Coralie et Kevin au club libertin - histoire érotique

Je suis Kevin, un grand gaillard d’un mètre soixante-dix avec une grosse bite. Jeune j’ai fait du rugby et suis resté assez athlétique.
Ma chérie, Coralie, est rouquine, grande (quelques centimètres de plus que moi) un peu maigrichonne avec des petits seins. Son visage est souvent masqué par ses cheveux longs. Elle a les aisselles et la foufoune poilues mais se taille la dernière pour garder juste une toison. Elle a les fesses superbement rebondies.

Aujourd’hui, c’est notre anniversaire. On est maintenant ensemble depuis trois ans. Que du bonheur. Tout d’abord en couple à faire l’amour ici ou là : dans notre appart bien sûr, mais aussi dans la voiture, dans un parc, en randonnée, … Juste nous deux puis avec nos amis Karine et Pierre lors d’un traquenard tendu par les filles et enfin avec d’autres amis que nous avons convertis à l’amour à plusieurs.

Ce soir, c’est décidé, nous franchirons une nouvelle étape dans le sexe. Jusqu’à présent, avec des amis, nous étions échangistes, nous prenions notre pied ensemble. Je baisai quelqu’un et, devant moi, ma chérie prenait du plaisir avec un autre. On s’embrassait durant nos actes. On se caressait, on passait de l’un(e) à l’autre durant la soirée. On jouait à prendre l’une ou l’autre à deux, ...

Ce soir ce sera club libertin. Chacun partira de son côté pour chercher du plaisir sans l’autre.

Nous arrivons à ce club que nous a conseillé une amie. C’est propre, récent et pas trop de lourdauds ou de vieux pervers mais des gens respectueux bien que coquins.

Après être passés aux vestiaires, je reste entièrement nu alors que ma Coralie garde ses bas noirs auto fixants. Nous commençons par prendre aller au bar pour faire connaissance avec les lieux. La serveuse, Sandra nous avait accueillis à l’entrée et est passé au service. Elle est nue mais une queue semble pendre. Alors qu’elle repart avec la commande, on voit qu’elle a un plug anal avec une queue de renard dans les fesses.

En revenant, elle nous informe qu’une nouveauté est en train de se mettre en place au second étage. C’est la première salle de ce type dans la région mais ne veut pas nous en dire plus. Ma Coralie et moi nous regardons, vidons nos verres en vitesse et montons voir tout de suite. Tous est nouveau ici pour nous mais là c’est du nouveau pour tous.

On devine tout de suite. C’est une sorte de chambre triangulaire avec 3 ouvertures, une sur chaque côté. Une grassouillette s’engage à plat ventre dans l’une des ouvertures, une fois qu’il ne lui reste que l’arrière-train à l’extérieur, elle pivote sur le dos et demande à être attachée. Je me précipite avec un autre homme. Ses jambes sont maintenant en l’air, en V fixées par les chevilles. Devant nous un miroir (selon un petit mot « sans tain ») d’où on voit la blonde allongée sur le dos à l’intérieur, ne laissant dehors que le bas du corps, avec les jambons en l’air. A ces côtés, un flacon et des oreillettes. Elle attend.

Ma chérie me demande
- Tu veux te faire cette grassouillette ?
- Pourquoi pas, j’ai plutôt l’habitude de me faire des plus maigres, surtout avec toi.
Elle rit et s’accroupit. Elle me prend la queue et commence à me sucer. Elle s’interrompt, écarte les cuisses de la blonde et lui bouffe la fente, revient sur ma bite, retourne sur la blonde, …
- Tu veux lui faire quel trou ?
- Le cul, je veux la prendre par le cul !
Elle replonge et lui lèche ce petit trou pour moi. Pendant ce temps, sur une petite cage fixé à la paroi, je prends un préservatif. Un petit mot explique que pour que la personne à l’intérieur reste attractive pour tous, il est nécessaire de ne pas la souiller trop vite.

Ma chérie se recule et écarte pour moi les cuisses de la blonde. Je m’approche et m’engage directement dans son trou préparé par ma chérie. La blonde hurle ! Ben oui, elle est grosse et ça surprend, même bien préparée ! Elle a de la chance, j’ai du mal à la rentrer complètement mais avec moi, c’est plus la largeur qui impressionne et fait effet que la longueur. Elle en a assez dans les fesses pour bien me sentir et je commence à la baiser tranquillement. Ma chérie s’éloigne et va vivre sa vie.

Par la vitre je regarde mieux la blonde. Elle a séparé ses cheveux en deux et fait deux boules en haut, sur les côtés, un peu en Mickey ou plutôt ici, en Minie. Elle a un superbe visage rond, bien maquillé. Elle a tiré le trait des yeux un peu comme une chanteuse décédée trop tôt et que l’on disait un peu alcoolique. Un gloss rose scintillant enduit ses lèvres. Elle a mis les oreillettes à sa disposition, sans doute pour faire complètement le vide, sans entendre ce qui se passe de mon côté. Elle a une très grosse paire de seins qu’elle se caresse avec des mains prolongées par des ongles assez longs vernis en rosse du même teint que les lèvres. Ils sont également bien brillants. Elle se mouille les index puis se caresse les tétons avec. Ses mamelons sont étrangement foncés.

Elle bouge et semble même respirer au rythme de mes assauts dans son trou. Maintenant fini les premiers cris de surprise. Elle accueille ma bite avec un plaisir sans doute décuplé pour elle par le fait de ne pas me voir, d’être prise par un inconnu qu’elle ne voit pas. Son bras droit heurte le flacon que j’avais évoqué plus tôt. Elle le prend et lit ce qui est écrit. Elle lance un grand sourire en direction de la vitre (donc de moi) et fait couler le liquide. C’est une huile de massage. Bien coulante, bien brillante. Elle l’étale sur ses seins en le léchant les lèvres mais toujours au rythme de mes coups dans son petit trou.

À ses côtés ça bouge. J’avais indiqué que la « pièce » était triangulaire avec un trou dans cache côté. Une brune vient de rentrer à sa gauche. Un autre à sa droite. Je ne vois bien sûr que la partie haute de leurs corps. Elles se tournent toutes les deux et sont en train de se faire attacher les chevilles. Ma blonde envoie la main droite pour prendre la main de l’une d’elle.

Elles sont aussitôt prises, toutes les deux. « Ma » blonde passe le flacon à celle de gauche qui comprend et s’enduit ses petits seins avec, puis son ventre. La lumière doit jouer car elles brillent maintenant toutes les deux et bientôt toutes les trois car la brune passe le flacon à l’autre brune.

De les voir toutes les trois comme ça, de me faire ainsi ma première grassouillette et quelle belle grassouillette, quelle superbe grassouillette, ça commence à bien m’exiter. Elle me regarde, passe sa langue sur ses lèvres. Je ralentis, m’arrête … mais son visage exprime l’étonnement. Jécarte au maximum ses cuisses et m’engage au plus profond. Elle se cambre sous la surprise. Je me retire un peu et replonge encore. Elle adore, ses lèvres sont trempées par ses lèvres. Elle tend les bras comme pour m’attraper vainement. Encore un ou deux coups et je prends mon pied dans ses fesses. Elle le sent et semble elle aussi jouir. Je m’écarte pour laisser la place à un autre qui la matait sur le côté depuis une ou deux minutes. Il lui écarte la chair, lui plante deux doigts dans les fesses et lui bouffe la chatte en même temps.

Je vais vers la douche. Elle m’a fait sacrément transpirer cette très jolie femme. Un visage magnifique avec des expressions bien marquées, des gros seins avec lesquels je me serais bien amusé. Elle mérite d’être connue.

Une fois rincé, je sors et croise ma chérie qui tient la main d’une fort jolie blonde avec les cheveux aussi longs que ceux de ma femme. Elle m’embrasse et me présente Eloane qui m’embrasse aussi. Un baiser étonnamment passionné. Ma chérie m’explique qu’elles reviennent de loin avec des gars presque aussi bien membrés que moi, mais oui, juste « presque ». Loane baisse la tête, voit ma queue au repos, se baisse pour la prendre en bouche juste un instant, se relève, me dépose un baiser et me demande de ne pas trop m’éloigner en riant. Ma chérie conteste.
- Non, Eloane, nous deux on reste ensemble pour la soirée mais loin de mon Kévin. On t’invitera à la maison un soir si tu veux te le faire. Allez à la douche.

Je m’éloigne donc tous seul … enfin, tout seul, mais pas pour longtemps. Un couple m’interpelle. Une petite femme (elle ne m’arrive même pas à l’épaule) blonde, cheveux très courts et son gars, un métis. Elle me prend directement par la queue et m’invite à venir avec eux dans une chambre pour une partie à trois. Visiblement, elle est petite mais c’est elle la patronne !

Décidément, moi qui suis très heureux avec ma Coralie, une très grande rousse assez maigre, je viens de me taper une grassouillette et voila que je pars avec une petite blonde. Le monde est fait de toutes sortes de beautés. Il faut toutes les tester !

La blonde se présente, Inès. Son copain c’est Flavien.
Elle est petite, certes mais avec une très belle paire de seins, bien ronds. De petits mamelons mais d’énormes tétons! Un ventre plat, une foufoune rasée de près (tant pis, j’aime bien quand elle est fournie), des jambes musclées. Ses ongles, mains comme pieds sont vernis de bleu. Aux mains, ils sont très longs en pointe. Son visage n’est pas maquillé. Ses yeux sont étranges. Je suppose qu’elle a mis des lentilles. Elle voit que je la scrute et se tourne. Son copain la prend par les fesses, musclées, relève et les écarte pour moi, la déséquilibrant un peu. Elle rit. Sa voix est magnifique.

Lui, métis, n’est pas particulièrement costaud mais il en a une très longue. Beaucoup plus que moi… mais plus fine.

On s’allonge tous les deux. Ines verrouille la porte et nous demande si on laisse les rideaux des fenêtres ouverts. On est ok pour se faire mater en pleine action. Elle vient s’allonger et me demande
- Dis-moi, Kevin, tu es juste hétéro ou bi ?
- Ben j’ai déjà fait des trucs avec un autre mais plus pour faire plaisir à ma chérie et à la sienne qui nous avaient préparés que par conviction.
- Alors vous allez commencer par vous occuper de moi

Pendant que son copain l’embrasse tendrement, je me penche et comment à lui sucer un sein. Je tourne ma langue autour d’un téton qui devient très vite dur. Je l’aspire, le mordille, le coince entre mes dents pour faire tourner ma langue très vite dessus. Un téton aussi long, c’est super à sucer !
Elle baisse la tête de son chéri pour qu’il s’occupe de l’autre et attire la mienne pour que je l’embrasse à mon tour.

Inès me prend le sexe en main.
- Plus que ta carrure et ta taille, c’est la largeur de ta bite qui nous a attirée. Approche-la-moi pour que je te suce.
- Dis, tu m’en laisseras aussi un peu.
- Si t’es sage Flavien, si t’es sage.

Je me relève et lui présente mon engin qu’elle engloutit aussi tôt. Elle la ressort et doucement la couvre de baisers, de la base d’abord puis remontant au gland qu’elle enveloppe de sa langue avant de l’enfoncer en continuant avec sa langue un instant. Flavien s’est interrompu un instant et regarde sa chérie me sucer. Il a envie lui aussi.
- Juste un instant.
- Ok, vas-y
Il la rentre dans la bouche et se régale de tourner sa langue autour.
- Bon, mon cœur, tu me prépares ?

Inès écarte les jambes en grand et Flavien plonge pour lui bouffer son intimité. Je retourne sur le sein qui était initialement sucé par son copain et comment à m’en occuper. C’est décidé, j’adore les longs tétons … et Inès adore que j’adore ça !

Flavien s’écarte d’Inès un instant et me suce pour me faire bien grossir dans sa bouche puis me tire par le bras. Sa copine est trempée et n’attend plus que moi. Je me positionne, Flavien prend un coussin pour relever les fesses de sa chérie. Je vois qu’il a bien préparé les deux trous qui semblent aussi luisants de salive l’un que l’autre. Je plante mon dard dans le ventre d’Inès qui hurle de surprise. Ça fait souvent cet effet.

Il remonte vers sa chérie et lui propose sa bite à sucer. C’est vrai qu’elle est longue mais avec la prestation de sa femme, on dirait qu’elle s’allonge encore sans pour autant grossir. Quand il la prend, il doit aller loin.
Il s’écarte d’elle et me demande
- Tu veux bien un peu, toi aussi ?
- Par curiosité, je veux bien essayer mais je te préviens, ce n’est pas trop mon truc.
Je le suce un peu. Elle est effectivement longue et il appuie ma tête vers lui, tout doucement, l’éloigne et la rapproche encore. En une minute, je la sens dans ma gorge et suis pris de haut le coeur. Il se baisse, m’embrasse, me remercie et me laisse continuer à baisser sa femme.
Là, c’est plus mon truc, d’autant que ses petits cris m’encouragent.
Elle se relève soudain, me bascule sur le dos, m’enjambe et retombe sur moi. Un gloussement sort de sa bouche. Flavien en profite pour l’engloutir de sa bite. Elle prend appui sur mon torse et prend le mouvement qui lui fait du bien tout en suçant son chéri. Elle est aux anges un instant puis lui demande de la prendre aussi.
Elle se couche sur moi, me caresse le visage en me léchant les lèvres. Son mari lui écarte les fesses et plonge lentement en elle. Je le sens de l’autre côté, sur ma bite. Elle s’agrippe à mes épaule et c’est elle qui initie le rythme. Elle remonte redescend, demande à Flavien d’aller plus loin. Bientôt il lui a mis la totalité de son engin dans les fesses. Elle ronronne, m’embrasse encore (elle semble adorer les baisers) pendant que son copain engage ses aller-retours me laissant peu de possibilités de bouger.

- T’affole pas, tu me remplis la chatte et bientôt tu prendras sa place.

J’en profite pour la relever un peu et lui caresser les seins. Dommage qu’elle soit bien plus petite que moi. Dans cette position impossible d’approcher ces tétons si extraordinaires. Je ne peux que jouer avec de mes doigts, ce qu’elle semble apprécier.

- Oui, les garçons, continuez, continuez, oui ..
- Je vais jouir ma chérie, ça vient.
- Remplis-moi au plus profond et laisse la place à Kevin. Tu es allé loin, il va m’élargir l’œillet.
- Oui, oui, …
Je sens qu’elle remonte sous ses coups de butoir et bientôt alors qu’il prend son pied, je sors d’elle.
Elle se positionne à quatre pattes et m’invite à la prendre.
Flavien, qui n’en rate pas une, profite du changement de position pour me sucer un peu afin de me la faire regrossir et bientôt j’investis le petit trou (enfin de moins en moins) d’Inès qui adore ça.
Je la ressors pour la re-rentrer je joue avec son trou de balle. Flavien va embrasser sa chérie puis lui s’allonge devant elle. Il met deux coussins sous ses fesses pour les relever. Inès met la tête sur le côté, relève les couilles de Flavien et lui suce la rondelle.
Bientôt elle s’arrête car le plaisir arrive et la secoue.
- Tu es adorable Inès, je prends beaucoup de plaisir dans tes fesses.
- S’il te plaît, j’adorerais que tu jouisses dans mon Flavien. Si tu veux après, je te lèche pour te la nettoyer dans la foulée.
Ce n’est pas tant l’idée de me faire son copain mais plutôt de la voir me sucer après qui m’exite. Je la bouscule un peu. Flavien se soulève et je m’enfonce en lui sans ménagement. Tant pis pour lui. Il hurle de plaisir. Ines le suce maintenant, à mes côtés.
- Inès, redresse-toi, assis toi sur son ventre et donne-moi tes seins.
Si le fait de me faire son copain, ne m’excite pas plus que ça, le fait de sucer les tétons d’Inès me rend fou et bientôt j’éjacule. Inès respecte son engagement et plonge sur ma queue pour la nettoyer. Je suis à genoux avec Inès qui me nettoie consciencieusement.
Flavien se met à côté et elle passe d’une queue à l’autre puis essaie les deux ensemble dans sa bouche mais ça passe pas. Elle me suce donc et quand je suis « tout propre », s’occupe plus sérieusement Flavien qu’elle amène au plaisir dans sa bouche.

Il se baisse et ils s’embrassent passionnément comme deux amoureux qu’ils sont, échangeant le sperme qu’elle avait encore en bouche. Le sien et le mien.
- Tu veux bien échanger un dernier baiser avec moi ?
- Comme je t’ai dit, Inès, je ne suis pas trop « mec » mais bon, bien que ta bouche soit garnie, avec le plaisir que j’ai eu je veux bien te donner cette petite satisfaction.

Je ressors ensuite de la pièce. Deux hommes qui étaient aux fenêtres demandent la permission de les rejoindre alors que je me dirige vers la douche.

J’y retrouve encore ma chérie avec Eloane sous l’eau en train de s’embrasser.

On décide de s’en aller, ma chérie vous racontera sa soirée.