COLLECTION JEUNE – VIEUX. Les vendanges (2/4) - histoire érotique

Après deux ans d’abstinence pour donner suite à mon divorce ayant trouvé mon ex se faire prendre par deux plombiers dans mon salon et apprenant dans le même temps qu’elle se tapait tout ce qui bougeait pendant que je trimais pour lui apporter un bien-être total, c’était pour elle une pratique courante sans que je le sache, bien sûr le cocu étant toujours le dernier prévenu.

Je suis en ce moment en vendange chez Olivier, mon copain comme je le fais depuis des années.
Laure, une jolie voisine est venue me demander si elle pouvait venir avec moi vendanger afin de gagner un peu d’argent pour pouvoir payer ses noces avec Melvin, son fiancé parti en Espagne faire un chantier avec son patron.
Nous avons commencé à couper les premiers rangs, je vois qu’elle a déjà du mal à avancer, son dos la tirant déjà.
Pour éviter qu’elle soit prise en grippe par les autres coupeurs, je l’aide en m’occupant du raisin du même côté que le pied dont je m’occupe.
À la pause, j’éconduis Romain, redoutable chasseur de sexe féminin pendant ces vendanges et qui a des vues sur ma protégée.

Nous reprenons la coupe et la première matinée se termine lorsque, vers midi la camionnette vient nous chercher.
La camionnette est suivie par une voiture conduite par une très jolie femme, elle s’arrête pour qu’un homme faisant partie des porteurs monte, je les vois partir vers le village.

• Aurélien, qui est cette femme et qui est cet homme ?

Aurélien est le contremaître d’Olivier, il connaît tous les potins de Mercurey.

• C’est Armelle, le pendant de ton ex-femme à Mellecey, elle saute sur tout ce qui bouge, c’est, une adepte du club de foot le dimanche.
Il semblerait, à ce que j’aie compris, que le mari ait des doutes, il tient à la surveiller, elle est déjà passée deux fois ce matin, s’il la voit, il est rassuré.
Le midi, il l’emmène manger à la maison, là encore pour la soustraire aux autres mâles.
Comme il l’aime, il la boure de cadeaux pour la garder, c’est pour payer ses dettes qu’il fait les vendanges.
• Il est dans nos équipes, non, il travaille sur le domaine voisin, ils coupaient près de nous ce matin.

Je récupère ma glacière dans mon coffre, comme je m’en doutais, Laure est venue les mains vides et n’a rien à manger.

• Mange, travailler, ça donne faim, tu n’as rien de trop sur les os.
• Tu aimes les grosses.
• Tu es bête, je préfère les petits culs du même genre que le tien, mais tu es trop jeune pour moi.
• Je te rappelle que je suis fiancé.
• Oui, mais si j’ai de nouveau un jour à choisir, c’est un petit cul comme le tien qui m’intéressera.

Pour la première fois, elle me tutoie, je me garde bien de lui signaler, je finis par être fière de fréquenter un tel canon de beauté.
Je m’assieds le dos calé à la roue de ma voiture, rapidement elle s’écroule plus qu’elle s’assoie à mon côté en dévorant mon sandwich, je me contente de mon yaourt goût fraise, c’est ceux que je préfère.
Comme elle est assise, son dos se trouve dans le vide et la position doit être inconfortable, elle pivote sur ses jolies fesses pour s’allonger et venir poser sa tête sur mes cuisses.
Soyons précis, elle pose sa tête à quelques centimètres de ma verge qui par chance est au repos.
Quelques minutes seulement, elle s’endort, sa tête bouge légèrement vers la droite son souffle me mettant dans une situation scabreuse, ajoutons la vue plongeante dans son décolleté où ses mignons petits roberts me regardent comme s’ils me proposaient de venir les caresser.

Insidieusement, je bande, j’ai beau penser à mon entreprise pour me calmer, je la vois couchée sur mon bureau alors que je lui ai ouvert les jambes et que mon pieu vient la déchirer.
C’est au moment où son corps se tend et qu’elle a un orgasme que ma queue se détend envoyant de longs jets de sperme qui retombent sur son bas-ventre.
C’est le moment où je me réveille, Lauriane me regardant étonnée de ce qui vient de se passer, j’ai éjaculé dans mon pantalon et placé comme elle l’est, elle a tout ressenti.

• Je suis contente, tu m’aides pour couper le raisin, je t’ai aidé en ayant ma tête à côté de ta verge à avoir du plaisir.
Il y a longtemps que tu avais pris ton plaisir, je sentais tes jets ininterrompus plusieurs fois de suite.
• Il y avait presque deux ans.
• Tu te masturbes, Melvin adore le faire sur mes seins.
• Non, la masturbation, c’est pour les jeunes puceaux et depuis mon divorce, c’est la première fois que j’éjacule.
• Tu en avais sérieusement envie, c’est normal.

Je la fais relever la tête, je me relève mon pantalon tout poisseux.
Je suis bien obligé de retourner couper dans cet état, heureusement rapidement le sperme sèche, je travaille en continuant d’aider la petite en pensant à autre chose que son petit cul, chaque fois, je recommençais à bander.

Cinq heures la camionnette est de retour notre première journée de coupe terminée.
Je sors une bouteille d’eau, nous buvons à grande goulée avant de prendre la voiture pour rentrer.
Ce début septembre est encore très ensoleillé, j’ai une idée pour détendre Lauriane.
J’entre la voiture chez moi, par mon portail automatique, je la fais descendre.

• Viens, suis-moi.

Je contourne la maison et nous nous dirigeons vers la piscine.
Je roule la bâche qui évite le maximum de feuilles qui vont dans les filtres, qui à cette époque de l’année commence à tomber et de garder la chaleur de l’eau.
Sans me préoccuper de ma visiteuse, j’enlève mes affaires, je plonge nu dans l’eau.

• Viens, elle est bonne.
• Je vois que tu aimes être nu, j’ai toujours eu un maillot pour entrer dans une piscine.
• J’en ai vu d’autres, viens me rejoindre.

J’ai envie de lui dire que si elle reste sur la margelle, je la laisserais couper seule ses raisins demain, il m’est impossible de lui faire du chantage pour qu’elle me rejoigne surtout que je la vois enlever son short et son débardeur pour entrer dans l’eau par les escaliers sans plonger.
Elle frissonne, l’eau est fraîche malgré le soleil et la bâche, rapidement elle se met à nager la brasse, c’est bien agréable à regarder.
Sans idée derrière la tête étant à mille lieues de penser à la sauter, je nage en ne pouvant détacher mes yeux de son entrejambe recouvert de sa petite culotte chaque fois qu’elle écarte ses cuisses.
J’ai une piscine qui mesure vingt mètres sur huit, au plus profond, elle fait un mètre vingt.
Dire que je l’ai acheté pour celle que j’aimais, mon travail me permettant difficilement d’en profiter.
La journée a été dure, surtout ayant travaillé au même rythme que les autres coupeurs alors que je faisais un rang et demi.
Je finis par m’asseoir sur les marches, elle arrive à ma hauteur.

• Tu te détends, je sais que tu aimes te baigner nu !
• Comment le sais-tu, tu m’espionnes ?
• Regarde, nous voyons le côté de la maison de chez mes parents, la fenêtre sur le côté qui semble avoir de la peinture sur les carreaux donne sur ta piscine.
• Oui, j’avais obligé ton père à la peindre, dans la réglementation, il est interdit d’avoir une fenêtre donnant sur le terrain de la maison voisine.
Je me suis mis d’accord avec lui et j’ai accepté qu’il peigne les carreaux à la peinture blanche.
• Ce que tu ignores, c’est que derrière cette fenêtre se trouve une pièce qui sert de débarras, où petite, je venais jouer.
J’avais douze ans, si tu entrais dans la pièce, tu verrais que j’ai gratté la peinture le long d’un croisillon me permettant de voir ce qui se passait chez toi sans pour autant que mon père ne montant ne s’aperçoive de ce que j’ai fait.
L’été de mes douze ans, vous vous baigniez nus avec Maryse lorsque vous êtes venue vous allonger sur le matelas posé sur la margelle, tu l’as prise dans tes bras, vous vous êtes embrassés comme au cinéma pour moi à cet âge-là.
J’ignorais tout du sexe, grâce à vous, j’ai appris très vite.
Derrière mes carreaux, j’ai eu peur de ta longueur, c’était la première fois que je voyais un homme en érection, j’ignorais même que c’était possible, surtout lorsque tu t’es couché sur elle et qu’avec ta main, tu l’as introduite dans son vagin.
C’est ce jour que vous m’avez ouvert à la sexualité, jusqu’à ce moment-là, ma minette, c’est comme cela que je l’appelais n’était faite que pour faire pipi.
Les carreaux m’ont empêché de l’entendre jouir, mais les yeux qu’elle m’a montrés m’ont fait voir que son corps prenait du plaisir sous ta verge.
• Tu es resté à regarder, j’espère que tu as honte voyeuse.
• J’hésite à te dire une chose dont j’ai été témoin.
• Vas-y après apprendre que ma petite voisine nous matait que veulent dire ces insinuations ?
• Tu te souviens lorsque tu as vu, Papa et que tu lui as dit que tu partais aux États-Unis pour ton travail.
• Oui, j’allais signer un gros contrat qui m’a permis de développer mon entreprise.
• J’ai vu Maryse se baigner avec quelqu’un un matin de bonne heure.
La chaleur m’empêchait de dormir et je suis venu jouer avec ma maison de poupée.
J’ai machinalement regardé par la petite fente, j’ai cru que tu étais rentré, hélas rapidement, j’ai vu que c’était mon père qui était avec ta femme.
J’ai vu qu’il était aussi nu que toi, j’ai été choqué, c’était la première fois que je le voyais dans cette tenue.
• Drôle de tenue, continus à me raconter, je me doute de ce qui s’est passé, je préfère te l’entendre dire.
• Ta femme l’a prise par la main et l'a amené jusqu’au même matelas placé au même endroit, j’ai nettement vu dans le petit matin ta femme se placer dans une position que, par la suite, j’ai appris être une levrette et mon paternel agenouiller derrière elle, est entré, comme toi dans son intimité.
Lorsque tu es rentré les choses m’ont semblé être rentré dans l’ordre, j’ai fini par oublier.
• C’est bien, surtout garde bien cela pour toi, je l’ai viré et tes parents semblent bien s’entendre maintenant…