Chauds travaux d’été avec mon voisin

- Par l'auteur HDS Castajl1 -
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Récit libertin : Chauds travaux d’été avec mon voisin Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Chauds travaux d’été avec mon voisin
Depuis près d'une semaine j'étais en construction d'une cabane de jardin en bois pour y installer divers équipements de jardinage, durant toute cette semaine de vacances j'avais eu un temps superbe pour bosser et en avais profiter pour peaufiner mon bronzage intégral, puisque tous les étés nous choisissons des vacances en camp naturiste avec ma femme Karine de 32 ans, nous adorons vivre nus.
Souvent dans la maison nous sommes à poil, elle pour la cuisine, le ménage ou la lecture et moi pour bricoler, bosser sur l’ordi ou regarder la télé… nos repas d’été sur notre terrasse sont systématiquement en tenues d’Adam.
Lorsque je bosse dehors il m’arrive de m’y mettre mais ayant un passage dégagé sur la rue, je ne veux pas jouer la provoc, alors je porte le strict minimum, en l'occurrence toute la semaine j'ai fait mes travaux en maillot de bain taille basse, Karine à plusieurs reprises m'a rappelé que nous n'étions pas à la plage, mais elle connais mes goûts et sais qu'il ne faudrait pas me pousser pour faire tomber le petit bout de tissu, elle éprouvait d'ailleurs du plaisir à me voir ainsi, bien doré et dégoulinant de sueur, j’appréciai aussi ses petites claques sur les fesses à chaque fois qu’elle venait voir l’avancement de mon chantier.
Elle aime aussi les maillots de bain minimaliste comme celui-ci, c’est une admiratrice de la « poutre apparente » la coquine.
Ne voulant pas jouer l’exhibitionniste avec mes voisins, je suis donc resté à la limite de la décence avec mon bout de lycra sur les fesses !
Une grande haie nous sépare avec mon jeune voisin Vivien qui est célibataire et très discret, il reçoit sa copine Gaëlle de 26 ans une à deux fois par mois seulement car elle bosse à Lille, soit à 400Km de son petit chéri… le boulot à parfois des contraintes géographiques.
Elle était là pour quelques jours et partie en ville faire des emplettes de fringues avec une amie pour tout l’après-midi.


Karine m'avait apporté son aide dans la semaine pour les petites manutentions mais il me restait les pannes à monter en toiture et là je me suis permis de demander à Vivien de venir me donner la main le samedi puisqu'il ne bossait pas, ce qu'il a fait sans sourciller. Vivien a 29 ans, brun, cheveux courts, bien bâti 1,80m, donc l'idéal pour la manutention.
Ce samedi après-midi le soleil tapait très fort, Karine était partie vers 14h30 au supermarché faire les courses hebdomadaires et moi toujours en tenue de plage entamais les explications avec Vivien sur la méthodologie de montage des pannes.
Vivien avant de commencer, vira rapidement son T-shirt et portait un short rouge vif large et tenu par une cordelette, moi en slip de bain taille minimaliste de couleur parme avec aussi ma petite cordelette, la taille était tellement basse que le haut de ma raie apparaissait parfaitement dès lors que je m'agenouillais ou me baissait et mon service trois pièces était clairement à l’étroit.
Je lui réponds :
- Merci, oui t'as raison, mais c’est ça ou à poil ! J'ai hâte qu'elle soit montée cette cabane pour ensuite me mettre à la bronzette en dilettante et me foutre à la baille !

Après les consignes et avoir défini la méthodologie que nous allions adopter,
Vivien se mit en position sur la petite échelle plaquée sur les cloisons verticales que j'avais déjà montées et tirait les pannes vers le faîtage, nous avons renouvelé cette opération plusieurs fois et à chaque manutention je voyais son entrejambe bien dégagé du fait de la largeur excessive de son short… Et je m’aperçus rapidement qu'il ne portait pas de slip le coquin, je voyais parfaitement ses couilles rasées et sa queue à chaque fois qu'il s'écartait de l'échelle.
Du coup mon regard se trouvait attiré par ce spectacle imprévu et mon côté voyeur pervers en était parfaitement récompensé.
Lorsqu'il descendit de l'échelle, il remit son short en place, je ne pense pas qu'il ait repéré mes regards égarés sous son short ? Quoique ????

Tout en bossant je me demandais pourquoi il ne mettait pas de sous-vêtement ?
Certainement une sensation qu'il appréciait, tout comme moi, car cela m’arrivait souvent de ne pas porter de slip sous mes shorts en coton Addidas ou Nike, j’y éprouvais du bien-être, Karine elle aussi se faisait un grand plaisir l'été à se promener sans petite culotte sous ses robes amples ou sous ses shorts courts... Une manière comme une autre de titiller nos excitations mutuelles.

Puis au sol nous avions à présenter les panneaux de toiture, il se trouvait en face moi et ensemble nous préparions l'assemblage, pour ce faire tous deux, avions les jambes totalement écartées, à nouveau je découvrais son entrejambe libre de tous mouvements, ses couilles de beau calibre battaient à chaque mouvement et sa bite semblait ne pas être totalement au repos ???
Moi de mon côté, mon slip de bain laissait légèrement passer la peau de mes couilles de chaque côté du maillot tendu par la position de mes cuisses (ce qui soit dit au passage m’excitait bien). Nos regards se sont croisés, je n'ai pas résisté à me passer la main sur le sexe à plusieurs reprises et remis " le matos" en place, j'avais peur qu'il voie mon début d'érection.
De son côté, Vivien se mit à genoux et se caressa le short. Avait-il lui aussi un début d'érection ? Rien n'apparaissait de façon évidente en fixant son short... mais mes doutes commençaient à poindre… Serait-il sensible aux attributs masculins, je l’imaginais hétéro, à vrai dire je ne m’étais jamais posé la question.


Nous montâmes la structure, à plusieurs reprises nos corps se sont frôlés, nos sueurs se mêlaient, puis à un moment où il monta sur l'échelle et moi tenant le pied de celle-ci, en levant les yeux j'avais une vue imprenable sur sa raie de cul et là je ne sais pas dire ce qui m'a pris, mais j'ai glissé ma main droite par le bas de la manche de son short pour lui caresser les fesses :
- Oh ! Mais qu'est-ce que tu fous sous mon short ? Ça ne va pas bien ?
Moi un peu paniqué par mon geste inconsidéré :
- Excuses-moi, je n'aurais pas dû, mais la vue de tes fesses m'a un peu excité ! C’est de ta faute aussi, t’es à poil là-dessous… tu ne peux pas mettre un slip non ?
Vivien réagit :
- Oh, je fais ce que je veux, est-ce que je t’ai demandé d’aller mettre un short ou un bermuda ? Ce n’est pas non plus une tenue de travail ton « moule-bite » ! Me lance-t-il avec un sourire en coin…
Sa remarque m’avait interpellé… mon « moule-bite », il parle comme Karine, mais elle, c’est ma femme je le comprends mieux !
Je lui lance :
- Excuse-moi mais ton short est franchement trop large et ma vue a été un peu perturbée !
Lui :
- Ah OK, je comprends mieux tes regards furtifs vers mes cuisses depuis plus d'une heure (tout en disant cela il se passe la main sur le devant de son short, il avait donc découvert mon petit jeu de mateur !).
- Tu ne serais pas un peu pédé sur les bords ? me lança-t-il.
N'y tenant plus, je m'approche de lui, lui pris la tête et l'embrassa sur la bouche en lui mettant la main au paquet au travers du short, que je sentis immédiatement gonfler.
Je lui réponds sans sourciller :
- Pas pédé non... mais bi oui je te le confirme !
Surpris par ma réponse :
- Ah bon, je ne savais pas, alors comme ça tu es « A voile et à vapeur ! », petit cachotier, tu m’en apprends de bonnes ! Et Karine est au parfum ?
Moi :
- Pour être au courant, oui elle l’ait ! Car elle aussi est bi, il lui arrive quelquefois de se faire une nana.
Ma main toujours posée sur son matos… Il eut un bref mouvement de recul puis je le sentis se laisser faire, il entreprit aussitôt de me mettre sa main sur mon paquet que je ne pouvais plus dissimuler à bander.
- Mais tu bandes mon salaud !
Moi excité :
- Oui, putain tu m'as excité avec tes couilles bien rasées et apparentes et ton cul sous ce short béant (tout en parlant je lui glisse son short aux pieds et découvre sa superbe bite bien veinée de 17x4 environ et ses couilles bien pendantes et rasées comme j'aime, il leva les jambes afin de se libérer de son short tombé et le balança plus loin).
Il me dit :
- Mais tu es un vrai pédé ou je me trompe ?
Je lui répondis en rougissant :
- Je te redis... Non pas pédé mais bi oui ! J’aime les nanas mais j’adore aussi me taper des hommes si tu veux le savoir, et des mecs comme toi me foutent la trique !
Tout en lui dévoilant mes orientations sexuelles qu’il semblait découvrir je virais mon maillot de bain et le balançais au milieu de la pelouse, il découvrit ma queue 16x4 et mes couilles lisses et rasées de près de ce matin, bien rondes et bien pleines.
Nous étions maintenant tous les deux à poil dans mon jardin, sous un soleil de plomb, nos corps brillant de sueur et nos queues qui entamaient chacune une érection évidente...
Vivien me lança :
- Putain je n’y crois pas, je viens pour te donner un coup de main et je me retrouve à poil avec toi et qui plus est je bande comme un taureau !!!

Il n'avait pas fini sa phrase que je me mis à genoux et commençais à lui pomper ce beau sexe tendu, il se tendit encore un peu plus après quelques vas et viens dans ma bouche, à ma grande surprise il se laissait faire le coquin, il a même rapidement accompagné mes mouvements en me tenant les cheveux, il écartait les jambes histoire de mieux profiter de la situation.

Surpris je lui dis :
- Dis-donc suis-je vraiment le premier mec à te sucer ? J’ai l’impression que non, tu n’as pas déjà testé cette expérience d’homme à homme ???
Vivien tout rouge m’avoua :
- Si tu as raison, j’ai eu deux fois l’occasion de me faire sucer et de sucer une bite, une fois j’avais 24 ans, j’étais bourré au cours de l’anniversaire d’un pote et notre gage était de tailler une pipe à un mec et la seconde fois c’était il y a six mois sur le bateau d’un copain gay, nous étions tous les deux partis pour la journée et au large il s’est foutu à poil, il m’a demandé d’en faire autant et on s’est sucés mutuellement et sans complexer on s’est même rouler des pelles, mais je te jure je ne suis pas homo pour autant !
Il rajoute :
-Je n’ai jamais osé le dire à Gaëlle, je compte sur toi tu es le seul à qui j’avoue ces deux incartades involontaires.
-OK, compte sur moi petit coquin !
En écoutant ses aveux j’étais bien sûr surpris mais aussi soulagé de ses expériences masculines.
Continuant de le pomper avec vigueur, il me dit :
- Putain mais ce n’est pas vrai tu fais çà mieux qu'Estelle (sa copine)
Moi rassuré de sa réaction :
- J’espère bien, ta queue est superbe et je suis trop content de me faire mon beau voisin, imagine-toi que j'ai déjà fantasmé sur toi mais je ne pensais pas que l'occasion se présenterait un jour et surtout aussi vite.
Et je repris cette pipe endiablée, sa queue était dure, ses couilles me battaient le menton, son gland décalotté à l’extrême était écarlate.
- Arrête tu vas finir par me faire larguer la purée ! me balança-t-il.
Moi bien chauffé :
- OK, j'arrête mais dans ce cas je veux que tu me prennes le cul !

Lui horrifié :
- Quoi, ici, dans le jardin ? Mais tu es fou ou quoi, espèce de pédé de mes deux, t’es malade !
En me marrant je lui réponds :
- Et alors tu viens bien de te faire tailler une pipe ici... Une visite impromptue n’avait pas l’air de te gêner… Tu ne vas pas faire la fine bouche maintenant et puis entre nous tu es mal placé pour me traiter de pédé, j'ai l'impression que tu as bien apprécié la suce de ton membre mon salaud ?
Lui toujours éberlué par cette situation :
- Putain mais c'est quoi ce plan ? Je n’y crois pas, tu veux que je te sodomise... et si Karine arrive on aura l'air de quoi tous les deux emmanchés l’un dans l’autre ?
Moi rassurant :
- T'inquiète pas elle ne sera de retour que vers 17h on est tranquille et puis entre nous elle sait que je me fais des mecs de temps en temps !
- Non ??? Elle est au courant ?
Je le sentais à la fois perturbé par ma révélation et aussi par ma proposition, mais son envie d'aller plus loin que cette fellation qu'il venait de vivre et d'apprécier le titillait bien.
-- Bon OK, mais attends... on se planque un peu et pas à sec, je ne t’encule pas à sec !!!
Satisfait de son accord forcé, je lui indique le coin près du barbecue qui nous planque des regards indiscrets.
Il va récupérer son short et me ramène mon maillot de bain que nous tenons à distance proche en cas de visite impromptue ou d'un retour avancé de Karine.
Lui insistant :
- Encore une fois je ne peux pas te baiser à sec, vas me chercher du gel !
Moi prévoyant :
- T'inquiète pas… Tiens voilà ce qu'il faut, j'ai déjà utilisé ce lubrifiant-là...
Je lui présente une bouteille d'huile alimentaire restée près du barbecue.
Vivien agacé :
- Quoi mais ma bite n'est pas une frite, on ne va pas s’huiler la bite et le cul avec ça non ?
Moi très confiant :
- Pas de soucis, aucun problème, c'est alimentaire tu vas voir…. Et c’est bon pour la santé, lui dis-je en rigolant, c’est ce que les grecs utilisent et ils ont la réputation d’être des enculeurs de première !
Et je commence à m'étaler l'huile dans l’anus assez profondément en tournant bien mon majeur dans le cul.
Il continue l'action en se versant (peu convaincu) de l'huile d’olive sur les doigts et commence à me doigter lui aussi, gentiment puis plus en profondeur en me huilant encore une fois bien le trou, nos peaux brillaient sous le soleil.
Je le complimente :
- Hummm, putain tu as un super doigté elle ne doit pas s'ennuyer Gaëlle avec toi ! Lui dis-je en rigolant.
Lui pas très fier :
- Arrête, ce n'est pas le cul de Gaëlle que je vais me faire, alors évite ce parallèle car tu vas me faire débander connard !
Je lui rétorque :
- C’est vrai que ce serait bête quand je te vois bander comme un taureau, j'ai l'impression que tu vas me gâter... allez vas-y mon pote baise moi, je n'en peux plus d'attendre... (
Et je lui tends mon cul telle une vraie salope.
-Huile bien ta queue, tu me prends sans capote j’en ai plus, vas-y, j’en peut plus d’attendre !
Lui, la queue à l’horizontale :
- Mais ce n’est pas vrai, je rêve, tu as tout d’une chienne ! me lance-t-il.

Il me mit sa grosse queue dans la raie, puis l'introduisit très facilement dans mon trou super huilé et fortement dilaté par l’excitation, elle est rentrée tellement facilement que j'en étais étonné, il commença à me ramoner le cul lentement puis en accélérant.
Appréciant l’efficacité de l’huile d’olive dans mes entrailles qui facilitait le coulissement de son braquemard qui rentrait seulement pour la troisième fois dans le cul d’un mâle…. Il pouvait se targuer d’être un enculeur aguerri !
- Humm oh que c'est bon, vas-y ramone-moi bien le trou, j'adore, humm, oui, ouiiiiiii , je sentais ses grosses couilles pendantes venir me taper les fesses, c'était trop bon, humm…
Excité comme un lion en rut, il me dit :
- Vas-y petite chienne, prends çà dans ton cul, tu m'as allumé, tu dois assumer (tout en me foutant de super coups de rein dans le fion)
Mon cul était en feu, sa bite glissait parfaitement en moi, je sentais sa queue raide et chaude me ramoner, un délice parfait, beaucoup mieux que lorsque Karine me gode avec ces gabarits de moyenne taille, humm c'était trop bon !)
- Tu aimes çà mon salaud, tu te comportes comme une vraie salope et ça m'excite ! Me lança-t-il.
Moi, aux anges :
- Oui, tu me prends le cul à merveille, oh putain que c'est bon (je sentais mon cul dégouliner d'huile)
Vivien au bord de l’extase :
- Attention je vais larguer mon foutre ! Me dit-il… ne contrôlant plus la situation.
Moi super excité :
- Retire toi vite et crache-moi ta purée à la figure, j’adore les faciales !

Il retire rapidement sa queue hyper tendue et huileuse, et je sentis sans attendre un premier jet venir s'écraser sur mon œil, puis un autre sur le nez, puis l'autre sur la joue gauche (l'éjac faciale est un vrai fantasme pour moi, une façon d’être humilié par mon partenaire, c’est mon côté soumis)
Je lui pris la queue et continuait de le branler vite et fort, il gémit de façon étouffée pour ne pas nous faire repérer tout en larguant ces dernières gouttes sur mes cheveux.)
Moi tout en recevant son sperme je me branlais de façon accélérée et ne tardais pas à éjaculer sur les pavés de la terrasse et sur ses pieds nus en puissants jets blanchâtre et épais...

Soudain je reconnais le bruit de la Clio de Karine, il était 16h45 elle avait un peu d'avance , il y a longtemps que ça n’était pas arrivé…il fallait que ça tombe aujourd’hui !
Nous nous essuyâmes à la hâte et sans fignolage, nous enfilâmes notre maillot et short puis sortîmes du coin barbecue à toute vitesse.

Le portillon s'ouvrit et Karine apparut les bras chargés de victuailles :
- Alors les mecs, çà bosse dur ?
Moi, comme si de rien n’était :
- Oui, oui, (" Dur " c'était vraiment le terme !!!), on a bien avancé.
Je me demandais si ma réaction était naturelle ou pas, compte tenu des moments d'excitation intense que nous venions de vivre, nous étions totalement trempés de sueur l'un et l'autre et un peu nerveux tels des ados qui viennent de faire une connerie.

Karine ne semblant rien déceler d'anormal dans nos comportements , elle dit à Vivien :
- Merci pour ton coup de main, venez prendre l'apéro ce soir avec Gaëlle puisqu’elle est là, on discutera un peu autour du barbecue et puis entre nous vous l'aurez bien mérités tous les deux non ? Et puis vous discuterez entre mecs et nous entre nanas.
Et tous les deux de répondre ensemble :
- Oui, oui, c'est une bonne idée !

Le soir venu, nous étions autour du barbecue, je pris une andouillette en main et simula discrètement une masturbation avec, en regardant Vivien dans les yeux... et lui, aussi discrètement, sortait sa langue en simulant une fellation, nous étions encore dans le jeu sexuel sans que Karine et Gaëlle ne se doutent de rien.
Autre excitation de mon côté... c'était de savoir que Karine n'avait pas mis sa petite culotte sous sa robe ample d'été... ce soir je jouerai avec elle et lui demanderai de me goder... je lui demanderai en même temps qu’elle en achète un plus gros… Ainsi je revivrai alors l'enculade de mon voisin Vivien sans avouer à ma petite chérie notre aventure entre mâles de cet après-midi...


Cette journée folle et chaude dans tous les sens du terme m’aura permis de découvrir que mon beau voisin est bi… Que nous avons vécu une expérience inattendue, nous avons maintenant au-delà d’un jardin mitoyen… aussi un jardin secret !

Aventure que nous souhaitons renouveler tous les deux dès que l'occasion se présentera...

J'aimerai bien savoir s'il est lui aussi capable de jouer le rôle de salope allumée comme j'ai pu lui offrir… L'avenir me le dira, mais mon petit doigt lui, me dit qu’il doit être chaud de ce côté-là aussi !

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