Chronique de notre vie 2/10
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Chronique de notre vie 2/10
2. Le cinéma.
Le temps était pluvieux ce jour-là. Nous avions deux heures à perdre dans cette ville inconnue. Déambulant dans la rue, nous avisâmes un cinéma où l’on passait un film sans grand intérêt, du moins pas autant que ce qui s’est passé durant cette mémorable séance.
Nous nous consultâmes d’un regard complice. C’était une petite salle. Nous prîmes place au fond. Caline, qui portait une jupe ample et un petit caraco de velours sous sa veste de cuir souple qu’elle retira bientôt, d’humeur fort amoureuse, s’était assise à ma gauche..
À ma droite, quelques minutes plus tard, vint s’installer une femme, brune à lunettes, apparemment seule, elle devait avoir notre âge, entre quarante et cinquante ans, portant tailleur. Je fus quelque peu contrarié de cette promiscuité, de nature à limiter certaines initiatives de mains baladeuses avec Caline.
Aussitôt le film démarré et le noir survenu, je passai un bras sur l’épaule de ma compagne pour laisser tomber ma main dans son décolleté et plus rapidement qu’il ne faut pour l’écrire, cette main glissait sous son caraco empaumer son sein gauche dont le mamelon, hyper réactif, durcissait sous ma caresse.
Elle me remercia de cette initiative par un patin des plus profonds et sans transition posa sa main sur ma cuisse, serrant ses doigts, puis très vite la plaça sur ma braguette alors que nous poursuivions nos jeux de langue, à l'instar de nos jeux de manuels.
D’un coup d’œil furtif, je lorgnai de l’autre côté. Ma voisine regardait fixement l’écran, semblant ignorer notre comportement.
Je fis remarquer à Caline, en profitant pour lui mettre ma langue dans l’oreille, que j’avais à ma droite une voisine qui risquait de se formaliser et de ne pas apprécier le spectacle.
— Et alors ? Me répondit-elle tout en bougeant sa main sur ma bosse. Hum... Tu bandes déjà comme un cerf mon chéri…
—Ninouuuu !!! Lui soufflai-je…
— Si on la gène, elle n’a qu’a s’asseoir ailleurs, poursuivit-elle en bougeant sa main.
Nous continuâmes ainsi nos jeux de mains. La mienne caressait ses seins l’un après l’autre sous son caraco. La sienne pressait ma braguette et serrait le tissu gonflé par mon excitation.
Nous franchîmes bientôt un nouvelle étape. C’est d’ailleurs Caline, comme souvent qui prit l’initiative, en dézippant la fermeture de ma braguette. Sa main fureta dans mon pantalon et ses doigts habiles baissèrent mon slip, de telle sorte qu’elle put caresser directement mon sexe, qu’elle masturbait avec deux doigts.
De mon côté, retirant ma main de dessous son caraco, je soulevai sa jupe progressivement, caressant sa cuisse gainée de bas dim up. J’arrivai bientôt tout en haut pour découvrir ma Caline sans culotte. Elle écarta obligeamment ses cuisses et je pus ainsi atteindre sa chatte que je trouvai humide et fort aise apparemment de se faire branler.
Ma princesse, tout en continuant d’agacer mon sexe toujours enfermé, avait glissé sa main libre dans son décolleté et la coquine continuait de s’exciter les seins.
Je jetai un nouveau coup d’œil à ma voisine et je crus cette fois percevoir qu’elle détournait rapidement la tête.
« Oh elle mate !» Me dis-je.
Je me penchai de nouveau vers Caline :
— Nanou chérie, je crois que la voisine regarde, tu sais ?
— Ah oui ? Répondit-elle.
Caline, à ma grande surprise, extirpa alors mon sexe de mon pantalon et se mit à le caresser, le masturber, serrant ses doigts sur la hampe, caressant mon gland, de telle sorte que notre voisine ne pouvait ignorer la situation.
— Si elle mate, autant lui en donner pour son argent non ? Répondit Caline.
— Ohhh !
Elle continua de plus belle, allant jusqu’à défaire ma ceinture et le bouton du pantalon et sortir mes testicules, qu’elle empauma de sa main experte .
Je me tournai alors vers cette femme qui cette fois ne détourna pas la tête. Elle regardait la main de ma coquine sur mon sexe et nos yeux se rencontrèrent. Après quelques secondes de cet échange muet, je vis qu’elle remontait sa jupe sur ses cuisses en écartant les jambes.
Je ne pouvais m’empêcher de regarder, interrompant mes caresses sur la chatte de Caline.
Bientôt, je découvris les bas de ma voisine et sa jupe relevée au plus haut qu’elle pouvait, je la vis glisser une main dans sa culotte alors qu’elle fixait la main de Caline s’activant sur ma queue.
Cette dernière, se pencha un peu et s’avisa de la tenue de la voisine. Elle sourit…
— Tu vois, Midou chéri, elle est excitée la dame... Dis, mon petit cochon, toi aussi ça t’excite non ?
— Euh…oui !
— Tu as envie de la toucher ?
— Non…
— Menteur !!! Si je n’étais pas là, tu le ferais. Ne dis pas non…
— C’est vrai…
— Vas-y…
— Quoi, tu veux que je euh…
— Oui, vas-y Hamed, caresses-la…
—Caline, vraiment, ça te dit que je la branle ?
— Ouiii... Vas-y fais la jouir, au contraire, ça m’excite…
Un moment hésitant, je posai ma main sur la cuisse de ma voisine.
— Vous permettez que je vous aide ? Lui dis-je.
Sans attendre sa réponse, je glissai ma main sur sa toison sombre et descendis vers sa fente. Aussitôt, elle retira sa propre main pour me laisser la place.
— Attendez ! Dit-elle.
Elle se souleva rapidement pour enlever complètement sa culotte et ainsi libérée de toute entrave, écarta les cuisses de nouveau.
Je reposai ma main et la caressai doucement. Elle était terriblement humide. Je cherchai son bouton que j'entrepris de rouler sous mes doigts. Elle émettait des soupirs de plaisir.
Caline serra davantage sa main sur ma queue dure et de son autre main, sa jupe relevée, elle se masturbait tout en me disant des cochonneries à l’oreille.
— Elle mouille... Dis- moi ? Vas-y Midou, branles-la cette salope. Elle écarte ses cuisses ? Tu le sens son clito ? Il bande ? Vas-y ouiiii... Caresses-la cette cochonne... Elle est venue pour ça, tu sais, pour se faire branler au ciné.
Mon action ne tarda pas à porter ses fruits et soudain, ma voisine serra les cuisses sur ma main. Je continuai à la branler au mieux. Elle poussa un gémissement qu’elle tenta d’étouffer. Elle jouissait.
Après quelques secondes d’immobilisme, et sans attendre, elle rabattit sa jupe sur ses cuisses et se leva brusquement pour sortir…
— Tu l’a bien fait jouir ? Demandai Caline.
— Oui, je crois… Pourtant je n’étais pas sur ma bonne main ! Répondis-je.
— C’est laquelle la bonne ?
— Celle-la ! Lui dis je reprenant ma caresse entre ses cuisses.
— Attends… dit-elle.
Sur-ce, Caline se pencha pour me prendre dans sa bouche. Elle n’eut que quelques aspirations à faire, tellement j’étais excité et je me répandis dans sa bouche. Comme à son habitude, elle avala tout mon sperme sans en perdre une goutte.
Elle se releva et je pus alors, tranquillement, longuement, doucement, la caresser à mon tour comme elle aimait, jusqu’à ce qu’elle jouisse à son tour.
Je me léchai les doigts de satisfaction.
Nous restâmes jusqu’à la fin du film à nous bécoter amoureusement.
À suivre...
Le temps était pluvieux ce jour-là. Nous avions deux heures à perdre dans cette ville inconnue. Déambulant dans la rue, nous avisâmes un cinéma où l’on passait un film sans grand intérêt, du moins pas autant que ce qui s’est passé durant cette mémorable séance.
Nous nous consultâmes d’un regard complice. C’était une petite salle. Nous prîmes place au fond. Caline, qui portait une jupe ample et un petit caraco de velours sous sa veste de cuir souple qu’elle retira bientôt, d’humeur fort amoureuse, s’était assise à ma gauche..
À ma droite, quelques minutes plus tard, vint s’installer une femme, brune à lunettes, apparemment seule, elle devait avoir notre âge, entre quarante et cinquante ans, portant tailleur. Je fus quelque peu contrarié de cette promiscuité, de nature à limiter certaines initiatives de mains baladeuses avec Caline.
Aussitôt le film démarré et le noir survenu, je passai un bras sur l’épaule de ma compagne pour laisser tomber ma main dans son décolleté et plus rapidement qu’il ne faut pour l’écrire, cette main glissait sous son caraco empaumer son sein gauche dont le mamelon, hyper réactif, durcissait sous ma caresse.
Elle me remercia de cette initiative par un patin des plus profonds et sans transition posa sa main sur ma cuisse, serrant ses doigts, puis très vite la plaça sur ma braguette alors que nous poursuivions nos jeux de langue, à l'instar de nos jeux de manuels.
D’un coup d’œil furtif, je lorgnai de l’autre côté. Ma voisine regardait fixement l’écran, semblant ignorer notre comportement.
Je fis remarquer à Caline, en profitant pour lui mettre ma langue dans l’oreille, que j’avais à ma droite une voisine qui risquait de se formaliser et de ne pas apprécier le spectacle.
— Et alors ? Me répondit-elle tout en bougeant sa main sur ma bosse. Hum... Tu bandes déjà comme un cerf mon chéri…
—Ninouuuu !!! Lui soufflai-je…
— Si on la gène, elle n’a qu’a s’asseoir ailleurs, poursuivit-elle en bougeant sa main.
Nous continuâmes ainsi nos jeux de mains. La mienne caressait ses seins l’un après l’autre sous son caraco. La sienne pressait ma braguette et serrait le tissu gonflé par mon excitation.
Nous franchîmes bientôt un nouvelle étape. C’est d’ailleurs Caline, comme souvent qui prit l’initiative, en dézippant la fermeture de ma braguette. Sa main fureta dans mon pantalon et ses doigts habiles baissèrent mon slip, de telle sorte qu’elle put caresser directement mon sexe, qu’elle masturbait avec deux doigts.
De mon côté, retirant ma main de dessous son caraco, je soulevai sa jupe progressivement, caressant sa cuisse gainée de bas dim up. J’arrivai bientôt tout en haut pour découvrir ma Caline sans culotte. Elle écarta obligeamment ses cuisses et je pus ainsi atteindre sa chatte que je trouvai humide et fort aise apparemment de se faire branler.
Ma princesse, tout en continuant d’agacer mon sexe toujours enfermé, avait glissé sa main libre dans son décolleté et la coquine continuait de s’exciter les seins.
Je jetai un nouveau coup d’œil à ma voisine et je crus cette fois percevoir qu’elle détournait rapidement la tête.
« Oh elle mate !» Me dis-je.
Je me penchai de nouveau vers Caline :
— Nanou chérie, je crois que la voisine regarde, tu sais ?
— Ah oui ? Répondit-elle.
Caline, à ma grande surprise, extirpa alors mon sexe de mon pantalon et se mit à le caresser, le masturber, serrant ses doigts sur la hampe, caressant mon gland, de telle sorte que notre voisine ne pouvait ignorer la situation.
— Si elle mate, autant lui en donner pour son argent non ? Répondit Caline.
— Ohhh !
Elle continua de plus belle, allant jusqu’à défaire ma ceinture et le bouton du pantalon et sortir mes testicules, qu’elle empauma de sa main experte .
Je me tournai alors vers cette femme qui cette fois ne détourna pas la tête. Elle regardait la main de ma coquine sur mon sexe et nos yeux se rencontrèrent. Après quelques secondes de cet échange muet, je vis qu’elle remontait sa jupe sur ses cuisses en écartant les jambes.
Je ne pouvais m’empêcher de regarder, interrompant mes caresses sur la chatte de Caline.
Bientôt, je découvris les bas de ma voisine et sa jupe relevée au plus haut qu’elle pouvait, je la vis glisser une main dans sa culotte alors qu’elle fixait la main de Caline s’activant sur ma queue.
Cette dernière, se pencha un peu et s’avisa de la tenue de la voisine. Elle sourit…
— Tu vois, Midou chéri, elle est excitée la dame... Dis, mon petit cochon, toi aussi ça t’excite non ?
— Euh…oui !
— Tu as envie de la toucher ?
— Non…
— Menteur !!! Si je n’étais pas là, tu le ferais. Ne dis pas non…
— C’est vrai…
— Vas-y…
— Quoi, tu veux que je euh…
— Oui, vas-y Hamed, caresses-la…
—Caline, vraiment, ça te dit que je la branle ?
— Ouiii... Vas-y fais la jouir, au contraire, ça m’excite…
Un moment hésitant, je posai ma main sur la cuisse de ma voisine.
— Vous permettez que je vous aide ? Lui dis-je.
Sans attendre sa réponse, je glissai ma main sur sa toison sombre et descendis vers sa fente. Aussitôt, elle retira sa propre main pour me laisser la place.
— Attendez ! Dit-elle.
Elle se souleva rapidement pour enlever complètement sa culotte et ainsi libérée de toute entrave, écarta les cuisses de nouveau.
Je reposai ma main et la caressai doucement. Elle était terriblement humide. Je cherchai son bouton que j'entrepris de rouler sous mes doigts. Elle émettait des soupirs de plaisir.
Caline serra davantage sa main sur ma queue dure et de son autre main, sa jupe relevée, elle se masturbait tout en me disant des cochonneries à l’oreille.
— Elle mouille... Dis- moi ? Vas-y Midou, branles-la cette salope. Elle écarte ses cuisses ? Tu le sens son clito ? Il bande ? Vas-y ouiiii... Caresses-la cette cochonne... Elle est venue pour ça, tu sais, pour se faire branler au ciné.
Mon action ne tarda pas à porter ses fruits et soudain, ma voisine serra les cuisses sur ma main. Je continuai à la branler au mieux. Elle poussa un gémissement qu’elle tenta d’étouffer. Elle jouissait.
Après quelques secondes d’immobilisme, et sans attendre, elle rabattit sa jupe sur ses cuisses et se leva brusquement pour sortir…
— Tu l’a bien fait jouir ? Demandai Caline.
— Oui, je crois… Pourtant je n’étais pas sur ma bonne main ! Répondis-je.
— C’est laquelle la bonne ?
— Celle-la ! Lui dis je reprenant ma caresse entre ses cuisses.
— Attends… dit-elle.
Sur-ce, Caline se pencha pour me prendre dans sa bouche. Elle n’eut que quelques aspirations à faire, tellement j’étais excité et je me répandis dans sa bouche. Comme à son habitude, elle avala tout mon sperme sans en perdre une goutte.
Elle se releva et je pus alors, tranquillement, longuement, doucement, la caresser à mon tour comme elle aimait, jusqu’à ce qu’elle jouisse à son tour.
Je me léchai les doigts de satisfaction.
Nous restâmes jusqu’à la fin du film à nous bécoter amoureusement.
À suivre...
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