COLLECTION SOUMISE. Fille de… (15/16) - histoire érotique

Une heure que je suis sur le canapé de mon amant dans son appartement, il est absent, mais je suis avec sa femme, j’ai eu peur qu’elle ait eu des soupçons que je suis la maîtresse de son mari, miens même, je suis sa concubine comme dans le temps des rois et reines.
Dans ces temps là, ces courtisanes recevaient des châteaux, moi c’est un appart et une voiture.
Pierre me fait des cadeaux pour services rendus, c’est encore le cas, car lorsque je lui dis avoir rendez-vous avec sa femme, il m’incite à faire une vidéo lui permettant de la faire chanter, si elle veut lui enlever ses enfants.

Chanter, c’est un tout autre chant que nous émettons quand en 69, elle dessous moi dessus, nous titillons nos clitoris.
Si elle est d’un naturel triste, avec moi elle est loin de l’être, sa chatte parfaitement entretenue, comme la mienne, coule abondamment, à force d’avoir des rapports saphiques, je constate que nous avons tout un goût différent bien que proche de nos sécrétions.
Pour ma part, je ne suis pas en reste, il faut dire que sa langue est efficace, on voit là son expérience même si elle est ancienne, bien que les failles dans les dires des uns et des autres et la rapidité ou je l’ai amené à laisser tomber ses effets peuvent engendrer des doutes.
Je connais notre milieu ayant été fille de…, la fois ou je suis revenue plus tôt de la fac, il n’y a pas si longtemps, mère n’a pas vu que j’étais là, je l’ai vu sortir de son bureau avec son amie Geneviève, elle remettait sa coiffure en place et sa copine finissait de serrer la ceinture de sa robe d’été.
Mère aime-t-elle brouter des chattes ou me fais-je un gros cinéma.

Quand Pierre me rejoint après son absence dans son fief, il est pressé de voir ma vidéo, je l’ai plusieurs fois regardé, un vrai porno lesbien comme je l’espérais.

• Alors bébé, j’ai essayé de te joindre, as-tu réussi ta mission, ai-je une jolie vidéo à lui opposer ma belle.
• Tout doux Roméo, il faut que nous parlions, j’ai appris des choses sur votre couple, qui dit vrai, toi quand tu étais sur la route qui m’a certifié que tu ne la baisais plus, ou elle qui m’a avoué que tu l’avais sauté au retour du restaurant !
Comprends que je sois un peu étonnée, comment pouvons-nous avoir un climat de confiance entre nous, d'autant plus que je me contrefiche de savoir que tu la baises, c’est ta femme tout de même, la mère de tes enfants.
• En parlant d’enfants, as-tu réussi à tourner vos ébats ?
• Quels ébats, nous avons simplement pris le thé, j’ai bien essayé de l’amener sur le terrain qui t’intéresse, elle m’a parlé en confidence de ses amours de jeunesse avant que vous vous rencontriez.
Elle m’a certifié que depuis votre mariage, elle t’est restée fidèle, la seule chose que j’ai réussie c’est de lui prendre les mains, ce que j’ai ressenti, c’est qu’elle a une grande frayeur que tu la quittes.
• Un bon point, tu ne sens pas qu’elle ait des doutes pour nous, ce qui me rassure, nous pouvons continuer à être ensemble, j’ai tellement envie de toi.
• Tout doux mon beau mâle, tu m’as tout de même menti, je suis d’accord pour continuer à te voir et je vais te le prouver, mais en contrepartie la pute que tu as faite de moi, veux du concret.
Je viens avec toi à Bali, mais je veux que nous partions en amoureux à Tahiti, je rêve de ces beaux paysages depuis ma plus tendre enfance ou dans mon école un globetrotteur est venu montrer le film qu’il avait tourné dans ces îles.
• Après la grosse bêtise que j’ai faite en te cachant qu’il m’arrive de temps en temps de faire l’amour à ma femme, je ne peux rien te refuser, je vais faire le nécessaire afin de trouver une date assez rapprochée pour entreprendre ce voyage, viens dans mes bras.
• J’ai envie de classicisme, j’en ai assez de baiser sur des tables ou des commodes, une bonne position du missionnaire dans mes draps de satin bleu me ferait très plaisir.

Ce que Pierre ignore, c’est que j’ai placé mon sac avec la vidéo du portable qui tourne, je sais, je lui ai menti, lui faisant croire que nous n’avions pas baisé Marie et moi.
Il faut savoir garder ses œufs au chaud, quand j’écarte les cuisses pour qu’il me pénètre et que mes jambes viennent le bloquer, je fais ce que j’aurais dû faire depuis longtemps.
Avoir une preuve de l’infidélité de mon homme, pouvoir prendre du poids sur l’un ou l’autre des membres du couple voire les deux par ces vidéos les montants dans des situations équivoques.
Si elles ne me servent pas, dans le futur, je pourrais toujours les archiver pour me souvenir dans mes vieux jours la salope que je suis capable d’être.

• Oui, Pierre, moi aussi fait moi jouir comme tu sais bien le faire depuis que tu m’as dépucelé, m’aimes-tu ?
• Que t'arrive-t-il Jessika, tu ne m’as jamais autant parlé quand on fait l’amour, j’aime bien d’ailleurs, toi aussi ma petite salope tu aimes ma queue dans ta chatte toute chaude.

Très drôle, il est vrai qu’à part mes cris de jouissances, je n’exprime pas le besoin de parler quand je fais l’amour avec n’importe lequel de mes amants ou amantes, mais là, la vidéo tournante, je veux pimenter les choses par jeu.
Bref, je suis contente, ce soir après m’avoir abondamment rempli le vagin de sperme, me montrant par là même que pendant son séjour dans sa circonscription il avait été sage, il me quitte pour retrouver Marie qui s’il arrive à bander n’aura que des miettes.

Dans les jours qui suivent, je me partage entre les meubles blancs de Mariane, sans oublier Louana, toujours très perverse dans nos jeux et le mardi ou mercredi après-midi dans le lit conjugal de Pierre avec Marie.
Dans ce cas, nous nous suçons les minettes en regardant la télévision ou nous savons que nous sommes tranquilles quand la caméra film l’hémicycle pour les questions au gouvernement.
Chaque fois que l’un d’eux répond aux questions, Pierre est dans le champ de vision ou répond de temps en temps lui-même, c’est l’avantage du direct, nous sommes sûrs de n’avoir pas à dire « Ciel, mon mari ».

Les jours passent, un matin mon portable vibre, je suis dans le bureau de Joseph en train de travailler, je lui prépare un discours sur la corruption, j’adore écrire, trouver la tournure des phrases justes qui va marquer l’opinion et les chaînes d’infos, ce qui m’apporte une certaine jouissance.
Surtout quand je regarde la chaîne parlementaire à la télé dans le bureau et que Joseph donne le papier au mot près sans relire ses notes, quand, je lui donne son texte, il le lit une fois et le sais par cœur.
Je sais qu’il faut que je rappelle celui ou celle qui m’a fait vibrer, mais avant je comprends qu’il faut que je satisfasse la petite envie de l’un de mes mentors en lui faisant sa sucette.
Dès que ma bouche est propre, m’étant servi du lavabo dans le bureau, je sors et je regarde, c’est Paul qui me convoque.

« Onze heures sur mon tapis la chatte à l’air. »
C’est un jeu que nous avons instauré depuis qu’il m’a pris là quand je lui ai amené les échantillons à analyser.

« Nous déjeunerons ensemble. »
Je me présente à l’heure, le planton m’ouvre et me conduit dans le bureau.
Il va sans dire que je reste sagement assise sur la bergère d’époque qui orne le bureau de mon amant, le SMS n’ait qu’un jeu.

• Alors ma petite chatte, tu vas bien !
• Tout roule, je pense que tu as les résultats !
• Oui, et ils ne vont pas t’être d’un grand secours, je dirais même que tu vas être étonné.
• Ne prends pas de gants pour m’annoncer que père n’est pas mon père.
• Si ce n’était que cela, l’un des ADN, le tient, facile c’était la mèche qu’il y avait dans un sac, ce ne pouvait pas être à quelqu’un d’autre.
Par contre, les ADN trouvés sur les autres cheveux et la brosse à dents, montre que tu as deux pères.
• Deux pères, c’est impossible !
• Disons que les trois ADN appartiennent à une même famille, quand mon policier m’a donné ce résultat, je lui ai demandé d’enquêter, sur ces deux hommes.
Ton père et ton autre père son cousin, leur propre père, les grands-pères étaient frères, mais fâché et leur fils l’a été un peu plus quand ta mère lors d’un voyage s'est échappé, sauf lui demander de quelles couilles tu es sortie, il te sera impossible de savoir qui est qui.
Heureusement, sans se fréquenter plus que ça, ton père et son cousin ont réussi à s’entendre, c’est pour ça que ta mère a été nommée à son poste et non lui.
• Moi, c’est plus simple, je prends la pilule avec toi et mes autres amants.
• Dans tes amants n’oublie pas ma fille qui a désobéi à son père, ne craint rien, tu lui as ouvert les portes de son destin, j’ai une fille reconnue mondialement pour son talent de peintre, cela me réconforte et fait taire les vieilles coutumes que l’on m’a enseigné qui veut qu’une jeune fille se marie vierge.
Viens t’assoire sur mes genoux.

J’exécute son ordre, j’aime être quelque peu soumise à ces hommes de pouvoir, même si ce sont de grands enfants qu’au final, je manipule à ma guise.
Un bureau de ministre, mes seins pourront dire qu’ils se sont frottés dessus et Paul ayant simplement dégrafé mon jean me sodomise pour la première fois.
L'expérience venante, je suis de plus en plus accro à la sodo, j’arrive même grâce à mes muscles à avoir une jouissance assez grande quand il me reprend la chatte qui éclate à chaque pénétration.
Dommage, quand je quitte son bureau, je ne suis pas plus avancé, j’espère avoir une autre idée.

Quelque temps plus tard, comme je l’ai fait chez père et mère, je suis invité à une soirée chez Joseph et Marie-Claude.
Attention inutile, de croire que je vais lui sauter à la chatte, comme pour la femme de Pierre, elle pourrait être ma grand-mère comme l’a été grand-mère Louise à Obernai.
Certes, Joseph se laisse faire des pipes par une jeunette, mais n’a jamais essayé d’aller plus loin.
Joseph, dès que j’arrive, me présente un homme grand avec seulement la peau sur les os.

• Jessika, je te présente mon fils Lucas, il est creuseur de trou dans plusieurs endroits du globe.
• Mon père a toujours le mot pour rire, je suis archéologue pour le muséum d’histoire naturelle de Paris, à ce titre je vais régulièrement sur le terrain dans de nombreux pays du monde pour faire des fouilles.
• C’est bien ce que je disais, mon fils passe sa vie à faire des trous qu’il rebouche systématiquement n’ayant rien trouvé.
• Jessika, viens jusque dans mon bureau.

Je plante là ce grand échalas, il semble qu’il y ait conflit entre le père et le fils.

• Jessika, tu as vu mon fils, à vingt-sept ans, je sais qu’il est encore puceau, je t’ai invité ce soir sachant qu’il serait de passage à Paris, je veux que tu le déniaises dès ce soir…