Chère lectrice rousse aux petits seins : POV Candice (2ème partie)
Récit érotique écrit par Mysterious91 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Chère lectrice rousse aux petits seins : POV Candice (2ème partie)
Je le branle, Benoit et j'y prends du plaisir. Je ferme les yeux et je laisse s'échapper de ma bouche un soupir de plaisir. Je ne pense qu'à mon homme. Je ne pense qu'à son plaisir. Ça m'excite, moi aussi. Benoit n'a d'yeux que pour moi et moi, je n'ai d'yeux que pour lui. Il n'y a que Benoit pour m'exciter comme ça. Le silence règne dans la chambre. C'est bien. C'est ce qu'il faut. J'ai confiance en cette branlette que je suis en train d'offrir à Benoit. Il y prend du plaisir, visiblement. C'est à son tour de laisser s'échapper de sa bouche un soupir de plaisir. Je suis sur la bonne voie, ça veut dire. Je continue, alors. Parce que j'aime ça, lui donner du plaisir, à Benoit.
Je n'ai pas besoin de jeter un œil sur ma main qui va et qui vient. Ce qui m'intéresse, c'est de voir comment Benoit y réagit. Je le regarde. Je lui souris. Je lui parle. Je minaude. Je suis un feu follet et je ne compte pas m'arrêter là. Pas avant qu'il n'ait joui...
Mes yeux sont plongés dans ceux de Benoit et y restent rivés. Je tiens à ça. Tout comme je ne perds pas une miette du plaisir que Benoit a lorsque je le masturbe, je veux en retour qu'il voit que je prends du plaisir à le lui en donner. Ça me tient à cœur. Je veux qu'il voit que j'ai le sourire aux lèvres. Je veux qu'il voit que mes yeux brillent. Je me penche encore un peu plus. Je me cambre et je sais qu'il aime quand je fais ça, mon homme. Mes petits seins ont les tétons durs parce que je suis excitée. Mes tétons pointent. Sans même regarder, je sais qu'ils dardent sous le tissu de la nuisette vaporeuse ultra courte que je porte. Je les aime, mes petits seins. Ils sont en forme de poire et je les trouve mignons. Je sais qu'ils fascinent Benoit. Il me l'a même déjà dit: il a un faible pour eux. Du coup, j'en joue, de cet aveu. Je dois dire que ça me plaît. Je l'avoue. Je reste la Candice que je suis dans l'intimité d'une chambre. Ça me plaît d'exalter la sensualité que j'ai au plus profond de moi. Entendre Benoit geindre de plaisir, ça me fait un je-ne-sais-quoi. Ça m'excite. Les yeux dans les yeux, je lui demande de continuer de se détendre. Les yeux dans les yeux, je lui promets que ce sera... bon. Ni une, ni deux, je n'en dis pas plus. Je n'en pense pas moins. Je préfère agir. Les mots, c'est beau. Je préfère les actes et les preuves.
Hormis quelques poils par-ci et par-là, Benoit a le corps épilé. C'est quelque chose que j'apprécie, pour être honnête. Ça excite de déposer des baisers sur ce corps qui me rend curieuse. Ça m'émoustille de couvrir de coups de langue ce corps dont j'aime sentir le poids sur moi, ce corps où j'aime poser les mains lorsque je suis à califourchon sur Benoit. Être sensuelle, ça me plaît particulièrement. Me faire belle, j'aime y prendre du temps. Rester la muse de Benoit, je me donne les moyens pour l'être et pour le rester. Je souris à la glace et je prends des poses. Je dis des mots doux à Benoit et je le caresse. Je crève d'envie d'aller plus loin encore...
Je ne veux pas me défaire de l'accès de sensualité qui a pris possession de moi. Benoit est beau. Benoit me plaît. Le corps de Benoit est un appel au crime. Le corps de Benoit m'excite. C'est simple et c'est sans appel : je ne maîtrise plus rien lorsqu'il est question de mon mystérieux. Benoit est mon homme. Et ce matin, j'ai envie de faire l'amour avec lui. Je ne pense à rien d'autre. Je ne pense qu'à Benoit, quand il m'embrasse. Je ne pense qu'à Benoit, quand il porte et quand il pose ses mains sur moi. Je ne pense qu'à Benoit, quand sa tête est entre mes jambes pour m'offrir l'un de ces cunnis dont il a le secret et dont je raffole.
Ma bouche se pose sur le bas-ventre de cet homme que j'aime. Bien que je n'ai ni piercing ni tatouage sur mon corps, Benoit est tatoué en moi.
Mes lèvres déposent des baisers, légers comme des plumes. Je veille à ce qu'ils soient doux. Je sais qu'il aime quand je fais ça. En ce qui me concerne, j'ai le cœur qui bat la chamade. J'ai chaud et je me mets même à transpirer, à vrai dire. Ce qui m'importe, c'est Benoit et c'est le plaisir que je peux lui donner. Quand je parle, quand je respire, je veux que Benoit m'entende. Quand je le touche, quand je le caresse, je veux que Benoit me sente. J'aiguise sans cesse ma sensualité tout comme je titille et excite Benoit, dans le même temps. Je ne cache pas que j'ai du plaisir à le faire. Ça me plaît. Ça m'excite.
Je fais la belle. Je fais l'amour. Je continue d'embrasser Benoit, là où mes lèvres sont en mesure d'atteindre sa peau. Dans le même temps, je reste attentive à sa façon de respirer, à sa manière d'exprimer le plaisir qu'il peut avoir. Ça me met en émoi. Mon esprit est en ébullition. Je ne sais pas où donner de la tête. Par contre, ce que je sais, c'est que je ne pense qu'au plaisir de Benoit. Plus mes lèvres se rapprochent du membre de mon amoureux, plus l'eau me vient à la bouche. Je le vois, ce pénis raide car il est gorgé de sang. Je le vois, ce pénis dur car c'est moi qui fais que Benoit est dans cet état. Son pubis est doux car il est rasé. J'aime y poser mes lèvres. Benoit est dans ma ligne de mire. Je suis sur le point de passer à la vitesse supérieure...
Me voilà en train de déposer des petits baisers mouillés sur le sexe de Benoit. Ça me plaît. Du coup, je suis concentrée sur ce que je fais. Je me focalise sur le bien que ça procure à mon mystérieux. Ça m'excite de voir que plus je m'occupe de lui, plus son érection reste raide. L'eau me vient à la bouche de plus belle. J'ai conscience que Benoit a les yeux braqués sur moi. Ça me fait de l'effet.
Je continue ce que j'ai commencé. À vrai dire, ce matin, plus le temps passe, plus les idées se succèdent et se multiplient dans ma tête. Mon esprit est inspiré et c'est délicieux. J'aime être dans cet état d'esprit. Au plus profond de moi, quand c'est comme ça, je me sens sexy. Au plus profond de moi, quand c'est comme ça, un accès de sensualité s'empare de moi et je me sens prête à réaliser mes désirs du moment, alors.
Un râle de plaisir s'échappe des lèvres de Benoit. Il y a un lien de cause à effet à ça. Ma bouche coulisse le long du sexe bien membré de cet homme que j'aime. Je vais et je viens, plutôt lentement. Je préfère que Benoit sente l'étreinte de mes lèvres qui prennent son pénis en étau.
J'ignore quelle mouche m'a piquée, ce matin. Ce que je sais, c'est que quand je suis amoureuse, que quand j'ai un homme dans la peau, j'aime faire plaisir à cet homme. Ce que je suis en train d'offrir à Benoit, c'est ce que j'ai de plus beau et de plus fort. Mon amour.
Benoit se laisse aller. Benoit est beau. Je l'entends. Je le vois. Il faut que je continue. Je suis sur la bonne voie.
Benoit n'a pas idée de ce qu'il se passe dans ma tête. À l'instant-t, il ne sait pas à quel point je me sens sexy alors que sa queue va et vient dans ma bouche. Donner du plaisir, c'est quelque chose qui me plaît. Lorsque j'entre dans l'antre intime, plus rien n'a d'importance. Seul le plaisir l'a, cette importance. Que je sois vêtue, que je sois nue, je me concentre sur le plaisir. Que je le donne, que je le prenne, je suis toujours partante pour le partager.
Ce ne sont plus des râles et des soupirs qui me parviennent aux oreilles. Benoit a baissé sa garde. Les coups de langue que je porte à son anus le font gémir. C'est beau, un homme qui est nu et qui exprime son plaisir. C'est beau, un homme qui se laisse toucher et qui exprime ce qu'il ressent. J'écoute mon cœur, j'écoute mon corps. J'exalte ma sensualité, je la mets au service aussi bien du plaisir que de l'amour. J'aime Benoit. Je continue d'avoir envie de lui.
C'est moi qui lui fais l'amour. J'aime prendre les devants. Je me souviens du temps où l'on se parlait sur le site d'écriture érotique. On prenait du plaisir à apprendre à nous connaître. C'était avec le même plaisir que l'on flirtait. Ainsi, ça n'a pas été plus mal que notre relation naisse de cette manière. Petite touche par petite touche, notre imagination nous a permis d'aiguiser une sensualité qui nous est propre et qui ne cesse de se développer. Au jour d'aujourd'hui, je n'ai pas le souvenir d'avoir autant été audacieuse qu'avec Benoit. Plus le temps avance, plus j'aime être avec lui. Il met du sucre et du chocolat, du sel et du poivre dans ma vie. Je ne peux pas me passer de lui, c'est aussi simple que ça. Je laisse s'échapper un soupir. La voix de Benoit me ramène à la réalité. Je me redresse. Je le regarde. Je lui souris. Je lui dis que ce ne peut pas être meilleur, ce moment câlin qu'on partage ce matin.
Je m'allonge sur Benoit. J'ai envie de coller mon corps contre le sien pour qu'il en sente le poids. Vu que je sais qu'il aime se rappeler de la sensation de mes formes et de mes courbes, je ne me fais pas prier pour le faire. Je saute sur l'occasion.
Je ne tiens pas en place. Je suis excitée comme une puce. Je ne veux pas que cet état d'euphorie disparaisse. Ce qu'on vit ce matin, c'est le genre de matin que j'aime. Je suis allongée sur l'homme que j'aime et je laisse mon amour s'exprimer comme bon me semble. J'espère bien qu'il y aura pleins d'autres matins comme celui-ci. J'en fais le serment.
Avec la sensualité que je suis capable de faire ressortir lorsque je suis bien avec un mec ou une nana, j'approche lentement mon visage de celui de Benoit. Mes lèvres se rapprochent petit à petit des siennes. Je prononce son prénom. Je lui demande de fermer les yeux. Je lui demande de ne penser à rien. Il ne répond pas. Je me focalise sur ce que je suis en mesure d'entendre. En étant on-ne-peut-plus attentive, la respiration de Benoit est audible. Je jette un œil sur mon amoureux. Là. C'est bien. Il est paisible. C'est un peu comme s'il s'était rendormi. Je pose délicatement mes lèvres sur les siennes. Là. Nos lèvres se retrouvent. Je ferme les yeux, à mon tour. Je donne tout, dans ce baiser. Je me donne à Benoit. Je m'abandonne...
Nous avons tous les deux les yeux fermés. Nos lèvres restent collées, unies. On n'entend plus un mot dans la chambre. Seuls nos souffles se font entendre. Ce câlin nous plaît, si je m'en reporté aux soupirs qui me parviennent aux oreilles.
Je ne m'en réfère pas qu'à l'ouïe. J'aime la sensation de nos peaux qui se touchent. Nos corps se découvrent et se redécouvrent, ainsi. Je sens que mon corps se couvre de chair de poule lorsque Benoit pose ses deux mains sur moi. Ses mains, elles parcourent mon corps. Benoit me caresse. Ça me fait frissonner.
Une nouvelle fois, je laisse s'échapper un soupir. C'est agréable, comme sensation. Quand Benoit me touche, c'est la seule chose qui compte pour moi. J'aime l'idée que mon corps lui plaise et le rende fou. Elles me font ronronner de plaisir, ces mains qui sont douces et qui me réchauffent. Pour rien au monde je ne veux que l'on mette un terme à ce câlin. Je soupire. Je ne peux pas m'en empêcher. Je dis à Benoit que ça me plaît bien, ces câlins.
Benoit remue les lèvres. Il me demande de rouvrir les yeux. C'est ce que je fais. La première chose que je vois, c'est Benoit qui me sourit. Il est beau. Ça m'attendrit. Ça s'appelle l'amour, ce que je ressens. Je dis à Benoit que je l'aime. Benoit me dit qu'il m'aime.
Nous sommes bien, dans ce lit, ce matin.
C'est beau, l'amour...
Je n'ai pas besoin de jeter un œil sur ma main qui va et qui vient. Ce qui m'intéresse, c'est de voir comment Benoit y réagit. Je le regarde. Je lui souris. Je lui parle. Je minaude. Je suis un feu follet et je ne compte pas m'arrêter là. Pas avant qu'il n'ait joui...
Mes yeux sont plongés dans ceux de Benoit et y restent rivés. Je tiens à ça. Tout comme je ne perds pas une miette du plaisir que Benoit a lorsque je le masturbe, je veux en retour qu'il voit que je prends du plaisir à le lui en donner. Ça me tient à cœur. Je veux qu'il voit que j'ai le sourire aux lèvres. Je veux qu'il voit que mes yeux brillent. Je me penche encore un peu plus. Je me cambre et je sais qu'il aime quand je fais ça, mon homme. Mes petits seins ont les tétons durs parce que je suis excitée. Mes tétons pointent. Sans même regarder, je sais qu'ils dardent sous le tissu de la nuisette vaporeuse ultra courte que je porte. Je les aime, mes petits seins. Ils sont en forme de poire et je les trouve mignons. Je sais qu'ils fascinent Benoit. Il me l'a même déjà dit: il a un faible pour eux. Du coup, j'en joue, de cet aveu. Je dois dire que ça me plaît. Je l'avoue. Je reste la Candice que je suis dans l'intimité d'une chambre. Ça me plaît d'exalter la sensualité que j'ai au plus profond de moi. Entendre Benoit geindre de plaisir, ça me fait un je-ne-sais-quoi. Ça m'excite. Les yeux dans les yeux, je lui demande de continuer de se détendre. Les yeux dans les yeux, je lui promets que ce sera... bon. Ni une, ni deux, je n'en dis pas plus. Je n'en pense pas moins. Je préfère agir. Les mots, c'est beau. Je préfère les actes et les preuves.
Hormis quelques poils par-ci et par-là, Benoit a le corps épilé. C'est quelque chose que j'apprécie, pour être honnête. Ça excite de déposer des baisers sur ce corps qui me rend curieuse. Ça m'émoustille de couvrir de coups de langue ce corps dont j'aime sentir le poids sur moi, ce corps où j'aime poser les mains lorsque je suis à califourchon sur Benoit. Être sensuelle, ça me plaît particulièrement. Me faire belle, j'aime y prendre du temps. Rester la muse de Benoit, je me donne les moyens pour l'être et pour le rester. Je souris à la glace et je prends des poses. Je dis des mots doux à Benoit et je le caresse. Je crève d'envie d'aller plus loin encore...
Je ne veux pas me défaire de l'accès de sensualité qui a pris possession de moi. Benoit est beau. Benoit me plaît. Le corps de Benoit est un appel au crime. Le corps de Benoit m'excite. C'est simple et c'est sans appel : je ne maîtrise plus rien lorsqu'il est question de mon mystérieux. Benoit est mon homme. Et ce matin, j'ai envie de faire l'amour avec lui. Je ne pense à rien d'autre. Je ne pense qu'à Benoit, quand il m'embrasse. Je ne pense qu'à Benoit, quand il porte et quand il pose ses mains sur moi. Je ne pense qu'à Benoit, quand sa tête est entre mes jambes pour m'offrir l'un de ces cunnis dont il a le secret et dont je raffole.
Ma bouche se pose sur le bas-ventre de cet homme que j'aime. Bien que je n'ai ni piercing ni tatouage sur mon corps, Benoit est tatoué en moi.
Mes lèvres déposent des baisers, légers comme des plumes. Je veille à ce qu'ils soient doux. Je sais qu'il aime quand je fais ça. En ce qui me concerne, j'ai le cœur qui bat la chamade. J'ai chaud et je me mets même à transpirer, à vrai dire. Ce qui m'importe, c'est Benoit et c'est le plaisir que je peux lui donner. Quand je parle, quand je respire, je veux que Benoit m'entende. Quand je le touche, quand je le caresse, je veux que Benoit me sente. J'aiguise sans cesse ma sensualité tout comme je titille et excite Benoit, dans le même temps. Je ne cache pas que j'ai du plaisir à le faire. Ça me plaît. Ça m'excite.
Je fais la belle. Je fais l'amour. Je continue d'embrasser Benoit, là où mes lèvres sont en mesure d'atteindre sa peau. Dans le même temps, je reste attentive à sa façon de respirer, à sa manière d'exprimer le plaisir qu'il peut avoir. Ça me met en émoi. Mon esprit est en ébullition. Je ne sais pas où donner de la tête. Par contre, ce que je sais, c'est que je ne pense qu'au plaisir de Benoit. Plus mes lèvres se rapprochent du membre de mon amoureux, plus l'eau me vient à la bouche. Je le vois, ce pénis raide car il est gorgé de sang. Je le vois, ce pénis dur car c'est moi qui fais que Benoit est dans cet état. Son pubis est doux car il est rasé. J'aime y poser mes lèvres. Benoit est dans ma ligne de mire. Je suis sur le point de passer à la vitesse supérieure...
Me voilà en train de déposer des petits baisers mouillés sur le sexe de Benoit. Ça me plaît. Du coup, je suis concentrée sur ce que je fais. Je me focalise sur le bien que ça procure à mon mystérieux. Ça m'excite de voir que plus je m'occupe de lui, plus son érection reste raide. L'eau me vient à la bouche de plus belle. J'ai conscience que Benoit a les yeux braqués sur moi. Ça me fait de l'effet.
Je continue ce que j'ai commencé. À vrai dire, ce matin, plus le temps passe, plus les idées se succèdent et se multiplient dans ma tête. Mon esprit est inspiré et c'est délicieux. J'aime être dans cet état d'esprit. Au plus profond de moi, quand c'est comme ça, je me sens sexy. Au plus profond de moi, quand c'est comme ça, un accès de sensualité s'empare de moi et je me sens prête à réaliser mes désirs du moment, alors.
Un râle de plaisir s'échappe des lèvres de Benoit. Il y a un lien de cause à effet à ça. Ma bouche coulisse le long du sexe bien membré de cet homme que j'aime. Je vais et je viens, plutôt lentement. Je préfère que Benoit sente l'étreinte de mes lèvres qui prennent son pénis en étau.
J'ignore quelle mouche m'a piquée, ce matin. Ce que je sais, c'est que quand je suis amoureuse, que quand j'ai un homme dans la peau, j'aime faire plaisir à cet homme. Ce que je suis en train d'offrir à Benoit, c'est ce que j'ai de plus beau et de plus fort. Mon amour.
Benoit se laisse aller. Benoit est beau. Je l'entends. Je le vois. Il faut que je continue. Je suis sur la bonne voie.
Benoit n'a pas idée de ce qu'il se passe dans ma tête. À l'instant-t, il ne sait pas à quel point je me sens sexy alors que sa queue va et vient dans ma bouche. Donner du plaisir, c'est quelque chose qui me plaît. Lorsque j'entre dans l'antre intime, plus rien n'a d'importance. Seul le plaisir l'a, cette importance. Que je sois vêtue, que je sois nue, je me concentre sur le plaisir. Que je le donne, que je le prenne, je suis toujours partante pour le partager.
Ce ne sont plus des râles et des soupirs qui me parviennent aux oreilles. Benoit a baissé sa garde. Les coups de langue que je porte à son anus le font gémir. C'est beau, un homme qui est nu et qui exprime son plaisir. C'est beau, un homme qui se laisse toucher et qui exprime ce qu'il ressent. J'écoute mon cœur, j'écoute mon corps. J'exalte ma sensualité, je la mets au service aussi bien du plaisir que de l'amour. J'aime Benoit. Je continue d'avoir envie de lui.
C'est moi qui lui fais l'amour. J'aime prendre les devants. Je me souviens du temps où l'on se parlait sur le site d'écriture érotique. On prenait du plaisir à apprendre à nous connaître. C'était avec le même plaisir que l'on flirtait. Ainsi, ça n'a pas été plus mal que notre relation naisse de cette manière. Petite touche par petite touche, notre imagination nous a permis d'aiguiser une sensualité qui nous est propre et qui ne cesse de se développer. Au jour d'aujourd'hui, je n'ai pas le souvenir d'avoir autant été audacieuse qu'avec Benoit. Plus le temps avance, plus j'aime être avec lui. Il met du sucre et du chocolat, du sel et du poivre dans ma vie. Je ne peux pas me passer de lui, c'est aussi simple que ça. Je laisse s'échapper un soupir. La voix de Benoit me ramène à la réalité. Je me redresse. Je le regarde. Je lui souris. Je lui dis que ce ne peut pas être meilleur, ce moment câlin qu'on partage ce matin.
Je m'allonge sur Benoit. J'ai envie de coller mon corps contre le sien pour qu'il en sente le poids. Vu que je sais qu'il aime se rappeler de la sensation de mes formes et de mes courbes, je ne me fais pas prier pour le faire. Je saute sur l'occasion.
Je ne tiens pas en place. Je suis excitée comme une puce. Je ne veux pas que cet état d'euphorie disparaisse. Ce qu'on vit ce matin, c'est le genre de matin que j'aime. Je suis allongée sur l'homme que j'aime et je laisse mon amour s'exprimer comme bon me semble. J'espère bien qu'il y aura pleins d'autres matins comme celui-ci. J'en fais le serment.
Avec la sensualité que je suis capable de faire ressortir lorsque je suis bien avec un mec ou une nana, j'approche lentement mon visage de celui de Benoit. Mes lèvres se rapprochent petit à petit des siennes. Je prononce son prénom. Je lui demande de fermer les yeux. Je lui demande de ne penser à rien. Il ne répond pas. Je me focalise sur ce que je suis en mesure d'entendre. En étant on-ne-peut-plus attentive, la respiration de Benoit est audible. Je jette un œil sur mon amoureux. Là. C'est bien. Il est paisible. C'est un peu comme s'il s'était rendormi. Je pose délicatement mes lèvres sur les siennes. Là. Nos lèvres se retrouvent. Je ferme les yeux, à mon tour. Je donne tout, dans ce baiser. Je me donne à Benoit. Je m'abandonne...
Nous avons tous les deux les yeux fermés. Nos lèvres restent collées, unies. On n'entend plus un mot dans la chambre. Seuls nos souffles se font entendre. Ce câlin nous plaît, si je m'en reporté aux soupirs qui me parviennent aux oreilles.
Je ne m'en réfère pas qu'à l'ouïe. J'aime la sensation de nos peaux qui se touchent. Nos corps se découvrent et se redécouvrent, ainsi. Je sens que mon corps se couvre de chair de poule lorsque Benoit pose ses deux mains sur moi. Ses mains, elles parcourent mon corps. Benoit me caresse. Ça me fait frissonner.
Une nouvelle fois, je laisse s'échapper un soupir. C'est agréable, comme sensation. Quand Benoit me touche, c'est la seule chose qui compte pour moi. J'aime l'idée que mon corps lui plaise et le rende fou. Elles me font ronronner de plaisir, ces mains qui sont douces et qui me réchauffent. Pour rien au monde je ne veux que l'on mette un terme à ce câlin. Je soupire. Je ne peux pas m'en empêcher. Je dis à Benoit que ça me plaît bien, ces câlins.
Benoit remue les lèvres. Il me demande de rouvrir les yeux. C'est ce que je fais. La première chose que je vois, c'est Benoit qui me sourit. Il est beau. Ça m'attendrit. Ça s'appelle l'amour, ce que je ressens. Je dis à Benoit que je l'aime. Benoit me dit qu'il m'aime.
Nous sommes bien, dans ce lit, ce matin.
C'est beau, l'amour...
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