Semaine vénitienne suite1

- Par l'auteur HDS LING17 -
Récit érotique écrit par LING17 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Récit libertin : Semaine vénitienne suite1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Semaine vénitienne suite1
Notre arrivée a certes fait sensation, mais un regard autour de nous montre facilement le coté libertaire de la soirée ; deux femmes sont dans des postures leur permettant de se faire prendre en levrette, alors qu’une troisième, la poitrine totalement découverte, se fait butiner les tétons par deux preux chevalier, ses gémissement traduisant son plaisir, d’autant plus qu’une main doit lui visiter la foufoune. La plus part des autres hommes matent en attendant d’avoir une place dans le scénario.
Très rapidement Nini a disparu de mon entourage, très certainement accaparée par le Marquis. Je le comprends d’autant plus que sa femme s’est collée à moi, pour une dance qui n’at rien de vénitien, simplement un bon vieux slow, permettant tous les contacts. Et elle ne se gêne pas, frottant son bassin contre mon ventre, ressentant rapidement la bosse se formant dans mon pantalon. J’aurais sans aucun doute préféré que ce soit sa fille, mais le plaisir est cependant de la partie ;Écartant facilement les rebords de sa tunique, je peux m’occuper de ses mamelles, lourdes mais fermes, avec de larges auréoles et un très gros téton, bien bandé par le désir. Mes doigts jouent avec eux, les triturant, ne tenant pas compte des regards autour de nous. Mais ses gémissements deviennent de plus en plus fort et malgré mes lèvres collées aux siennes, cela devient une vraie provocation. Soudain, elle s’écarte, ôtant le bouton qui maintient, si peu, sa tunique fermée ; elle est nue, sans rempart, offerte à tous les assauts, ce qui donne des idées à un homme, constamment à coté de nous ; voulant poser ses mains sur elle, elle le repousse violement puis m’ entraine dans un petit salon.
Sa tunique est restée derrière la porte, quand à mon pantalon, il suivi t le même le même chemin ; se mettant à genoux devant moi, elle gobe mon chibre , avant de le sucer avec intensité, gloutonnerie, jouant en même temps avec mes boules. Sans être une pro, elle sait ce qu’elle fait et pour ne pas jouir, je me retire, la redressant afin de l’allonger sur une méridienne . sans que j’ai le besoin de le faire, ses cuisses se sont écartées, dévoilant de grosses lèvres entourant une belle fente, rouge, brillante de cyprine, coiffé d’un gros bourgeon bien sorti de sa cachette. Plongeant entre ses cuisses, ma bouche se pose sur lui, le titillant, l’agaçant par de petites morsures, avant que ma langue s’invite entre ses parois béantes. Tout en lui prodiguant ce cunni qu’elle semble apprécier, mes doigts viennent caresser son petit trou, avant de s’inviter dans l’anneau, certes encore serré ; mais qui manifestement s’ouvre, preuve sans aucun doute qu’elle a déjà connu la sodomie.
- Prends-moi, je te veux, viens me faire jouirSi sa soudaineté de son aveu, me surprend, je n’ hésite âs pour la satisfaire ; lui déposant les jambes sur mes épaules, écartelant encore un peu plus sa chatte, j’ engouffre ma tige dans le chaud conduit, plein de mouille, la pénétration s’accompagnant de propos que je ne peux comprendre, mais qui traduisent très certainement, son plaisir. Ainsi embrochée, je peux envahir sa caverne percutant parfois le fond de sa matrice , ce qui à chaque fois provoque des jurons de sa part.
Me retirant, je l’ai fait mettre à genoux, m’offrant pleine vue sur son sillon que je me suis empressé de visiter, glissant ma tige sur toute sa longueur, avant d’une poussée lui envahir de nouveau son abricot béant. En raison de la violence de cette pénétration cela me vaux une borée de jurons que l’on peut sans doute traduire par - Salop, tu viens de me défoncerMais en étant certain qu’elle y prend plaisir, car sous les coups de butoirs qui font tressauter ses nénés, sa jouissance n’a pas tardé jaillir, m’inondant la queue de cyprine, s’écoulant ensuite sur nos cuisses tant elle est prolifique. Me retirant de sa vulve, je glisse mon gland plein de mouille sur son sillon, le pressant sur son anneau ; reculant son bassin , elle s’empale littéralement sans un cri lorsque l’anneau a cédé, permettant ainsi une sodomie que j’espérais et elle aussi car elle n’arrête pas de m’encourager et là à la française- Oh oui, encore, défonces moiInutile de me le dire deux fois et puissamment je l’ encule profondément, la faisant jouir une nouvelle fois, femme fontaine libérant toute sa semence. Pour moi le moment de juter est imminent et l’emprisonnant , lui enserrant le bassin, profondément enfoncé en elle, je lui ai graissé les entrailles, à chaque jet lui frappant ses parois déclenchant un bruyant feulement. Autour de nous une odeur de sexe, de sperme flotte, sans qu’elle s’en préoccupe. Se redressant, m’embrassant à pleine bouche, remettant sa tunique sans la fermer, elle m’ entraine . Sur le chemin nous avons rencontré sa fille, nous dévisageant, avant de me dire, en bon français cette fois- Tu viens de niquer ma mère, mais avant que tu m’en fasses autant, viens voir ta femme, elle ne s’ennuie pas non plus.
M’entrainant à l’étage, nous nous sommes dirigés vers une chambre d’où vient, facile à reconnaitre pour moi, les cris de jouissance d’une femme, ; autour du lit, deux hommes nus, se branlent matant ma douce femme en train de se faire prendre en double, l’un estla marquis, l’autre un des invités, un métisse et les deux savent l’emmener dans les tours de la jouissance tant ses cris sont perceptibles, même du couloir.
Discrètement nous nous sommes rapprochés, sans nous faire remarquer de Nicole, trop occupée par les deux chibres enfoncés dans sa matrice ; elle se fait prendre en double vaginale , ce qu’elle aime particulièrement. Par contre, l’un des hommes se branlant sans me reconnaitre s’est penché vers moi :- C’est une sacrée baiseuse, c’est la deuxième fois qu’elle se fait prendre en double et elle en réclame encore. Elle doit être pleine de sperme , car nous l’avons tous ensemencéeEn effet Nicole réclame bruyamment que ses deux pourfendeurs la baisent encore plus profondément, avec satisfaction si l’on en croit ses beuglements de plaisir. J’avoue que j’aime la savoir ainsi et que je n’ai pas tardé à retrouver ma virilité, d’autant plus que la jeunette a pris possession de mon service trois pièces, tout en essayant de me narguer- Tu vois, elle ne se gène pas pour te faire cocu, et je suis sûr que mon père va vouloir la garder cette nuit, sans doute avec un ou plusieurs de ses comparses ; il aime posséder ainsi ses conquêtes, ;c ’est pour cela qu’il vous a invités, mais je vois que cela t’excite- Oui j’aime la voir se faire saillir ainsi mais aussi le retrouver pleine de sperme ; mais pour l’instant c’est de toi que je vais m’occuperLa collant devant moi, sans tenir compte des voyeurs, j’ai ouvert son boléro, lui molestant les seins, avant de lui triturer les tétons, les faisant grossir entre mes doigts, puis alors que ses gémissements se soient fait entendre des autres, j’ai baissé son short, glissant ma queue le long de son sillon et ayant trouvé presque facilement l’entrée de sa caverne, je l’ai empalée, mon bassin venant claque sur le sien et déclenchant une petite protestation- Salop, tu aurais pu me préparer; tu me déchires la moule- Tu as voulu me provoquer, tu en payes le résultat ; non seulement je vais te défoncera, mais j’espère bien qu’ensuite, avec un ou deux partenaire, ton abricot, mais aussi ton petit cul en prendront cher me retirant de son ventre bien humide, je glisse mon gland sur son sillon, l’emprisonnant par les hanches et sans l’avoir prévenu, je la sodomise, ma tige perforant sans pitié son anneau et s’engouffrant puissamment dans ses entrailles ; un terrible cri jaillit alors que son anneau cède sous la pression, ce qui ameute les trois comparses sur le lit, mais aussi les hommes nous entourant. Si des larmes s’ écoulent, à aucun moment elle se retire ; la laissant respirer, avant de reprendre mon enculade, finalement elle s’est ouverte, libérant le passage pour une sodomie profonde, puissante et pouvant durer car j’ai joui avec sa mère. Alors qu’elle recule son bassin pour mieux me recevoir, dans la chambre, les trois acolytes viennent de jouir, ensemençant très certainement ma petite salope de femme.
Elle s’avère être une parfaite amante, m’encourageant de la défoncer, écartant ses lobes pour mieux dévoiler sons anneau bien dilaté. C’est à ce moment que je découvre un homme assez jeune , se branlant à coté de nous ; le lit est libre car Nicole s’est éclipsée en compagnie de ses pourfendeurs. Soudain j’ai envie de faire découvrir, après ses provocations , à cette jeune femelle le pouvoir de deux hommes. J’invite l’homme en question à s’allonger sur le lit et me retirant provisoirement de ma conquête, libérant ainsi son petit cul, je le plante sur le mat dressé, non dans sa vulve, mis dans l’anneau béant ; elle n’a pas le temps de réagir que déjà je présente le mien contre le chibre en elle et sans pitié, j’élargie le passage , me frayant le passage difficilement, tellement elle est serrée.
Elle renâcle , pleure essaie de se retirer de cette double emprise , mais rie n’y fait, mon comparse lui enserrant le bassin avec ses bras0 soudain un terrible cri : mon vit vient de la posséder totalement ; elle vient de se faire prendre en double , son petit cul dévasté par nos deux membres bien bandés. C’estfinalement moiqui donne le rythme et elle encaisse d’abord en g émissant de douleur tant son anneau est écartelé, puis doucement , elle commence ) y prendre plaisir- C’est trop gros, mais j’aime vous sentir en moi ainsi, défoncez-moi, faite s de moi une petite salope aimant deux grosses queuesSous pression tous les deux tellement elle est serrée, nous ne résistons pas longtemps et c’est deux éjacujations qui lui remplissent les entrailles- Oh oui je sens votre jute en moi, c’est trop bon ..
Repus tous les trois, nous récupérons ensembles ; alors que l’homme s’éloigne, elle se love contre moi- C’est la première fois ainsi pour moi ; j’ai dégusté mais vous m’avez fait jouir comme jamais ; je pense que je vais pouvoir passer la nuit avec toi, car je ne vois plus ta charmante coquine ; elle doit avoir trouver un autre endroit pour subir les assauts de mon père, mais aussi, comme nous avons pu le voir, ceux sans doute des autre je sais que je vais devoir partager avec ma mère qui aime elle aussi ce genre de situation et je l’ai entendu jouir avec toi tout à l’heure.
La nuit va être très chaude.
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Texte coquin : Semaine vénitienne suite1
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