Comme prévu Ep01 Pas du tout comme prévu - histoire érotique

Comme prévu Ep01
Pas du tout comme prévu


Ça ne s'est pas passé comme prévu. Tout avait pourtant été programmé comme les coutumes le veulent. Mais c'est que je ne voulais pas !

Tout avait été prévu, comme il se doit je devais atteindre mes seize ans, mettre le dispositif de chasteté que tous les garçons bien élevés se doivent porter avant de commencer leurs études supérieurs.

C'est la fin de l'enfance, de l’insouciance et … de la branlette.

Mais voilà, je ne voulais pas ! Bon je ne m'y opposait pas formellement, disons que je manquais d'enthousiasme. Et puis il faut bien dire que j'étais vraiment bien monté, et dans mon village il y avait tout ce qu'il faut sauf peut être les très grandes tailles.

J'étais passé chez le chastisan du village. Il m'avait examiné, avait pris mes mesures et n'avait pas caché sa surprise. Au début de la séance il trouvait déjà plus de dix sept centimètre. Je ne suis pas un spécialiste mais il me dit alors.

– Au repos, c'est pas ordinaire. Même en érection c'est une telle taille déjà très satisfaisant.

Puis il me demandait de bander. J'ai un peu hésité sous l'effet de la surprise. Mais je me suis rapidement pris au jeux. Je me tripotais donc doucement puis avec un peu plus de fermeté.

Ma queue prenait rapidement de la place, elle gonflait joyeusement pour atteindre sa taille maximum. Il mesurait alors un peu plus de vingt trois centimètres sur six centimètres de diamètre.

– C'est tout simplement énorme me dit-il. J'ai bien peur de ne pas avoir ta taille.

En effet, il me faisait essayer un modèle, le plus grand et il n'était pas assez grand.

Je ne vous cacherai pas que c'est à ce moment que je commençais à bien m'amuser. La situation aurait été scabreuse dans n'importe quelle autre endroit face à n'importe qui d'autre. Mais les chastisans sont assermentés comme vous le savez. Et il ne faut pas avoir honte ( on n'a aucune raison ) ni se sentir mal à l'aise. Ce monsieur était expérimenté et m'a aidé à me détendre. Je me retrouvait donc à poil face à un monsieur que je ne connaissais pas très bien et en érection.

Je vous disais bien que ça aurait rapidement été scabreux, mais ne vous sentez pas obligés de rougir en me lisant pour autant. Tout va bien, c'était avant tout professionnel. Exclusivement professionnel. Et en plus ma queue fonctionnait très bien, si je vous jure je ne me vante pas, c'est tout vrai ce que je dis !

Comme vous devez le savoir, il ne faut pas que le dispositif soit trop grand, un peut trop petit est même conseillé. Le chastisan m'expliquait tout cela pendant que je débandais et je me laissais convaincre. Je tentais finalement le petit dispositif, enfin quand je dis le petit, c'était le plus gros. J'ai eu du mal mais c'est rentré.

On refermait le dispositif.

C'est vrai que je me sentais à l'étroit. Je sentais un forte pression tout autour de ma queue, l'anneau de maintient, à la base de mon sexe était satisfaisant, il maintenant bien le tout mais il n'était pas trop petit, par contre la cage elle, était vraiment étroite.

Je suis resté là un moment à discuter avec le chastisan. Il avait de l'expérience et il m'expliquait que si le dispositif s’avérait réellement trop étroit comme il le pensait il faudrait faire une cage sur mesure, mais ça, c'était beaucoup plus cher.

Et oui, on en est là, sans le sous on ne va jamais bien loin.

Il fallait procéder, ce n'était pas vraiment la loi mais tout de même plus qu'une tradition. C'était disons, ce qu'il convient !

Mais on n'avait pas les moyens de se payer le dispositif. Ceci-dit comme je vous le disais au début, j'étais pas vraiment d'accord. Je me résignais, je me soumettais mais je n'en pensais pas moins.

Surtout que le dispositif était trop petit !

Au bout d'une heure c'était vraiment douloureux, et là je décidais de tout arrêter. Vous savez d'habitude, on ne demande pas son avis à un nouveau porteur mais là, le chastisan voyait parfaitement que quelque chose n'allait pas et décidait de me suivre, il me retirait mon dispositif.

Aussitôt je me sentais mieux. En seulement quelques minutes, c'était devenu douloureux

Je bandais maintenant , je bandais même bien et là je ne contrôlais plus rien. On a continué à discuter pendant un moment, pendant que je me rhabillais. Je n'allais pas rester à poil toute la journée quand même.

Puis il me faisait une ordonnance, il y notait soigneusement ma taille, chaque dimension prise et quelques appréciassions.

Nous vivions dans un petit village, qui en plus était localisé sur une île. Nos moyens techniques étaient limités. Une cage à ma taille n'avait jamais été vue dans ce village.

Quand je dis vu, n'allez surtout pas imaginer qu'on s'exhibait devant tout le monde, on était très prude en fait. On n'en avait jamais entendu parler c'est tout. Le chastisan local qui n'était pas vraiment un génie ne savait même pas si ça existait.

Bref je suis reparti comme j'étais venu. Mais je ne parvenais pas à me calmer, je bandais et comme je viens de vous le dire, j'avais une grosse, une très grosse bite et je bandais. C'était embarrassant, attention j'ai pas dis désagréable, mais embarrassant car je savais que ça se voyait. J'avais même l'impression qu'on ne voyait que ça.

En passant devant une porte vitrée, je pouvais voir mon reflet, ça se voyait que je bandais, ça se voyait c'est vrai que je le savais mais j'avais bien l'impression que tout le monde le voyait, ne voyait que cela et me regardait.

Remarquez ce n'était pas juste une impression, c'était vrai !

Je rentrais donc chez moi, la tête basse et la queue bien relevée dans mon pantalon. Pardon, j'allais dire la queue basse mais c'était pas vraiment le cas. En fait je n'étais pas du tout fâché de ne pas porter le dispositif de chasteté que j'aurais du avoir sur moi. Non, sur ce point, j'étais plutôt content, je savais ce que tout le monde regardait en me croisant, c'est ça et uniquement ça qui me mettait mal à l'aise.

Et comme je vous le disais, dans mon île on était très prude.

Pour accéder à ma maison il fallait que je passe par une grande allée, large et très bien dégagée. Il y avait ma voisine, une vieille bonne femme qui devait bien avoir au moins le double de mon âge ou pas loin en tous cas.

– Salut Chraly ! Me lançait-elle. Tu avais bien rendez-vous chez le chastisan ce matin ?
– Oui ! Heu, oui mais heu !
– Et qu'est ce qui s'est passé ? Demandait-elle alors .

Je me retrouvais devant elle, lui faisant face. Un large sourire éclairait son visage.

– Tes parents ne sont pas là, Tu devrais entrer, je vais te faire un chocolat.

Un chocolat, c'est toujours bon à prendre, je la suivait sans me méfier. D'ailleurs de quoi me serais-je méfié, non mais franchement, cette dame, je la connaissais depuis toujours.

Elle était belle, elle avait une longue chevelure blonde, une très belle poitrine, elle était mince et musclée, un sourire ravageur avec des dents très blanches et de magnifiques yeux bleus.

Je ne sais pas vraiment pourquoi mais brusquement je la regardais comme je ne l'avais jamais regardée avant. Je ne savais pas vraiment ce qui se passait en moi mais brusquement je sentais ma queue qui durcissait encore plus. Dans mon pantalon.

Elle s'en rendait compte. Elle me servait mon chocolat, elle devenait plus , je ne sais pas vraiment quoi, attentionnée, douce, son bras nu s'allongeait devant mon visage, très légèrement, avec une très grande douceur elle me caressait la joue avec le revers de la main.

Je sentais comme un frémissement dans tout mon corps et c'est en tremblant légèrement que je buvais un première gorgée de chocolat. C'était bon.

Je la regardais dans les yeux, elle me rendait mon regard, ses yeux brillaient comme un soleil au milieu d'un ciel bleu, je lui souriais. Et toujours cette bite, ma bite qui prenait toute la place . Mon érection était à son maximum.

Je pensais à plein de choses, plein d'idées me traversaient la tête. Je la regardait tourner autour de moi, elle m'apportait quelques gâteaux. J'aime bien et je me jetais dessus. Ça l'a fait rire.

Son rire était joyeux, et son regard doux même si insistant.

– Tu veux te reposer un peu avant que tes parents ne rentrent ? Me demandait-elle.
– Ils ne rentreront pas avant ce soir.
– Nous avons tout le temps alors .

Elle me prenait la main et m'entraînait vers une autre pièce de la maison, je la suivais sans résister et c'est vers sa chambre qu'elle me guidait. Je ne comprenais pas tout de suite ce qui se passait mais je ne résistais pas.

Je me sentais pas vraiment menacé, même au moment ou je sentais ses doigts me faire sauter chaque bouton de ma chemise, l'un après l'autre,sans se presser. Ma chemise s'ouvrait et ses doigts glissaient sous ma poitrines.

Elle avait les mains douces, et je bandais encore plus, comme si c'était possible. Je me sentais bien, sauf peut être au niveau de mon entre-jambe ou je manquais de place.

Et dire que quelques heures plus tôt on voulait me mettre la queue en cage. Là je vous jure que je n'y pensais plus du tout.

Elle m'ouvrait largement ma chemise et déposait un très tendre baiser sur ma poitrine, j'ai frémi !

Ensuite sa main se dirigeait vers mon ceinturon, je la sentais ouvrir mon pantalon, elle glissait sa main dans mon pantalon. Là je devinais parfaitement ce qui se passait mais je ne résistais pas, toujours pas .

Ses doigts s'approchaient de ma queue, mon cœur allait exploser, j'avais du mal à respirer mais qu'est ce que je me sentais bien. Elle me repoussait en arrière et se penchait sur ma queue.

Elle me dégageait mon pantalon, le faisait glisser pendant qu'elle me donnait un plaisir qui pour moi était totalement nouveau. Je sentais ses lèvres autour de mon gland, je sentais sa langue qui glissait sur ma queue et je sentais ma queue qui glissait dans sa bouche.

Ses cheveux retombaient sur mon ventre et je ne voyais rien de ce qu'elle faisait, mais je sentais tout et c'était tellement bon, je penchais ma tête en arrière, et je gémissais de plaisir, je ne cherchait pas à me taire, je savais qu' personne ne viendrait nous déranger.

Je me sentais tellement bien, je lui caressais les cheveux.

J'ai une grosse queue et je ne sais pas comment elle pouvait la prendre dans la bouche mais elle ne semblait pas avoir de problèmes pour le faire.

Elle relevait la tête et me regardait et avec un grand sourire me disait seulement.

– C'est une belle pièce, ça aurait été dommage de la mettre en cage !


A suivre


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