COLLECTION DOMINANT DOMINE. Le choix de mon épouse (3/3) - histoire érotique

• Merci, Jean-François, c’est ton nom.
• Oui, le vôtre est Valériane !
• Non, c’est Valériane, on se tutoie directement, je veux que notre relation parte sur une bonne voie.
• Tu as raison.
• As-tu aimé mon petit tablier, il est dans ma valise, tu verras, je vais te bichonner ?
Et si tu prenais le prochain petit chemin calme, je voudrais te montrer l’étendue de mes capacités buccales.

Je trouve un chemin tranquille, c’est facile dans cette grande forêt.
Victoria me regarde et me prend la tête.
Non, pas encore, je veux dire qu’elle me passe sa main derrière mon cou afin de rapprocher nos bouches.
Sa langue est agile.
Je sens la nécessité de parler de sa formation, mais savoir qu’elle a été soumise à la volonté d’hommes ou de femmes un peu contre son grée, me glace.
Heureusement, sa main rejoint mon pantalon m’aidant à bander.
Elle sort ma verge, tendue au maximum de ses possibilités, d’une main experte et quittant ma bouche me fait une gorge profonde.
Elle me pompe divinement jusqu’à ce que j’éjacule.
Depuis le départ de Victoria, je suis resté sage.
Plusieurs jets partent les uns après les autres.
Elle avale tout malgré la source semblant intarissable.
Un bon point pour elle, si j’avais demandé ça a Victoria, elle m’aurait arraché les yeux.

• Voilà tu es chez toi.
• C’est comme maître Yo m’avait dit.
Chaque fois qu’il nous propose des acheteurs potentiels, il nous fait avec Louisa son assistante une présentation avec un diaporama.
Si on accepte de venir dans les pièces derrière les glaces, c’est que nous en avons envie, ça était le cas pour toi.
Tu sais que j’aime épousseter !
On voit qu’un homme est resté seul tournant comme un fauve en cage.
Ça sent le renfermé, pourtant tu as la vue magnifique sur le sacré cœur.

Merde une bigote, je retombe sur mon ex-belle-mère Anita.
Elle éclate de rire, d’un rire franc et massif.

• Pourquoi ris-tu ?
• Si tu avais vu ta tête quand j’ai parlé du sacré cœur, on aurait dit qu’une couleuvre t’avait mordu.
J’aime simplement cet édifice comme j’en aime bien d’autres, j’ai fait des études d’histoire de l’architecture à travers le monde et les âges.
Si tu le permets et que j’aie le temps, j’écrirai un bouquin que mon ex m’a toujours refusé de faire.
• L’ordi est là, il y a tous les logiciels nécessaires.

Je la prends dans mes bras, elle s’offre.
C’est sur la table de la salle à manger que pour la première fois avec délice, je soulève sa jupe trouvant une chatte bien soignée et surtout un manque de culotte.
Je la pénètre et c’est avec de grands coups de reins, mes mains sous ses genoux qu’elle atteint son premier orgasme avec moi.
Maître Yo, si je le pouvais, je vous enverrais cinq cent mille euros de plus pour vous remercier du travail que vous avez fait sur cette femme.
En quelques minutes, comparé à Victoria, coincée du slip, j’ai rentabilisé mon investissement.

• Valériane, samedi j’ai invité Carle, mon copain trader comme moi et Émilie sa nouvelle femme.
• Je le connais, je lui ai été présenté et celle qu’il a choisie, j’ignore si je la connais.

Tenue sexy, c’est une des rares fois que je vois ma femme, les papiers signés faisant foi, en robe.
Comme le jour où je l’ai vu dans sa cage en verre, elle frotte, astique, même ma queue en tenue d’Éve.
Robe à franges, genre french cancan, très près de sa chatte que je sais être resté dénudé lorsque j’ai passé ma main.
Savoir la maîtresse de maison la chatte à l’air toute la soirée est fait pour m’exciter.

• Re-bonjour Carle, bonjour Émilie, vous êtes ravissante.
Je tenais à vous recevoir après le service que tu m’as rendu en me mettant en contact avec maître Yo.

En prononçant cette phrase je vois nos deux femmes pousser un fard et baissant les yeux, rougirent.
Maître Yo au peu qu’il m’en a dit, a dû connaître de très près ces deux salopes pour pouvoir me dire que Valériane était la reine des suceuses.
Le repas se passe très bien fort agréable.
Ma chérie a montré ses talents culinaires en réussissant un magnifique soufflée au fromage.
Quand j’étais jeune, maman désespérément à tenté d’en faire à chaque visite pour les servir retombé avant présentation à table.
Chacune d’elles ont fait honneur à la bouteille de Givry, bon vin bourguignon pour les ignorants que Carle nous à amener.
Honneur, mais modérément des cours de maintien leur étant enseignés.
On évite de parler du parcours suivi par nos femmes pour finir dans nos lits, mais une phrase du maître me revient.

« Valériane était très douée pour les amours féminins. »
Même si elles devaient être dans des centres de formation, voire de dressages différents, elles ont eu la même base de travail.
Nous venons Carle et moi de recevoir nos tasses de café mollement installé dans nos fauteuils regardant nos femmes débarrasser la table du repas.
Nous avons bien choisi, je veux en voir plus.
Je saisis la télécommande de la chaîne et un slow langoureux démarre.
Love Me Tender d’Elvis emplit la maison.

• Si vous dansiez mesdames, voire plus si affinités.
• Tu es d’accord mon amour.
• Nous sommes agréablement installés à vous de nous montrer que votre éducation a été complète.

C’est Carle qui tient ces propos à sa femme qui enlace la mienne.
Immédiatement leurs pubis viennent en contact.
Une brune, une blonde.
J’ai mis Elvis en boucle afin d’éviter les coupures de musique qui pourrait être néfaste au spectacle qu’elles nous donnent.
Une bouche maquillée rouge carmin pour Émilie et rose pâle pour ma chérie.
De quelle couleur va être leurs lèvres après le baiser qu’elles se donnent !
Peu importe, la robe cancan rejoint le sol ainsi que la grande robe du soir blanche.
Deux nudités très élancées, la mienne petits seins malins, l’autre haute perchée légèrement tombante.
Ça reste des bombes, comment des hommes ont-ils pu les vendre pour en choisir d’autres.
Il est vrai comme je crois l’avoir déjà dit était une belle pouliche qui rechignait au lit comparé à Valériane qui me sexe dès que je suis en sa présence.
Certains font travail, dodo.
Moi je fais travail, sexe, sexe et sexe encore jusque dans la baignoire que, souvent elle me fait là rejoindre.
Dès que je suis en sa présence, ma queue s’étire c’est le cas en ce moment quand Carle et moi faisons sauter, qui les boutons, qui la fermeture à glissière de nos Tergals.
Du côté des femmes, les bouches alternativement se posent sur leurs seins.
Je sais Valériane très sensible de ce côté-là ainsi que du côté de son clito qui adore être mordillé principalement sur la table de notre cuisine.
Comme bon nombre de gens à Paris, j’ai fait mettre une fausse cheminée que j’actionne malgré le mois d’été.
Qui de Valériane ou d’Émilie entraine l’autre sur la peau d’ours polaire, m’ayant coûté une fortune, je l’ignore.
Ce que je vois c’est que ma femme domine l’autre dans un très beau 69 les amenant toutes les deux à l’orgasme.
Elles semblent complices, car c’est comme des lionnes qu’elles s’approchent de nous à quatre pattes pour venir sucer nos verges.
L’heure est à la fellation par couples normaux, dans le futur, je pense proposer à Carle une petite partie carrée.
Au moment de nous quitter, j’ai le regret d’être resté sage.
Il faut dire qu’ayant baisé Valériane au levé et dès mon retour après avoir déchargé au fond de sa bouche, j’ai eu peur d’être ridicule au moment d’honorer notre invitée en ayant une panne de courant continu.

Quelques mois se passent, tout est toujours idyllique.
À aucun moment l’idée de contacter maître Yo m’effleure.
Pourquoi chercher mieux alors que j’ai le top ?
J’ai acheté un collier et un gros bouquet de fleurs pour fêter notre premier anniversaire de mariage.
Je pensais emmener ma douce au restaurant que j’ai retenu, mais c’est en robe longue que je suis reçu.
Pendant que je l’enlace pour un baiser profond, je vois les flammes des bougies dans la salle éteinte.
Elle aussi a pensé à notre année.
Champagne alors que j’ai déjà bu un bon mercurey, au dessert.
Je m’attends à un gâteau, qu’elle va chercher avec une bougie.
Le gâteau à la crème est bien là, mais à son sommet ce son deux chaussons, l’un bleu et l’autre rose, qui sont posés, avec en plus une bougie représentée par le test de grossesse.
J’enlace ma douce qui vient sur mes genoux.

• Combien ?
• Je l’ignore, nous avons une échographie jeudi.
• De mois, pas d’enfants ma chérie.
• Trois mois, tu vas être père dans six mois.

Voilà, c’est dans quatre mois que je vais être père.
Valériane doit garder le lit le plus souvent possible.

• Sur Internet, j’ai vu une exposition d’un jeune peintre que j’ai connu à ses débuts sur la côte.
Peux-tu y aller sans moi, je lui ai écrit une petite carte de félicitation, tu lui expliqueras le motif de mon absence, mais que je pense à lui dans sa réussite.

Chier, surtout qu’il y a un match de foot à la télé, mais ma femme va me faire père, je peux faire ça pour elle.
J’arrive à la galerie, je vais donner la carte et m’éclipser.
Pas de bol, je dois partir plus vite que prévu, au bout de la galerie, un verre à la main complètement transformée tellement elle rayonne, Victoria.
Elle va m’arracher les yeux, mais elle me voit et soulevant sa coupe s’avance dans une magnifique robe certainement d’un grand couturier.

• Jean-François reste zen, tu as bien fait de le faire ce que tu m’as fait, tu m’as ouverte à la vie que je refusais de voir.
• Que fais-tu là ?
• C’est Sofiane mon mari qui expose.
Je vois que toi aussi tu portes une alliance et que tu es heureux.
C’est dommage, j’aurais bien aimé te montrer les progrès que le maître et ses assistants m’ont fait faire.
• Ma femme est enceinte et doit garder le lit, elle a connu ton mari dans sa première vie, je dois lui remettre une carte.
• Sa grossesse se passe bien.
• Elle doit garder la chambre et côté sexe, j’ai fait un nœud à mon mouchoir.
• C’est parfait, demain 14 heures à l’hôtel dans la petite rue à droite de la galerie.
J’aurais deux heures à te consacrer ;j’aimerais te vider tes bijoux de famille.
Qu’en penses-tu ?

Moi aussi, même si j’aime ma felle, un goût de revenez-y me prend.

• C’est moi qui paye la chambre.
• Je vois que tu es galant homme.
• Et comment vont tes parents ?
• Papa commence à se remettre de la trahison de maman !
Elle si pieuse, pour mon plus grand malheur mon chéri, a suivi un homme en Afrique.
Papa a reçu un coup de téléphone du même genre que celui que j’ai été obligé de passer quand tu m’as fait enlever.

Maître Yo semble avoir mis en pratique ma proposition de racheter des vieilles peaux comme elle.
Suce-t-elle des bites à Dakar lieu qu’elle a dit avoir rejoint avec un jeune amant.
Excusez, je vous laisse, je viens de payer un moment de plaisir avec mon ex, voyons ce qu’elle a appris à faire, sexuellement il va de soi.