Le pari - suite et fin

- Par l'auteur HDS LING17 -
Récit érotique écrit par LING17 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Récit libertin : Le pari - suite et fin Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-01-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le pari - suite et fin
3.Le pari
Depuis trois ans , j’ai deux maris, l’un officiel, l’autre étant mon amant ;nous vivons ensemble ; pour mon plus grand bonheur, je suis comblée aussi bien sexuellement, qu’amoureusement ; très complices, ils sont délicieusement à mes côtés, ne sachant quoi faire pour m’apporter du bonheur. Sur le plan sexuel, j’ai diminué les rencontres , pleinement comblée, malgré leur plaisir de me voir me faire saillir par un taureau bien membré , à la surprise de celui qui me baise. les deux aimant se branler pendant que je me fais prendre, devant le pourfendeur , pour ensuite ,celui -ci parti ,de se « venger », me faisant alors subir une atroce et délicieuse séance de pénétrations qui me laisse toujours pantoise de plaisir.
J’avoue qu’un désir me taraude, avoir un enfant, sans avoir qui sera le père de mes deux amours ;cependant si je suis encore féconde, en principe, malgré l’absence de protection lors que je fais l’amour avec eux, et même avec max, rien ne se déclare et j’en arrive à croire que pour moi , malgré le fait que je n’ai que 44 ans , ma maternité ne veut plus de mon ventre, mais l’espoir fait vivre et un événement aller bouleverser la situation.
L’un de mes garçons vit en colocation, purement matérielle et Florian m’a demandé si nous pouvions l’héberger pendant un mois, car pour sa formation d’ingénieur, il devait faire un stage dans une entreprise de notre ville. J’avoue que sur le moment, cela ne m’a pas emballé, peut être en raison de notre situation un peu particulière, même si mon fils était au courant ; mais à deux contre une, mes maris m’ont convaincue. Il est vrai que pour lui c’était une condition indispensable, n’ayant personne dans la région.
Courtois, sympa, manifestement très cultivé, il s’est vite intégré, mes deux hommes trouvant en lui un partenaires pour de longues discussions sur les techniques automobiles, passion commune aux trois. Pour moi, je ne retenais qu’une belle prestance et surtout une galanterie qui ne pouvait que me séduire. Par contre il pouvait constater que je m’offrais aux deux, même si nous faisions preuve de discrétion le plus possible, mais mes cris de jouissance le soir ou la nuit, devaient être bien entendu de la chambre d’amis, lui prouvait si besoin était que je leur appartenais totalement. J’avais beau essayer de ne pas répondre aux sollicitations de l’un ou de l’autre le soir devant la télé où sur la terrasse, il était évident que cela l’excitait, ce que Pierre a eu vite fait de repérer.
« regardes , tu le fais bander » Le malheureux ne sait plus comment se comporter et il quitte la pièce en rougissant ; il faut dire que Pierre me caressait les cuisses, la jupe remontée, découvrant mon pubis et très certainement ma fente , car lorsque je suis avec eux, je ne porte plus de slip. Les jours suivant, à ma demande, ils ont été un peu plus sages, avant que leur démon ne les reprenne: celui de m’exhiber. Avec en résultat, à nouveau une belle branche sous le pantalon, mais cette fois sans qu’il quitte la pièce. Pour moi, une excitation sans borne, ma chatte déversant la preuve sur la main de celui qui me fouillait la chatte »« Elle te plait ? »Je suis surprise par la question ; c’est Jean qui s’adresse à Paul, notre jeune étudiant ; j’essais de limiter les dégâts en essayant de reprendre une attitude plus seyante, mais Pierre ne me laisse pas faire, d’autant plus que Jean a renouvelé sa question , auquel Paul répond avec un temps de retard :« Oui elle est très belle »« Cela t’excite de la voir ainsi, peut-être voudrais tu en voir plus »Et sans que je puisse réagir, il arrache les boutons de mon corsage, dévoilant ma poitrine partiellement couverte par un soutien sein, laissant la moitié libre de tout contrainte et surtout mes tétons , tendus , bien visibles. Finalement je me laisse faire, comprenant qu’ils ont envie de me voir avec lui et quand Pierre me fait mettre debout, me débarrassant de ma jupe, Paul peut découvrir la totalité de mon ventre. Il ne bouge pas, tétanisé par la situation . Quand je me mets à genoux devant lui, ouvrant son pantalon, il ne bronche pas ; le slip suit le même chemin et un braquenard me saute à la figure ; pour être bien membré , il l’est ; long, très long, mais assez fin, son gland déborde de la tige quand ma bouche se pose sur lui, un sursaut traverse mon futur partenaire. Rapidement il reprend ses esprits et ses mains s’appuient sur ma tête, enfonçant un peu plus le dard dans ma gorge ; j’aime pratiquer les sucettes ; j’essaie de le gober en entier et il ne me faut pas longtemps pour le faire juter.
Derrière moi , c’est pierre qui s’est investi dans ma chatte, me laissant le visage collé contre le vit qui vient de me remplir la gorge de sa semence ; ainsi appuyée sur lui, il ne peut bouger et il assiste à cette possession, interdit par la situation, mais ce qui lui redonne rapidement une belle virilité ; ce qu’il voit l’excite ; quand Pierre se retire et me place sa queue gluante dans la gorge, il m’offre en même temps« Vas -y prend la , fait la jouir, elle va aimer »Il n’hésite pas longtemps et son jeune dard me pénètre d’une poussée ; je ne peux dire qu’il m’a beaucoup fait jouir en cette première pénétration, mais alors qu’il vient de juter dans mon con, il ne perd pas sa virilité, bien au contraire, il me besogne beaucoup plus ardemment et le résultat est une vraie jouissance qui déclenche une profusion de cyprine tout autour de sa puissante bite . Quand il se retire, un flot de semence s’écoule le long de mes cuisses. A sa grande surprise,, il voit jean se placer entre mes cuisses et laper ma chatte engluée de notre plaisir.
Les jours qui ont suivi, il a semblé m’éviter, rentrant plus tard ou s’enfermant dans sa chambre ; bizarrement mon ventre le réclamait, alors que mes amants me procuraient toujours autant de plaisir et de pénétrations. Un après midi, je suis rentée sans que mes hommes soient de retour. Il était devant la télé et il regardait manifestement un film de cul. Je me suis aperçu que c’était un dvd qu’avait fait jean, il y a au moins cinq ans, où je me faisais prendre par trois hommes , offerts par mon mari pour mon anniversaire ; bien entendu, il avait la main sur la bite et il se branlait ; quand il m’a aperçue, il a voulu se réfugier dans sa chambre, mais l’attrapant par le bras, c’est vers la mienne que je l’ai entrainé, lui sautant dessus pour qu’il me possède, ce qu’il a fait ,me faisant jouir plusieurs fois, me fécondant deux fois de suite.
A dater de ce jour, ce n’est plus trois hommes qui avaient la possibilité de me saillir, mais quatre, car Paul avait compris qu’il pouvait disposer de moi selon ses envies, que mes maris soient là ou pas. De mon côté je me suis livrée sans réserve, lui apprenant tout sur les diverses façons de me faire jouir ; il a pu ainsi me prendre dans toutes les positions, me sodomiser, me prendre en double soit avec pierre soit avec jean, lui donnant même accès à une véritable double , jean me possédant la chatte, lui envahissant mon petit trou ; bon élève, il a vite appris à me lécher aussi bien avant qu’après que je me sois fait féconder ,par lui ou par l’un des deux autres.
Alors que nous venions de passer une soirée, tous les quatre, juste avant le départ de Paul, me faisant sans surprise posséder de nombreuses fois au cour de la nuit, au matin, alors qu’il avait regagné sa chambres, moi épuisée , la chatte et le cul en feu ,tellement ils avaient profité de moi, je me suis lovée dans les bras de mes deux amours et sans réfléchir sur la teneur de ma phrase, je leur ai dit :« mes salauds, je suis fourbu, vous m’avez fait jouir une bonne partie de la nuit et je ne sais combien de fois vous m’avez engrossée, terme qui les a bien fait rire.
Par contre , pour une fois, mes règles ne sont pas venues. J’étais enceinte, sans aucun doute de l’un des quatre hommes qui m’avaient ensemencée pendant cette période, sans savoir lequel d’entre eux en était le procréateur ; ce qui me convenait d’ailleurs ; neuf mois plus tard, j’ai accouché d’une jolie petite fille, qui fait maintenant le bonheur de mes deux maris ; nous vivons toujours ensemble, malgré les arrières pensées de certains de notre entourage.
Le jour de son anniversaire, Pierre lui a offert un petit cœur en argent en ajoutant, « je suis sure qu’elle fera le bonheur d’un ou plusieurs de ses amants, comme le fait si bien sa jolie et coquine maman. »

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