COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (176) - histoire érotique

J’ai l’impression de vivre les aventures de Tintin, non pas après nous être arrêtés en Belgique mangé des moules-frites.
Encore moins les aventures d’Astérix, en France à Paris.
Mais mes propres aventures qui pourraient faire le bonheur d’un éditeur de bandes dessinées.
Christine, ici, Christine là, Christine la femme mariée cocufiée par celui qui avait fait de moi une femme que je pensais légitime.
Quoi que, lorsque je suis trahi, de femme bon chic, bon genre, je suis devenue escorte et pute très rapidement cocoonée par Virginie ma marraine.
Me faire payer pour écarter mes cuisses, ça, j’ai découvert ça très rapidement par l’intermédiaire de celle dont je viens de parler.
Me prendre une balle dans la tête me plongeant dans cinq ans de coma, je n’ai pas connu, car le coma m’a laissé dans un lit pendant ces cinq ans ou mon cerveau fonctionnait sans que je le sache réellement.
Suis-je revenue sur terre pour aider mon prochain, même si pour certaine ça passent par la prostitution, mais de haut luxe, je suis incapable de le dire ?
Lorsque la portière de la limousine qui est venue me chercher s’immobilise et qu’un gant blanc se propose de m’aider à descendre, je sais qu’une nouvelle page de ma vie commence.

• Mademoiselle Christine, veuillez me suivre, un homme connu souhaite vous rencontrer !

Pauvre pomme, je le sais, je touche même 1 000 € pour venir jusqu’à lui.
Bien sûr c’est ce que je pense lorsque je prends cette main, plutôt ce gant dans ma main et que je descends.
J’avais bien pensé, nous sommes dans le garage d’une propriété et l’homme me dirige vers un ascenseur.
Monter, descendre, un ascenseur, un autre, il ne manque que le passage dans la boue en rampant afin d’éviter les balles et vous avez le parfait parcours de la combattante que je suis devenue.
L’homme frappe à une porte, s’ouvrant, quelques secondes plus tard, je comprends de suite toutes ces précautions.
L’homme devant moi, aussi beau gosse que sur le petit écran, est peut-être sportif de haut rang, homme politique connu, artiste en tous genres, ou tout autre, je brouille moi-même aussi les pistes.
On me fait entrer dans une pièce borgne, genre salle de réunion d’un conseil d’administration, mais pièce peu éclairée et vide de tout meuble.

• Chère amie, excusez toutes ce long déplacement dans cette immeuble, en me voyant vous devez comprendre toutes les précautions que je dois prendre.
Inutile de retrouver une photo de notre rencontre dans une certaine presse !
Inutile, d’avoir une photo de paparazzis, me montrant sur un véhicule deux roues avec un casque sur la tête rejoignant une femme pour un moment d’intimité, comme notre ancien président a dû en subir une !
Charles, merci d’avoir accompagné notre amie, je vous biperais lorsque notre entretien sera terminé.
• Je comprends, je serais incapable de retrouver le parking, si vous me demandiez de m’en aller, ne faisant pas l’affaire.
• Ça nous allons voir, voici ce que j’attends de vous.
J’ai besoin d’une pu...
• Dites-le mot, monsieur, d’une pute, vous semblez bien renseigné si vous avez fait toutes ces démarches pour me rencontrer.
• Non, je vais être direct, oui je sais ce que vous faites avec vos escortes et des hommes comme moi, ayant besoin de vos services.
• Alors soyez direct, qu’attendez-vous de moi !
• Que vous soyez Mireille, comme vous m’avez reconnu vous savez que c’est le prénom de ma femme.
• Mireille, Véronique Justine, que sais-je, je serais celle que vous désirerez que je sois.
• C’est plus compliqué, car Mireille me trompe et comme je le sais chaque fois qu’elle se fait sauter par un autre, j’ai envie de la tuer en l’étranglant, mais en la baisant bestialement.
• Vous voulez que je joue son rôle et que vous alliez jusqu’à me tuer en me défonçant, j’espère que vous rigolez !
• Pas du tout, lorsque j’apprends ses forfaitures, la pression monte en moi et je serais capable de sauter sur n’importe quelle femme que je croise lorsqu’elle m’a mis dans cet état.
Vous allez me dire, que je n’ai qu’à la quitter et divorcer.
Ce serait mal me connaitre, de plus je l’aime, c’est la seule femme de ma vie que j’aimerais.
• Pour 1 000 €, risquer sa vie, alors qu’il vous suffirait de voir un psy.
• Les 1 000 €, c’est pour venir me rencontrer, en ce moment elle est calme et je n’ai aucune envie de meurtre envers elle.
J’ai consulté un psy, mais même d’en parler garde la pression en moi, je serais capable de tout.
Il va sans dire que si nous faisons affaire, je vous payerais à hauteur de la prestation que vous me servirez.
5 000 €, vingt-cinq billets de 200 € serait une somme que je pense raisonnable.
Mon majordome vous remettra cette somme avant que vous entriez ici, la pièce est nue et vous serez agressée comme je viens de vous l’expliquer.
Si vous sentez que vous avez atteint les limites de ce que vous pourriez supporter, un mot, « stop » et je relâcherais ma pression.
• Je veux bien essayer, vous m’avez donné 1 000 €, je veux bien jouer votre jeu, pourquoi pas dès maintenant.

Je mets ma main sur la braguette de son pantalon.

• Enlevez votre main, je vous ai dit que Mireille est sage en ce moment et si je baise avec vous, ce serait la tromper.

Il sort un portable de sa poche de veste et compose un numéro.
Cinq secondes et l’homme m’ayant conduit frappe.

• Ramenez mademoiselle jusqu’au parking, donnez-lui le portable qu’il faudra qu’il soit toujours en charge, chaque fois que j’aurais besoin d’elle.

Je quitte la pièce, je dois être dans un immeuble de bureaux, vide, une immense garçonnière pour un homme seul.
Je monte dans la limousine et en peu de temps je me retrouve devant chez moi, je passe comme je le fais souvent par chez Virginie, pour une fois elle est habillée, soit elle rentre, soit elle sort.

• Christine, te voilà enfin, je crois que Jacques Dubois est piégé, tu vas négocier avec lui pour ton contrôle fiscal.
• Dubois, que me racontes-tu ?
Ou se trouve-t-il ?
• Mais dans la chambre contiguë à la tienne avec Marie-Ange, Chloé a dû faire une bourde lorsqu’il sautait notre manucure en levrette, du moins c’est ça que j’ai vu sur mon écran.
• Tu as un écran ou tu peux voir, mon contrôleur fiscal se faire Marie-Ange, mais c’est la cata.
• Mais je paye pour être abonné à « Réalité caméra » je suis tout à fait dans la légalité !
• Ce que tu vois, d’autres peuvent le voir et supposent qu’un supérieur de Bercy soit aussi abonné, Jacques risque de se faire mettre à la porte.
• Ça fera un conard de moins à venir nous contrôler, mais je vois mal, l’un d’eux venir dire, qu’il est abonné à une chaîne pornographique de voyeurisme.
Ophélie et Chloé m’ont expliqué le concept et je pense que ni les uns ni les autres ne pourront se vanter de voir ces images.
• Justement marraine, je crois me souvenir qu’avant de diffuser des images, il faut l’autorisation de ceux qui sont filmés, là ce seront des images volées.
Fais-moi voir, j’avais demandé à Marie-Ange de le coller de prêt, j’avais vu qu’il semblait s’intéresser à notre jolie black.
Mais le retrouver s’exhibant sans le savoir devant des caméras, ça dépasse ce que j’aurais pu imaginer.

Sur l’écran dans le salon, Virginie allume et se connecte à Réalité caméra.
Dans la liste, elle choisit, « Christine », mince elles ont créé un logement, mon logement à mon nom et lorsque nous allons dans « Chambre 3 » nous sommes dans ma chambre à coucher.
Jacques semblent avoir fini de baiser Marie-Ange, sous cet angle on voit très bien le couple appuyer sur les oreillers en train de récupérer.
Jacques Dubois, a encore la bite en érection, sa main droite est posée sur la jambe de celle qui semble penser être seulement sa maîtresse.
Marie-Ange est épilée et a dû passer un bon moment, car la verge du contrôleur est du genre bien monté.
C’est drôle ce que peut cacher un pantalon lorsqu’un sexe est au repos.

• Virginie, peut-on zoomer sur la verge du garçon ?
• Vicieuse, tu vois qu’il a du répondant et tu veux t’en délecter.
• C’est incroyable, je comprends que les voyeurs payent pour voir ce que l’on voit dans des pornos, on voit même une goutte de sperme.
• Mais dit-moi, Marie-Ange s’est-elle protégée, là on voit la phase finale de leurs ébats ?
• Non et je crois qu’entre eux les choses ont très nettement progressé.
Je crois que notre jolie black s’est prise au jeu et que ce que nous voyons soit plus qu’un moment de baise.
J’ai nettement l’impression que Marie-Ange nous annoncera rapidement qu’elle s’appelle, où va s’appeler Marie-Ange Dubois.
• Si c’est le cas, quel chemin parcouru depuis que nous l’avons embauché comme manucure à peindre ces ongles avec divers motifs.
• On laisse courir, même si cela va contre les règles que nous avions établies au début de notre aventure !
• Laissons venir, mais appelle Ophélie pour qu’elle coupe les caméras de la chambre « Christine. »
Inutile de prendre des risques supplémentaires avec l’administration de Bercy, ça reste ton contrôleur fiscal.

Un coup de portable, Ophélie doit être aux commendes, la chambre ou nos amants repose s’éteint.
La suite nous dira si les amours entre notre belle noire et ce petit bonhomme incorruptible ont porté ses fruits…