COLLECTION DOMINANT DOMINE. La forge de l’enfer (4/4) - histoire érotique

COLLECTION DOMINANT DOMINE. La forge de l’enfer (4/4)


Notre première soirée avec nos premiers clients bat son plein et toute notre attention se porte principalement sur les deux femmes à la demande des maris qui ont programmé avec nous un week-end de soumission, cadeau pour leurs femmes.

Nous avons de la chance avec ces deux premiers couples, les bouchons de champagne sautent les uns après les autres, nous avons trois week-ends sur quatre de retenue par des clients et dès le premier nous aurons équilibré le budget qu’il nous faut pour vivre de notre nouvelle passion avec Valérie.

Les deux coupes de champagne étant servies, je rentre dans la pièce.
Sophie, notre cliente, est dans la cage suspendue, elle aussi par un palan trois mètres au-dessus du sol.
Quand elle me voit arriver, elle est assise presque recroquevillée vue la hauteur et le volume, c’est la seule position que l’on peut adopter, ses mains enserrent les barreaux qu’elle a devant elle, ses fesses reposent sur les barres de ferrailles qui doivent la gêner, le temps que je la rejoigne, je la voie changer deux fois de position.
Certaines de ces cages au Moyen Âge avaient des clous qui rentraient dans le fondement du supplicié chaque fois qu’il bougeait rouvrant des plaît ou en ouvrant de nouvelles, le supplicier se vidait de son sang goutte à goutte jusqu’à sa mort dans d'atroces souffrances.
J’ai adapté la cage, sur les barres placées sous les fesses, sont munies de rivets assez gros et ronds pour les agresser sans les blesser.
Je tends sa coupe à notre amie qui la prend et boit avidement sans attendre, la séance précédente ou toutes ses cavités ont été sollicitées par la bite de son ami Tristan et mes trois acolytes espagnols lui ont donné soif.

• Merci Maître Christian, votre pilori est magnifique, mais mes genoux sont endoloris d'être restés aussi longtemps à quatre pattes pendant que tous les hommes s’occupaient de moi, la sensation d’être un objet est phénoménale et ces messieurs mon fait énormément jouir.
Pouvez-vous me faire sortir, maintenant j’ai mal aux fesses, je pensais trouver le repos quand Maître Valérie m’y a enfermer, mais je m’aperçois que c’est pire que ce que je pensais à cause des parties rondes qui sortent des barres ou je suis assise.
Vous êtes sadique Maître Christian.

Sophie peut toujours parler, elle a raison, je suis le Maître de cette forge et à ce titre les manants et manantes n’ont que le droit de se taire, mais je suis au-dessus d’eux et ma bouche reste close derrière ma cagoule.
Je bois ma coupe lentement, après l’avoir posé, je tends ma main et je caresse la chatte de ma cliente, la séance précédente a dû être agréable bien que ses genoux aient été agressés, car elle est emplie d’une substance visqueuse et mes doigts peuvent entrer et venir agresser son clitoris.
C’est du sperme, mes adjoints travaillant la bite couverte, ce doit être Tristan qui a déchargé dans sa chatte, les deux couples doivent avoir des rapports non protégés, je pense qu’ils ont fait les tests nécessaires.
Le traitement au début lui plaît se tortillant et je sens son bouton se développer grâce à ma caresse.
Je sais le plaisir qui doit monter en elle non pas, parce que je suis entré dans la cage pour l'essayer avant de mettre les rivets, mais parce que Valérie m’a expliqué que rapidement mes rivets mixtés avec des caresses lui ont apporté douleur et plaisir.

• Arrêté Maître, non continué, je vois que vous savez ce que votre cage m’apporte comme plaisir et souffrance, Christophe est chaudronnier, il va me construire une cage comme la vôtre et ainsi entre le lit qu’il m’a déjà construit où il m’attache des heures quand mon travail me le permet je vais aimer rester des longs moments suspendus.

Un murmure de plaisir sort de sa bouche quand mes doigts coulissent encore plus librement au moment où son corps se vide littéralement de sa cyprine.
Rares seront celles qui sortiront de ma cage la chatte sèche et Valérie que j’enferme régulièrement pour entretenir notre amour fait sortir de son sexe des jets de liquide étant femme fontaine comme doit l’être Sophie.
Je retourne vers mes autres convives, je les trouve auprès de Silviane qu’ils ont détachée et qui gît littéralement sur le lit, elle semble dormir, mais a des soubresauts et de petits rires que certains interpréteraient comme satanique.

• Christophe que lui avez-vous donnée en la détachant ?
• Une coupe de champagne mais elle s’est ruée sur la mienne et en a ingurgité cul sec une deuxième.
• Notre amie est simplement pompette, les privations que Valérie lui a infligées doublées du traitement que je lui ai appliqué en la suspendant pendant des heures fait que la boisson alcoolisée a fait son effet.
Christophe je vous propose de nous rendre auprès de votre femme qui va tester ma nouvelle machine construite sur la base de dessins diabolique que nos anciens construisaient au temps de l’inquisition pour faire avouer leurs suppliciés.
Bien sûr, je l’ai adapté afin que d’un engin de mort pour faire dire tout et son contraire à celui qui y était confronté, j’ai une machine de plaisir pour ces dames où vous, messieurs si vous aimez être pénétré, venez-vous allez voir par où.

J’ai planté le décor, reste à la rejoindre afin de la préparer et tester l’efficacité du modèle unique que je possède maintenant.

• Avant de vous emmener la voir, je voudrais devant témoins vous entendre accepter que je peus utiliser ma nouvelle machine et la tester sur Sophie, habituellement je le fais avec Valérie, mais j’ai achevé sa fabrication juste avant votre arrivée et elle est sûre à 99%.

Je plante le décor pour augmenter la peur que je vois sur leur visage.

• 99% c’est presque 100, si vous pensez qu’elle peut apprécier sans risque majeur nous acceptons, il faut vivre dangereusement, c’est pour cela que nous sommes venus dans votre forge à l’esprit satanique Maître Christian.
• Alors, venez tous, je vais vous dévoiler ma nouvelle œuvre, certainement la plus diabolique construite depuis le Moyen Âge.

Nous prenons le chemin de la dernière pièce au fond de la forge où personne même Valérie n’est encore venue, quand je créé j’aime être seul.

• Pedro et Domingo sortez Sophie, notre suppliciée de sa cage et amenez-nous là, bâillonner là, avant que je fasse tomber ce rideau qui va vous montrer mon chef-d'œuvre.

Ils partent et reviennent avec Sophie qui se frotte les fesses, sa bouche est obstruée par une belle boule à bouche rouge.

• Vous êtes prête, Sophie voici le supplice que votre mari accepte que je vous fasse subir, vous allez être la première à la subir, la voilà.

Je fais tomber le rideau et fais apparaître l’engin qui m’a pris des heures à concevoir et fabriquer sur des plans trouvés sur Internet.

• Voici mon berceau de Judas.

Tous sont étonnés de ce que je leur présente.

• Voici mon berceau de Judas, ou chaise de Judas, c’était une technique prisée lors de l’Inquisition pour obtenir des aveux, mon berceau reprend les grandes lignes et idées, mais est fait pour donner du plaisir à Sophie.
Le condamné avait une ceinture placée à hauteur de la poitrine et les jambes, les mains attachées dans le dos, grâce à ces poulies ou passent les cordes que vous voyez était tiré vers le haut et placé sur ce siège métallique en forme de pyramide, la pointe au niveau de l’anus pour les hommes ou le vagin pour les femmes.
Il était descendu très lentement grâce à ses cordes.
L’orifice s’étirait, le bourreau pouvant accentuer la douleur en relevant le condamné et en le faisant tomber sur la pointe lourdement par le poids de son corps.
La victime mourait empalée ouvert sur cette pyramide.
Attention, ici nous sommes là pour donner du plaisir à notre suppliciée, sur la pointe métallique vous pouvez voir que j’ai installé un gode qui va être introduit dans le vagin de Sophie, pour qu’elle se sente en insécurité, la pointe de la pyramide étant toujours présente et si ceux qui vont manipuler les cordes s’y prennent comme des manches elle finira empalée.

Tous me regardent avec des yeux ronds, mais comme je prends la ceinture de cuir que je fixe sous les seins de Sophie, notre amie se trouve prête à connaître ma machine infernale.

• Christophe et Tristan prenez ces deux cordes opposées, si le gode se désolidarise de la pyramide, ce sera par votre faute et c’est vous qui aurez la mort de celle qui partage vos plaisirs, pas moi.
• Christian, tu es devenue fou, si cela arrive, nous irons en prison et nous aurons tout perdu.

Je m’approche de ma sorcière préférée et lui parle à l’oreille.

• Vous avez raison mon amie, un peu de piment dans un acte d’amour mettra du piment à notre jeu.
• Il semble qu’aucune objection vienne interrompe mon premier essai, messieurs à vos cordes, Pedro et Emanuel prenez les deux autres.

Sophie s'élève au-dessus du berceau de Judas et sa chatte est amenée au contact du gode.
Je le tiens pour la première introduction, je reste placé à portée du berceau pour intervenir au moment propice.

• Messieurs, allez-y, monter et descendre notre amie sur le gode, attendez, je veux que nous entendions ses cris de plaisir, je lui enlève la boule.
• Christophe tu es devenu fou, Tristan il est amoureux de ta femme et va me tuer pour vivre avec elle, tu auras ma mort sur la conscience.
• Il est un peu tard Sophie si l’un d’eux relâche leur effort, vous êtes morte, messieurs, faites jouir votre amie.

Les deux hommes tirent en cœur et relâchent leur effort en même temps, le gode entre violemment dans la chatte de Sophie lui arrachant rapidement des grognements de plaisir.
À un moment, Tristan tire de travers et le gode entre manquant de tomber, mais il se rattrape jusqu’à l’apothéose ou elle part dans un extraordinaire orgasme criant à qui veut l’entendre que la peur décuple son plaisir.
Comme je l’ai prévu et comme je suis placé au moment où ils font redescendre notre amie je pousse le gode qui tombe à terre et Sophie tombe violemment.
Tous poussent un cri d’horreur, mais Sophie retombe sur une partie plate lui tallant un peu la chatte, car le gode est fixé sans la pointe bien sûr.

• Extraordinaire, j’ai vraiment cru une fraction de seconde que je te faisais t’empaler sur une pointe de fer qui était existant que dans mon imagination, votre berceau est une arme diabolique pour les libertins que nous sommes Maître Christian.
• Merci du compliment, tout est fondé sur la persuasion, je vous ai conditionné pour que votre attention soit orientée vers cette pointe hypothétique, aucun de vous n’a regardé si elle existait.

En me disant ces mots Christophe récupère Sophie qui se blottit dans ses bras et qui entre deux baisés lâches.

• J’ai vraiment cru que je mourais quand je suis redescendu sans sentir le gode en moi, la fraction de seconde ou j’ai entrevu ma mort était extraordinaire, au moment ou j’ais cette sensation de mourir, j’ai eu l’orgasme de ma vie et mourir aurait été un plaisir.
• Voulez-vous que je ressoude la pointe de la pyramide ?
• Merci Maître, mais il est temps de rejoindre celle dont Sophie pense que je voulais sa mort pour l’épouser, l’heure avance et demain nous aurons une longue route aussi allons nous occuper de Silviane.
• Pardon, mon amour d’avoir douté de toi vient, c’est moi qui vais mettre ta verge dans ma grande salope d’amie, que lui réserves-tu ?
• C’est un secret, seuls notre Maître et sa compagne sont au courant.

Comme il le dit, nous rejoignons la pièce avec sur le lit celle qui va être le sujet du tableau final.
Quand nous entrons, elle réagit et ouvre un œil.

• Mesdames préparées vos maris afin qu’il puisse honorer cette belle salope qui semble avoir récupéré des verres qu’elle a bus et qui va pouvoir en toute lucidité profiter de ce que Christophe lui a réservé pour la première fois de sa vie.

Sophie suce Tristan pendant que Silviane semble impatiente de ce qui lui a été réservé bien que sa chatte ait déjà été honorée quand elle était attachée devant le feu qui finit de se consumer à l’extérieur, elle suce Christophe qui est venu se placer à califourchon au niveau de sa bouche, rapidement il bande lui aussi.
Pendant ce temps Pedro la libère de ses entraves.

• Christophe, tu es le Maître du jeu !

Christophe s’allonge sur le lit.

• Silviane vient sur moi et empale-toi sur ma bite.

Elle le fait et embrasse Christophe dans un nouveau baisé langoureux.

• Tristan encule ta femme, Sophie pratique souvent la double pénétration, j’ai reçu les confidences de ta femme qui a fait beaucoup de choses en amour grâce à toi et souhaite connaître ce plaisir de sentir nos deux verges en elle, vas-y plante là sans ménagement, elle souhaite de la rudesse elle aussi.

C’est ainsi que cette belle femme connaît le plaisir de la double pénétration finissant en cœur avec Sophie à atteindre l’orgasme.
Comme Sophie, car elle a attiré à elle les quatre Ibériques qui lui font une double péné eux aussi avec la pite de Pablo dans sa bouche, Pedro le chef de la bande venant se placer dans celle de Silviane qui l’accepte sans se poser de question.
Nos deux belles salopes ont un, non, deux orgasmes à la suite étant femme à orgasme à répétition alors que d'autres se contentent d’un seul.
Je dois dire que cette soirée m’a épuisé, j’ai envie de baiser ces femmes comme je sais que Valérie a aussi envie de bites dans tous ses trous, demain sera sa journée après le départ de nos quatre amis vers midi, car ils doivent repartir pour retrouver leur foyer.

Il est 12 heures trente quand Christophe démarre sa voiture, les deux femmes à l’arrière continuant de dormir dans les bras l’une de l’autre d’épuisement.
Toutes les obligations demandées pour cette soirée d’orgie étant réglées nous les voyons partir certain qu’un jour prochain les uns et les autres seront de retour.

La porte du chemin refermé, nous arrachons nos combinaisons et masques, Valérie tombe à genoux sur le coin de pelouse où je viens derrière elle lui prend la chatte alors que les quatre Espagnols s’avancent.
Que la fête de Valérie commence.

Si vous voulez réserver un week-end à votre femme dans les semaines prochaines, Valérie et moi serons heureux de vous faire vivre un moment de plaisir et de peur, nous vous donnerons nos tarifs, « La forge de l’enfer » a son site Internet.