Chronique de notre vie 1/10

- Par l'auteur HDS Cher Tamis -
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Chronique de notre vie 1/10 Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-11-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Chronique de notre vie 1/10
Résumé:
Il est parfois des moments entre Caline et moi, qui, sublimant notre quotidien et qui nous, donnent l'impression de vivre une autre vie, entre ciel et terre, une passion d'autant plus folle qu'elle est éphémère, un partage étrange et de merveilleux moments féeriques et pourtant si réels, où nous réexplorons le monde, changeons de personnalité, bouleversons les frontières habituelles.

C'est le cas tous les jours entre Caline et moi.

Nos expériences ne sont pas en elles-mêmes extraordinaires, mais en raison de notre totale complicité, elles prennent une toute autre dimension, tout simplement parce qu’ensemble nous n’étions plus nous-mêmes.
Socialement nous sommes, apparaissons, tout beau, tout gentil, un peu BCBG sur les bords...

D'ailleurs toute personne sur cette terre est un/e acteur/actrice qui joue parfaitement le rôle - endosse l'image - qu'il désire que les autres le voient avec.
Mais bon, passons cette note philosophique, car ici il en va d'autre chose !

En résumé, notre complicité, à Caline et moi, est si forte, que cela double, triple, multiplie par X le résultat de nos expériences !
C'est comme si quelqu’un d’autre vivait en chacun de nous, quelqu’un qui, en vivant ces expériences se libérait de ses chaînes, de ses tabous, de ses liens, de ses contraintes, pour sublimer cette expérience qu'il n'aurait pas pu vivre seul...
Chacun de nous, ou bien devrai-je dire, qu'ensemble, nous étaions sans peur, sans pudeur, totalement vrai, sans fard aucun, dans l’expression de sa sincérité la plus personnelle et la plus véridique.

Cette alchimie lorsqu’elle survient, est magique et magnifique. Il me semble que c’est dans le domaine sexuel que nous l’avons merveilleusement vécu étant libres, libertaires et libertins.

1. La douche.

Nous avions rendez-vous au bar du Grand Hôtel Intercontinental. J’arrivai, comme souvent avec un peu de retard.

Caline m’attendait. Elle avait coupé ses cheveux. Brune à la peau claire, elle était toujours aussi sublime, ses yeux noisette pétillants de malice.
Elle portait un tailleur pantalon et un joli bustier découvrant les rondeurs de ses seins, mis en valeur par un soutien-gorge adéquat.

Il faisait un froid de canard. Jouant les touristes, nous prîmes un taxi pour nous rendre en haut des Champs et dîner au Flora Danica (table que nous apprécions sans modération pour le saumon à l’unilatéral).
Au fil de ce repas, arrosé d’aquavit, nos propos évoluèrent naturellement vers le sexe et nous fîmes un délicieux inventaire de tout ce que nous pensions réaliser au retour à l’hôtel.

Le programme de Caline était particulièrement alléchant dans tous les sens du terme. Le mien était un peu plus pénétrant… Mon érection commençait à me faire mal, tellement j’étais excité alors que Caline ne cessait de me dire que sa culotte était trempée.

— Heureusement que j’en ai mis une, disait-elle, sinon j’aurai taché la chaise et peut-être même la moquette tellement je mouille… J’espère que tu as encore soif…
— De toi, toujours, ma Ninou…

Nous quittâmes le restaurant et marchâmes quelque temps en descendant cette belle avenue, nous tenant serrés en raison du froid et du désir de concrétiser rapidement le programme amoureux que nous avions évoqué en dînant.

—Ninou chérie, j’ai envie de faire ce soir quelque chose que nous n’avons jamais fait…
— Quoi ?
— Je ne sais pas…
— Si c’est pour une partouze bébé, on n’est que tous les deux…
— Hihihi... Tu n'es qu'une idiote…
— Tu veux que je drague ce petit couple qui passe ? Qu’est ce t’en dis ? On les invite à coucher avec nous ? Cela serait une nouveauté non ?
— Avec des inconnus qu'on aborde sur la rue... Oui… À part ça... Le mélangisme, échangisme, on connaît mon Amour ?
— Tu es l’homme… à toi de décider…
— Bon je vais réfléchir… Ah oui... Se branler l’un devant l’autre ?
— On l’a déjà fait plusieurs fois, Bébé !
— Oui c’est vrai... Euh t’enculer ?
— Hihihi... Je suis toujours partante pour une petite visite de ce côté… Mais... Il n'y a rien de New dans cette pratique !
— Bon.. Je vais continuer de chercher !
— Je suis sûre que tu vas trouver, un gros pervers et cochon comme toi…

Nous finîmes par prendre un taxi pour regagner notre hôtel tellement le froid était mordant.

Une idée m’était effectivement apparue en chemin. Caline, fine mouche, s’en aperçut à mes expressions. Elle n’hésita pas à essayer de deviner dans le taxi.

— Alors chéri, dis-moi, je vois que tu as une idée..
— Non, tu verras, c’est une surprise…
— C’est cochon ?
— Très et même hyper cochon…
— Super...
— Il te faut être une super salope pour faire ça !
— Tu sais bien qu’il n’y a aucun problème de ce côté Bébé... Cochonne je le suis toujours... Allez dis-moi…
— Non !
— Si, sinon je le fais pas…
— Bon d’accord… Mais c'est toi qui regretteras..
— Alors c’est quoi ? C’est seulement tous les deux ?
— Oui bien sûr… On fera cela en comité réduite !
— Je demande c’est tout.. Alors ??
— Une douche…

Elle fit la moue..

— Une douche ? Ensemble ? Mais il y a là rien de nouveau…
— Tu verras, cette fois, c’est un peu différent…

Nous arrivâmes enfin, toujours très excités car nous n’avions cessé de nous peloter dans le taxi, sous l’œil goguenard du chauffeur se doutant bien que sous nos manteaux, nous avions les mains baladeuses.

— Bonne soirée ! Nous souhaita-t-il... Amusez-vous bien les amoureux !

Dès qu'on ait franchi le pas de porte de notre chambre, Caline se déshabilla. Elle allait se mettre nue.

— Dépêches-toi bébé, je suis presque prête pour la douche…
— Attends... Gardes tes bas, Ninou...
— Ohh... Alors c’est çà ? Prendre une douche en gardant mes bas ?
— Oui, entre autre…

De mon côté, je me mis également nu et nous nous trouvâmes enfin dans la salle de bain.

— Dis, Caline, tu n’as pas une petite envie ?
— Une grosse… Répondit-elle, en passant sa main entre ses cuisses…
— De faire pipi... Précisais-je.
— Hum…

Je m’approchai d’elle alors que nous étions débout dans la salle de bain et glissai mon sexe sous l’élastique de son dim up…

— Attends mamour... Lui dis-je... Moi va venir…
— Ohh j’ai compris, Monsieur le petit cochon veut me faire pipi dessus….
— Oui… Et tu me le feras après.
— Vicieux… Oui vas-y…

Ainsi encouragé, je sentais ma miction venir et bientôt un premier jet mouilla sa cuisse. L’impression était extraordinaire, je la caressais par dessus son bas mouillé.
Puis je changeai de cuisse et, ma queue coincée sous la large jarretière de ce second bas, j’urinai à nouveau le long de sa cuisse.

— Ninou... Mets-toi à genoux devant moi...

Elle n’hésita pas, sauf qu’elle préféra demeurer accroupie, ce qui ne pouvait que me plaire, puisqu’elle se caressait impudiquement sous mes yeux..

— Oui... Mamour... Fais-moi pipi dessus... Me disait-elle avec une voix chaude.

Ainsi encouragé dans ce vice, je pris mon sexe en mains et dirigeai mon jet doré vers son ventre, ses seins, remontant progressivement, alors que la coquine se branlait en même temps, ne résistant pas à cette suprême et très inattendue cochonnerie.
Mon jet finit par atteindre son cou, son visage, ses joues et bientôt Caline ouvrit la bouche pour les derniers jets, laissant couler de ses lèvres mon champagne doré, une cuvée de l'an 72…
Le carrelage de la salle de bains était souillé de mon urine.
Caline me sourit en se relevant pour me rouler une pelle au goût spécial.

— À mon tour, décida-t-elle. Allonges-toi sur la carrelage chéri. Oui, mon Amour... dans ta pisse…

Déférant à cette invitation, je vis Caline s’accroupir sur moi et, délicieusement impudiquement, s’écarter les lèvres intimes, pour à son tour, faire son pipi sur moi.
Son jet m’éclaboussait le ventre tandis que je serrai ma queue dans ma main. Elle me regardait me caresser sous son jet doré poursuivant sa miction, et comme pour moi, remontant vers mon visage.
Tout en continuant son pipi, elle plaqua sa vulve contre ma bouche ouverte, et je dus boire enfin les derniers jets de sa délicieuse urine.

Cette première expérience d’ondinisme nous laissa étonnés mais ravis de l’avoir ajouté à nos pratiques et, après avoir réparé nos dégâts avec deux serviettes en guise de serpillière, nous primes enfin une vraie douche, et poursuivîmes sur le lit notre soirée câline et coquine.

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Texte coquin : Chronique de notre vie 1/10
Histoire sexe : Une rose rouge
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