Chronique de notre vie 4/10
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Chronique de notre vie 4/10
4.Le plateau de fruits de mer.
Il faut commencer par dire que Caline et moi partageons un goût immodéré pour les fruits de mer (je parle naturellement des vrais fruits de mer et pas seulement de la moule de Caline bien que ce joli coquillage va jouer un rôle important dans la soirée !).
Nous étions convenus ce soir-là de se faire un méga plateau de fruits de mer, crustacés huîtres et compagnie, le tout arrosé d’un puligny-montrachet dont j’avais prévu deux bouteilles.
Après une journée de mer, et une somptueuse virée en jet ski sur les vagues bretonnes, nous avions bien mérité ces agapes marines.
Ce plateau était superbement dressé lorsque nous débutâmes notre dégustation qui fut, dans un premier temps tout à fait normale.
Nous étions installés près de la cheminée où brûlaient quelques bûches et la température ambiante montait à raison de trois facteurs, le feu, le vin et le désir, étant précisé que la tenue de Caline était on ne peut plus minimale puisqu’après notre douche, nous nous étions limités à revêtir un simple short, l’un comme l’autre.
(Le lecteur aura compris que ce dîner était topless…)
Je ne sais si le déclenchement de ce repas de folie fut le fruit du hasard et en l’occurrence de ma maladresse, ou une intention délibérée de Caline, mais toujours est-il que "my love" se retrouva avec une projection accidentelle de mayonnaise qui aboutit en haut de son sein gauche.
— Ne bouges pas, Calinou ! Lui dis-je.
Je me penchai alors vers elle et d’un petit coup de langue, je lapai son sein, le nettoyant de cette efflorescence jaunâtre. Naturellement, je m’égarai légèrement sur le mamelon dans le souci de réussir une intervention impeccable et plus érectile que cela tu meurs, voilà le mamelon de Caline qui durci immédiatement…
— L’autre... Dit-elle en me montrant son autre sein…
— Nature ou avec mayonnaise ??
— Comme tu veux…
Comme je venais d’extirper quelques bigorneaux de leur coquille pour les poser sur une tranche de pain de seigle recouverte d’une couche de beurre demi sel (et non de missel), j’obéis à la suggestion de Caline et posant à la cuillère un peu de mayonnaise sur ce sein droit, j’y posai les bigorneaux et vint avaler le tout, tout en agaçant de mes dents le mamelon turgescent qui roulait entre mes lèvres.
Cette initiative marqua le départ d’une food partie aux crustacés et nous nous transformâmes en assiette l’un pour l’autre.
Nous innovâmes de bien des façons. Si la fellation au glaçon ne nous était pas inconnue, nous inaugurâmes la pipe à l’huître. Absolument délicieux. Comme le bulot au nombril ou le bouquet de crevettes à la cyprine.
Un moment, tout aussi étrange et excitant, fut d’introduire légèrement une moule d’Espagne dans la vulve de ma Caline et de l’ouvrir (la moule) doucement pour attraper la chair délicieuse.
— Un délice, cette belle moule…
Nous étions nus maintenant et, dans ce délire marin, nos corps étaient souillés de mayonnaise.
Je pris alors le tourteau que nous n’avions pas encore entamé et le posai sur Caline. Je fis en sorte de placer ses deux grosses pinces sur ses tétons. Je pressai un peu des deux doigts.
La situation était particulièrement excitante, le crabe semblant réellement pincer les mamelons de Ninou.
Nous poursuivîmes ce repas par d’autres consommations en nature et consommâmes ainsi deux fois le péché de chair…
À plus...
Il faut commencer par dire que Caline et moi partageons un goût immodéré pour les fruits de mer (je parle naturellement des vrais fruits de mer et pas seulement de la moule de Caline bien que ce joli coquillage va jouer un rôle important dans la soirée !).
Nous étions convenus ce soir-là de se faire un méga plateau de fruits de mer, crustacés huîtres et compagnie, le tout arrosé d’un puligny-montrachet dont j’avais prévu deux bouteilles.
Après une journée de mer, et une somptueuse virée en jet ski sur les vagues bretonnes, nous avions bien mérité ces agapes marines.
Ce plateau était superbement dressé lorsque nous débutâmes notre dégustation qui fut, dans un premier temps tout à fait normale.
Nous étions installés près de la cheminée où brûlaient quelques bûches et la température ambiante montait à raison de trois facteurs, le feu, le vin et le désir, étant précisé que la tenue de Caline était on ne peut plus minimale puisqu’après notre douche, nous nous étions limités à revêtir un simple short, l’un comme l’autre.
(Le lecteur aura compris que ce dîner était topless…)
Je ne sais si le déclenchement de ce repas de folie fut le fruit du hasard et en l’occurrence de ma maladresse, ou une intention délibérée de Caline, mais toujours est-il que "my love" se retrouva avec une projection accidentelle de mayonnaise qui aboutit en haut de son sein gauche.
— Ne bouges pas, Calinou ! Lui dis-je.
Je me penchai alors vers elle et d’un petit coup de langue, je lapai son sein, le nettoyant de cette efflorescence jaunâtre. Naturellement, je m’égarai légèrement sur le mamelon dans le souci de réussir une intervention impeccable et plus érectile que cela tu meurs, voilà le mamelon de Caline qui durci immédiatement…
— L’autre... Dit-elle en me montrant son autre sein…
— Nature ou avec mayonnaise ??
— Comme tu veux…
Comme je venais d’extirper quelques bigorneaux de leur coquille pour les poser sur une tranche de pain de seigle recouverte d’une couche de beurre demi sel (et non de missel), j’obéis à la suggestion de Caline et posant à la cuillère un peu de mayonnaise sur ce sein droit, j’y posai les bigorneaux et vint avaler le tout, tout en agaçant de mes dents le mamelon turgescent qui roulait entre mes lèvres.
Cette initiative marqua le départ d’une food partie aux crustacés et nous nous transformâmes en assiette l’un pour l’autre.
Nous innovâmes de bien des façons. Si la fellation au glaçon ne nous était pas inconnue, nous inaugurâmes la pipe à l’huître. Absolument délicieux. Comme le bulot au nombril ou le bouquet de crevettes à la cyprine.
Un moment, tout aussi étrange et excitant, fut d’introduire légèrement une moule d’Espagne dans la vulve de ma Caline et de l’ouvrir (la moule) doucement pour attraper la chair délicieuse.
— Un délice, cette belle moule…
Nous étions nus maintenant et, dans ce délire marin, nos corps étaient souillés de mayonnaise.
Je pris alors le tourteau que nous n’avions pas encore entamé et le posai sur Caline. Je fis en sorte de placer ses deux grosses pinces sur ses tétons. Je pressai un peu des deux doigts.
La situation était particulièrement excitante, le crabe semblant réellement pincer les mamelons de Ninou.
Nous poursuivîmes ce repas par d’autres consommations en nature et consommâmes ainsi deux fois le péché de chair…
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