COLLECTION SM. La villa des surprises. (3/3) - histoire érotique

• À genoux, ici c’est moi qui commande avec maître Marc.
Monsieur Francis, mon soumis, mettez-vous à genoux, enlevez votre chemisette et fait voir à nos amis ce que vous aimez que je vous fasse quand nous faisons l’amour.

Avec le même regard que Galit quand elle est passée près de moi, mon mari s’agenouille et enlevant sa chemisette nous montre son dos.

• C’est vous qui lui avez fait cela maîtresse Diffa ?
• Oui, chaque fois que l’on fait l’amour.
• Il accepte sans rien dire !
• Oui, c’est pour ça qu’il garde sa chemisette comme il l’a fait tout à l’heure.
• Vous possédez un bon soumis, mettez-lui cette paire de menottes.
Prenez la corde libre aux côtés de ma soumise et pendez-le ?

Francis a un moment, l’envie de se défendre doit le traverser.
Mais quand de la pointe de la cravache je lui intime l’ordre de se relever en la plaçant sous son menton, il fait ce que je lui demande.
Une fois attaché je monte ses mains avec la corde comme l’autre soumise l’est.

• Prenez dans cette boîte cette boule à bouche neuve afin de freiner ses hurlements de goret inévitable la première fois que vous allez le fesser.
Ici nous voulons entendre voler les mouches, cette salle doit être un temple de la douleur maitrisée.

Je prends une boule bleue, passant derrière lui essayant de lui mettre, il me résiste me faisant penser que je suis une mauvaise maîtresse.

• C’est tout à fait normal la première fois.
Ils ont du mal à comprendre que c’est pour leur bien que nous déployons autant d’effort.
Regardez, nous pouvons améliorer le système et ça va le calmer !

Marc prend un collier d’électricien qu’il place autour des testicules de Francis.
Il y a un anneau, il attache une corde au système qui sert à Galit à se faire mal toute seule.
Lorsque Galit bouge sa jambe, ça tire sur l’anneau fixé au collier d’électricien et sur la bite de mon mari, pardon de mon soumis !
Maintenant, ils sont deux à faire manœuvrer leurs jambes l’un montant, l’autre essayant de la faire descendre.
Soient les hameçons se tendent étirant les seins de la suppliciée, soit c’est les testicules de la bite de mon soumis qui ramasse.
Ils finissent par comprendre que suivant les mouvements l’un fait souffrir l’autre.
Des gémissements sortent des boules, la douleur doit être intense et pour le moins insupportable.
Dans un spasme, Francis éjacule et Galit urine au sol.
J’ai lu un livre sur le Moyen Âge, ça parlait de Mandragore poussant là où le sperme des pendus était tombé, mais hélas, ici le sol est en béton.

La première surprise passée, j’accepte la proposition de Marc, le mari de Galit de le seconder et ainsi devenir maîtresse du corps de mon amie que je viens de découvrir comme étant une femme entièrement soumise au sien.

• Maîtresse Diffa, nous avons donné assez de plaisir à ces soumis pour ce soir, libérons-les, à une condition !
Soumise Galit, je sais que votre réponse sera « oui » !
Vous dite toujours « oui » au jeu que moi votre maître je vous impose.
Maîtresse Diffa, demandez à votre soumis, s’il accepte que vous soyez sa maîtresse chaque fois qu’il vous en prendra l’envie !

Francis secoue sa tête, pour dire « non ».

• Je vois qu’il refuse, nous allons lui donner une dernière leçon, je vais lui percer les tétons et lui poser des piercings.
Soyez sans crainte, j’ai été formé et je suis un vrai professionnel, lorsqu’il aura compris que vous êtes sa maîtresse à partir de ce jour, nous jouerons avec les hameçons et ainsi il sera un parfait soumis.

Son dos est ravagé par mes ongles, lorsque maître Marc va vers la table sous le râtelier où se trouvent les cravaches, il prend une pince pour poser les piercings.
D’un coup rapide la pince fait son office et le téton est troué après qu’il lui ait mis de l’alcool pur pour le désinfecter.

• Maîtresse Diffa, vous avez vu comment j’ai fait, allez y, votre soumis comprendra qui commande dans votre couple et que le « non » lui est interdit.

Je m’amuse comme une petite folle, je me saisis de la pince, mais avant comme lui, je lui passe de l’alcool.
Je prends le téton et comme je l’ai vu faire, le téton peut recevoir son piercing.
C’est moi qui les poses, je suis obligée de reconnaître que lorsque j’ai appuyé, un jet de cyprine est sorti de ma chatte, venant retrouvé le sperme préalablement expulsé.

• Soumis Francis, avez-vous compris que votre vie dépend de votre maîtresse, elle est très douée.

Francis, ce coup-ci fait un « oui » de la tête, j’ai appris comment mater un soumis, mon soumis.

• Dès mon retour de ma plateforme, vous viendrez ici de vous-même et nous vous poserons sur le gland, un Prince-Albert.
Pendant mon absence, vous poserez sur ma soumise, des anneaux vaginaux sur ses grandes lèvres.

Les cordes, les boules sont enlevées, nos tenues aussi.

• Bien allons rejoindre notre piscine, nos petits jeux m’ont ouvert l’appétit, allons faire cuire, nos saucisses et côtelettes.

Nous remontons de la cave, ce soir, seul Francis a le corps qui s’orne de deux piercings montrant sa soumission.
La piscine inaugurée, nous rentrons et Francis me fait l’amour divinement.
J’ai compris et il a compris que comme Marc et Galit, il y a un temps pour tout.
Souffrance ou plaisir, ou souffrance et plaisir.
Tous les jours, je lui passe de l’alcool à 90 sur le torse afin d’éviter les infections.
Je dois reconnaitre que nous jouons parfaitement le jeu, l’alcool le fait souffrir dans les premiers jours jusqu’à ce que je reçoive un coup de téléphone de la mer du Nord.
Maître Marc sera de retour ce samedi et nos jeux vont pouvoir reprendre.
Un peu inculte dans tous ce que je découvre, je suis allé voir ce qu’est un Prince-Albert, je dois reconnaitre que j’ai un peu peur d’estropier du gland mon mari, pardon, manque d’habitude, mon soumis.

Nous sommes dans la cave, je viens tous les jours dans la cave, seule avec Galit, Francis étant à son travail.

• Tu vas être plus cool que maître Marc !

Cette phrase, ça a été le premier jour où j’étais seule avec elle.

• Met toi nue, pendant que j’enfile ma tenue à partir de demain, tu resteras nue en haut des marches pendant que je me préparerais, tu descendras lorsque je te le dirais.

Je finis de mettre ma combinaison et ma cagoule me faisant changer de monde.
Je me dirige vers le râtelier et je me saisis d’un martinet aux lanières bien plus long que celui que mon père le Kabile brandissait, mais qui s’abattait seulement sur mes frères.
Là, une rage folle d’avoir été contrariée s’abat sur les fesses de Galit.
J’ai oublié de lui mettre sa boule à bouche, mais elle subit mon courroux sans pour autant broncher.
Elle essaye de se protéger les fesses qui sont déjà rubicondes,
Ce sont ses seins et les piercings qui ramassent, ses seins sont plus zébrés que ces fesses, mais des petites taches de mouillées jonchent le sol.
Ma soumise de copine, mouille comme je mouille dans ma combinaison.
Mon courroux s’apaise, je lâche mon martinet et prends Galit dans mes bras.
Nous tombons au sol dans la cyprine, elle d’avoir ramassé, moi de l’avoir martyrisé.

• C’était plus fort qu’avec maître Marc, maîtresse Diffa, vous recommencerez.

Incroyable ces mots dits d’une toute petite voix me transpercent de bonheur, je sens que dans ce lieu que certains diront de perdition, je vais pouvoir donner un sens à ma vie.
Me transpercent, car comme me l’a dit le mari de mon amie, l’heure est venue de lui poser son premier anneau à sa chatte.
Quatorze jours, deux fois une semaine, deux fois sept anneaux sur chacune de ses grandes lèvres en alternance pour là encore éviter les infections.

• Maitresse Diffa, c’est un très bon et beu travail, vous êtes prête à poser le Prince-Albert de votre soumis.
• Je préfère que vous le fassiez, je manque d’expérience.
• Soyez sans crainte, je suis là pour vous guider.
• Lâchez mes seins, vous êtes fou, je vous interdis de toucher à ma verge, un Prince-Albert, j'en ai vu en photo, il est hors de question que tu me perces le gland Diffa.
• Mais c’est qu’il se rebêlerait notre soumis, Galit, sucer ce monsieur qu’il bande suffisamment pour que maîtresse Diffa puisse officier.

Ma copine suçant mon mari, fils de notaires, qui finit par se tordre de plaisir à deux doigts, de nouveau de faire pousser des Mandragores, s’arrête à l’injonction de notre maître à tous bien qu’il se dise mon égale.

• Officiez, maîtresse, pendant que j’attache soumise Galit à côté de celui qui va recevoir son piercing au bout de son gland.
Vous verrez, c’est vous aussi qui serez gagnantes, quand cet anneau coulissera dans votre chatte, je sais de quoi je parle.

Je branle un peu Francis, avant d’un coup de pince de lui percer le bout du gland.
Alcool, simple anneau avant la pose du Prince-Albert et c’est sidérant le plaisir que je prends à le faire souffrir.

• Laissons-les là à méditer sur leur condition de soumise, allons profiter de la piscine.

Une fois redevenu, Diffa et Marc, des personnes comme les autres, je comprends ce qu’apporte un Prince-Albert.
Marc en a un au bout de sa verge, mesdames percez vos maris et mettez-leur en un vous verrez le plaisir que vous resentirez lorsque vous faites l’amour entre maître et maîtresse.