cocu à sa demande suite 1
Récit érotique écrit par LING17 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-11-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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cocu à sa demande suite 1
Cocu à sa demande suite 1Après avoir accepter de me faire prendre dans les vestiaires par les joueurs, prenant un plaisir que je ne connaissais pas, je venais de dire à mon homme qui m’attendais à la maison, tout en sachant ce que je venais de faire que j’arrivai bientôt, accompagnée comme il le souhaitait par deux de mes amants d’un soir.
Heureusement lorsque nous sommes sortis des vestiaires, le stade était vide ; autrement, je me demande comment j’aurais pu expliquer, ma tenue, à moitié nue, seulement une grande serviette autour de moi, les cuisses couvertes de sperme, avec une bonne odeur de sexe sur moi. Difficile de dire que cinq mecs venaient de me baiser et de se vider les couilles en moi . Cependant je ne regrettais rien ; jean, en m’offrant à Paulo, m’avait fait découvrir mon envie de sexe et je comptais bien en profiter, tout en sachant que très certainement, il en retirerait beaucoup de plaisir ; son envie de me voir avec les deux joueurs en était la preuve. Reste à savoir si le fait que je me sois laissée prendre par le concierge, ce qui risquait de se savoir malgré tout, lui plairait. Mais il était trop trad et de toutes les façons, il avait mis le loup dans la bergerie. Jamais je ne mettais sentie aussi bien, aussi comblée.
Mon arrivée à la maison l’a malgré tout surpris, car, en sortant de l’auto, ils m’avaient retirée la serviette et c’est encadrée de mes deux amants que j’ai pénétré dans le salon, une main aux fesses. Son sourire était un peu crispé et quand je me suis approché de lui pour lui déposer un baiser sur les lèvres, il n’a pu que constater l’odeur de leurs spermes, que par deux fois j’avais avalé, ce que je ne fais pas souvent. Me tirant pat le bras, l’un des joueurs, disons José m’a entouré de ses bras, me plotant les seins et s’adressant à jean :« il parait que tu aimes la savoir avec un autre homme ; ce soir, quatre d’entre nous l’ont baisée , ainsi que le gardien ; mais manifestement, tu veux la voir jouir ;pas de problème, je te le promets, tu vas l’entendre, mais par contre, pas question pour toi de la toucher en notre présence. Par contre c’est dans votre chambre que l’on va te faire cocu : tu restes dans ton fauteuil et tu regardes comment ta douce femme va s’offrir à nos queues, si j’en crois la photo, bien plus conséquente que la tienne ; pas étonnant que nous la fassions mieux jouir ; nous avons tout notre temps « A peine dans la chambre, il m’a fait allongée sur le lit, sur le dos ,les cuisses ouvertes, dévoilant ma fente, les lèvres gonflée et rougies par les puissantes possessions, encore engluée de sperme, surtout du dernier. Jean pouvait voir les marques de doigts sur mes seins et mes tétons rougis et gonflés par leur doigt. Provocante, je le fixais, affalé dans le fauteuil, se demandant sans doute jusqu’où irait ma volonté de me faire saillir devant lui, mais, il y pensait sans doute aussi sans lui.
Lorsque les deux garçons furent nus, j’ai pu voir dans son regard l’étonnement, car même si sa queue est de proportion standard, là très excités, leurs queues avaient pris des proportions qui devaient facilement lui faire comprendre que j’allais prendre durement leurs chibres. Alors que José commençait à me doigter, , enfonçant progressivement ses doigts dans ma chatte ,Marc le deuxième a fourré sans, prenant ma tête à pleine main, se branlant vigoureusement , sans ménagement, sa bite entre mes lèvres. Soudain je n’ai pu retenir un cri, malgré la tige dans ma bouche ; José venait d’enfiler toute sa main dans ma caverne, certes bien dilatée, mais encore trop fermée pour se faire fister de telle façon ; dans ma matrice, ses doigts sont venus percuter le fond de mon ventre , avant de virevolter entre les parois distendues ; entre la contrainte de sa main en moi et ses va et viens , au fond de mon ventre est monté un plaisir encore inconnu et quittant brusquement la tige que je suçais, un rugissement a jailli, remontant de mes entrailles dévastés par la jouissance jusqu’à ma bouche ; je venais de découvrir le pouvoir d’un fist puissant.
Sans me laisser le temps de récupérer, après que Marc se soit allongé sue le lit, queue dressée vers le ciel, José m’a fermement planté sur son dard, avant de me faire coucher sur sa poitrine ; accroché à mes hanches, il s’est positionné derrière moi et poussant fermement, il est venu m’écarteler les parois, s’enfonçant sans pitié contre celle comblant déjà le vagin ; la douleur de cette double vaginale était terrible, des larmes sont venues sur mes yeux, mais Marc m’embrassant m’a dit« Ne t’inquiète pas, bientôt tu vas y prendre beaucoup de plaisir et tu en redemanderas plus tard ; il faut bien que tu découvres ce que ton homme ne te fait pas » il avait raison ; alors que les deux harmonisaient leurs coups de butoirs, surtout José d’ailleurs, mon vagin s’est relâché, encaissant maintenant assez facilement les deux chibres en lui ; marc me triturant les pointes de sein, José me percutant le fessier : je n’ai pas tardé à jouir m’écroulant sur la poitrine sous moi. Continuant à me pourfendre, José m’a demandé si je voulais que cela s‘arrête« Oh non, continuez, défoncez-moi, j’aime trop, je vous veux encore, j’aime trop quand vous me baisez »« Vas-y, dis-lui à ton homme ,combien, nous te faisons jouir, comment notre queue te remplit mieux que la sienne »Sans réaliser que j’allais sans doute le vexer, je ne me suis pas retenue « Putain c’est trop bon, depuis ce soir, je ne suis que jouissance, oui c’est vrai que vous me faites bien mieux jouir et que vos queues me défoncent complétement ; je suis à vous, je vous appartiens, engrossez-moi tous les deux, je veux sentir votre jute jusqu’à dans mon utérus. »Lorsqu’ils se sont vidés s en moi, sans doute pour la troisième ou quatrième fois de la soirée ; je n’ai pu résister » oh oui, jean c’est trop bon, ils m’engrossent totalement, encore, je jouis … »Ce n’est qu’un moment plus tard que j’ai repris conscience de la réalité ; jean mes yeux rouges, la queue flasque, alors qu’il avait manifestement juter sur le sol, me regardait, hagard. Les deux, la queue dégoulinante de nos semences le regardait, pleinement satisfait de leurs performances ; ils le pouvaient car ils m’avaient fait prendre un plaisir immense que je ne pouvais nier, malgré le fait que je venais de le faire pleinement cocu devant lui par deux males, qui je le sentais , ne souhaitaient que continuer. Entre pitié, reproche de m’avoir fait découvrir cette forme de plaisir, mais aussi de désir de retrouver cette finalité, je me suis approchée de lui, lui caressant doucement la joue, avant de lui déposer un baiser sur les lèvres« En m’offrant à Paulo, tu as ouvert un chemin vers un plaisir que je ne soupçonnais pas ; maintenant je pense que tu as pu voir, que non seulement je t’ai offert ce que tu attendais, mais qu’il faut que tu comprennes que maintenant, je ne pourrais plus m’en passer. Je reste ta femme, tu es le seul homme que j’aime, mais tu as mis le feu dans mon corps et je ne compte pas m’arrêter ; j’espère que cela te convient ; avec toi ou sans toi, mais toujours en te tenant informé, je vais poursuivre ce chemin vers le plaisir d’appartenir à un ou plusieurs hommes, sans que dorénavant tu puisses me le reprocher ou me retenir. D’ailleurs, s’ils sont d’accord, j’aimerais bien qu’ils restent cette nuit avec moi ; par contre pour toi, tu devras dormir ou écouter dans la chambre d’ami »Je me suis étonnée moi-même de cette décision, craignant cependant sa réaction, mais une fois encore je me trompais.
« Je comprends ta décision, j’ai pris beaucoup de plaisir à t’entendre jouir avec eux ; c’est moi qui t’es amenée à cette situation, mais je ne le regrette pas, soit sans craintes. »Sans plus me toucher, me laissant à leur merci, ce que j’avais souhaité, il m’a embrassé tendrement, puis il a disparu vers la chambre d’amis ; les deux lascars m’ont à nouveau allongée sur le lit ; ils avaient retrouvé leur virilité et j’appréhendais un peu car ma moule était encore sensible de cette double vaginale. Mais c’est à mon petit trou qu’ils se sont intéressés, me doigtant l’anneau alors qu’une queue envahissait mon palais. Je ne suis pas une adepte de la sodomie et là au vu de leurs tiges bien bandées, je me doutais que j’allais en prendre plein le cul ; bizarrement, l’appréhension a fait place à l’envie ; une nouveauté que mon cher et tendre, n’aurait pas le droit ensuite.
Perverse, je me suis mis en levrette, la tête sur le drap, la poitrine écrasée sous moi ; mes deux mains ont écarté mes lobes, dévoilant à la fois ma vulve et mon anneau, encore trop fermé sans doute :« J’en ai envie, mais faites doucement ; j’appréhende, mais je vous veux en moi ainsi, il sera encore plus cocu quand je le lui dirais demain. »Deux doigts ont continué à me dilater, ; je devais mordre le drap pour ne pas geindre, tant la douleur était là, malgré le fait qu’il prenait ma cyprine pour le dilater. Alors qu’il avait réussi à me pénétrer avec trois doits, il s’est retiré et crachant sur mon anneau dilaté, du moins je le croyais, son gland est venu s’appuyer dessus, puis lentement il s’est introduit dans mon fondement ; quand le gland a perforé l’anneau, me faisant perdre cette virginité, je n’ai pu retenir un cri, qui très certainement est arrivé aux oreilles de jean ; la douleur était atroce, mais sans pitié finalement, d’une poussée, il m’a investie totalement. Pendant de longues minutes, il m’’a ainsi enculée, douloureusement, puis la douleur s’est estompé et quand son sperme s’est répandu dans mes entrailles, le plaisir est arrivé, imprévu, intense, déclenchant une très forte émission de cyprine ; je venais de jouir pour la première fois de cette enculade Sans me laisser le temps de récupérer, le deuxième a pris la place, sans trop de difficulté tant mon anneau s’était ouvert, rejetant même le trop-plein de l’éjaculation précédente. Le plaisir est revenu très rapidement, malgré les coups de butoirs, malgré la queue qui me dévastait l’intérieur de mon conduit. J’ai joui très rapidement, puis une deuxième fois quant à son tour, il s’est vidé en moi ; j’étais comblée, le cul grand ouvert, sachant déjà que je me ferais à nouveau prendre ainsi.
Après leur départ, je me suis écroulée, épuisée par le plaisir
Heureusement lorsque nous sommes sortis des vestiaires, le stade était vide ; autrement, je me demande comment j’aurais pu expliquer, ma tenue, à moitié nue, seulement une grande serviette autour de moi, les cuisses couvertes de sperme, avec une bonne odeur de sexe sur moi. Difficile de dire que cinq mecs venaient de me baiser et de se vider les couilles en moi . Cependant je ne regrettais rien ; jean, en m’offrant à Paulo, m’avait fait découvrir mon envie de sexe et je comptais bien en profiter, tout en sachant que très certainement, il en retirerait beaucoup de plaisir ; son envie de me voir avec les deux joueurs en était la preuve. Reste à savoir si le fait que je me sois laissée prendre par le concierge, ce qui risquait de se savoir malgré tout, lui plairait. Mais il était trop trad et de toutes les façons, il avait mis le loup dans la bergerie. Jamais je ne mettais sentie aussi bien, aussi comblée.
Mon arrivée à la maison l’a malgré tout surpris, car, en sortant de l’auto, ils m’avaient retirée la serviette et c’est encadrée de mes deux amants que j’ai pénétré dans le salon, une main aux fesses. Son sourire était un peu crispé et quand je me suis approché de lui pour lui déposer un baiser sur les lèvres, il n’a pu que constater l’odeur de leurs spermes, que par deux fois j’avais avalé, ce que je ne fais pas souvent. Me tirant pat le bras, l’un des joueurs, disons José m’a entouré de ses bras, me plotant les seins et s’adressant à jean :« il parait que tu aimes la savoir avec un autre homme ; ce soir, quatre d’entre nous l’ont baisée , ainsi que le gardien ; mais manifestement, tu veux la voir jouir ;pas de problème, je te le promets, tu vas l’entendre, mais par contre, pas question pour toi de la toucher en notre présence. Par contre c’est dans votre chambre que l’on va te faire cocu : tu restes dans ton fauteuil et tu regardes comment ta douce femme va s’offrir à nos queues, si j’en crois la photo, bien plus conséquente que la tienne ; pas étonnant que nous la fassions mieux jouir ; nous avons tout notre temps « A peine dans la chambre, il m’a fait allongée sur le lit, sur le dos ,les cuisses ouvertes, dévoilant ma fente, les lèvres gonflée et rougies par les puissantes possessions, encore engluée de sperme, surtout du dernier. Jean pouvait voir les marques de doigts sur mes seins et mes tétons rougis et gonflés par leur doigt. Provocante, je le fixais, affalé dans le fauteuil, se demandant sans doute jusqu’où irait ma volonté de me faire saillir devant lui, mais, il y pensait sans doute aussi sans lui.
Lorsque les deux garçons furent nus, j’ai pu voir dans son regard l’étonnement, car même si sa queue est de proportion standard, là très excités, leurs queues avaient pris des proportions qui devaient facilement lui faire comprendre que j’allais prendre durement leurs chibres. Alors que José commençait à me doigter, , enfonçant progressivement ses doigts dans ma chatte ,Marc le deuxième a fourré sans, prenant ma tête à pleine main, se branlant vigoureusement , sans ménagement, sa bite entre mes lèvres. Soudain je n’ai pu retenir un cri, malgré la tige dans ma bouche ; José venait d’enfiler toute sa main dans ma caverne, certes bien dilatée, mais encore trop fermée pour se faire fister de telle façon ; dans ma matrice, ses doigts sont venus percuter le fond de mon ventre , avant de virevolter entre les parois distendues ; entre la contrainte de sa main en moi et ses va et viens , au fond de mon ventre est monté un plaisir encore inconnu et quittant brusquement la tige que je suçais, un rugissement a jailli, remontant de mes entrailles dévastés par la jouissance jusqu’à ma bouche ; je venais de découvrir le pouvoir d’un fist puissant.
Sans me laisser le temps de récupérer, après que Marc se soit allongé sue le lit, queue dressée vers le ciel, José m’a fermement planté sur son dard, avant de me faire coucher sur sa poitrine ; accroché à mes hanches, il s’est positionné derrière moi et poussant fermement, il est venu m’écarteler les parois, s’enfonçant sans pitié contre celle comblant déjà le vagin ; la douleur de cette double vaginale était terrible, des larmes sont venues sur mes yeux, mais Marc m’embrassant m’a dit« Ne t’inquiète pas, bientôt tu vas y prendre beaucoup de plaisir et tu en redemanderas plus tard ; il faut bien que tu découvres ce que ton homme ne te fait pas » il avait raison ; alors que les deux harmonisaient leurs coups de butoirs, surtout José d’ailleurs, mon vagin s’est relâché, encaissant maintenant assez facilement les deux chibres en lui ; marc me triturant les pointes de sein, José me percutant le fessier : je n’ai pas tardé à jouir m’écroulant sur la poitrine sous moi. Continuant à me pourfendre, José m’a demandé si je voulais que cela s‘arrête« Oh non, continuez, défoncez-moi, j’aime trop, je vous veux encore, j’aime trop quand vous me baisez »« Vas-y, dis-lui à ton homme ,combien, nous te faisons jouir, comment notre queue te remplit mieux que la sienne »Sans réaliser que j’allais sans doute le vexer, je ne me suis pas retenue « Putain c’est trop bon, depuis ce soir, je ne suis que jouissance, oui c’est vrai que vous me faites bien mieux jouir et que vos queues me défoncent complétement ; je suis à vous, je vous appartiens, engrossez-moi tous les deux, je veux sentir votre jute jusqu’à dans mon utérus. »Lorsqu’ils se sont vidés s en moi, sans doute pour la troisième ou quatrième fois de la soirée ; je n’ai pu résister » oh oui, jean c’est trop bon, ils m’engrossent totalement, encore, je jouis … »Ce n’est qu’un moment plus tard que j’ai repris conscience de la réalité ; jean mes yeux rouges, la queue flasque, alors qu’il avait manifestement juter sur le sol, me regardait, hagard. Les deux, la queue dégoulinante de nos semences le regardait, pleinement satisfait de leurs performances ; ils le pouvaient car ils m’avaient fait prendre un plaisir immense que je ne pouvais nier, malgré le fait que je venais de le faire pleinement cocu devant lui par deux males, qui je le sentais , ne souhaitaient que continuer. Entre pitié, reproche de m’avoir fait découvrir cette forme de plaisir, mais aussi de désir de retrouver cette finalité, je me suis approchée de lui, lui caressant doucement la joue, avant de lui déposer un baiser sur les lèvres« En m’offrant à Paulo, tu as ouvert un chemin vers un plaisir que je ne soupçonnais pas ; maintenant je pense que tu as pu voir, que non seulement je t’ai offert ce que tu attendais, mais qu’il faut que tu comprennes que maintenant, je ne pourrais plus m’en passer. Je reste ta femme, tu es le seul homme que j’aime, mais tu as mis le feu dans mon corps et je ne compte pas m’arrêter ; j’espère que cela te convient ; avec toi ou sans toi, mais toujours en te tenant informé, je vais poursuivre ce chemin vers le plaisir d’appartenir à un ou plusieurs hommes, sans que dorénavant tu puisses me le reprocher ou me retenir. D’ailleurs, s’ils sont d’accord, j’aimerais bien qu’ils restent cette nuit avec moi ; par contre pour toi, tu devras dormir ou écouter dans la chambre d’ami »Je me suis étonnée moi-même de cette décision, craignant cependant sa réaction, mais une fois encore je me trompais.
« Je comprends ta décision, j’ai pris beaucoup de plaisir à t’entendre jouir avec eux ; c’est moi qui t’es amenée à cette situation, mais je ne le regrette pas, soit sans craintes. »Sans plus me toucher, me laissant à leur merci, ce que j’avais souhaité, il m’a embrassé tendrement, puis il a disparu vers la chambre d’amis ; les deux lascars m’ont à nouveau allongée sur le lit ; ils avaient retrouvé leur virilité et j’appréhendais un peu car ma moule était encore sensible de cette double vaginale. Mais c’est à mon petit trou qu’ils se sont intéressés, me doigtant l’anneau alors qu’une queue envahissait mon palais. Je ne suis pas une adepte de la sodomie et là au vu de leurs tiges bien bandées, je me doutais que j’allais en prendre plein le cul ; bizarrement, l’appréhension a fait place à l’envie ; une nouveauté que mon cher et tendre, n’aurait pas le droit ensuite.
Perverse, je me suis mis en levrette, la tête sur le drap, la poitrine écrasée sous moi ; mes deux mains ont écarté mes lobes, dévoilant à la fois ma vulve et mon anneau, encore trop fermé sans doute :« J’en ai envie, mais faites doucement ; j’appréhende, mais je vous veux en moi ainsi, il sera encore plus cocu quand je le lui dirais demain. »Deux doigts ont continué à me dilater, ; je devais mordre le drap pour ne pas geindre, tant la douleur était là, malgré le fait qu’il prenait ma cyprine pour le dilater. Alors qu’il avait réussi à me pénétrer avec trois doits, il s’est retiré et crachant sur mon anneau dilaté, du moins je le croyais, son gland est venu s’appuyer dessus, puis lentement il s’est introduit dans mon fondement ; quand le gland a perforé l’anneau, me faisant perdre cette virginité, je n’ai pu retenir un cri, qui très certainement est arrivé aux oreilles de jean ; la douleur était atroce, mais sans pitié finalement, d’une poussée, il m’a investie totalement. Pendant de longues minutes, il m’’a ainsi enculée, douloureusement, puis la douleur s’est estompé et quand son sperme s’est répandu dans mes entrailles, le plaisir est arrivé, imprévu, intense, déclenchant une très forte émission de cyprine ; je venais de jouir pour la première fois de cette enculade Sans me laisser le temps de récupérer, le deuxième a pris la place, sans trop de difficulté tant mon anneau s’était ouvert, rejetant même le trop-plein de l’éjaculation précédente. Le plaisir est revenu très rapidement, malgré les coups de butoirs, malgré la queue qui me dévastait l’intérieur de mon conduit. J’ai joui très rapidement, puis une deuxième fois quant à son tour, il s’est vidé en moi ; j’étais comblée, le cul grand ouvert, sachant déjà que je me ferais à nouveau prendre ainsi.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Encore aucun avis !C'est à n'y rien comprendre ! Aucun lecteur pour donner son avis, positif ou négatif ? J'ai l'impression d'être l'auteur dépossédé de tout lecteur ! Dommage car si l'on oublie les fautes de frappe on peut très bien se régaler de ce récit ! Didier