Semaine vénitienne
Récit érotique écrit par LING17 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-02-2022 dans la catégorie Plus on est
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Semaine vénitienne
Semaine vénitienne
Pour mon anniversaire, ma petite femme m’a offert une semaine en amoureux à Venise, et cerise sur le gâteau, comprenant les trois derniers jours du festival. Dès notre arrivée, nous avons louer un déguisement pour pouvoir nous promener parmi les festivaliers en tenue souvent magnifique. Pour ma part, un costume de militaire sans doute de l’époque napoléonienne, et pour Nini, une superbe robe empire, dont le corset, se terminant à la limite des mamelons, lui donnait une poitrine disons provoquante.
Promenade époustouflante, au milieu de centaines de costumes, dans les rues de cette belle ville, se terminant Place St Marc, par un petit arrêt dans l’un des café renommé de cette place, pour le traditionnel chocolat. Peu de place, tables proches les unes des autres. A côté de nous, un couple, costumes royaux, mais surtout accompagné d’un superbe bouledogue français. Venant de perdre le nôtre, très rapidement les larmes sont venues aux yeux de Nini, tout en caressant le petit chien. Ce fut le début de nos échanges avec eux, même . Leur apprenant que c’était notre premier festival, ce qui nous ravisait, tout en regrettant de ne pouvoir assister aux soirées dont la réputation n’était plus à faire.
Alors que nous allions nous séparer, le ‘marquis’, n’ayant d’yeux que pour le décolleté de ma femme, nous a tendu un petit carton- Si cela vous tente, vous êtes les bien venus ce soir chez nous, voici l’adresse, vers 21 heures.
Bien évidemment, nous avons aussitôt accepté, les remerciant chaleureusement. Après quelques difficultés pour nous y retrouver dans le dédale des petits canaux, nous sommes arrivés devant un superbe hôtel. Après notre entrée, filtrée par deux gardes en tenue d’époque, nous avons été reçus par notre hôte, qui courtoisement nous a présenté à quelques personnes parlant français ; sans aucun doute beaucoup de difficulté pour nous faire comprendre, mais le regards hommes sur ma petite coquine, s’ajoutant à la découverte des dizaines de costumes les uns plus beaux que les autres, suffisait à notre plaisir, d’autant plus que le champagne était aussi de la fête. Souvent séparés, nos passions une superbe soirée, quand j’ai réalisé que cela faisait un très long moment que je n’avais pas revu Nini, ni auprès de moi, ni dans le salon principal.
Rien d’inquiétant, tellement l’hôtel était grand ; finalement je l’ai aperçu, descendant un escalier, au bras du ‘Marquis’, toute souriante. Arrivé près de moi, il a déposé un baiser sur les lèvres de Nini, puis s’adressant à moi, avec un grand sourire, il a avoué- Votre femme a été très accueillante et je l’en remercie. Ce qui me donne l’envie de vous revoir demain soir, dans une propriété voisine, comme mes invités, pour une soirée à m’en pas douter sans doute aussi libertine que maintenant. Si vous êtes d’accord, je vous ferais prendre à votre hôtel.
Sur le visage de Nini, manifestement l’invitation lui convenait. Aussitôt je confirmais notre accord, lui transmettant l’adresse de notre hôtel. La soirée se terminait et nous avons repris le chemin du retour. Alors que nous étions dans une ruelle bien déserte, elle m’a fait face, relevant sa robe, pour me faire découvrir ses cuisses pleines de sperme, mais aussi sa moule, gluante de sécrétion.
- Il était bien membré et il m’a bien fait jouir ; je te donnerais la suite dans notre chambre, pendant que tu baiseras ta petite salope.
A peine la porte refermée, je lui ai sauté dessus, retroussant sa robe, comme très certainement le marquis l’avait fait et d’une poussée, mon mandrin s’est enfoncé dans sa matrice engluée de semence. Très excité, la bourrinant puissamment, j’ai vite pris mon plaisir, le sien aussi, me déversant, mélangeant ainsi les spermes dans sa matrice. Elle n’a pas tardé à me raconter sa soirée.
- Plusieurs fois dans la soirée, je me suis fait ploter les fesses, certains hommes m’adressant sans doute des invites que je ne comprenais pas. Par contre, le marquis, comme tu l’appelles, m’avait, plus ou moins discrètement draguée, avant, alors que tu lorgnais sur le décolleté de ces dames, de me prendre par la main et m’emmener dans une chambre à l’étage. A peine arrivés, il m’a troussée, remontant ma robe sur mes reins, découvrant ainsi, comme tu le veux, l’absence de rempart pour mon minou. Je me suis retrouvée sur le lit, les cuisses largement ouvertes pour une saillie que j’attendais impatiemment. Pour lui, pas de fioriture et sortant un beau membre de son pantalon, il m’a investie d’une traite. Je n’ai pu retenir un oh de surprise, sans qu’il s’en émeuve. A commencé alors une pénétration puissante, performante, son vit me labourant délicieusement mes parois, largement dilatées par son mandrin. Ma jouissance a vite fait son œuvre, sans qu’il essaie de me bâillonner. Et quand il m’a abondamment fécondée, comme tu as pu le constater, un long cri a jailli de mes entrailles. Alors que je reprenais ms esprits, courtoisement il m’a aidée à me relever et à reprendre une tenue correcte, avant de quitter la chambre ; à ce moment j’ai constaté qu’il y avait eu plusieurs spectateurs. C’est ainsi que tu m’as découverte, fière à son bras, avant de te rejoindre.
- Je suppose que c’est la raison de son invitation demain soir- Oui et quand il m’en a parlé, en te rejoignant, me serrant un peu plus le bras, il a ajouté à mon oreille que je pourrais avoir une tenue très sexy. Voilà tu sais tout.
Il était évident que la soirée serait tout sauf sage et le lendemain allait confirmer le fait, bien aidée par la tenue que j’avais choisi pour Nini. Il voulait une tenue coquine, il allait être servi.
………….
C’était la dernière journée du festival ; nombreuses animations, défilés, démonstration de belles tenues, avec en fin d’après-midi, la descente de l’ange, depuis le Campanile, marquant la fin du carnaval, moment très attendu des festivaliers et très applaudi. Pour nous rien de particulier, si ce n’est la promenade dans les nombreuses ruelles, pour notre plaisir. Nous attendions la soirée. Nous en avons profité pour louer de nouvelles tenues.
Le soir comme prévu, un superbe canot ,un Riva des belles années, est venu nous chercheer, nous promenant un petit moment , nous faisant ainsi découvrir les merveilles enjambant et entourant les canaux ; Venise est belle le jour, elle est merveilleuse la nuit, enluminée, envoutante de secret. Finalement c’est tout près du pont Rialta, sur un ponton d‘un hôtel particulier que nous avons débarqué, accueilli par un homme en tenue d’hommes d’armes d’époque. Sympa.
L’accueil a été très chaleureux, par notre marquis, manifestement organisateur de cette soirée- Vous êtes resplendissante, je n’en attendais pas moins
Mais il ne s’attendait manifestement pas à la suite ; si pour moi la tenue de corsaire était un peu standard, celle de Nini ne l’était pas et quand j’ai retiré la cape la recouvrant, nous avons pu constater son étonnement en premier, puis son ravissement ensuite, son visage s’éclairant d’un splendide sourire- Magnifique, vous me surprenez et j’en suis raviEn effet sous la cape, Nini était pratiquement nue ; simplement des bandelettes se croissant sur ses seins, laissant bien visible les tétons saillants, un porte jarretelle vintage, dont les attaches pendaient le long de ses jambes, sans bas et un tanga en voile noire, s’ouvrant légèrement sous son minou ;il était en effet difficile qu’elle se promène sans slip , pour risquer un attentat à la pudeur en ville. Pour compléter, des bottines haut talon, galbant un peu plus sa cambrure. Provoquante, elle s’est approchée de lui, lui prenant une main, la déposant à l’entrée de sa grotte, puis l’embrassant ouvertement, elle l’a remercié de cette invitation- Comme vous le souhaitiez, je suis en coquine affirmée, j’espère que cela ne vous choque pas, mais vous pouvez constater que mon ventre lui aussi est ouvert à toutes propositions, honnêtes bien sûr, de vous ou de vos invités.
- Vous êtes divine et je suis sur que votre soirée et peut être plus sera un très bon souvenir de votre venue ; venez je vais vous présenter ma femme et ma fille.
Notre passage parmi les présents, trois couples et quatre ou cinq hommes, manifestement seuls, n’est pas passé inaperçu, mais Nini n’était pas la seule ingénue, offrant les délices de son corps . En effet, une belle femme, celle de notre hôte s’est avancée vers nous, simplement vêtue d’une superbe robe en soie, simplement fermé par un bouton en son milieu, laissant apercevoir à chacun d ses mouvements, non seulement une lourde poitrine, mais aussi son entrejambe manifestement bien découverte. Quant à sa fille, très jeune, la vingtaine pas plus, elle ne portait qu’un caraco couvrant à peine sa jeune poitrine et un petit short, moulant impudiquement sa vulve, bien saillante sous le fin tissu. Sans aucune gêne, les deux femmes nous ont embrassé, déposant leurs lèvres maquillées sur les nôtres. Nous tendant une coupe de champagne, coquine elle a ajouté :- Mon marquis m’a informée de sa possession hier soir ; il en a un très bon souvenir et je suis sûr que pour vous la soirée va être très chaude. Par contre, en bonne maitresse de maison, aussi libertine que lui, j’ai un retour à donner ; vous avez appartenu à mon mari et je me dois d’en faire autant avec le vôtre, Par courtoisie, mais aussi par envie et si j’en crois le regard de ma fille, je ne serais pas la seule à m’offrir à lui ; je suis sûr que cela ne vous dérangera pas Nini, Se penchant vers elle et l’embrassant à son tour sur les lèvres :- Non seulement je n’y vois aucun inconvénient, mais je prends toujours plaisir à savoir mon homme pleinement satisfait et je suis sûr qu’avec vous deux, ce sera le cas ; cela ne pourra que me donner des idées coquines, qui profiterons sans aucun doute, aussi bien à votre mari, mais comme vous l’espérez sans doute, à plusieurs de vos invités.
Pour mon anniversaire, ma petite femme m’a offert une semaine en amoureux à Venise, et cerise sur le gâteau, comprenant les trois derniers jours du festival. Dès notre arrivée, nous avons louer un déguisement pour pouvoir nous promener parmi les festivaliers en tenue souvent magnifique. Pour ma part, un costume de militaire sans doute de l’époque napoléonienne, et pour Nini, une superbe robe empire, dont le corset, se terminant à la limite des mamelons, lui donnait une poitrine disons provoquante.
Promenade époustouflante, au milieu de centaines de costumes, dans les rues de cette belle ville, se terminant Place St Marc, par un petit arrêt dans l’un des café renommé de cette place, pour le traditionnel chocolat. Peu de place, tables proches les unes des autres. A côté de nous, un couple, costumes royaux, mais surtout accompagné d’un superbe bouledogue français. Venant de perdre le nôtre, très rapidement les larmes sont venues aux yeux de Nini, tout en caressant le petit chien. Ce fut le début de nos échanges avec eux, même . Leur apprenant que c’était notre premier festival, ce qui nous ravisait, tout en regrettant de ne pouvoir assister aux soirées dont la réputation n’était plus à faire.
Alors que nous allions nous séparer, le ‘marquis’, n’ayant d’yeux que pour le décolleté de ma femme, nous a tendu un petit carton- Si cela vous tente, vous êtes les bien venus ce soir chez nous, voici l’adresse, vers 21 heures.
Bien évidemment, nous avons aussitôt accepté, les remerciant chaleureusement. Après quelques difficultés pour nous y retrouver dans le dédale des petits canaux, nous sommes arrivés devant un superbe hôtel. Après notre entrée, filtrée par deux gardes en tenue d’époque, nous avons été reçus par notre hôte, qui courtoisement nous a présenté à quelques personnes parlant français ; sans aucun doute beaucoup de difficulté pour nous faire comprendre, mais le regards hommes sur ma petite coquine, s’ajoutant à la découverte des dizaines de costumes les uns plus beaux que les autres, suffisait à notre plaisir, d’autant plus que le champagne était aussi de la fête. Souvent séparés, nos passions une superbe soirée, quand j’ai réalisé que cela faisait un très long moment que je n’avais pas revu Nini, ni auprès de moi, ni dans le salon principal.
Rien d’inquiétant, tellement l’hôtel était grand ; finalement je l’ai aperçu, descendant un escalier, au bras du ‘Marquis’, toute souriante. Arrivé près de moi, il a déposé un baiser sur les lèvres de Nini, puis s’adressant à moi, avec un grand sourire, il a avoué- Votre femme a été très accueillante et je l’en remercie. Ce qui me donne l’envie de vous revoir demain soir, dans une propriété voisine, comme mes invités, pour une soirée à m’en pas douter sans doute aussi libertine que maintenant. Si vous êtes d’accord, je vous ferais prendre à votre hôtel.
Sur le visage de Nini, manifestement l’invitation lui convenait. Aussitôt je confirmais notre accord, lui transmettant l’adresse de notre hôtel. La soirée se terminait et nous avons repris le chemin du retour. Alors que nous étions dans une ruelle bien déserte, elle m’a fait face, relevant sa robe, pour me faire découvrir ses cuisses pleines de sperme, mais aussi sa moule, gluante de sécrétion.
- Il était bien membré et il m’a bien fait jouir ; je te donnerais la suite dans notre chambre, pendant que tu baiseras ta petite salope.
A peine la porte refermée, je lui ai sauté dessus, retroussant sa robe, comme très certainement le marquis l’avait fait et d’une poussée, mon mandrin s’est enfoncé dans sa matrice engluée de semence. Très excité, la bourrinant puissamment, j’ai vite pris mon plaisir, le sien aussi, me déversant, mélangeant ainsi les spermes dans sa matrice. Elle n’a pas tardé à me raconter sa soirée.
- Plusieurs fois dans la soirée, je me suis fait ploter les fesses, certains hommes m’adressant sans doute des invites que je ne comprenais pas. Par contre, le marquis, comme tu l’appelles, m’avait, plus ou moins discrètement draguée, avant, alors que tu lorgnais sur le décolleté de ces dames, de me prendre par la main et m’emmener dans une chambre à l’étage. A peine arrivés, il m’a troussée, remontant ma robe sur mes reins, découvrant ainsi, comme tu le veux, l’absence de rempart pour mon minou. Je me suis retrouvée sur le lit, les cuisses largement ouvertes pour une saillie que j’attendais impatiemment. Pour lui, pas de fioriture et sortant un beau membre de son pantalon, il m’a investie d’une traite. Je n’ai pu retenir un oh de surprise, sans qu’il s’en émeuve. A commencé alors une pénétration puissante, performante, son vit me labourant délicieusement mes parois, largement dilatées par son mandrin. Ma jouissance a vite fait son œuvre, sans qu’il essaie de me bâillonner. Et quand il m’a abondamment fécondée, comme tu as pu le constater, un long cri a jailli de mes entrailles. Alors que je reprenais ms esprits, courtoisement il m’a aidée à me relever et à reprendre une tenue correcte, avant de quitter la chambre ; à ce moment j’ai constaté qu’il y avait eu plusieurs spectateurs. C’est ainsi que tu m’as découverte, fière à son bras, avant de te rejoindre.
- Je suppose que c’est la raison de son invitation demain soir- Oui et quand il m’en a parlé, en te rejoignant, me serrant un peu plus le bras, il a ajouté à mon oreille que je pourrais avoir une tenue très sexy. Voilà tu sais tout.
Il était évident que la soirée serait tout sauf sage et le lendemain allait confirmer le fait, bien aidée par la tenue que j’avais choisi pour Nini. Il voulait une tenue coquine, il allait être servi.
………….
C’était la dernière journée du festival ; nombreuses animations, défilés, démonstration de belles tenues, avec en fin d’après-midi, la descente de l’ange, depuis le Campanile, marquant la fin du carnaval, moment très attendu des festivaliers et très applaudi. Pour nous rien de particulier, si ce n’est la promenade dans les nombreuses ruelles, pour notre plaisir. Nous attendions la soirée. Nous en avons profité pour louer de nouvelles tenues.
Le soir comme prévu, un superbe canot ,un Riva des belles années, est venu nous chercheer, nous promenant un petit moment , nous faisant ainsi découvrir les merveilles enjambant et entourant les canaux ; Venise est belle le jour, elle est merveilleuse la nuit, enluminée, envoutante de secret. Finalement c’est tout près du pont Rialta, sur un ponton d‘un hôtel particulier que nous avons débarqué, accueilli par un homme en tenue d’hommes d’armes d’époque. Sympa.
L’accueil a été très chaleureux, par notre marquis, manifestement organisateur de cette soirée- Vous êtes resplendissante, je n’en attendais pas moins
Mais il ne s’attendait manifestement pas à la suite ; si pour moi la tenue de corsaire était un peu standard, celle de Nini ne l’était pas et quand j’ai retiré la cape la recouvrant, nous avons pu constater son étonnement en premier, puis son ravissement ensuite, son visage s’éclairant d’un splendide sourire- Magnifique, vous me surprenez et j’en suis raviEn effet sous la cape, Nini était pratiquement nue ; simplement des bandelettes se croissant sur ses seins, laissant bien visible les tétons saillants, un porte jarretelle vintage, dont les attaches pendaient le long de ses jambes, sans bas et un tanga en voile noire, s’ouvrant légèrement sous son minou ;il était en effet difficile qu’elle se promène sans slip , pour risquer un attentat à la pudeur en ville. Pour compléter, des bottines haut talon, galbant un peu plus sa cambrure. Provoquante, elle s’est approchée de lui, lui prenant une main, la déposant à l’entrée de sa grotte, puis l’embrassant ouvertement, elle l’a remercié de cette invitation- Comme vous le souhaitiez, je suis en coquine affirmée, j’espère que cela ne vous choque pas, mais vous pouvez constater que mon ventre lui aussi est ouvert à toutes propositions, honnêtes bien sûr, de vous ou de vos invités.
- Vous êtes divine et je suis sur que votre soirée et peut être plus sera un très bon souvenir de votre venue ; venez je vais vous présenter ma femme et ma fille.
Notre passage parmi les présents, trois couples et quatre ou cinq hommes, manifestement seuls, n’est pas passé inaperçu, mais Nini n’était pas la seule ingénue, offrant les délices de son corps . En effet, une belle femme, celle de notre hôte s’est avancée vers nous, simplement vêtue d’une superbe robe en soie, simplement fermé par un bouton en son milieu, laissant apercevoir à chacun d ses mouvements, non seulement une lourde poitrine, mais aussi son entrejambe manifestement bien découverte. Quant à sa fille, très jeune, la vingtaine pas plus, elle ne portait qu’un caraco couvrant à peine sa jeune poitrine et un petit short, moulant impudiquement sa vulve, bien saillante sous le fin tissu. Sans aucune gêne, les deux femmes nous ont embrassé, déposant leurs lèvres maquillées sur les nôtres. Nous tendant une coupe de champagne, coquine elle a ajouté :- Mon marquis m’a informée de sa possession hier soir ; il en a un très bon souvenir et je suis sûr que pour vous la soirée va être très chaude. Par contre, en bonne maitresse de maison, aussi libertine que lui, j’ai un retour à donner ; vous avez appartenu à mon mari et je me dois d’en faire autant avec le vôtre, Par courtoisie, mais aussi par envie et si j’en crois le regard de ma fille, je ne serais pas la seule à m’offrir à lui ; je suis sûr que cela ne vous dérangera pas Nini, Se penchant vers elle et l’embrassant à son tour sur les lèvres :- Non seulement je n’y vois aucun inconvénient, mais je prends toujours plaisir à savoir mon homme pleinement satisfait et je suis sûr qu’avec vous deux, ce sera le cas ; cela ne pourra que me donner des idées coquines, qui profiterons sans aucun doute, aussi bien à votre mari, mais comme vous l’espérez sans doute, à plusieurs de vos invités.
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