COLLECTION PUTE. Yoo-Shin, la pute la plus chère de la planète. (1/2) - histoire érotique

• Ly-wang, j’en ai assez d’être tout le temps, dans des aéroports, des avions et des hôtels pour me faire baiser.
• Tu veux t’en ramasser une, sale petite pute, crois-tu que c’est toi qui décides qui, où et quand, tu te feras baiser.
Moi seul, peut te faire écarter tes jolies cuisses et te prendre par la chatte, l’anus sans dépenser le moindre dollar, florin, euros ou autre monnaie du monde.
Souvient toi qui tu étais quand je t’ai sorti de ta fange dans le quartier de Kabukicho près de Tokyo.
Les putes travaillant dans les lover hôtels avaient pitié de cette petite souillon de 12 ans et elle te jetait des petites pièces pour que tu t’achètes un bol de riz.
Je t’ai repéré, j’ai vu en toi la femme qu’il était possible de faire éclore.
Je t’ai ramené en France, je t’ai habillé, coiffé et nourri.
Grâce à tout cela tu es devenus la femelle qu’aujourd’hui tous les hommes puissants de cette planète bavent d’avoir dans leur lit, même seulement pour une soirée et une nuit.
Je t’ai donné les meilleurs professeurs de maintien d’Angleterre et les meilleurs professeurs de langues.
Tu parles couramment Anglais, Français, Italien, Espagnole et Portugais et bien sûr le Japonais.
J’envisage avec la montée de leur influence dans le monde que tu te mettes au Mandarin.
Des fortunes se faisant dans ce pays, dès que tu sauras te débrouiller, j’ai des pistes pour remplir notre bas de laine avec de nouveaux clients.
Ils te veulent, ils peuvent t’avoir, à ce jour, je te vends sous un minimum de trois mois même si tu peux multiplier les passes à travers le monde avec les moyens de transport moderne.
Mais je vais t’apprendre que, ce qui est rare est cher, c’est le cas de ta chatte et de ton joli minois.
Alors tes états d’âme à 24 ans alors que ta beauté restera intacte encore quatre ou cinq années, tu penses où je me les mets.
Tu veux arrêter de rencontrer des hommes influant qui me payent des fortunes, comme ce Premier ministre de son pays, qui vient d’accepter d’attendre trois mois pour te baiser.
Il a accepté de me payer 300 000 € dont 100 000 cash qui sont rentrés sur mon compte et sur le tien pour avoir tes faveurs.
Quand j’aurais décidé que tu as fait ton temps, je te donnerais les codes du compte en banque que je t’ai ouvert lorsque je t’ai fait signer les papiers.
Nous profiterons tous les deux d’une retraite dorée.
En attendant suce-moi comme je t’ai appris à le faire après t’avoir dépucelé le jour de tes 17 ans.

Je m’appelle Yoo-Shin, comme le dit Ly-Wang, mon souteneur, j’étais une orpheline, certainement fille d’une catin de Kabukicho au Japon.
Certes, il m’a sorti du caniveau où je serais certainement morte à cette heure.
Mais prendre des avions, rencontrer des hommes très souvent abjects qui en veulent pour leur argent, c’est épuisant.
C’est le jour anniversaire de mes 18 ans que nous sommes allés dans le bar d’un grand hôtel de Londres et qu’un honorable personnage de la City nous a rejoint.
Dans ce temps-là, mes clients payaient mon mac avant que je suive ses hommes dans des chambres crasseuses et que je devienne leur catin le temps d’une soirée.
Au matin, il m’attendait dans son coupé sport et ses beaux costars et me ramenait à notre appartement à Paris ou après un bain, c’est lui qui se payait son dû sur la bête.

• Regardons ensemble ton prochain mois.
Dans deux jours Berlin, tu connais déjà ton client, bien qu’il y ait bien longtemps.
C’est l’homme du gaz russe qui t’a et qui va te baiser dans un lit de miel.
Je conçois qu’il y a des tarés sur cette terre.
Mais pour manger à la même table que la célèbre Yoo-Shin et de te couvrir de miel, il m’a payé cash.

De temps en temps, il lâche un chiffre, comme les 300 000 €.
Tout ce que je sais c’est que nous avons quitté l’appartement de nos débuts pour un appartement dans un des palaces parisiens dont je tairais le nom.

• Tu auras deux jours de repos.
Tu auras le temps de faire sortir de ta chatte tous le miel qui sera entré lorsque ton riche client te prendra sauvagement comme tu aimes ma belle.
Tu vois de qui je parle, tu m’avais dit qu’il était monté comme un âne.

Bien sûr que je me souviens, l’une des toutes premières fois où je rejoignais un client étant devenue la reine des putes de cette planète.

• Après tu rejoindras Indianapolis pour parader au bras du propriétaire de la plus grosse écurie de voitures participant aux 500 miles.
Tu seras à son bras au départ et il t’offrira à l’un de ses deux pilotes engagés si l’un d’eux gagne cette course.
Ils sont archis favoris et la jolie petite Japonaise qui leur est promise, s’ils gagnent, va les booster à finir premier.
• Eh bien, sur, si tous les deux veulent s’arranger avec mon cul, je serais dans l’obligation d’accepter !
• Je vois que tu as l’habitude d’un tel contrat très lucratif, bien sûr qu’il y a une clause d’un gros supplément s’ils sont tous les deux à te défoncer.

Voilà comment est ma vie, depuis que je suis devenue la célèbre Yoo-Shin la reine des putes.
Pourtant, c’est à d’autres choses que j’aspire.
Être aimée pour moi-même et pas pour le produit markéting que Ly-Wang a fait de moi.

• Voyons le dernier contrat du mois.
Tu vois, ça reste light.
Quinze jours le temps de te refaire une beauté ici à Paris et tu pars pour Dubaï.
Tu seras offerte en cadeau d’anniversaire au fils ainé d’un prince du pétrole le jour de sa majorité.
Il devra vendre quelques milliers de barils de pétrole pour payer ta prestation.
Inutile de te dire le soin que tu devras prendre, nous jouons gros, le monde du pétrole est une mine d’or pour tes yeux bridés et bleus comme l’azur !

Il me fait rire quand il parle de mes yeux bleus, ça fait partie de mon relookage après Kabukicho, de là ou il m’a sorti.
J’avais de grosses lunettes enlaidissant mon visage.
C’est grâce à des lentilles que mes yeux classiquement bruns sont devenus bleus.
Bref, on voit pourquoi ces distances entre deux clients, même si ça nous rapporte gros, finissent par m’épuiser.
Il a parlé de beauté, au prix qu’il a réussi à me vendre, ma beauté à un coup, qu’il assume avec ce que je gagne.
En mai après Indianapolis, je me rends dans le plus grand salon parisien ou je paye avec la carte d’un autre compte qu’il a ouvert à mon nom et ou le pognon doit être important.
Cette carte, il l’approvisionne tous les mois, bien loin de ce que je lui ai fait gagner.
Pour me déplacer dans Paris, je prends des taxis, les voitures personnelles manquent de classe et comme il le dit, il faut faire attention à tous.
Il est impératif qu’à aucun moment, il soit possible de me reconnaître dans le quartier où se trouve notre hôtel de luxe.
Lunette de soleil et perruque blonde change entièrement mon personnage surtout que j’enlève mes lentilles de couleur retrouvant ma couleur naturelle.
Dans ces moments, j’aime marcher et surtout près des grands magasins des Galeries Lafayette.
J’y rentre souvent pour m’acheter des tubes de rouges à lèvres.
Je traverse à un feu rouge, quand un livreur de pizza sort de nulle part et nous renverse.
Dans les premiers jours où je rechignais à tapiner pour Lu-Wang, il lui était facile de me renvoyer dans ma fange.
Une belle cicatrice au visage ou même à tout autre endroit de mon corps briserait la beauté de ce qu’il avait créé.
J’en ai assez d’écarter les cuisses pour des soudards, même si je dois vivre amputé de la jambe qui me fait mal.
Je veux bien encore partouzer, comme je le fais des fois, jusqu’à ce que mon souteneur accepte de me rende ma liberté, ma beauté s’étant fanée.

• Appuyez-vous sur moi, je suis navré...