Le pari - histoire érotique

Nous sommes un couple candau, surtout d’ailleurs lui car pour moi, je le laisse me choisir les hommes avec qui je vais jouer ; il connait très bien mes gouts en ce qui concerne le physique de mes amants et j’y prends beaucoup de plaisir ; m’offrir aux saillies devant lui , ce qui lui donnent beaucoup de plaisir, est une joie pour moi, lui prouvant à chaque fois mes jouissances , souvent foudroyantes, lorsque mes amants sont performants. Mais il est rare que j’ose faire le premier pas, me contentant sans aucun problème du choix de jean ; si j’aime le sexe , je n’en reste pas moins assez discrète.
Mon physique ne laisse pas nos amis indifférents, mais je laisse une barrière entre nous ; assez grande, une belle poitrine qui tient fermement malgré mes deux grossesses, un joli fessier et un ventre bien plat, sans aucun poil, ce qui laisse ma chatte bien visible lorsque j’ose la dévoiler car je ne suis pas exhibitionniste.
Depuis quelque temps nous avons de nouveaux voisins, le père et son fils. Lui , 40/45 ans bel homme, assez austère, son fils , la vingtaine, manifestement encore étudiant. Nous avons droit à un simple bonjour lorsque nous les rencontrons dans l’escalier, pas plus. Par contre, nous n’avons jamais vu de femme dans leur entourage. Lors d’une soirée d’hiver, la conversation est venue sur eux, sans réel sujet, mais à un moment j’ai dit à jean que notre voisin était manifestement un bel homme et qu’il était dommage qu’une femme n’en profite pas.
« Pourquoi il t’intéresse ? » La question m’a surprise car ce n’était pas du tout le cas« Non et de plus, je ne pense pas que nous soyons un pôle d’attraction pour lui ; jamais un sourire ou un petit mot ; mais reconnait qu’il est plutôt bel homme , comme son fils d’ailleurs »« Oui c’est vrai, et tu es trop timide pour les aborder, lui ou son fils »« Oui c’est vrai, heureusement que tu es là pour me trouver des amants » lui dis-je en riantIl reste songeur un petit moment puis m’embrassant fougueusement il me dit« Je te propose un pari, si tu gagnes, je t’offre un super resto gastro, si tu perds, c’est toi, ok ! »« cela dépend du pari, car avec toi, je m’attends à tout »« Tu le dragues et c’est le pari, car cela va t’obliger à faire cet effort qui te coute tant, faire le premier pas »« C’est tout, seulement l’inviter, le draguer ? »« Oui, par contre si tu en as la possibilité , tu peux aller plus loin et dans ce cas, c’est un voyage à venise en amoureux »« Tu es fou, je ne le pourrais pas »« Dans ce cas , tu me dois un bon repas »J’avoue que si le pari me parait aussi stupide qu’irréalisable , je suis tentée de le provoquer« Ok pari tenu, au moins pour la première partie ; tu sais que cela va m’être difficile à réaliser, mais tant pis pour toi, surtout si j’arrive à le draguer car dans ce cas , tu ne devras pas être présent, c’est ma condition pour te faire payer ta démarche »Je venais à peine de dire oui que je le regrettais déjà.Pour moi, le plus dur a été de provoquer le contact ; si lorsque je suis avec un homme, le plus souvent devant mon mari, je deviens une véritable diablesse, mais ce n’est jamais moi qui commence. Là je n’avais pas le choix car je voulais lui prouver que je pouvais éventuellement m’offrir. Finalement , j’ai trouvé un motif très plausible pour frapper à leur porte.
« Bonjour, je suis désolée de vous déranger, mais je suis à la porte ; en sortant pour aller au courrier, j’ai claqué la porte et mes clés sont à l’intérieur ; le bouquet, mon mari est sur la route et il ne sera là que dans une heure ; me permettez vous de l’attente chez vous, car cela me gène de rester à la porte et je n’ai pas un centimes pour aller prendre un café »J’ai débité sans m’arrêter, peur de perdre mes moyens. Il m’observe, toujours aussi sévère, avant de me laisser entrer.
« Il serait dommage que je laisse une si jolie femme sur le palier ; entrez, mon fils ne va pas tarder et même si je dois partir avant le retour de votre mari, il sera là , sans problème »Tout en me parlant, il me déshabille du regard ; il faut reconnaitre que j’ai mis tous les atouts de mon côté ; uns courte jupe portefeuille qui a la malencontreuse habitude de s’ouvrir facilement quand je marche ou croise mes jambes, et un caraco couvrant ma poitrine, mais il est évident que je n’ai pas de soutien-gorge, tant les tétons pointent sous le fin tissu. Son visage est devenu plus doux et je sens ses yeux sur mes fesses lorsque nous nous dirigeons vers le salon.
Courtoisement il m’offre un café et nous dévissons, faisant connaissance pour la première fois ; il est courtois, parfois malicieux, mais toujours observateur ; je dois reconnaitre que mon jeu de jambe est bien volontaire et rapidement il doit pouvoir découvrir une bonne partie de mes cuisses.
« Vous étés ravissante, je découvre une voisine très sexy ; je regrette de n’avoir pas osé converser avec vous plus tôt , mais il vrai que très souvent, vous étiez en charmante compagnie ,il aurait été malvenue de ma part de vous importuner » Je réalise qu’il a dû comprendre que les visiteurs étaient plutôt des amants et le rouge me monte au visage ; il s’en aperçoit et posant sa main sur la mienne, il s’excuse de ses propos déplacés, à son avis ; mais pour moi, cela ouvre une porte pour que je puisse gagner mon pari ; d’autant plus qu’il n’a pas quitté ma main , ses doigts me caressant la paume. Ne penchant pour prendre ma tasse, ce qui fait bailler mon caraco, lui permettant de découvrir la profonde vallée de ma poitrine ;J’en profite pour écarter un peu plus mes jambe, ce qui , faisant remonter ma jupe, doit lui permettre de découvrir au moins mon string et sans doute plus car je le sens coincé entre mes lèvres, humide du plaisir naissant.
»votre mari n’est pas jaloux d’avoir une si jolie femme avec tant de charme qu’elle n’hésite pas à dévoiler ? »« « non pourquoi ? il devrait s’inquiéter de ma présence chez vous ? Je crois au contraire qu’il est heureux que nous ayons pu faire connaissance »« Même si je suis un peu entreprenant avec vous, »En effet, il s’est levé de son fauteuil pour venir s’assoir à coté de moi et une main se pose sur ma cuisse ; je pense qu’il a compris que je suis disposée à étendre la connaissance entre nous.il n’a pas bougé, attendant sans doute une réaction de ma part, mais elle ne vient pas.
« Pourquoi serait-il jaloux, à moins que vos intentions soient plus coquines qu’une seule visite de courtoisie »Il a compris que je ne résisterais pas et sa main glisse vers mon entre cuisse et un doigt vient caresser ma fente par-dessus le string bien enfoncé dans ma chatte ; l’intrusion est rapide et je me retrouve avec deux doigts , puis trois qui me fouillent le vagin, mon string ayant été rapidement arraché.
« Sait-il que vous êtes venu pour que je vous courtise et que très certainement vous allez finir dans mon lit ? »Je décide de ne pas être trop explicite sur mes aventures , mais je lui avoue que très certainement il a compris ma démarche, car honnêtement le motif que j’ai utilisé est totalement faux. Pour bien lui faire comprendre mon envie, j’écarte largement mes cuisses, ma jupe remontant sur mon bassin, lui laissant libre accès à un jeu aussi imprévu que plaisant. En quelques secondes , il est devant moi, totalement nu, arborant un fier membre, bien tendu, de belles dimensions. Mes vêtements eux aussi sont à terre ;Me prenant par la main, il m’entraine dans une chambre et me plaquant à plat ventre sur le lit, il s’embroche puissamment dans mon vagin, certes bien humide, mais encore peu ouvert ; je ne peux retenir un petit cri , mais il continue et sa tige est bientôt totalement en moi et quand il commence à me pistonner, je sens ses lourdes couilles venir battre contre mon sillon ;la pénétration est puissante, profonde et il s’accroche à mes seins pour mieux me percuter ;mon ventre éclate sous le nombreuses pénétrations et je ne peux retenir un jet de cyprine , inondant le lit, mais aussi annonciateur d’une jouissance qui ne tarde pas à déferler, d’autant plus qu’il en profite pour me martyriser les tétons, ce que j’aime quand je me fais prendre. Là le plaisir est total et quand il veut se retirer, sans doute près à éjaculer, je le retiens , enserrant sa tige entre mes parois :« Non, viens en moi, donnes-moi ta semence ; j’ai trop envie que tu me fécondes »Il se cambre, s’appuyant fermement sur mon bassin, la queue profondément enfoncé dans ma matrice, à son tour il jouit, déversant de nombreux jets de spermes qui s’enfonce profondément en moi, prolongeant, amplifiant la jouissance qui me dévaste.
Si sa performance a été très courte, il n’a pas débandé, et m’allongeant sur le lit, il s’allonge contre moi, s’enfonçant pour la deuxième fois dans un vagin englué , béant, s’ouvrant pour mieux le recevoir ; cette fois, il est beaucoup plus long à jouir, me maintenant constamment dans un long chemin de plaisir, me faisant jouir plusieurs fois, , s’arrêtant parfois pour me dire des mots tantôts coquins, tantôt tendres, parfois beaucoup plus crus, mais cela ne me gêne pas , bien au contraire, cela m’excite, car quand il me traite de petite salope, je ne peux que lui répondre que c’est vrai et que je viens de lui en donner la preuve ; nous venons de passer un long moment ensemble et taquin, il me demande :« Ton mari ne va pas s’inquiéter , car cela fait beaucoup plus d’une heure que nous sommes ensemble ; « « non ne t’inquiète pas ; tu as dû comprendre que nous sommes libertins et qu’il sait très bien ce que nous faisons maintenant ; de toutes les façons , il sera au courant, règle quand j’ai des relations et qu’il n’est pas présent »« Tu veux dire qu’il assiste , et peut être même participe quand tu te fais prendre par un autre homme »« Oui, il est caudauliste et pour lui c’est un grand plaisir de me voir et de m’entendre jouir devant lui ; cela te choque ?
« Non pas du tout, un peu étonnant, mais pourquoi pas , si cela vous donne à tous les deux le plaisir « « Cela te gène si je lui passe un coup de fil maintenant »« Non, voilà mon téléphone, car je suppose qu’il est aussi à l’extérieur de ton appartement, me dit-il en riant »« Coucou, mon cœur, ne t’inquiété pas, je suis entre de bonnes mains, qui d’ailleurs sont en train de me caresser les seins ou la chatte ; c’est un bon amant ; n’oublie pas de confirmer les billets pour venise ;baisers , à tout à l’heure »Quand je raccroche, c’est pour sentir à nouveau sa queue à l’entrée de ma chatte. Une nouvelle fois il me fait jouir tout en me traitant de petite salope et alors qu’il vient de me féconder une nouvelle fois , il s’allonge sur le dos et me plante sur sa queue encore un peu bandée« si j’ai bien compris, ton homme t’offre, avec ton consentement à un ou peut-être même plusieurs inconnus et tu en profites , devant lui ; il ne peut plus t’honorer ou c’est parce qu’il est un peu pervers »Je ne retire de lui, furieuse de son résonnement et je m’apprête à partir, mais il me retient et s’excuse de ses propos« Je suis désolé, mais j’ai du mal à comprendre, alors je suppose que cette rencontre était organisée »« oui , c’est un pari car je n’ose jamais provoquer et jean m’a mis au défaut de te séduire, en échange si je gagnais un voyage à venise ; il est toujours performant, simplement il sait que j’aime faire l’amour devant lui, ou même sans lui, et c’’est un jeu qui nous profite à tous les deux ; il n’y a rien de pervers de sa part »« Autrement dit, si je le voulais , il serait d’accord pour te voir avec moi « « Bien sûr, de la même façon si je séduisais ton fils, car il me plait beaucoup »« Tu aimerais faire l’amour avec nous deux, devant lui éventuellement ; il est toujours au courant de tes aventures ? »« Oui pour les deux questions ; »« Tu as déjà eu un amant, je veux dire un homme que tu voyais souvent, sans lui »« Tu es bien curieux, mais oui, j’ai eu un amant pendant un an, avant que je le quitte parce qu’il devenais trop exigeant ; je n’en ai plus actuellement »« Et cela te manque, »« Non, mais il me plairait de retrouver ce plaisir d’appartenir à un amant, avec l’accord de jean bien sur »« J’aimerais bien être celui-là, si cela te fait envie, je suis d’accord pour que tu séduises mon fils ; je crois qu’il est encore seul et cela lui ferait du bien »« pourquoi pas, mais pour nous deux , il est encore un peu tôt, bien que j’aime ta façon de me posséder et je ne serais pas contre qu’au lieu de me baiser, tu puisses me faire l’amour.
Même si j’ai envie qu’il me possède à nouveau, je le quitte pour rejoindre jean, lui racontant mon aventure et mon pari gagnant, tout en lui indiquant l’envie de notre voisin »« Tu aimerais qu’il soit un nouvel amant ! »« Oui je crois, mais avant j’aimerais qu’ils me baisent tous les deux, lui et son fils ensembles, même si je pense que c’est irréalisable »Ce en quoi je me trompais ; finalement ce pari stupide au départ se termine par un nouvel enjeu, autrement plus excitant.