La roue crevée
Récit érotique écrit par Provence [→ Accès à sa fiche auteur]
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La roue crevée
Je suis Lilian, 25 ans, bien bâti, chargé de comm’ dans une petite boite qui vient d’être rachetée par un grand groupe. Enfin quand je dis chargé de comm’, en fait depuis que le patron était tombé malade, avec la comptable et le chef des ventes, on se partageait le boulot de chef d’entreprise. Le patron ne pouvait que vendre et rachat est une aubaine pour nos jobs à tous.
Aujourd’hui, je dois recevoir une nana envoyée par notre racheteur. Elle doit reprendre le poste du directeur au moins le temps que quelqu’un soit embauché pour ça. La comptable et le chef des ventes m’ont laissé en première ligne. Les enfoirés !
Je suis un peu fébrile, ne sachant pas trop ce que le groupe qui nous a acheté veut faire de nous. A 8 h tapantes je suis à l’entrée de la boite pour accueillir notre nouvelle patronne.
Elle arrive … Oh là, là …
1 m 70, blonde, des nibards imposants dans sa chemise blanche, une jupe serrée et élastique qui semble mouler ses hanches et son cul. Et je vais devoir passer la journée en tête à tête avec elle pour lui faire un récap de notre situation ? Je vais mourir !
D’entrée, elle plaisante et éclate de rire. Je n’ai même pas réellement entendu ce qu’elle a dit, scotché que j’étais à la détailler. Dans le doute, je vais rire aussi.
Je l’accompagne dans le bureau du patron et on commence. Visiblement, elle n’est pas qu’un canon. Elle connaît son sujet et pose pas mal de questions, m’interrompant au besoin avec un sourire devant lequel j’ai du mal à tenir. Sérieusement, j’ai la gaule.
On fait le tour des brevets en cours, passés, de l’atelier de fabrication, des principaux clients, fournisseurs, … Toute l’activité de la boite y passe.
A midi, on fait une pause. Je peux enfin respirer en la laissant entre les mains du responsable de production dans notre petite cafétériat. Tous les salariés ont entendus parler l’arrivée de LA nouvelle directrice et de ses formes avantageuses. Tous les gars sont là, à baver. Toutes les nanas sont sur leur trente-un pour essayer de rivaliser sans succès.
Je mange un peu à distance pour faire redescendre ma tension.
Une fois le café expédié, elle m’appelle pour continuer la partie RH.
On retourne dans le bureau pour passer en revue chaque salarié, son arrivée, sa dernière augmentation, mon avis sur chacun … Je souffle un peu car elle commence à prendre des décisions de revalorisation des anciens. Elle est tout à fait cohérente.
En fin d’après midi, on en arrive à moi.
Elle me dit quelle doit rédiger un rapport demain matin qui doit être sur le bureau de son chef demain midi. Elle veut travailler au calme de chez elle pour le faire. Pour l’examen de ma situation, elle impose que l’on en discute au restaurant ce soir.
J’ai pas le choix. Je cède.
Je la récupère chez elle (elle n’habite pas trop loin) pour aller au restaurant, à une dizaine de bornes de la ville, d’une seule voiture
Le problème c’est qu’elle s’est changée. Si aujourd’hui, c’était une bonde, ce soir c’est pire.
En fait, c’est pas dur, vous avez en tête la nana du célèbre dessin animé qui fait saliver un loup à en perdre la langue ? C’est clairement l’effet qu’elle me fait !
Un chemisier tendu à éclater par ses obus, une jupe aussi moulante que celle d’aujourd’hui mais avec paillettes, des sandales. Ses ongles de mains et de pieds sont roses avec des dessins de fleurs. Elle a un gloss du même rose, aux lèvres et un maquillage de paupière en dégradé.
Pendant la route, j’évite de la regarder pour éviter l’accident.
A notre arrivée on fait sensation. Tous les mecs se retournent.
Je me dépêche de m’asseoir pour me couvrir une grosse bosse dans mon pantalon avec la serviette. Durant tout le repas, je vais me poser des questions sur la solidité des boutons du chemisier. Comment peuvent-ils tenir ? Comment dois-je réagir si ça pète ? Chaque bouton est un maillon faible. Si le premier casse, les autres vont suivre, forcément. C’est tellement tendu qu’on voit bien qu’il n’y a pas de soutif.
Elle plaisante, rit et enfin au dessert, on en arrive à moi. Mon expérience, mon ancienneté, le travail que je réalise normalement et celui que j’ai réalisé pour tenir la boite sans le patron malade, … La tension baisse, on discute sérieusement. Elle a l’air de m’apprécier et d’apprécier mon boulot. Elle me promet une prime pour les 4 derniers mois passés à tenir la boite à flot.
Ouf !
Bon elle veut rentrer.
On monte dans ma voiture, et on part.
D’un coup
- Stop, Lilian, arrête toi
Je m’arrête en catastrophe sur le bas côté assez large.
- Éloigne-toi de la route, approche-toi des arbres, la Lune éclaire un peu trop et les phares des voitures peuvent aussi allumer le coin.
- Heu oui mais pourquoi ?
- Pour ta prime, c’est acté mais pour ton augmentation, je pense qu’une dernière formalité s’impose. Viens, on passe derrière !
- … heu
- Allez ne fait pas l’andouille, j’ai bien vu que je te plais, j’ai envie de sexe ce soir et je sais que mon mari va rentrer tard.
- Votre mari ?
- T’en fais pas, d’une part, les absents ont toujours tord et puis il est pas trop jaloux. Allez, retire mon chemisier que je respire enfin. Voilà … alors ça te plait ?
- Heu oui, oui.
J’espère qu’elle ne voit pas que je bave.
Elle se met à quatre patte, ses fesses vers moi et me demande de lui retirer la jupe et le string. J’en étais sûr … un superbe fessier bien rebondi avec une fente bien profonde entre les deux.
- Elle se retourne. Assis-toi je vais commencer par te sucer.
En quelques secondes j’ai le pantalon et le slip aux chevilles. Elle est à quatre pattes sur le siège, la tête sur entre mes jambes à sucer .. et elle suce bien.
- Arrête, arrête, je vais exploser.
- Bouffe moi à ton tour !
Allongée sur le siège arrière, une jambe vers l’avant, une autre en l’air, elle attend et c’est moi qui plonge ce coup-ci. Elle est déjà trempée.
- C’est bien Lilian, suce bien. Rentre ta langue, occupe toi de mon clito, accélère, ralentit, encore …
Elle explose.
Elle rit (oh ce sire, j’en peux plus de ce rire).
- Allez saute-moi. Levrette ? Je me mets encore à quatre pattes, tu t’allonges sur moi et tu me la mets profond ?
- Oui si tu veux.
Ça traîne pas. Ça glisse et ça rentre. Je la lime un bon moment quand elle me demander de changer de trou ! J’en peu plus, c’en est trop j’éjacule dans sa foufoune !
- Et ben alors ? J’ai demandé dans mon cul. Bouge pas, je vais te sucer pour te remettre en forme et tu me la mets mais dans les fesses, hein ?
- Oui
Et c’est reparti mais dans le puits défendu. Couché sur elle, je pense qu’heureusement j’ai un SUV, c’est plus haut de plafond. Elle crie d’accélérer, qu’elle est pas à une bite près. Je la laboure et on prend notre pied ensemble.
- Et ben c’est pas mal mais j’en veut encore. Je te veux plus énergique, malmène-moi ce coup-ci.
- Attends, faut que j’aille pisser.
- Fais vite. Je bouge pas. Je t’attends le cul en l’air.
Je sors de la voiture m’approche des arbres quand une voiture arrive sur le bas côté au ralenti et se gare à quelques mètre de la mienne. Un type assez costaud sort en râlant et va vers son coffre d’où il sort une roue de secours. Je suis sauvé.
- Écoutez, j’ai un truc à vous proposer.
- Non mais ça va pas, t’es pas bien ?
- Rassurez-vous, rassurez-vous. Vous voyez ma voiture, juste derrière la vôtre ? A l’intérieur y’a une salope de première qui ne demande qu’à se faire sodomiser sauvagement. Moi, j’en viens et elle m’a vidée mais elle en redemande. Je vous promets de changer votre roue pendant que vous la baisez, ok ? Ne me dite pas que ça vous intéresse pas ?
****
Merde, je viens de crever. Je ralentis doucement sans freiner et je me gare sur la bas-côté en douceur près d’une autre voiture près d’une rangée d’arbres.
Alors que je descends et sors la roue de secours, un type vient me proposer d’aller baiser une furie dans sa voiture pendant qu’il s’occupe de la roue.
Ben … pourquoi pas.
- Ne parlez ! Il faut qu’elle pense que c’est moi et n’hésitez pas à la secouer, c’est une sacrée folle. Et surtout elle vous attend dans son cul !
Je m’approche, des nuages passent et c’est l’obsucrité ici. Ça nous arrange. J’ouvre la porte, elle est à quatre pattes. Je m’astique un peu, je me frotte et je l’enfile dans le petit trou. Ban, au fond, j’ai à peine le temps de quelques allers-retour quand une voiture s’arrête pile à côté de nous. Deux flics descendent. Merde …
Ils allument l’intérieur de la voiture. La nana tourne la tête, étonnée vers la lampe.
- Pouvez-vous me dire ce que vous êtes en train de faire, là ?
- Ben … J’encule ma femme !
- Et pourquoi ne faites-vous pas ça chez vous ?
- Je vais vous avouez que jusqu’à ce que vous allumiez votre lampe et qu’elle tourne la tête, j’ignorai que c’est ma salope de femme que j’étais en train de baiser. Je m’étais juste arrêté plus loin pour changer une roue crevée.
***
Oui, je sais c’est une vieille, très vielle blague mais normalement c’est bien plus court. Là, j’ai allongé avec des détails croustillants.
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Aujourd’hui, je dois recevoir une nana envoyée par notre racheteur. Elle doit reprendre le poste du directeur au moins le temps que quelqu’un soit embauché pour ça. La comptable et le chef des ventes m’ont laissé en première ligne. Les enfoirés !
Je suis un peu fébrile, ne sachant pas trop ce que le groupe qui nous a acheté veut faire de nous. A 8 h tapantes je suis à l’entrée de la boite pour accueillir notre nouvelle patronne.
Elle arrive … Oh là, là …
1 m 70, blonde, des nibards imposants dans sa chemise blanche, une jupe serrée et élastique qui semble mouler ses hanches et son cul. Et je vais devoir passer la journée en tête à tête avec elle pour lui faire un récap de notre situation ? Je vais mourir !
D’entrée, elle plaisante et éclate de rire. Je n’ai même pas réellement entendu ce qu’elle a dit, scotché que j’étais à la détailler. Dans le doute, je vais rire aussi.
Je l’accompagne dans le bureau du patron et on commence. Visiblement, elle n’est pas qu’un canon. Elle connaît son sujet et pose pas mal de questions, m’interrompant au besoin avec un sourire devant lequel j’ai du mal à tenir. Sérieusement, j’ai la gaule.
On fait le tour des brevets en cours, passés, de l’atelier de fabrication, des principaux clients, fournisseurs, … Toute l’activité de la boite y passe.
A midi, on fait une pause. Je peux enfin respirer en la laissant entre les mains du responsable de production dans notre petite cafétériat. Tous les salariés ont entendus parler l’arrivée de LA nouvelle directrice et de ses formes avantageuses. Tous les gars sont là, à baver. Toutes les nanas sont sur leur trente-un pour essayer de rivaliser sans succès.
Je mange un peu à distance pour faire redescendre ma tension.
Une fois le café expédié, elle m’appelle pour continuer la partie RH.
On retourne dans le bureau pour passer en revue chaque salarié, son arrivée, sa dernière augmentation, mon avis sur chacun … Je souffle un peu car elle commence à prendre des décisions de revalorisation des anciens. Elle est tout à fait cohérente.
En fin d’après midi, on en arrive à moi.
Elle me dit quelle doit rédiger un rapport demain matin qui doit être sur le bureau de son chef demain midi. Elle veut travailler au calme de chez elle pour le faire. Pour l’examen de ma situation, elle impose que l’on en discute au restaurant ce soir.
J’ai pas le choix. Je cède.
Je la récupère chez elle (elle n’habite pas trop loin) pour aller au restaurant, à une dizaine de bornes de la ville, d’une seule voiture
Le problème c’est qu’elle s’est changée. Si aujourd’hui, c’était une bonde, ce soir c’est pire.
En fait, c’est pas dur, vous avez en tête la nana du célèbre dessin animé qui fait saliver un loup à en perdre la langue ? C’est clairement l’effet qu’elle me fait !
Un chemisier tendu à éclater par ses obus, une jupe aussi moulante que celle d’aujourd’hui mais avec paillettes, des sandales. Ses ongles de mains et de pieds sont roses avec des dessins de fleurs. Elle a un gloss du même rose, aux lèvres et un maquillage de paupière en dégradé.
Pendant la route, j’évite de la regarder pour éviter l’accident.
A notre arrivée on fait sensation. Tous les mecs se retournent.
Je me dépêche de m’asseoir pour me couvrir une grosse bosse dans mon pantalon avec la serviette. Durant tout le repas, je vais me poser des questions sur la solidité des boutons du chemisier. Comment peuvent-ils tenir ? Comment dois-je réagir si ça pète ? Chaque bouton est un maillon faible. Si le premier casse, les autres vont suivre, forcément. C’est tellement tendu qu’on voit bien qu’il n’y a pas de soutif.
Elle plaisante, rit et enfin au dessert, on en arrive à moi. Mon expérience, mon ancienneté, le travail que je réalise normalement et celui que j’ai réalisé pour tenir la boite sans le patron malade, … La tension baisse, on discute sérieusement. Elle a l’air de m’apprécier et d’apprécier mon boulot. Elle me promet une prime pour les 4 derniers mois passés à tenir la boite à flot.
Ouf !
Bon elle veut rentrer.
On monte dans ma voiture, et on part.
D’un coup
- Stop, Lilian, arrête toi
Je m’arrête en catastrophe sur le bas côté assez large.
- Éloigne-toi de la route, approche-toi des arbres, la Lune éclaire un peu trop et les phares des voitures peuvent aussi allumer le coin.
- Heu oui mais pourquoi ?
- Pour ta prime, c’est acté mais pour ton augmentation, je pense qu’une dernière formalité s’impose. Viens, on passe derrière !
- … heu
- Allez ne fait pas l’andouille, j’ai bien vu que je te plais, j’ai envie de sexe ce soir et je sais que mon mari va rentrer tard.
- Votre mari ?
- T’en fais pas, d’une part, les absents ont toujours tord et puis il est pas trop jaloux. Allez, retire mon chemisier que je respire enfin. Voilà … alors ça te plait ?
- Heu oui, oui.
J’espère qu’elle ne voit pas que je bave.
Elle se met à quatre patte, ses fesses vers moi et me demande de lui retirer la jupe et le string. J’en étais sûr … un superbe fessier bien rebondi avec une fente bien profonde entre les deux.
- Elle se retourne. Assis-toi je vais commencer par te sucer.
En quelques secondes j’ai le pantalon et le slip aux chevilles. Elle est à quatre pattes sur le siège, la tête sur entre mes jambes à sucer .. et elle suce bien.
- Arrête, arrête, je vais exploser.
- Bouffe moi à ton tour !
Allongée sur le siège arrière, une jambe vers l’avant, une autre en l’air, elle attend et c’est moi qui plonge ce coup-ci. Elle est déjà trempée.
- C’est bien Lilian, suce bien. Rentre ta langue, occupe toi de mon clito, accélère, ralentit, encore …
Elle explose.
Elle rit (oh ce sire, j’en peux plus de ce rire).
- Allez saute-moi. Levrette ? Je me mets encore à quatre pattes, tu t’allonges sur moi et tu me la mets profond ?
- Oui si tu veux.
Ça traîne pas. Ça glisse et ça rentre. Je la lime un bon moment quand elle me demander de changer de trou ! J’en peu plus, c’en est trop j’éjacule dans sa foufoune !
- Et ben alors ? J’ai demandé dans mon cul. Bouge pas, je vais te sucer pour te remettre en forme et tu me la mets mais dans les fesses, hein ?
- Oui
Et c’est reparti mais dans le puits défendu. Couché sur elle, je pense qu’heureusement j’ai un SUV, c’est plus haut de plafond. Elle crie d’accélérer, qu’elle est pas à une bite près. Je la laboure et on prend notre pied ensemble.
- Et ben c’est pas mal mais j’en veut encore. Je te veux plus énergique, malmène-moi ce coup-ci.
- Attends, faut que j’aille pisser.
- Fais vite. Je bouge pas. Je t’attends le cul en l’air.
Je sors de la voiture m’approche des arbres quand une voiture arrive sur le bas côté au ralenti et se gare à quelques mètre de la mienne. Un type assez costaud sort en râlant et va vers son coffre d’où il sort une roue de secours. Je suis sauvé.
- Écoutez, j’ai un truc à vous proposer.
- Non mais ça va pas, t’es pas bien ?
- Rassurez-vous, rassurez-vous. Vous voyez ma voiture, juste derrière la vôtre ? A l’intérieur y’a une salope de première qui ne demande qu’à se faire sodomiser sauvagement. Moi, j’en viens et elle m’a vidée mais elle en redemande. Je vous promets de changer votre roue pendant que vous la baisez, ok ? Ne me dite pas que ça vous intéresse pas ?
****
Merde, je viens de crever. Je ralentis doucement sans freiner et je me gare sur la bas-côté en douceur près d’une autre voiture près d’une rangée d’arbres.
Alors que je descends et sors la roue de secours, un type vient me proposer d’aller baiser une furie dans sa voiture pendant qu’il s’occupe de la roue.
Ben … pourquoi pas.
- Ne parlez ! Il faut qu’elle pense que c’est moi et n’hésitez pas à la secouer, c’est une sacrée folle. Et surtout elle vous attend dans son cul !
Je m’approche, des nuages passent et c’est l’obsucrité ici. Ça nous arrange. J’ouvre la porte, elle est à quatre pattes. Je m’astique un peu, je me frotte et je l’enfile dans le petit trou. Ban, au fond, j’ai à peine le temps de quelques allers-retour quand une voiture s’arrête pile à côté de nous. Deux flics descendent. Merde …
Ils allument l’intérieur de la voiture. La nana tourne la tête, étonnée vers la lampe.
- Pouvez-vous me dire ce que vous êtes en train de faire, là ?
- Ben … J’encule ma femme !
- Et pourquoi ne faites-vous pas ça chez vous ?
- Je vais vous avouez que jusqu’à ce que vous allumiez votre lampe et qu’elle tourne la tête, j’ignorai que c’est ma salope de femme que j’étais en train de baiser. Je m’étais juste arrêté plus loin pour changer une roue crevée.
***
Oui, je sais c’est une vieille, très vielle blague mais normalement c’est bien plus court. Là, j’ai allongé avec des détails croustillants.
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En plus d'être une histoire volée, elle est mal écrite avec beaucoup trop de fautes.
