COLLECTION DÉPUCELAGE. La croisière s’amuse. (5/5) - histoire érotique

Viviane, Jacqueline sans compter maman qui semble avoir un béguin pour Gavin le commandant de bord et maintenant Ingrid que je déniaise semble avoir le feu au cul ce qui est loin de me déplaire.
Le jeu du clavier continu, malgré ce que vient de m’écrire Inge, je connais comment procéder quand elle sort une nouvelle capote et qu’elle me masturbe énergiquement pendant que je lui embrasse les seins.
Qui a dit que des jumelles étaient la copie conforme l’une de l’autre, je constate que c’est faux car Ingrid a les seins finissant par une grosse fraise alors qu’Inge me les offre en forme de poire.
J’aime manger ces fruits aussi je la titille jusqu’à quand je sens sous mes doigts qu’elle est prête à me recevoir.
Elle veut taper sur le clavier mais la place est restreinte gênée par sa sœur.
Il y a deux lits nous nous réfugions sur le deuxième ou elle écarte directement ses cuisses, m’attrape et me plante en elle.
Je commence à la labourer avec l’étroitesse de tout à l’heure en moins mais je veux varier les plaisirs et je la fais changer de position la plaçant en levrette.
Aucune traduction nécessaire dans ces moments-là les bruits émient par sa bouche étant identique dans toutes les langues quand elle commence à crier son plaisir et comme sa sœur finit par avoir un orgasme.
Je vais pouvoir gonfler mes pectoraux, les deux filles ayant eu un plaisir intense les obligeant à reconnaître le bon amant devenu en si peu de temps.

Sur le lit voisin un léger bruit m’interpelle, Ingrid vient de se réveiller à changer de position se tournant sur le côté pour mieux nous voir.
Elle a les yeux bien ouverts et semble obnubilée par mon sexe entrant et sortant du vagin de sa sœur, a-t-elle l’impression de se voir quand elle-même prenait son plaisir il y a quelques minutes.
Je souhaite voir si elle veut participer au jeu alors je quitte Inge, m’allonge sur le lit amenant ma partenaire à venir s’empaler à califourchon sur ma verge.
La barrière de la langue m’empêche de faire comprendre à Ingrid ce que j’attends elle mais un geste de ma tête lui fait comprendre.
Elle se lève et vient se mettre comme sa sœur à califourchon sur ma figure amenant sa chatte et surtout son clito sur ma bouche.
Ma langue pénètre en elle trouvant au passage quelques bribes de sang de son hymen que je nettoie consciencieusement.
Mon léchage doubler des montés et descente du fourreau sur ma verge leur font de l’effet et j’ai l’insigne honneur de faire jouir les deux filles simultanément ce qui entraîne le remplissage de ma capote dans un même cri.

Chaque fille trouve sa place de chaque côté de moi et nous nous endormons quelques minutes.
Je me glisse vers le pied du lit ma rhabille et quitte la cabine fière du mâle dominant que je suis devenu.

Il est drôle que malgré mes exploits sexuels je sente que dormir me sera impossible, je me dirige vers la salle des machines à sous.

• Tient mon gentil puceau, viens me porter chance j’en ai besoin.
• Tu as la tête d’une femme frustrée, pourtant je t’ai laissé dans les bras du beau Raoult coureur de jupons invétéré !
• Et toi, j’ai apprécié ta manière de te casser, laissant sa femme dans les bras du beau ténébreux qui t’a pris pour son fils.
La tête qu’elle a fait quand elle t’a vu récupéré par les jumelles et quitté la salle.
• Et toi Raoult ?
• Le Rabbit il doit récupérer de ses exploits.

Je suis étonné et tout en lui parlant j’introduis un billet et dans un même mouvement nous déclenchons nos machines.

• Le Rabbit ?
• Le Rabbit en anglais, Hase en allemand et le lapin en Français.
• L’allemand j’ai donné toute la nuit.

Elle éclate de rire en même temps que nous tirons ensemble chacun de notre côté sur nos manches.

• Quand nous dansions, il était intarissable sur ce que sa verge allait me faire mais c’était bien ma chance, il y a un seul éjaculateur précoce certainement sur le bateau et c’est moi qui ai tiré son numéro de cabine.
• Emmanuelle vous a rejoint.
• Non et c’est dommage elle m’aurait sucé le clito et j’aurais peut-être joui, dès la porte passée Raoult m’a laissé me déshabiller et dès qu’il a été nu m’a couché sur le lit m’a pénétré et il a rempli sa capote, il a passé plus de temps à la mettre sur sa queue qu’à me baiser.

Le doux bruit de nos machines nous ayant fait gagner se fait entendre.

• Un peu plus de 8 000 €, tu me portes vraiment chance.
• Excuse-moi je t’ai une nouvelle fois battu 28 000 €, c’est incroyable qui de vous me fait cocu pour avoir autant de chance.
• Et moi que devrais-je dire.
• Viens, prend le ticket nous nous ferons payer demain j’ai sommeil.

Nous rejoignons sa cabine et elle me laisse prendre une douche pendant qu’elle se démaquille.
Dès que j’ai fini je m’allonge pour l’attendre et je dois m’endormir.

• Alors lâcheur, tu te réveilles enfin.
• Il est quelle heure ?
• 14 heures, nous sommes en escale à Split, tu viens à terre nous allons visiter le port car pour le reste il est trop tard.
• Tu tiens vraiment à visiter le port de Split.
• Quand je sens ce que je tiens dans ma main et après la nuit de frustration que j’ai passée je crois que notre escale en Croatie se termine là.

En prononçant ses mots elle me prend en bouche et me suce en me masturbant.
Elle relève la tête une seconde avant de replonger sur ma tige.

• Souviens-toi de mon numéro de cabine.

Deux fois 69, une fois est suffisant quand je pivote et que ma bouche vient caresser et mordiller son clito.
L’intérieur de l’intimité d’une femme, Viviane m’ouvre à l’envie de les avoir toutes sous ma bouche dans les jours les mois et les années suivant cette mémorable croisière, je sens que le feuilleton va bien porté son nom, depuis ce jour la croisière s’amuse.

• Tu sais que j’ai quand tu me prends en levrette, laisse-moi me mettre en position.

Je la libère, elle me libère et se positionne, voir le cul des nanas sera aussi pour moi dans mon futur une vision qui va se reproduire même si je suis étonné de ce que me demande la dame.

• Christian, sodomise-moi, tu verras ma rondelle est assez souple pour te recevoir.

Enculer une femme, aussi âgée que maman m’interroge maman se laisse-t-elle sodomiser, je préfère évité d’y penser plus longtemps.
C’est ainsi les bourses vides et les poches pleines d’un ticket valant de l’or que je rejoins ma cabine.
Celle de maman est vide le lit semblant être resté fermée.

La croisière va se poursuivre jusqu’à Savone, je croise maman qui semble vivre un rêve sur ce bateau sans qu’elle émette le moindre regret.
De mon côté les quatre femmes que j’ai comme maîtresses se relayent sans me poser de question me prenant à tour de rôle.
Dois-je parler de la chance que j’ai le dernier soir avant de rejoindre les jumelles pour apprendre l’allemand et ou en sortant je tire sur un bandit manchot et que je gagne un pactole me permettant d’avoir une vie agréable jusqu’à la fin de mes études ?

• Monsieur, le commandant vous demande acceptez-vous de me suivre.

Pourquoi refuserais-je de rencontrer Gavin, il a été cordial quand il m’a demandé l’autorisation de baiser maman.

• Entrer Christian Alice a quelque chose à vous dire.

Maman est assise dans un fauteuil et Gavin me fait asseoir face à eux avant de s’asseoir sur le bras de celui de maman et de lui caresser la nuque.

• Chérie, évite de me juger mais je viens d’avoir ton père et nous t’annonçons que nous divorçons.
Il y a plus d’un an que je voulais le faire mais Alain m’a fait promettre de rester jusqu’à cette croisière que nous voulions t’offrir pour tes dix-huit ans.
J’ai rapidement pris conscience que nous espérions que ce voyage recollerait notre couple et ce qui est arrivé à ton père a précipité les choses car j’ai rencontré Gavin qui m’a choyé pendant toute la semaine et dès que notre divorce sera prononcé il va m’épouser.
Nous habiterons chez lui à Marseille ou selon ce que décidera ton père car il me semble qu’il souhaite bouger tu seras le bienvenu chez nous.
• J’ai fait beaucoup de choses cette semaine sur tous les plans aussi vivez votre vie j’aurais toujours plaisir à venir chez vous mais j’ai assez d’argent pour m’assumer.
• Merci mon fils je savais que j’avais mis au monde un garçon extraordinaire.

ÉPILOGUE :
Un peu plus de trois ans se sont passés depuis notre croisière, je revois Viviane chaque fois que je vais à Aix, nous sommes toujours amant mais amant d’amitié.
J’habite en alternance avec mon emploi à Marseille tout près de maman et de Gavin qui file le parfait amour.
Papa est parti en avion réaliser son rêve de jeunesse de soigner les populations africaines.
Quand je suis à Marseille, Emmanuelle vient me voir avec mon fils qui va bientôt rentrer à la maternelle.
Mon fils et mon filleul car quelques semaines après la croisière de mes 18 ans elle est venue me dire qu’elle était enceinte.
Elle est venue avec l’échographie montrant que c’était un garçon et la lettre qu’elle avait reçu d’un laboratoire après avoir fait un examen des spermatos de Raoult car comme il la baisait en éjaculateur précoce elle s’inquiétait d’avoir un enfant.
La lettre expliquait qu’il était stérile, elle lui a caché et servi de ce voyage pour faire ce qu’il faut pour qu’il soit enfin père.
On va dire que l’enfant peut être de ses nombreux amants mais elle a tenu à ce que nous fassions un test ADN qui a prouvé ma paternité.
Raoult est un papa-gâteau pour mon fils.
Sa mère quand je la retrouve, aime que je lui mette un petit coup de queue.
C’est lui qui a souhaité que je sois le parrain de son fils disant que notre rencontre leur avait porté chance.
Nous envisageons de lui faire le plaisir qu’il ait sa fille qu’il réclame à cor et à cri à Emmanuelle et depuis sa dernière visite les capotes sont enlevées chaque fois que je lui fais l’amour.
Les jumelles, elles viennent en vacances chez moi pendant huit jours, elle parle le français couramment, assez pour baiser avec elles sans ordinateur.
Inge finit ses études pour être traductrice et Ingrid plus longue de médecine.
J’ai parlé des différences physiques entre les deux sœurs j’en ai découvert une autre, Inge aime que je la sodomise alors que sa sœur refuse cette pratique sexuelle.

En ce moment je rentre dans la salle de restaurant du navire de croisière où je viens d’être nommé commandant en second ma casquette sous le bras.
Je rejoins à leur table maman et Gavin qui font leur voyage de noces sur le bateau qu’il a commandé, il est en tenue de gala.
J’ai fait mes études en alternance dans une école marseillaise qui forme les futurs commandants de bord.
Je sais c’est le rôle du commandant de venir voirent les passagers mais depuis notre départ il est couché victime d’un léger mal de mer qui va le tenir quelques heures allongées.

À leur table où j’ai prévu d’avoir une chaise libre je retrouve la jolie blonde que nous avons accueillie à l’embarquement et qui va sûrement venir visiter le navire sous ma houlette dans les heures prochaines.
Pendant que la croisière s’amuse, je suis un homme comblé avec une vie de rêve.