Chère lectrice rousse aux petits seins: Candice enceinte (6ème partie) - histoire érotique

Candice ne va t-elle donc pas cesser de gigoter comme elle le fait, sur ce banc ? Ce n'est pas pour me déplaire, cela dit, perso.



Si elle se comporte comme ça, c'est tout sauf par hasard. Je le sais. C'est quelque chose qui me plaît chez ma chère lectrice rousse aux petits seins. Je suis plus que jamais sous son charme, quand c'est comme ça. Il faut que je reprenne mon récit, alors.

Mon petit doigt me dit que... si Candice se trémousse, c'est parce que mon histoire lui plaît... et qu'elle lui fait de l'effet. Et quand je la prends entre quatre yeux, je la vois sourire de toutes ses dents, ma chérie. À l'instant-t, je sais qu'il y a plusieurs raisons qui font qu'elle est heureuse. Candice a appris, cet après-midi, qu'elle est enceinte et qu'elle porte désormais le fruit de nos amours dans son ventre. C'est un rêve qui devient réalité pour elle. Dans neuf mois, elle ne sera plus seulement ma compagne. Elle sera aussi et surtout l'heureuse mère de notre fille... ou de notre fils. Nous n'en sommes pas là encore.

Sans dire un mot, je tends une main vers Candice, plus précisément en direction de son visage. Je tends ensuite le bout de mes doigts au niveau de ma belle. Même si Candice a déjà la tête droite, je veux qu'elle la relève un peu plus.





- Candice... Regarde-moi.

- Benoit... Je te regarde.

- Continue de garder tes oreilles grandes ouvertes.

- Mon amour... Je suis toute ouïe.





Quand Candice use de son grain de voix-là, particulier car caressant, minaudant, qui plus est dans ce contexte intime où nous ne sommes que tous les deux, alors, moi aussi, je suis tout ouïe. Le bonheur... L'amour... Ça n'a pas de prix. C'est ça. C'est inestimable. Et là, la femme que j'aime, la femme de mes rêves, la femme de ma vie, elle est là. Elle est assise sur ce banc et elle se trémousse. Moi ? Bien sûr que j'ai les yeux qui ne la lâchent pas d'une semelle. Quand Candice est ainsi, limite j'ai le cœur qui bat la chamade mais dans le même temps, j'ai l'âme apaisée.

Le temps d'un instant, juste le temps d'un instant, je m'autorise le droit à la réflexion.

Là. Je ferme les yeux. Je fais abstraction de tout. Je me concentre sur Candice. Ses longs cheveux roux... Ses yeux verts de vipère... Ses lèvres fines qu'elle aime orner de baume à la vanille... 

Le temps d'un instant, oui, c'est tout pour Candice, rien que pour Candice. Me vient en tête, alors, notre rencontre, nos différents ébats... jusqu'à ce que nous en sommes là, ici. Amoureux. Futurs mère et père.





- Mon cœur... Ce matin-là, c'était pas possible pour moi d'avoir les yeux ailleurs que sur toi. Je te replace dans le contexte... Tu étais là, sur moi, d'abord vêtue de ta nuisette vaporeuse courte puis... à moitié nue. Tu avais tes mains qui étaient posées sur mon torse, lui aussi nu. Tu faisais onduler ton corps. Par moments, même, tu te redressais et tu faisais en sorte que ton cul se colle à mon membre et s'y frotte. Tu es... aphrodisiaque, Candice. Et... Qu'est-ce que tu sais être... démoniaque quand tu t'y mets... Oui. Je bandais dur. C'était pour toi que je bandais, mon amour.

- Mon chéri... Tu sais pas à quel point je me sens sexy, quand c'est comme ça. Tu n'as pas idée... Quand tu poses tes mains sur moi, je ne réponds plus de rien. Tu le sais. Et là, sur ce banc, j'ai mon cœur qui bat comme ce n'est pas permis. C'est comme ce matin-là. Oui... Ce matin-là, il battait comme ça, mon cœur. J'ai tout le temps envie de toi, Benoit. Moi aussi, je suis comme toi. J'ai jamais eu autant envie de quelqu'un comme j'ai envie de toi, mon chéri. C'est fou comme tu me rends folle. C'est fou à quel point je t'aime, Benoit.



- C'est inné chez toi, la sensualité, Candice. Ça, je l'ai compris très vite. Si tu ne m'avais pas écrit sur le site, il n'y aurait rien eu du tout de tout ce que nous avons vécu jusqu'à présent. Et aujourd'hui, regarde ! Nous sommes assis sur ce banc. Nous sommes plus que jamais amoureux. Et aujourd'hui, tu viens d'apprendre que tu attends un enfant de moi. Nous allons être parents, Candice ! Sache que tu fais de moi un homme heureux. Je tiens à toi comme à la prunelle de mes yeux, ma chérie. Tu es ma compagne. Mon confidente. Ma maîtresse.

- Benoit... Ce que tu me dis là, ça me va droit au cœur. Et mon cœur, ça le fait battre encore plus fort. Tu ne peux pas me rendre plus heureuse.

- Je trouve en toi tout ce que j'aime chez une femme, Candice. Mais il n'y en a pas deux comme toi. Et sache qu'il n'y en a aucune qui t'arrive à la cheville.





Je prends la main de Candice. Je la serre mais doucement. Je la regarde, ma chère lectrice rousse aux petits seins. Elle a les yeux brillants. Les yeux... humides, à vrai dire, aussi. 



Des larmes coulent sur ses joues...