excusez-moi Madame mais la femme qui vous accompagne n’est peut être pas habillée correctement…
- Ah bon ?
Pola n’ose se retourner.
- Et, selon vous, comment cette « femme » devrait être vêtue ?
- Je … euh… suppose que le contrat dont parlait Monsieur Saransk concerne cette personne ?
- Tout à fait !
- Dans ce cas, Maître Brouillard ne la recevra que complètement nue !
- Voyez-vous cela !
- Oui Madame, Maître Brouillard n’admet que les personnes de qualité habillées, les autres doivent être totalement nues pour bien montrer leur … soumission.
- Mais dites-moi, je vois que vous êtes très au courant des dossiers de votre patron !
- Que Madame me pardonne mais, je suis la secrétaire lope qui a pris en sténo la confession de cette lope hier soir.
- Ah parfait ! Allez, lope à poils !
Pola, sans rien dire, vaincue par son devenir, ôta sa robe. La secrétaire reste devant elle et observe le déshabillage.
- Maître Brouillard veut les lopes complètement nues !
Pola retira également son soutien gorge, ses bas et ses chaussures.
- Elle ne retirera pas sa cage par contre, je m’y oppose.
- Cela ne sera pas la peine, Madame. La cage est une partie du corps de cette lope, pas un vêtement.
- Nous sommes entièrement d’accord.
La secrétaire disparaît un moment, puis revient avec une cagoule. Elle demande la permission de mettre la cagoule à pola. Visiblement, Lisa n’est pas au courant de ce qui se passe dans cette étude. Néanmoins, elle autorise la pose de la cagoule. C’est une capuche en cuir ne comportant qu’une seule ouverture pour respirer par la bouche. La secrétaire emprisonne la tête de pola et la ferme à l’aide d’une fermeture éclair placée derrière la tête. Pola se sent immédiatement enfermée. Elle ne voit rien. Elle peut cependant respirer normalement grâce à l’ouverture pour la bouche.
- Madame doit ordonner à la lope de se mettre à genoux dans la position d’offrande.
- Bien merci, est-ce tout ? demande Lisa, visiblement irritée au ton de sa voix.
- Oui Madame. J’applique les consignes strictes de Maître…
- Bien merci.
Pola n’entend plus rien. La secrétaire doit être partie. Pola est donc à genoux, les mains paumes vers le haut et les cuisses largement ouvertes. Lisa feuillette un journal dont elle tourne les pages nerveusement.
Le temps passe lentement. Rien ne semble bouger durant un temps très long pour pola. Soudain, une voix forte retentit dans le couloir. Maître Brouillard apparaît enfin dans l’embrasure de la porte.
- Bonjour Madame Fontaine. Veuillez excuser mon retard mais une affaire importante et soudaine s’est présentée. Ah, je vois que la lope est prête.
- Bonjour Maître ! Je suis assez surprise de la manière dont les choses se déroulent.
- Veuillez entrer, s’il vous plait. Suivez-moi. La lope doit rester ici pour le moment.
Lisa se lève et sans un regard pour pola, qui n’a pas bougé, suit le notaire dans son bureau.
- Bonjour, Lisa ! Excuse-moi ce décorum mais nous nous connaissons. Je m’appelle Bernard, sur le site,.
- Bernard ?!! Je comprends mieux maintenant.
- Oui, j’avais demandé à Nils de ne rien dire pour te faire la surprise.
- Et pour une surprise c’en est une ! Bravo. Mais dis-moi, ta secrétaire …
- C’est une lope femelle.
- Une lope femelle ??? Comment cela ?
- Figure-toi que j’ai mis la main sur la seule femme qui a un clitoris aussi gros que le zizi de ta lope.
- Tu es sûr que c’est une femelle ?
- Complètement et gynécologiquement certain. Tu vas d’ailleurs pouvoir en juger par toi-même.
- Ah bon ?
- Oui, je vais la faire venir car elle assiste à tous les actes notariaux SM.
- Mais dis-moi, tu ne l’as jamais montré en cam ?
- Non, justement. Elle s’est donnée complètement à moi et accepte d’être montrée et utilisée par les autres Dominants mais ne veut pas être vue par les inférieurs.
- Pourquoi cela ?
- Tu ne l’as pas reconnue ?
- Non !
- C’est l’ancienne épouse d’un homme politique en exercice. Elle est apparue très souvent avec lui durant ses campagnes et, même si, ils sont divorcés, elle ne veut pas lui faire du tord. Elle me fait confiance et sait que je ne l’exposerais dans sa vraie condition que devant des êtres respectables et sûrs. Par contre, le jour, où son ex sera hors du jeu politique, elle veut être exposée publiquement en affichant sa vraie condition.
- Alors là, tu m’en bouches un coin !
- Hum, j’aimerai bien t’en boucher plusieurs …
- Bernard !!!! Tu sais que je suis avec Nils !
- Oui pardonne-moi ! mais devant tant de beauté, j’ai du mal à résister. Si tu as envie de changer de partenaire, fais-moi signe.
- Je prends note, après tout.
- Très bien. Bon, on a du travail.
Bernard attrape un cordon dissimulé derrière le rideau de la fenêtre. Quelques instants après, la secrétaire entre.
- Maître ?
- Entre Caroline. Lisa désire s’asseoir.
- Oui Maître.
Caroline se met à quatre pattes et se présente derrière Lisa. Elle baisse la tête et attend. Bernard fait signe à Lisa de s’asseoir sur Caroline. Lisa s’installe en hésitant. Le dos de la secrétaire est très confortable. Caroline se cambre pour offrir le maximum de bien-être à la cliente de son Maître.
- Tu vois Caroline est bien dressée. Avant que je fasse entrer la lope, tu vas pouvoir vérifier ce que je te disais à propos de cette chienne. Si tu arrives à la faire bander, elle est à toi.
- A moi ?
- Oui, absolument. Tu pourras en disposer le temps que tu veux pour ce que tu veux. Caroline n’a aucun tabou. N’est-ce pas chienne.
- Oui Maître. La chienne accepte de tout faire aux Maîtres et aux Maîtresses à qui elle est offerte. Que Maîtresse demande ce qu’elle veut.
- Mais seulement si tu l’as fait bander.
- Elle bande en plus ?
- Oui, elle un clitoris aussi gros que le zizi de pola d’après ce que j’ai vu hier soir. Mais elle ne bande pas facilement. Il va falloir que tu la travailles. Si tu t’y prends bien, tu verras le résultat. Pendant ce temps, je vais m’amuser avec ta lope. Tu sais que cela fait partie de la signature du contrat.
- D’accord, cela me va. Évidemment, je peux faire ce que je veux pour la faire bander.
- Elle est à toi durant tout le temps de la séance avec pola. Si tu n’y arrives pas quand moi j’ai fini c’est perdu.
- Le jeu me plait et le risque de gain est bien plus intéressant que les risques de perte qui sont presque nuls.
- Je suis bien d’accord.
Bernard se lève et disparaît. Lisa reste un moment immobile sur caroline. Caroline est vêtue d’une jupe noire plissée assez courte et d’un chemisier blanc boutonné dans le dos. Lisa commence à déboutonner le haut. Caroline reste parfaitement immobile et silencieuse. Le chemisier, une fois libéré de ses boutons, tombe sur les mains de caroline. Lisa passe une main sur le dos de la chienne et la caresse. Elle ne porte pas de soutien-gorge malgré une poitrine généreuse. Elle sent la peau de sa « chaise » se hérisser. Caroline a la chair de poule. Il ne fait pas froid dans le bureau. C’est plus sûrement dû au plaisir de la caresse douce. Lisa, encouragée par la réaction de la secrétaire, poursuit ses caresses et glisse sa main sur le flanc droit. Puis, lentement elle se rapproche de la poitrine. Caroline ne réagit toujours pas mais, Lisa sent la pointe de son téton droit se durcir au passage de sa main. La femme aime les caresses de Lisa. La Maîtresse observe la nuque de la femme. Elle a les cheveux grisonnants. Sa peau est chaude et lisse mais l’âge a marqué son passage sur sa peau sur laquelle on peut lire de minuscules rides. La femme prend soin de son corps. Il est parfumé. Elle fait aussi du sport car, elle ne me semble pas faiblir sous le poids de Lisa. Elle quitte la poitrine pour revenir aux épaules et aux avant bras. Ils sont musclés. Pendant un long moment, Lisa ignore les parties sensuelles de la chienne et la caresse sur tout le haut du corps qui lui est accessible.
Pendant ce temps, Bernard a rejoint pola. Il commence par la fouetter avec sa ceinture. Il aime quand les fesses des lopes sont écarlates. Aussi, il frappe le dos, les cuisses. Tout l’arrière de la lope est rouge et boursouflé. Pola gémit doucement car au premier cri, Bernard a redoublé de force. Pola a vite compris qu’elle devait subir en silence. Il lui ordonne de se mettre sur le dos et d’écarter les cuisses pour s’offrir. Pola en frémissant, obéit. La séance de fouet continue. Bernard a maintenant une badine. Les coups sont plus précis et laissent des marques fines qui gonflent très vite. Certaines se mettent à saigner. Bernard évite cependant de frapper près des testicules car il ne veut pas estropier la lope. Elle doit seulement penser qu’à tout moment, elle subira la douleur suprême. Bernard s’applique dont à porter des coups très précis et le plus près possible de la cage de chasteté. Le torse, la poitrine de pola ne sont plus que stries écarlates. Les cuisses prennent vite une belle couleur carmin. En lui même Bernard est épaté par l’obéissance de pola. Il cesse enfin et va s’asseoir dans un fauteuil. Il observe la lope qui pleure en silence tout en gardant les cuisses ouvertes. La position est pitoyable et humiliante mais pola ne semble plus craindre cette humiliation. Elle est brisée. C’est que cherchait Bernard. Il n’oublie pas son rôle de notaire. Il doit s’assurer que la motivation de la lope est suffisante pour respecter les clauses du contrat qu’elle va signer dans un moment. pola a, elle-même, mis la barre très haut dans sa confession d’hier soir. Bernard veut que tout soit en ordre et la correction qu’elle vient de subir semble de bon augure. Il se lève et oblige la lope à le suivre à quatre pattes.
Lisa est revenue maintenant à la poitrine de la secrétaire. Les tétons sont très durs et pointus. La femme apprécie les caresses. Lisa s’applique à bien remonter les seins sous sa main. Elle s’est mise à califourchon sur elle afin de s’occuper des deux nichons en même temps. Elle synchronise ses mouvements. Caroline gémit doucement. Lisa se tourne. Elle est désormais assise vers son cul. Elle commence par remonter lentement la jupe. Les fesses apparaissent rondes et nues. Caroline, comme toute lope et toute soumise, ne porte pas de culotte non plus. Lisa l’envie presque de pouvoir s’abandonner ainsi et de ne porter que les vêtements que son Maître lui impose. Lisa pense à Nils qui est beaucoup plus dominateur qu’elle. Elle se prend à s’imaginer à la place de Caroline, soumise et obéissante. A cette pensée, elle sent son sexe se tremper. Serait-elle, elle aussi, une soumise ? Elle caresse les deux lobes fessiers en s’appliquant toujours à bien caresser les deux fesses de la même manière et dans le même temps. Elle se rapproche tout doucement de la fente. Ses caresses sont circulaires et lentes. Parfois proche de la raie culière, elle s’éloigne aussitôt pour aller caresser les flancs de la chienne. Puis elle revient. L’antre est proche et la fente est chaude. Lisa sent que Caroline essaie de s’ouvrir pour hâter le contact des mains de Lisa sur son anus. Lisa sourit car elle sent qu’elle va gagner. Caroline aime sentir cette femme sur elle et elle veut qu’elle aille plus loin. Lisa décide de porter un coup décisif pour vérifier son hypothèse. Sans préambule, elle écarte d’une main, la fesse gauche et de l’autre main, elle caresse directement l’anus. Caroline réagit immédiatement. Elle pousse sur son anus pour l’ouvrir. Elle accepte la caresse et la réclame même. Lisa sait qu’elle va faire bander la chienne qui est sous elle.
Bernard entre dans la pièce où sont les deux femmes. Il observe un moment et sourit lui aussi. Caroline est chaude à souhait. Bernard connaît bien l’attitude de sa chienne quand elle a les cuisses ouverte et que sa bouche est aussi largement ouverte. Caroline ne sait pas ouvrir son cul sans ouvrir aussi la bouche. Pola le suit en tâtonnant car elle est toujours encagoulée. Bernard retire son pantalon. Lisa peut alors observer un sexe encore plus impressionnant que celui de Nils. Bernard est monté comme un cheval. Sa queue est longue et très grosse. Cela paraît presque incroyable. Lisa mouille de plus belle. Elle se penche en avant et laisse tomber un jet de salive entre les fesses de Caroline. Celle-ci réagit tout de suite
- Oui Maîtresse !
Bernard fronce les sourcils car normalement Caroline n’encourage jamais de la voix. Il faut que Lisa ait été particulièrement habille. Il attire pola contre lui en la mettant à genoux devant lui. La vue de Lisa et Caroline l’excite beaucoup. Il ordonne à pola de le sucer. Pola a du mal à le prendre en bouche et dès qu’il bande, la difficulté augmente. Pola n’a jamais pris en bouche un sexe avant de sucer Nils. Mais c’était toujours pour le nettoyer pas pour le sucer. Bernard la guide par de petits conseils tout en observant les deux femmes.
Lisa a enfoncé un doigt puis deux dans le cul de caroline qui gémit toujours très doucement. Lisa sent que la vieille femelle s’ouvre et en demande toujours plus. C’est maintenant trois doigts qui entrent et sortent de son trou merdique. Lisa utilise sa main gauche pour porter son estocade. Elle descend le long du périnée et arrive jusqu’à la fente vaginale. Elle la caresse. Caroline est toute lisse. Elle écarte les lèvres. Caroline est toute mouillée. Surprise ! Lisa sent un gros bouton dur qui se dresse devant elle. Elle enfonce un quatrième doigt dans le cul de la chienne et prend le gros bouton entre son pouce et son index. Elle pince et roule le bouton entre ses doigts. Caroline perd les pédales. Elle ouvre complètement son anus au point que Lisa enfonce lentement sa main dans le trou. Le pouce vient de disparaître et la poignet se rapproche de plus en plus du trou.
-Oui Maîtresse toute la Main Maîtresse, bien au fond… Oui pincez plus fort s’il vous plait !!
Bernard, qui bande comme un taureau furieux, n’en revient pas. Il n’a jamais vu et entendu caroline dire cela. Même avec lui. Il semble que Lisa soit une femme et une amante exceptionnelle. La décision de Bernard est prise. Il doit voir avec Nils si il existe un moyen d’avoir cette femme. Il ordonne à pola de se tourner pour lui offrir sa chatte anale. Il prend un tube de lubrifiant et enduit l’anus d’une grosse noisette de vaseline. Avec son doigt, en imitant Lisa, il ouvre le trou et le graisse. Pola, elle aussi, s’ouvre et s’offre. C’est bien une lope qui n’attend qu’une chose : se faire enculer. Le trou étant bien luisant et ouvert, Bernard s’agenouille derrière sa proie, place son gland devant le trou et appuie. Il progresse lentement car il sait qu’il a un monstre entre les cuisses et que pola n’est pas encore habituée à recevoir si gros. Il avance millimètre après millimètre. Pola gémit car elle vient de comprendre que le Maître avait une grosse queue. Mais Bernard a l’habitude et reste prudent. Il fait des poses, ressort puis revient à l’attaque. La chatte de pola est prometteuse. Bernard sait qu’il pourra l’enfoncer complètement en elle.
Lisa a maintenant sa main droite entièrement dans la fente anale de Caroline. Dans sa main gauche, le clitoris, mis à mal par les tenailles de la Maîtresse, vient de grandir tout à coup. Chaque fois qu’elle donne un coup de poignet dans l’anus pour s’enfoncer encore et encore, le clitoris grandit un peu plus. Il doit bien faire maintenant 3 cm. Il grandit toujours. Lisa a désormais assez de longueur pour le masturber comme elle faisait avant avec le zizi de pola. Elle entame un lent va-et-vient sur le clitoris de la secrétaire. Cette caresse déclenche chez caroline une litanie crescendo. Plus elle crie, plus le clitoris grandit. Il fait maintenant 5 cm. Lisa a un vrai petit pénis dans sa main. Elle continue à masturber le zizi femelle. Caroline encourage sa Maîtresse à continuer.
Bernard est au fond. Ses couilles cognent contre les fesses de la lope. Il entame à son tour le va-et-vient qui va le conduire à l’extase. Il apprécie toujours autant de faire l’amour à une lope. Les culs des lopes sont différents de ceux des femelles. La femelle n’apprécie pas toujours cette pénétration. Elle préfère être prise par devant. Même les femelles comme Caroline, qui pourtant est très anale, accepte son Maître mais sans y prendre tout le plaisir qu’il voudrait lui donner. Elle n’a jamais joui du cul. Alors que les lopes qui sont privées de jouissance se donnent complètement et la copulation est une extase sans fond. Bernard se laisse aller à la jouissance totale. Il entend Caroline qui s’abandonne comme jamais elle ne l’a fait. Lisa est la première femme qui fait vraiment bander Caroline, bander à la faire jouir. C’est d’ailleurs ce qui arrive à l’instant. Caroline part dans un long râle et son corps est secoué de puissants soubresauts. Lisa a du mal à rester sur elle. Lisa se soulève et laisse caroline s’allonger sur le côté. Elle tient la main de sa Maîtresse fermement coincée en elle. Lle a contracté ses sphincters. Lisa se demande ce qu’elle veut faire ainsi. C’est Bernard qui lui vient en aide.
- Laisse là se retourner, elle veut te montrer quelque chose.
Lisa accompagne le mouvement de Caroline. Sa main se retrouve un peu tordue sous la chienne qui, avec des mouvements souples, arrive à passer une jambe par-dessus Lisa. Elle est maintenant allongée sur le dos. Elle écarte ses cuisses. Lisa est entre ses jambes, sa main profondément enfoncée dans son cul. Là, elle assiste à la scène la plus belle qu’elle n’est jamais vue. Caroline offre à sa Maîtresse un pénis parfaitement bandé.
- Maîtresse, Vous êtes la seule personne en dehors de Maître qui me fasse autant bander. Je Vous appartiens désormais pour le temps que Vous voulez.
Caroline se tourne vers Bernard.
- Maître, Vous aviez bien dit que si quelqu’un d’autre arrivait à me faire bander autant, je lui appartiendrai autant qu’à Vous ?
- Oui Caroline. Désormais et puisque j’ai vu que tu avais même joui plus qu’avec moi, je te donne à Maîtresse Lisa. Si tu veux lui appartenir totalement, tu es libre de choisir.
- Eh attends Bernard. Tu veux dire que tu me donnes Caroline complètement ?
- Oui, si tu en as envie toi aussi, bien sûr. Mais tu devras alors respecter les demandes de Caroline.
Lisa reste sans voix. Elle vient pour faire signer un contrat de lopage définitif et permanent à son ancien mari et se retrouve avec en plus une femelle chienne qui bande et qu’elle fait jouir mieux qu’un homme. Et quel homme !
- Si tu permets, je vais réfléchir !
- A ton aise. Caroline s’est donnée à toi. Tu es libre d’accepter ou de refuser maintenant ou plus tard. Cela ne changera rien pour la chienne qui reste à toi quand tu le veux.
Caroline fixe du regard Lisa. Elle l’implore des yeux tout en sachant que cette attitude est interdite.
Tout en parlant, Bernard, excité par la jouissance de caroline, éjacule longuement en pola. Il est tellement puissant que le sperme ressort en jets du cul de la lope. Bernard ne s’arrête pas de juter en elle. La lope est complètement ouverte et accepte sa queue complètement.
- Tu as aussi une lope extraordinaire. C’est rare qu’une lope débutante arrive à me prendre jusqu’à la racine. Pola est une femelle exceptionnelle.
- Nous voilà avec deux lopes exceptionnelles. Que fait-on ?
Bernard se dégage du cul de la lope et lui ordonne de le nettoyer. Pola obéit et s’applique à faire son travail avec minutie. Quand Maître Nils l’a fécondée, c’était merveilleux. Mais avec Maître Bernard elle était au paradis !
Lisa retire doucement sa main du cul de caroline. La femme gémit. Son anus reste ouvert. Son clitoris débande doucement.
Bernard appelle Caroline qui vient se mettre derrière la lope et qui se met à lécher tout le sperme qui est ressorti et qui a coulé le long de ses cuisses. Quand elle a tout nettoyé, elle vient sur l’anus et enfonce sa langue dans le trou puis elle aspire afin de récupérer autant de sperme qu’elle peut et qu’elle avale aussitôt. Laissant les deux lopes, Bernard, le sexe toujours aussi grand et bandé, prend la main de Lisa et l’entraîne dans la pièce à côté.
- Assieds-toi, dit-il, tout en nouant un pagne autour de sa taille. Puis il prend un siège. Caroline n’a jamais joui comme cela avant. Tu dois la prendre avec toi. Je suis un peu jaloux mais je veux que Caroline soit heureuse et elle le sera avec toi.
- Mais ce que tu me demandes est impossible. Je suis avec Nils. Pola doit être notre soubrette. Je n’ai pas la place de prendre Caroline avec moi.
- Et si je garde pola ?
- Tu veux garder pola ? pourquoi ?
- Je préfère depuis longtemps les lopes comme elle. Elle ont la chatte plus accueillante pour moi. Tu as vu comme je suis monté. Pola a tout pris assez facilement et elle a mouillé de me recevoir. Caroline ne l’a pas vu mais pola a éjaculé sous elle. Je te propose un échange : Caroline contre pola. On signe dès ce soir les contrats. Celui de pola est prêt. C’est caroline qui l’a tapé. Celui de caroline est prêt depuis longtemps car je savais qu’un jour, je trouverais quelqu’un qui la rendrait heureuse.
- Mais je ne suis pas lesbienne !
- Tu rigoles. Tu n’as pas vu la manière dont tu la caressais. Tu es une superbe lesbienne. Et avec elle tu n’auras pas besoin de gode en latex. Elle te donnera son pénis chaque fois que tu le voudras.
Lisa est troublée par les paroles de Bernard. C’est vrai qu’elle a aimé et joui de voir Caroline se donner à elle. Elle a encore la chatte toute trempée. Mais elle aime bien aussi les beaux membres mâles. Elle aime beaucoup Nils qui la traite parfois comme une soumise. Et Bernard n’est pas mal non plus. Mais elle n’ose pas lui dire.
- Et … Nils … dans tout ça ?
- Nils ? Que crois-tu qu’il fasse en ce moment.
- Il est sur la route.
- Erreur ma belle.
A ce moment là, une porte s’ouvre et Nils entre. Il est vêtu d’un peignoir et tient en laisse une jeune femme asiatique. La laisse ne part pas du collier en métal large qu’elle porte au cou mais de son sexe.
- Nils ???!!
- Bonsoir Lisa. Je ne suis pas sur la route en effet.
- Mais … Je ne comprends pas !
- Je crois que je te dois quelques explications.
Lisa est complètement désorientée. La tête lui tourne. Elle a l’impression d’être spectatrice d’un film. Devant elle, plusieurs personnes sont présentes. Un notaire en pagne mais dont le sexe trahit sa présence par une boule gigantesque, un amant en peignoir tenant une superbe créature nue en laisse, un ex-mari habillé en femme et à quatre pattes entrain de se faire lécher l’anus par une femme de cinquante ans qui bande comme un petit homme et qui veut lui appartenir.
- Si nous buvions quelque chose de fort ?
Bernard Brouillard, notaire de son état et grand pourfendeur d’anus, sent que Lisa est déboussolée. Il essaie de détendre l’atmosphère car il remarque que Nils ne semble guère plus à son aise.
Chapitre 5 :Percée et tatouée!
Pola est de nouveau presque toute nue. En soutien-gorge et porte-jarretelles et bas, elle exhibe sa cage de chasteté.
- Mets tes mains derrière le dos afin de ne rien cacher. Tu dois toujours montrer ce que tu es.
- Oui Maîtresse.
Le jeune homme de tout à l’heure entre et s’arrête un moment pour regarder pola.
- Tu as changé de lope, ma chérie ? dit-il en embrassant Lisa.
- Oui ! Cette fois je te présente pola. C’est mon ex-mari.
- Ah ! Ca y est, tu t’es décidée ! Très bien. Bonjour pola. Je vois que tu as déjà ta cage. Lisa m’a souvent parlé de ta nouille molle. Je vois en effet qu’il fallait la mettre en cage. C’est la meilleure manière de bien la voir.
Il éclata de rire ainsi que Lisa.
- Allez viens ici. Couche-toi ici.
Il désigne à pola un fauteuil de dentiste.
- Bien ! Alors que faut-il lui faire à la chérie ?
- Je veux un Prince-Albert avec un anneau derrière les couilles et des mamelons. Un code barre sur le pubis et un logo entre les reins.
- Super. Je vais chercher les modèles. Il me faut le code barre et le logo.
- Pour le logo, le voilà. Pour le code barre, tu peux me faire une inscription sur le registre ?
- Pas de problème. Je reviens avec le micro.
- Tu vas voir Yann est un artiste. Tu vas avoir le gland de ta nouille percé et un anneau sera placé dedans. Tes seins vont recevoir aussi un anneau.
- Mais Maîtresse ! Cela doit être très douloureux sur le zizi !
- Oui peut-être mais cela ne fait rien, n’est-ce pas ?
- …
- N’est-ce pas ???
- Non … Maîtresse !
Yann revient. Il pose un ordinateur portable sur la tablette et tape pendant un instant. En attendant une réponse de l’ordinateur, il montre à Lisa des modèles d’anneaux.
- Je veux ceux-là pour les seins et celui-là semble bien pour le P.A., non ?
- Pour les seins, tu veux lui éclater les tétons ?
- Oui !
- Alors c’est très bien. Pour le P.A., il faudrait que je vois l’engin, de plus près.
Lisa actionne le code d’ouverture du cadenas et laisse Yann retirer la cage. Pola se laisse faire, sans résistance. Elle a posé ses mollets sur les bras du fauteuil. Elle est devant cet homme, les cuisses ouvertes et offertes. Elle se laisse toucher le zizi par un étranger. Après Nelly, la vendeuse du sex-shop, c’est maintenant Yann qui la touche. Tout le monde peut la tripoter ! D’ailleurs ce n’est pas désagréable de se faire toucher le zizi par un homme !
- Oui ! Je vois ! Cela va convenir parfaitement. La sécurité sera totale, je peux te l’assurer. Il…
- Elle !
- Elle va avoir un peu mal quand je percerai mais à part cela, tout ira très bien. Je suis sur le site. Tu veux bien entrer les différents éléments pour avoir le code. Moi, je vais commencer par le gland.
Lisa se met à l’ordinateur et commence à taper sur les touches de manière régulière. Pola ne quitte pas des yeux Yann. Il attache pola avec des sangles puis retrousse le gland et le désinfecte.
- Je vais te faire mal mais cela va être très rapide. Un conseil, ne regarde pas. Je t’explique ce que je vais faire. Je vais passer cette aiguille dans ton trou à pipi et ressortir sous le gland par derrière en perçant le canal urinaire. C’est là que cela fait un peu mal. Avant, je vais t’injecter un anesthésiant local. Tu es prête ?
- Oui Monsieur !
- Lisa, dès que tu as le code tu l’imprimes, s’il te plaît !
Lisa répond d’un hochement de tête. Pola, un instant distraite par ce que faisait Lisa, sent tout à coup une douleur aiguë.
- Voilà, tu vois. Tu es percée ! Maintenant l’anneau…. Voilà. C’est fait. Regarde tu as un bel anneau sur ton zizi.
Pola regarde son zizi. Il saigne un peu et un gros anneau lui transperce le gland.
- pola pourra faire … pipi normalement, Monsieur ?
- Oui pola, tu pourras faire normalement. Pendant trois semaines, tu dois être désinfectée deux fois par jour et tu dois faire tourner l’anneau régulièrement aussi souvent que tu peux le faire. C’est pour éviter qu’il colle à la plaie et qu’elle s’infecte. Si tu fais bien, le trou sera très beau et très propre. Pour les seins et le périnée, ce sera pareil !
- Voilà Yann, j’ai imprimé le code.
Yann prend le code et le pose à côté de lui. Il désinfecte maintenant le téton gauche. La douleur de l’aiguille est plus grande. La douleur reste longtemps et lance. Puis c’est le téton droit qui subit l’outrage du piercing. Pola a les larmes aux yeux mais ne dit rien. Elle sert les dents. Yann lui présente enfin un miroir. Pola peut voir deux anneaux assez gros prendre de ses tétons. Pour finir, il perce rapidement la peau du périnée et y pose un dernier anneau plus petit.
- Regarde comme elle est belle maintenant !
Lisa observe pola en souriant.
- Le code est SLRN 491-420-315 ! annonça-t-elle. Désormais tu es fichée et reconnue comme lope soumise castrée. Voilà le code barre.
- Tu veux juste le code ?
- Non mets aussi le matricule au dessus.
- Et pour le logo.
- Regarde !
- Hum ! Joli ! pola sais-tu ce qu’il représente ?
- Non Monsieur !
- Regarde lope tu vas avoir un succès fou avec ça !
Yann lui tend un feuillet sur lequel est dessiné le cul d’un homme dans lequel un bras musclé et poilu est introduit dans son anus jusqu’au milieu de l’avant-bras.
- Tu peux le dessiner ?
- Bien sûr ! Si tu permets, je ferai des photos ensuite et « elle » prendra place dans mon catalogue.
- D’accord mais tu mettras aussi les référence de la lope : son nom et son matricule. Si un client est intéressé, il n’aura qu’à aller sur le Registre et trouvera mes coordonnées.
- C’est une idée géniale. Bon, je me mets au travail. Si tu veux aller faire des courses, reviens dans deux heures. Elle sera prête.
- Ok ! Je vais aller faire les magasins. A toute à l’heure !
Lisa part sans un regard pour pola qui reste attachée à son fauteuil. Yann prépare ses instruments en silence. Pola n’est plus pour lui qu’une toile sur laquelle il va exercer son art. Le temps passe très vite car pola se concentre tant qu’elle peut le faire sur le travail de Yann. Assez rapidement, une série de lettres et de chiffres puis des lignes noires plus ou moins épaisses apparaissent sur son pubis lisse. Yann tire de temps à autre sur la cage de chasteté qu’il a replacé. Il a aussi mis le deuxième cadenas qui fixe le gland de la lopette. Puis il détache pola et la retourne. Cette fois, il ne l’attache pas. Pola se laisse allongée sur la chaise qui vient de se transformer en banquette. Yann reprend son travail. Il dessine maintenant le logo.
Lisa revient au bout de deux heures, les bras chargés de paquets. Elle s’assoit dans le fauteuil et observe en silence. Une jeune femme vient lui apporte un rafraîchissement. Pola se souvient alors qu’elle n’a pas mangé depuis la veille. Son estomac se tord de contractions.
- Voilà ! C’est fait ! annonce Yann.
Lisa se lève et vient admirer le travail.
- Tourne-toi lope !
- Je l’ai placé un peu haut afin qu’il soit visible même si elle doit mettre un maillot ou autre
- Tu es un génie ! Comme toujours, le travail est bien fait. Bravo. Lope, dès que Yann a fini avec les photos, prends la robe rose et habille- toi !
Pola réalise qu’elle va devoir sortir dans la rue en fille. Elle va devoir rentrer chez elle en portant une robe rose.
- Yann, je peux te donner le pantalon et le blouson ?
- Bien sûr ! Je peux les donner à un clodo qui vient quelques fois.
- Absolument. Si cela t’intéresse, j’ai tout une garde-robe à te donner.
- Super, je vais pouvoir habiller mes clodos.
- C’est gentil de faire cela !
- Oui mais j’y gagne. Ils se laissent faire quand j’essaie de nouveaux modèles. Ce sont mes cobayes !
- Tu as le sens du commerce !
Pendant ce temps, pola a remis son soutien gorge et ses bas. Elle enfile sa robe. Yann lui tend des compresses stériles.
- Mets ces compresses sur tes seins. Cela évitera que tu tâches ta robe et la cicatrisation se fera plus vite s’il n’y a pas d’irritations.
Lisa a payé ; Il faut maintenant affronter la sortie. Pola hésite mais Lisa la pousse littéralement dans la rue. Elle est dehors et tout le monde peut la voir en fille. Pourtant, les gens passent sans marquer le moindre étonnement. Rassurée, pola aligne son pas sur celui de sa Maîtresse.
- La journée n’est pas encore finie lopette. Nous allons maintenant chez le notaire. Évidemment, tu n’as pas faim ?
- Non … Maîtresse !
- Je sais que c’est faux mais tu n’as pas le droit de manger à midi.
- Oui Maîtresse, pola le sait.
- Moi, j’ai fait un excellent repas au petit resto en face. Une bonne salade de tomates et de concombres avec des filets de rougets et une crème brûlée. Excellent.
- Oui Maîtresse …
Lisa regarde pola en coin et s’aperçoit que son tourment porte comme elle le voulait. Pola a un visage défait. Elle marche à deux pas derrière elle. Lisa aime de plus en plus cette domination qu’elle ne pensait pas pouvoir mener si loin aussi vite.
Pola a de nouveau une angoisse. C’est vrai qu’une secrétaire a dû mettre son engagement par écrit. Une nouvelle humiliation l’attend sans doute.
L’étude de Maître Brouillard se trouve dans le centre-ville. Les deux femmes sont obligées de traverser toute la zone piétonne. Pola aperçoit quelques regards sur son passage. Elle est rouge de honte mais avance en essayant de ne pas y penser.
- Je crois que tu es repérée lopette ! Regarde les deux mecs là-bas.
Pola tourne la tête dans la direction désignée par sa Maîtresse. Deux jeunes garçons d’environ 15 ans, la montre du doigt en rigolant. Un des garçons sort son téléphone portable et s’approche. Dès qu’il est assez près, il pointe son téléphone vers elle et prend une photo. Puis il part en courant.
- Tu vois, tu es déjà célèbre.
- Oui Maîtresse, murmure pola honteuse.
- Nous voilà arrivées. Entre là.
La porte cochère monumentale, par laquelle elles viennent d’entrer, est entièrement sculptée. Elles pénètrent dans une cour à moitié dans la pénombre. Lisa regarde un instant les boîtes à lettres disposées dans un petit couloir. Elle pointe du doigt un nom et se dirige vers l’entrée d’un immeuble en fond de cour. L’entrée est fraîche. Pola frissonne. Lisa s’arrête devant un ascenseur.
- C’est au troisième, enlève ta robe et prend les escaliers.
- …
pola ne semble pas comprendre. Lisa envoie une paire de claques à pola.
- Puisque tu es conne, enlève ta robe.
Pola retire sa robe et se retrouve dans le hall de l’immeuble en sous vêtements. Elle regarde de tous les côtés, craignant de voir quelqu’un apparaître.
- La prochaine fois, tu réagiras plus vite. Maintenant tu montes à pieds et tant pis pour toi si tu croises quelqu’un. Cela lui fera des souvenirs de voir une fiotte en soutien-gorge avec une cage de chasteté.
- Oui Maîtresse.
Lisa appelle l’ascenseur et regarde pola monter. Quand elle arrive au troisième, pola est devant la porte de l’ascenseur et attend. Elle est essoufflée.
- Tu es montée trop vite !
- Pola avait peur de rencontrer quelqu’un, Maîtresse.
- Peut-être mais il va falloir attendre que tu respires normalement maintenant. Mets-toi à quatre pattes en haut des escaliers et écarte tes fesses.
Pola ne discute pas cette fois, elle se place dans la position voulue et écarte ses fesses. Lentement, sa respiration redevient normale.
- Allez, relève-toi et rhabille-toi.
Pola a, à peine le temps de remettre sa robe que Lisa, déjà, sonne à la porte de Maître Brouillard. Une dame dans la cinquantaine vient ouvrir.
- Bonjour mesdames !
- Bonjour, je viens voir Maître Brouillard.
- Oui, vous avez rendez-vous ?
- Monsieur Nils Saransk a téléphoné ce matin.
- Absolument, vous êtes Madame Fontaine.
- Exactement !
- Veuillez vous donner la peine de passer dans le salon d’attente, Maître Brouillard viendra vous chercher.
- Merci !
Lisa s’avance vers le pièce indiquée par la secrétaire.
- Euh… Excusez-moi Madame mais la femme qui vous accompagne n’est peut être pas habillée correctement…
- Ah bon ?
Pola n’ose se retourner.
- Et, selon vous, comment cette « femme » devrait être vêtue ?
- Je … euh… suppose que le contrat dont parlait Monsieur Saransk concerne cette personne ?
- Tout à fait !
- Dans ce cas, Maître Brouillard ne la recevra que complètement nue !
- Voyez-vous cela !
- Oui Madame, Maître Brouillard n’admet que les personnes de qualité habillées, les autres doivent être totalement nues pour bien montrer leur … soumission.
- Mais dites-moi, je vois que vous êtes très au courant des dossiers de votre patron !
- Que Madame me pardonne mais, je suis la secrétaire lope qui a pris en sténo la confession de cette lope hier soir.
- Ah parfait ! Allez, lope à poils !
Pola, sans rien dire, vaincue par son devenir, ôta sa robe. La secrétaire reste devant elle et observe le déshabillage.
- Maître Brouillard veut les lopes complètement nues !
Pola retira également son soutien gorge, ses bas et ses chaussures.
- Elle ne retirera pas sa cage par contre, je m’y oppose.
- Cela ne sera pas la peine, Madame. La cage est une partie du corps de cette lope, pas un vêtement.
- Nous sommes entièrement d’accord.
La secrétaire disparaît un moment, puis revient avec une cagoule. Elle demande la permission de mettre la cagoule à pola. Visiblement, Lisa n’est pas au courant de ce qui se passe dans cette étude. Néanmoins, elle autorise la pose de la cagoule. C’est une capuche en cuir ne comportant qu’une seule ouverture pour respirer par la bouche. La secrétaire emprisonne la tête de pola et la ferme à l’aide d’une fermeture éclair placée derrière la tête. Pola se sent immédiatement enfermée. Elle ne voit rien. Elle peut cependant respirer normalement grâce à l’ouverture pour la bouche.
- Madame doit ordonner à la lope de se mettre à genoux dans la position d’offrande.
- Bien merci, est-ce tout ? demande Lisa, visiblement irritée au ton de sa voix.
- Oui Madame. J’applique les consignes strictes de Maître…
- Bien merci.
Pola n’entend plus rien. La secrétaire doit être partie. Pola est donc à genoux, les mains paumes vers le haut et les cuisses largement ouvertes. Lisa feuillette un journal dont elle tourne les pages nerveusement.
Le temps passe lentement. Rien ne semble bouger durant un temps très long pour pola. Soudain, une voix forte retentit dans le couloir. Maître Brouillard apparaît enfin dans l’embrasure de la porte.
- Bonjour Madame Fontaine. Veuillez excuser mon retard mais une affaire importante et soudaine s’est présentée. Ah, je vois que la lope est prête.
- Bonjour Maître ! Je suis assez surprise de la manière dont les choses se déroulent.
- Veuillez entrer, s’il vous plait. Suivez-moi. La lope doit rester ici pour le moment.
Lisa se lève et sans un regard pour pola, qui n’a pas bougé, suit le notaire dans son bureau.
- Bonjour, Lisa ! Excuse-moi ce décorum mais nous nous connaissons. Je m’appelle Bernard, sur le site,.
- Bernard ?!! Je comprends mieux maintenant.
- Oui, j’avais demandé à Nils de ne rien dire pour te faire la surprise.
- Et pour une surprise c’en est une ! Bravo. Mais dis-moi, ta secrétaire …
- C’est une lope femelle.
- Une lope femelle ??? Comment cela ?
- Figure-toi que j’ai mis la main sur la seule femme qui a un clitoris aussi gros que le zizi de ta lope.
- Tu es sûr que c’est une femelle ?
- Complètement et gynécologiquement certain. Tu vas d’ailleurs pouvoir en juger par toi-même.
- Ah bon ?
- Oui, je vais la faire venir car elle assiste à tous les actes notariaux SM.
- Mais dis-moi, tu ne l’as jamais montré en cam ?
- Non, justement. Elle s’est donnée complètement à moi et accepte d’être montrée et utilisée par les autres Dominants mais ne veut pas être vue par les inférieurs.
- Pourquoi cela ?
- Tu ne l’as pas reconnue ?
- Non !
- C’est l’ancienne épouse d’un homme politique en exercice. Elle est apparue très souvent avec lui durant ses campagnes et, même si, ils sont divorcés, elle ne veut pas lui faire du tord. Elle me fait confiance et sait que je ne l’exposerais dans sa vraie condition que devant des êtres respectables et sûrs. Par contre, le jour, où son ex sera hors du jeu politique, elle veut être exposée publiquement en affichant sa vraie condition.
- Alors là, tu m’en bouches un coin !
- Hum, j’aimerai bien t’en boucher plusieurs …
- Bernard !!!! Tu sais que je suis avec Nils !
- Oui pardonne-moi ! mais devant tant de beauté, j’ai du mal à résister. Si tu as envie de changer de partenaire, fais-moi signe.
- Je prends note, après tout.
- Très bien. Bon, on a du travail.
Bernard attrape un cordon dissimulé derrière le rideau de la fenêtre. Quelques instants après, la secrétaire entre.
- Maître ?
- Entre Caroline. Lisa désire s’asseoir.
- Oui Maître.
Caroline se met à quatre pattes et se présente derrière Lisa. Elle baisse la tête et attend. Bernard fait signe à Lisa de s’asseoir sur Caroline. Lisa s’installe en hésitant. Le dos de la secrétaire est très confortable. Caroline se cambre pour offrir le maximum de bien-être à la cliente de son Maître.
- Tu vois Caroline est bien dressée. Avant que je fasse entrer la lope, tu vas pouvoir vérifier ce que je te disais à propos de cette chienne. Si tu arrives à la faire bander, elle est à toi.
- A moi ?
- Oui, absolument. Tu pourras en disposer le temps que tu veux pour ce que tu veux. Caroline n’a aucun tabou. N’est-ce pas chienne.
- Oui Maître. La chienne accepte de tout faire aux Maîtres et aux Maîtresses à qui elle est offerte. Que Maîtresse demande ce qu’elle veut.
- Mais seulement si tu l’as fait bander.
- Elle bande en plus ?
- Oui, elle un clitoris aussi gros que le zizi de pola d’après ce que j’ai vu hier soir. Mais elle ne bande pas facilement. Il va falloir que tu la travailles. Si tu t’y prends bien, tu verras le résultat. Pendant ce temps, je vais m’amuser avec ta lope. Tu sais que cela fait partie de la signature du contrat.
- D’accord, cela me va. Évidemment, je peux faire ce que je veux pour la faire bander.
- Elle est à toi durant tout le temps de la séance avec pola. Si tu n’y arrives pas quand moi j’ai fini c’est perdu.
- Le jeu me plait et le risque de gain est bien plus intéressant que les risques de perte qui sont presque nuls.
- Je suis bien d’accord.
Bernard se lève et disparaît. Lisa reste un moment immobile sur caroline. Caroline est vêtue d’une jupe noire plissée assez courte et d’un chemisier blanc boutonné dans le dos. Lisa commence à déboutonner le haut. Caroline reste parfaitement immobile et silencieuse. Le chemisier, une fois libéré de ses boutons, tombe sur les mains de caroline. Lisa passe une main sur le dos de la chienne et la caresse. Elle ne porte pas de soutien-gorge malgré une poitrine généreuse. Elle sent la peau de sa « chaise » se hérisser. Caroline a la chair de poule. Il ne fait pas froid dans le bureau. C’est plus sûrement dû au plaisir de la caresse douce. Lisa, encouragée par la réaction de la secrétaire, poursuit ses caresses et glisse sa main sur le flanc droit. Puis, lentement elle se rapproche de la poitrine. Caroline ne réagit toujours pas mais, Lisa sent la pointe de son téton droit se durcir au passage de sa main. La femme aime les caresses de Lisa. La Maîtresse observe la nuque de la femme. Elle a les cheveux grisonnants. Sa peau est chaude et lisse mais l’âge a marqué son passage sur sa peau sur laquelle on peut lire de minuscules rides. La femme prend soin de son corps. Il est parfumé. Elle fait aussi du sport car, elle ne me semble pas faiblir sous le poids de Lisa. Elle quitte la poitrine pour revenir aux épaules et aux avant bras. Ils sont musclés. Pendant un long moment, Lisa ignore les parties sensuelles de la chienne et la caresse sur tout le haut du corps qui lui est accessible.
Pendant ce temps, Bernard a rejoint pola. Il commence par la fouetter avec sa ceinture. Il aime quand les fesses des lopes sont écarlates. Aussi, il frappe le dos, les cuisses. Tout l’arrière de la lope est rouge et boursouflé. Pola gémit doucement car au premier cri, Bernard a redoublé de force. Pola a vite compris qu’elle devait subir en silence. Il lui ordonne de se mettre sur le dos et d’écarter les cuisses pour s’offrir. Pola en frémissant, obéit. La séance de fouet continue. Bernard a maintenant une badine. Les coups sont plus précis et laissent des marques fines qui gonflent très vite. Certaines se mettent à saigner. Bernard évite cependant de frapper près des testicules car il ne veut pas estropier la lope. Elle doit seulement penser qu’à tout moment, elle subira la douleur suprême. Bernard s’applique dont à porter des coups très précis et le plus près possible de la cage de chasteté. Le torse, la poitrine de pola ne sont plus que stries écarlates. Les cuisses prennent vite une belle couleur carmin. En lui même Bernard est épaté par l’obéissance de pola. Il cesse enfin et va s’asseoir dans un fauteuil. Il observe la lope qui pleure en silence tout en gardant les cuisses ouvertes. La position est pitoyable et humiliante mais pola ne semble plus craindre cette humiliation. Elle est brisée. C’est que cherchait Bernard. Il n’oublie pas son rôle de notaire. Il doit s’assurer que la motivation de la lope est suffisante pour respecter les clauses du contrat qu’elle va signer dans un moment. pola a, elle-même, mis la barre très haut dans sa confession d’hier soir. Bernard veut que tout soit en ordre et la correction qu’elle vient de subir semble de bon augure. Il se lève et oblige la lope à le suivre à quatre pattes.
Lisa est revenue maintenant à la poitrine de la secrétaire. Les tétons sont très durs et pointus. La femme apprécie les caresses. Lisa s’applique à bien remonter les seins sous sa main. Elle s’est mise à califourchon sur elle afin de s’occuper des deux nichons en même temps. Elle synchronise ses mouvements. Caroline gémit doucement. Lisa se tourne. Elle est désormais assise vers son cul. Elle commence par remonter lentement la jupe. Les fesses apparaissent rondes et nues. Caroline, comme toute lope et toute soumise, ne porte pas de culotte non plus. Lisa l’envie presque de pouvoir s’abandonner ainsi et de ne porter que les vêtements que son Maître lui impose. Lisa pense à Nils qui est beaucoup plus dominateur qu’elle. Elle se prend à s’imaginer à la place de Caroline, soumise et obéissante. A cette pensée, elle sent son sexe se tremper. Serait-elle, elle aussi, une soumise ? Elle caresse les deux lobes fessiers en s’appliquant toujours à bien caresser les deux fesses de la même manière et dans le même temps. Elle se rapproche tout doucement de la fente. Ses caresses sont circulaires et lentes. Parfois proche de la raie culière, elle s’éloigne aussitôt pour aller caresser les flancs de la chienne. Puis elle revient. L’antre est proche et la fente est chaude. Lisa sent que Caroline essaie de s’ouvrir pour hâter le contact des mains de Lisa sur son anus. Lisa sourit car elle sent qu’elle va gagner. Caroline aime sentir cette femme sur elle et elle veut qu’elle aille plus loin. Lisa décide de porter un coup décisif pour vérifier son hypothèse. Sans préambule, elle écarte d’une main, la fesse gauche et de l’autre main, elle caresse directement l’anus. Caroline réagit immédiatement. Elle pousse sur son anus pour l’ouvrir. Elle accepte la caresse et la réclame même. Lisa sait qu’elle va faire bander la chienne qui est sous elle.
Bernard entre dans la pièce où sont les deux femmes. Il observe un moment et sourit lui aussi. Caroline est chaude à souhait. Bernard connaît bien l’attitude de sa chienne quand elle a les cuisses ouverte et que sa bouche est aussi largement ouverte. Caroline ne sait pas ouvrir son cul sans ouvrir aussi la bouche. Pola le suit en tâtonnant car elle est toujours encagoulée. Bernard retire son pantalon. Lisa peut alors observer un sexe encore plus impressionnant que celui de Nils. Bernard est monté comme un cheval. Sa queue est longue et très grosse. Cela paraît presque incroyable. Lisa mouille de plus belle. Elle se penche en avant et laisse tomber un jet de salive entre les fesses de Caroline. Celle-ci réagit tout de suite
- Oui Maîtresse !
Bernard fronce les sourcils car normalement Caroline n’encourage jamais de la voix. Il faut que Lisa ait été particulièrement habille. Il attire pola contre lui en la mettant à genoux devant lui. La vue de Lisa et Caroline l’excite beaucoup. Il ordonne à pola de le sucer. Pola a du mal à le prendre en bouche et dès qu’il bande, la difficulté augmente. Pola n’a jamais pris en bouche un sexe avant de sucer Nils. Mais c’était toujours pour le nettoyer pas pour le sucer. Bernard la guide par de petits conseils tout en observant les deux femmes.
Lisa a enfoncé un doigt puis deux dans le cul de caroline qui gémit toujours très doucement. Lisa sent que la vieille femelle s’ouvre et en demande toujours plus. C’est maintenant trois doigts qui entrent et sortent de son trou merdique. Lisa utilise sa main gauche pour porter son estocade. Elle descend le long du périnée et arrive jusqu’à la fente vaginale. Elle la caresse. Caroline est toute lisse. Elle écarte les lèvres. Caroline est toute mouillée. Surprise ! Lisa sent un gros bouton dur qui se dresse devant elle. Elle enfonce un quatrième doigt dans le cul de la chienne et prend le gros bouton entre son pouce et son index. Elle pince et roule le bouton entre ses doigts. Caroline perd les pédales. Elle ouvre complètement son anus au point que Lisa enfonce lentement sa main dans le trou. Le pouce vient de disparaître et la poignet se rapproche de plus en plus du trou.
-Oui Maîtresse toute la Main Maîtresse, bien au fond… Oui pincez plus fort s’il vous plait !!
Bernard, qui bande comme un taureau furieux, n’en revient pas. Il n’a jamais vu et entendu caroline dire cela. Même avec lui. Il semble que Lisa soit une femme et une amante exceptionnelle. La décision de Bernard est prise. Il doit voir avec Nils si il existe un moyen d’avoir cette femme. Il ordonne à pola de se tourner pour lui offrir sa chatte anale. Il prend un tube de lubrifiant et enduit l’anus d’une grosse noisette de vaseline. Avec son doigt, en imitant Lisa, il ouvre le trou et le graisse. Pola, elle aussi, s’ouvre et s’offre. C’est bien une lope qui n’attend qu’une chose : se faire enculer. Le trou étant bien luisant et ouvert, Bernard s’agenouille derrière sa proie, place son gland devant le trou et appuie. Il progresse lentement car il sait qu’il a un monstre entre les cuisses et que pola n’est pas encore habituée à recevoir si gros. Il avance millimètre après millimètre. Pola gémit car elle vient de comprendre que le Maître avait une grosse queue. Mais Bernard a l’habitude et reste prudent. Il fait des poses, ressort puis revient à l’attaque. La chatte de pola est prometteuse. Bernard sait qu’il pourra l’enfoncer complètement en elle.
Lisa a maintenant sa main droite entièrement dans la fente anale de Caroline. Dans sa main gauche, le clitoris, mis à mal par les tenailles de la Maîtresse, vient de grandir tout à coup. Chaque fois qu’elle donne un coup de poignet dans l’anus pour s’enfoncer encore et encore, le clitoris grandit un peu plus. Il doit bien faire maintenant 3 cm. Il grandit toujours. Lisa a désormais assez de longueur pour le masturber comme elle faisait avant avec le zizi de pola. Elle entame un lent va-et-vient sur le clitoris de la secrétaire. Cette caresse déclenche chez caroline une litanie crescendo. Plus elle crie, plus le clitoris grandit. Il fait maintenant 5 cm. Lisa a un vrai petit pénis dans sa main. Elle continue à masturber le zizi femelle. Caroline encourage sa Maîtresse à continuer.
Bernard est au fond. Ses couilles cognent contre les fesses de la lope. Il entame à son tour le va-et-vient qui va le conduire à l’extase. Il apprécie toujours autant de faire l’amour à une lope. Les culs des lopes sont différents de ceux des femelles. La femelle n’apprécie pas toujours cette pénétration. Elle préfère être prise par devant. Même les femelles comme Caroline, qui pourtant est très anale, accepte son Maître mais sans y prendre tout le plaisir qu’il voudrait lui donner. Elle n’a jamais joui du cul. Alors que les lopes qui sont privées de jouissance se donnent complètement et la copulation est une extase sans fond. Bernard se laisse aller à la jouissance totale. Il entend Caroline qui s’abandonne comme jamais elle ne l’a fait. Lisa est la première femme qui fait vraiment bander Caroline, bander à la faire jouir. C’est d’ailleurs ce qui arrive à l’instant. Caroline part dans un long râle et son corps est secoué de puissants soubresauts. Lisa a du mal à rester sur elle. Lisa se soulève et laisse caroline s’allonger sur le côté. Elle tient la main de sa Maîtresse fermement coincée en elle. Lle a contracté ses sphincters. Lisa se demande ce qu’elle veut faire ainsi. C’est Bernard qui lui vient en aide.
- Laisse là se retourner, elle veut te montrer quelque chose.
Lisa accompagne le mouvement de Caroline. Sa main se retrouve un peu tordue sous la chienne qui, avec des mouvements souples, arrive à passer une jambe par-dessus Lisa. Elle est maintenant allongée sur le dos. Elle écarte ses cuisses. Lisa est entre ses jambes, sa main profondément enfoncée dans son cul. Là, elle assiste à la scène la plus belle qu’elle n’est jamais vue. Caroline offre à sa Maîtresse un pénis parfaitement bandé.
- Maîtresse, Vous êtes la seule personne en dehors de Maître qui me fasse autant bander. Je Vous appartiens désormais pour le temps que Vous voulez.
Caroline se tourne vers Bernard.
- Maître, Vous aviez bien dit que si quelqu’un d’autre arrivait à me faire bander autant, je lui appartiendrai autant qu’à Vous ?
- Oui Caroline. Désormais et puisque j’ai vu que tu avais même joui plus qu’avec moi, je te donne à Maîtresse Lisa. Si tu veux lui appartenir totalement, tu es libre de choisir.
- Eh attends Bernard. Tu veux dire que tu me donnes Caroline complètement ?
- Oui, si tu en as envie toi aussi, bien sûr. Mais tu devras alors respecter les demandes de Caroline.
Lisa reste sans voix. Elle vient pour faire signer un contrat de lopage définitif et permanent à son ancien mari et se retrouve avec en plus une femelle chienne qui bande et qu’elle fait jouir mieux qu’un homme. Et quel homme !
- Si tu permets, je vais réfléchir !
- A ton aise. Caroline s’est donnée à toi. Tu es libre d’accepter ou de refuser maintenant ou plus tard. Cela ne changera rien pour la chienne qui reste à toi quand tu le veux.
Caroline fixe du regard Lisa. Elle l’implore des yeux tout en sachant que cette attitude est interdite.
Tout en parlant, Bernard, excité par la jouissance de caroline, éjacule longuement en pola. Il est tellement puissant que le sperme ressort en jets du cul de la lope. Bernard ne s’arrête pas de juter en elle. La lope est complètement ouverte et accepte sa queue complètement.
- Tu as aussi une lope extraordinaire. C’est rare qu’une lope débutante arrive à me prendre jusqu’à la racine. Pola est une femelle exceptionnelle.
- Nous voilà avec deux lopes exceptionnelles. Que fait-on ?
Bernard se dégage du cul de la lope et lui ordonne de le nettoyer. Pola obéit et s’applique à faire son travail avec minutie. Quand Maître Nils l’a fécondée, c’était merveilleux. Mais avec Maître Bernard elle était au paradis !
Lisa retire doucement sa main du cul de caroline. La femme gémit. Son anus reste ouvert. Son clitoris débande doucement.
Bernard appelle Caroline qui vient se mettre derrière la lope et qui se met à lécher tout le sperme qui est ressorti et qui a coulé le long de ses cuisses. Quand elle a tout nettoyé, elle vient sur l’anus et enfonce sa langue dans le trou puis elle aspire afin de récupérer autant de sperme qu’elle peut et qu’elle avale aussitôt. Laissant les deux lopes, Bernard, le sexe toujours aussi grand et bandé, prend la main de Lisa et l’entraîne dans la pièce à côté.
- Assieds-toi, dit-il, tout en nouant un pagne autour de sa taille. Puis il prend un siège. Caroline n’a jamais joui comme cela avant. Tu dois la prendre avec toi. Je suis un peu jaloux mais je veux que Caroline soit heureuse et elle le sera avec toi.
- Mais ce que tu me demandes est impossible. Je suis avec Nils. Pola doit être notre soubrette. Je n’ai pas la place de prendre Caroline avec moi.
- Et si je garde pola ?
- Tu veux garder pola ? pourquoi ?
- Je préfère depuis longtemps les lopes comme elle. Elle ont la chatte plus accueillante pour moi. Tu as vu comme je suis monté. Pola a tout pris assez facilement et elle a mouillé de me recevoir. Caroline ne l’a pas vu mais pola a éjaculé sous elle. Je te propose un échange : Caroline contre pola. On signe dès ce soir les contrats. Celui de pola est prêt. C’est caroline qui l’a tapé. Celui de caroline est prêt depuis longtemps car je savais qu’un jour, je trouverais quelqu’un qui la rendrait heureuse.
- Mais je ne suis pas lesbienne !
- Tu rigoles. Tu n’as pas vu la manière dont tu la caressais. Tu es une superbe lesbienne. Et avec elle tu n’auras pas besoin de gode en latex. Elle te donnera son pénis chaque fois que tu le voudras.
Lisa est troublée par les paroles de Bernard. C’est vrai qu’elle a aimé et joui de voir Caroline se donner à elle. Elle a encore la chatte toute trempée. Mais elle aime bien aussi les beaux membres mâles. Elle aime beaucoup Nils qui la traite parfois comme une soumise. Et Bernard n’est pas mal non plus. Mais elle n’ose pas lui dire.
- Et … Nils … dans tout ça ?
- Nils ? Que crois-tu qu’il fasse en ce moment.
- Il est sur la route.
- Erreur ma belle.
A ce moment là, une porte s’ouvre et Nils entre. Il est vêtu d’un peignoir et tient en laisse une jeune femme asiatique. La laisse ne part pas du collier en métal large qu’elle porte au cou mais de son sexe.
- Nils ???!!
- Bonsoir Lisa. Je ne suis pas sur la route en effet.
- Mais … Je ne comprends pas !
- Je crois que je te dois quelques explications.
Lisa est complètement désorientée. La tête lui tourne. Elle a l’impression d’être spectatrice d’un film. Devant elle, plusieurs personnes sont présentes. Un notaire en pagne mais dont le sexe trahit sa présence par une boule gigantesque, un amant en peignoir tenant une superbe créature nue en laisse, un ex-mari habillé en femme et à quatre pattes entrain de se faire lécher l’anus par une femme de cinquante ans qui bande comme un petit homme et qui veut lui appartenir.
- Si nous buvions quelque chose de fort ?
Bernard Brouillard, notaire de son état et grand pourfendeur d’anus, sent que Lisa est déboussolée. Il essaie de détendre l’atmosphère car il remarque que Nils ne semble guère plus à son aise.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C est un tres Bonne lecture que l on aime de pouvoir realiserdede5400