COLLECTION VOYEUR. Fenêtre borgne. (5/5) - histoire érotique

L’avenir de notre couple se joue en ce moment, derrière les carreaux de verre dont 2 sont enlevés deux pour mieux voir avec mon complice, qui plus est mon voisin, ce qui se passe au bord de leur piscine.
J’ai peur que le stratagème mis en place et accepté par Vénus ne tourne court, un grand cri, va celer notre avenir.

• Aie, aie, aie Tamira, aide-moi.

En poussant ces cris de douleur elle se laisse couler au fond de la piscine, Tamira a son diplôme de nageur sauveteur ayant travaillé l’été dans une piscine comme surveillante pendant ses études.
Le sachant, c’est un renseignement que j’ai donné à Vénus afin de piéger ma femme.

La profondeur de la piscine permet à ma belle de récupérer sa copine qui la prend sous les bras pour nager vers les marches.
La tête de Vénus, le souffle coupé par l’eau qui semble être entrée dans sa bouche nous donne envie d’éclater de rire, vite freiné quand nous voyons Tamira venir souffler de l’air dans la bouche de la noyée, jusqu’à ce qu’elle recrache de l’eau.

• Respire, prend de l’air, remplit tes poumons, viens sur le transat.

Avec Boris, on se regarde la plaisanterie aurait pu tourner au drame si Tamira avait mis du temps à réagir.
Vénus s’allonge sur la chaise longue et Tamira s’agenouille à sa hauteur lui caressant le front.

• J’aurais pu mourir, cela va vite à ce noyer.

En disant ces mots, elle entoure le buste de sa sauveteuse et lui prend la bouche dans un baiser qui semble avoir commencé sans s’arrêter.
C’est le top départ pour nous de retourner rapidement vers les coquines pour ferrer ce qui a bien marché.

Arrivé au coin, je sors mon portable, je passe simplement ma main afin que les filles ne puissent me voir et je déclenche une rafale, j’ai le souffle de Boris dans mon cou, nous regardons les photos, Vénus n’a pas perdu de temps, nous sommes assez prêts pour les entendre.

• Tu es folle, Vénus, si nos hommes revenaient.
• Tu l’as bien mérité, si j’avais été seule la crampe qui m’a fait couler m’aurait emporté, nous ne craignons rien, ils sont partis deux heures.

Comme elles sont placées, Vénus voit que nous sommes là, mais pas Tamira qui est de dos.

• Caresse-moi, j’ai tout de suite eu envie de toi quand je t’ai vu.
• Avec une femme, houas.
• Essaye, tu vas aimer.

Tamira passe sa main timidement sur le sexe de Vénus.

• Mets tes doigts à l’intérieur, tu vas me faire partir, viens te mettre à mon côté.

Elle s’allonge et elles se reprennent les bouches, j’ai envie d’intervenir avec les photos, mais j’ai peur que ma femme ne soit encore hésitante.
J’ai tort, car la main de Vénus et surtout ses doigts qui passent sous le string plonge ses doigts dans la chatte de ma coquine, j’irais bien mettre les miens, je suis sûr qu’il y a bien longtemps qu’elle n’a pas autant mouillé.

• Tu vois, tu es trempé, ton corps est fait pour l’amour entre femmes.

En faisant cela, elle se laisse glisser et je suis à une fraction de seconde d’intervenir, j’aurais eu tort, car c’est sa bouche qui approche de sa fente.

Ce que j’espérais arrive, Tamira écarte ses jambes ouvrant sa fourche au maximum et prenant Vénus par la tête la fait plonger dans sa chatte, incroyable, je vois voler le string que ma cochonne avait toujours.
Vénus ne peut l’avoir arraché qu’avec ses dents, la vision que j’espérais vos biens ce petit morceau de tissu, je ne réclamerais pas le remboursement à notre couple d’amis.
Je laisse Vénus donner son plaisir à ma femme et quand son visage se tord sous le plaisir dégagé par la langue sur son clitoris, nous intervenons.

• Que fais-tu Tamira, vous vous gouinez, j’aurais tout vu, Boris, ta femme est une salope, elle profite de notre absence pour dévergonder ma femme, j’ai pris des photos assez explicites, je vais divorcer ?
• Non, Jacky, c’est un accident Vénus a failli se noyer et je l’ai sauvé.
• Avec ta chatte, tu me prends pour un con.

Elle veut se lever, mais je l’en empêche.

• Non, pas le divorce, je t’aime, pense à notre fils, je te promets, ce sera la seule fois, je ne recommencerais pas.

Le moment crucial est arrivé où elle bascule où je suis dans la merde avec mon idée un peu con, certes, voir ma femme se faire brouter m’a fait bander alors j’approche d’elle sort ma verge et lui présente.

• Il est bien temps de penser à ton fils, suce espèce de salope, si tu veux que je te pardonne.

Elle va pour me prendre en bouche, mais je me recule.

• Non, tu crois te faire pardonner en me suçant, mais comme c’est avec Vénus que tu m’as trompée, c’est avec Boris que tu vas te faire pardonner, Boris donne lui ta queue à sucer, ce sera sa punition.
• Tu crois, si je le fais, tu me pardonnes.
• On verra suces.

Boris se présente et je vois la verge de mon voisin entré dans la cavité buccale de ma femme à m’en rendre jaloux, car la manière dont elle le pompe est bien supérieure à ce qu’elle m’a fait dans notre intimité, la peur mer de talent cacher.
Vénus voyant que c’est gagné me reprend en bouche et les deux hommes en bon échangiste, nous nous masturbons dans la bouche de la moitié de l’autre.

• C’est bien ma chérie, mais la punition doit être complète, Boris emmène là dans ta chambre et baise ma chienne, je suis sûr qu’elle en meure d’envie.
• Jacky pas jusque-là, mais si c’est ce que tu veux, Boris, tu seras doux avec moi, c’est la première fois que j’aurais un autre homme que mon mari en moi.
• Hors, de question, va la prendre comme une chienne, pendant ce temps, je vais en faire de même avec la tienne, ta salope l’a bien mérité aussi.

Pour préciser mon propos, le cul de Vénus est près de ma main et je le claque.

• Fesse-moi Jacky, tu as raison, nous méritons votre courroux, Tamira, excuse, c’est la faute à ma crampe, Boris, je te fais confiance avec notre nouvelle amie.

Encore un test positif, car ils partent, Boris lui tenant la main pour entrer par la porte-fenêtre.
Nous attendons un peu avec Vénus et nous nous approchons nous tenant la main nous aussi, ce que j’apprécie, c’est le baiser qu’elle me donne dès qu’ils ont disparu à ma vue.
Sur le lit Tamira ayant perdu son string sous les dents de celle à qui je caresse la croupe, c’est mis en levrette, à genoux derrière, nous voyons notre complice entrer sa bite dans la chatte, qu’il est vrai, j’ai été le seul à pénétrer.
Au moment où elle les a prononcés et dans la situation où elle était, nul doute que je suis fière qu’elle ne m’ait jamais trompé, j’entre dans la pièce, contourne le lit, elle me voit, je me couche à ses côtés et lui tends mes lèvres, dans un souffle.

• Tu me pardonnes.
• Profite, on va t’expliquer.

C’est ainsi que Tamira entre dans le monde du libertinage et de l’échangisme, dès que Boris a fini de la sexer, lui vidant ses couilles bien au fond de sa chatte, elle vient vers moi et me suce avant de se faire remettre une petite dose de plaisir en s’empalant sur ma verge.

• Boris, je serais définitivement réconcilié avec ma femme, si elle te laisse la sodomiser et que nos deux verges se frottent dans son corps.
• Tu es méchant, chéri, mais qu’est-ce que cela va être bon, j’ai un peu peur, mais vas-y, je suis une salope qui a bien mérité d’être punie.

Je découvre un nouveau volet des désirs de ma femme, elle serait un peu soumise voulant être contrainte ce qui m’apparaît comme une chose possible et qui m’avait échappé.
Deux bites, une chatte, un anus et c’est parti.
Je sens la verge de Boris sodomiser Tamira en entrant jusqu’aux couilles et aux coulissements que je ressens me font jouir comme un fou alors que je sens mon copain remplir le fondement de ma salope qui en sentant le sperme couler de chaque côté en elle s’éclate éructant son plaisir comme le ferait une louve hurlant vers le ciel.

Vénus me fait un clin d’œil avant de plonger sa tête entre nos trois intimités et lécher soit les burnes de Boris, soit mon sexe sortant du con de Tamira, soit ce qu’elle peut attraper de la chatte de ma jolie salope.
Elle doit se doigter, car nous avons une jouissance simultanée tous les quatre.

C’est à poil, après un bon bain qu’à l’ombre, nous dégustons des petits fours préparés avec amour par Boris, la plupart du temps de cet encas, arrosé de champagne, j’ai les doigts dans la chatte de Tamira, qui me caresse la queue.

Tous les jours, jusqu’au samedi, nous nous voyons tous les soirs, je baise l’une ou l’autre, Boris suivant le rythme.
Quand nous annonçons à ma femme que samedi, nos amis reçoivent des invités, dans une soirée qui risque d’être chaude, j’ai peur qu’elle ne comprenne le piège où je l’ai fait tomber.

• Vénus, Boris, j’aimerais qu’avec Jacky nous y participions.

Pour notre couple qui se délitait, c’est gagné, avec Boris, nous allons suivre une formation de pose de fenêtre, tous les carreaux de verre sont rangés dans ma cave et nous replaçons une nouvelle fenêtre.
C’est bon de bien s’entendre avec ses voisins.