L'artisan plombier
Récit érotique écrit par Provence [→ Accès à sa fiche auteur]
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L'artisan plombier
Ce matin, samedi, mon chéri est parti tôt aider un copain à déménager à 200 bornes d’ici et je vais être tranquille pour la journée. Je vais peut-être même jouer avec un sex-toy, le gros qu’il m’a offert lors de mon dernier anniversaire (oui, entre nous on s’offre des jouets). Je me sens d’humeur coquine. Je commence à me caresser.
Le téléphone sonne … merde …
C’est Diane, ma belle-sœur. Aujourd’hui, elle doit absolument finir un truc au boulot mais elle a de l’eau partout dans la cuisine. Elle me demande si elle peut venir se changer ici et si je peux prendre en charge la venue d’un plombier. Elle a coupé l’arrivée d’eau de son appartement mais n’a pas d’eau pour les toilettes et la douche.
Elle habitue juste deux étages en dessous dans notre immeuble. Je peux pas refuser et range le jouet en l’attendant.
A peine 2 minutes plus tard, Diane sonne. Je lui ouvre. Elle est en chemise de nuit, robe de chambre, pantoufles et elle a un sac à dos à la main.
Elle se précipite dans les toilettes en râlant après ce con de tuyau qui a dû lâcher quelque part. Quand elle sort des toilettes, elle est déjà nue, chemise de nuit à la main et fonce dans la salle de bain.
C’est un canon !!! Je l’ai déjà vue en petite tenue, à la plage, mais jamais totalement. Elle est blonde, assez grande, les yeux bleus, deux petites fossettes sur les joues, une paire de seins encore plus gros que les miens mais les siens, d’après ce que j’ai vu, s’écartent alors que les miens sont bien droits.
Sa foufoune, comme la mienne est fournie mais elle a une grosse touffe alors que mon chéri coupe, taille pour garder une belle touffe harmonieuse.
J’ai le loisir de voir ses fesses quand elle entre dans la douche.
Je reste avec elle dans la salle de bain pour continuer la discussion sur ce con de tuyau.
Elle me charge de faire venir un plombier pour faire le nécessaire, de l’appeler pour valider le devis et d’insister pour que tout soit réparer au plus tôt.
Quand elle sort, nue et mouillée, je me que si j’étais lesbienne, je la désirerais sans doute.
Elle se sèche, enfile sa culotte, sa robe, ses chaussures à talons et elle file en me faisant la bise et en me remerciant déjà par avance. Elle laisse ici son sac à dos avec ses fringues de nuit et me laisse les clés de son appartement.
Je prends aussi une douche rapide, m’habille, j’attrape le PC et je cherche les plombiers du secteur. Hop, je me fige. Une collègue de travail m’avait dit avoir trouvé un plombier qui venait de s’installer et lui avait fait sa salle de bain, très récemment. Dans l’affolement, j’ai failli oublier cette info.
J’appelle la collègue qui me file le numéro du plombier et un instant plus tard plus tard, je l’ai au bout du fil.
Bon, il n’est pas super content de devoir bosser un samedi mais bon … faut bosser et il ne croule pas sous les appels pour le moment.
Je m’habille très rapidement et descends l’attendre chez Diane. Je commence un peu à éponger. En deux minutes je suis trempée (et merde!). Quand il arrive, je me dis que ma collègue me cache bien des choses !! C’est un antillais beau comme un dieu. Il vient d’arriver dans la ville et de s’installer mais il va rapidement avoir bien du travail, j’en suis sûre, auprès de la clientèle féminine.
Ce grand baraqué, me remercie avec un grand sourire pour avoir épongé, « même si cela a mouillé ma robe et la rend très collante sur ma peau ». Je suis morte de honte. La robe me colle réellement.
Il se penche sous l’évier et trouve rapidement l’origine de la fuite. Il dit que cela va être rapide car il a tout ce qu’il faut et me donne un le prix. J’appelle Diane qui valide tout de suite et je lui demande si je peux « taper » dans sa garde-robe car je suis trempée pour avoir épongé. Elle valide aussi.
Pendant que ce dieu antillais travaille, je file dans la salle de bain pour me sécher puis je regarde dans le placard de Diane. La première chose que je trouve est une très jolie robe avec un beau décolleté, deux fines bretelles et un dos nu. La robe n’est pas très longue. Je n’ai pas souvenir de l’avoir déjà vue sur Diane.
Hop, je l’enfile, enfin j’essaie car visiblement pour Diane comme pour moi, nos poitrines semblent ne pas entrer.
La porte de la chambre s’ouvre alors que le plombier entre.
- Madame ? J’ai fini
Je suis debout au milieu de la chambre, les bras en l’air, vêtue d’une petite culotte et d’une robe coincée au dessus de ma tête, ma belle poitrine à l’air.
- Vous voulez un coup de main ?
- Heu …
- Laissez-moi faire …
- Heu c’est en haut que je suis coincée, vous me retirez ma culotte, là !
- Oui, je souhaite une vue d’ensemble.
Ma culotte est à mes chevilles et je sens ses doigts contre ma touffe. L’enfoiré ! Il m’embrasse à travers cette robe toujours coincée.
Je mouille et il le sait bien. Il continue sa caresse et je ronronne. Il me pousse délicatement et je tombe sur le lit. Il retire la culotte de ma cheville gauche, les écarte et me donne un baiser sur la cheville puis remonte avec la langue vers le genou pour deux baisers puis fait glisser sa langue vers mes cuisses.
- Libère-moi, libère-moi de cette maudite robe !
- Pas tout de suite
Il passe quelques secondes à me lécher la fente puis remonte vers le nombril qui a aussi droit à son coup de langue et me prend les seins.
- Tu as une poitrine d’enfer.
- S’il te plaît libère-moi de cette robe, j’en peux plus.
Il l’attrape et la tire vers le haut. Dès que j’ai le visage sorti de cette robe, il en profite pour m’embrasser.
Dès que je suis libérée, je le serre contre moi.
Il me suce maintenant les seins puis redescend vers mon puits d’amour. Un doigt, puis deux doigts s’enfoncent pendant qu’il me lèche le clito.
Je me relève d’un bond, le repousse et lui retire son tee-shirt. Je défais sa ceinture et retire son pantalon et son slip en même temps.
Ho putain ! Elle est grosse, un peu tordue sur le côté. Je la prends en bouche et commence à le sucer en fantasmant sur le moment où il va me la mettre !
Il est a genou sur le lit, je suis à quatre pattes devant en train de sucer cette grosse queue sans oser la rentrer plus que ke gland ans ma bouche.
Il se penche et me prend les fesses.
- Ça suffit : allonge-toi! Mets ce coussin sous tes fesses, écarte bien j’arrive.
Et bang … dans ma foufoune ! Il est au fond et je la sens bien, il me ramone un peu, lentement puis accélère. Je suis déjà au septième ciel. C’est bon …
Il m’embrasse et me demande une cravate de notaire.
Ça va reposer ma chatte et je lui dis de venir sur mon ventre. Il m’enjambe, s’assoie directement sur mes seins et rentre son gland dans la bouche et le suce, je salive.
Il recule et le glisse entre mes seins. Il les presse un contre l’autre et coulisse. De temps à autre il se relève et me la remet dans la bouche puis la replace entre mes seins.
Il se relève et me relève aussi. Il me positionne à quatre pattes et se glisse derrière moi. Il m’enfile et s’accroche à mes hanches. Il va et vient en faisant varier la vitesse. C’est merveilleux.
Je sens d’un coup quelque chose (un pouce ?) sur mon petit trou. Il a sucé son doigt et le rentre délicatement dans mon anus.
C’est bon. De temps à Uatre, mon mari me la mets dans l’anus et je ne suis jamais contre mais il l’a plus petite. Mon mari a une « taille normale ».
Il sort son doigt de mon cul, sa bite de ma chatte et la dirige vers le petit trou laissé libre.
- Non, ça passera jamais. Celle de mon mari est plus petite.
- Bon tant pis mais tu sais pas ce que tu perds
- Non retourne dans ma chatte.
Il me couche sur le dos, me plie la jambe droite qu’il me rabat sur le côté gauche. Il enjambe ma jambe gauche et me pénètre à nouveau. Quelques minutes plus tard, je prends mon pied. Lui aussi, il me remplit la chatte de sperme … et la porte s’ouvre.
- Rose, c’est fini, tu es… Ah ben vous gênez pas, baisez sur mon lit ! Rose, tu sais que t’es mariée à mon frère quand même et c’est sur mon lit que tu te tapes ton amant ?
- C’est le plombier
- Plombier ou pas t’es mariée et sur mon lit avec ce type à poil dont la queue est encore dans ton sexe. Je me dépêche pour vite finir l’essentiel de ce que je devais faire, je rentre en catastrophe et je vous trouve l’un DANS l’autre sur MON lit !
Il se lève.
- Mademoiselle, ne le prenez pas mal. Ça s’est fait sans même que l’on le veuille. C’est presque un accident.
- Un accident ? Oh la vache, elle est grosse.
- Diane, s’il te plaît, ne dis jamais à ton frère ce que tu viens de voir.
Elle est scotchée, bouche ouverte, les yeux fixés sur la bite du plombier qui dégouline de sperme
- Je peux toucher ?
- Bien sûr, et tu peux même te mettre dans la même tenue que nous pour en profiter tout de suite.
Je le crois pas. En deux secondes, Diane a oublié que je suis à poil sur son pieu. Elle est nue et se baisse directement pour sucer, pas gênée pour deux sous du sperme et du goût de ma foufoune qui doit l’embaumer.
Il la relève, la pose doucement sur le lit.
- Je veux te voir sucer ta copine ou belle-sœur je m’en fou. Je veux te voir lui sucer la foufoune. Diane vers vient moi alors que je suis KO par la demande qu’il vient de lui faire.
Bon, d’accord, je la trouve jolie mais j’ai pas du tout l’habitude de ça. J’ai jamais même embrassée une fille.
Diane m’écarte les cuisse, se couche sur moi, et me lèche, m’aspire le sperme en moi. Salope, elle fait ça bien, j’adore.
Il se baisse et lui écarte les fesses. Il la suce lui aussi mais je ne sais pas trop où.
Un instant plus tard, il se relève. Debout sur le lit, il nous demande de nous mettre à genou pour le sucer.
On est sur notre nuage et on obeï. Chacune son côté, on fait glisser nos langues de la base au gland. On le prend alternativement en bouche. Quand il nous demande de nous embrasser, Diane n’hésite pas une seconde et me roule une pelle … que je lui rends.
Il met Diane à quatre pattes et me demande de lui sucer le fion. Heu … là c’est quand même un peu … Il me pousse et je tombe pile dessus. Je lui suce donc le petit trou. Je sens qu’elle va le prendre là.
Diane est en haut du lit contre le montant. Je suis à quatre patte derrière et je lui suce le fion et notre antillais se positionne derrière moi et m’enfile d’un coup. Il fait quelques allers-retour. Il ressort trempé de ma mouille. Il m’écarte et vient derrière Diane. Il se penche sur elle
- Ta copine ne l’a pas voulue dans le petit trou mais toi, tu vas y avoir droit.
Il me demande de bien lui écarter les fesses. Il me fait sucer un doigt, un autre et encore un.
Il lui glisse le premier, puis avec le second puis les trois. Diane hurle de plaisir.
Il retire les doigts et son gros sexe se présente à l’entrée de ce trou béant. Il pousse doucement mais c’est Diane qui recule pour s’empaler dessus.
Il se recule en tenant Diane par les hanches pour la faire reculer aussi.
- Offre lui tes seins le dit-il. Je veux la voir te les sucer pendant que je la prends.
Je me couche sur le dos pour mettre mes seins à disposition de Diane qui n’hésite pas une seconde pour les sucer, les mordiller doucement pendant un bon moment alors qu’il coulisse dans son cul.
Diane prend son pied, ça y est, c’en est trop pour elle … mais pas lui, pas encore.
- Passe dessous, mets-toi en soixante-neuf et suce-moi les couilles.
Je m’exécute.
Il la pilonne un peu plus fortement pendant que je prends ses couilles dans ma bouche, l’une après l’autre.
Diane me suce et elle le fait bien. Je sens un doigt me pénétrer et je monte dans les tours.
Soudain, notre plombier sort sa bite et plonge pour me la mettre dans la bouche. L’enfoiré ! Il la rentre de beaucoup, m’ordonne de bien sucer puis la ressort et la remet dans Diane d’un coup.
Je reprends ses couilles mais bientôt la langue de Diane et je ne sais combien de ses doigts sont trop forts pour moi. Je prends mon pied à nouveau et notre antillais en fait autant dans le cul de Diane.
Tout s’arrête un instant. Diane avec sa bouche sur ma chatte, l’antillais dans le cul de Diane et moi qui peine un peu à reprendre ma respiration.
Il est le premier à reprendre ses esprits et coulisse un peu. Il la sort me demande d’ouvrir la bouche et je prends son gland. Il se retire et me demande, puisque je suis toujours en soixante-neuf de sucer le petit trou dégoulinant de Diane. Je ne cherche pas à refuser, je fais ce qu’il dit et j’en ai bientôt plein la bouche. Il relève Diane et lui demande de venir m’embrasser.
Elle est sur moi et m’embrasse.
Il nous fait rouler. Je suis maintenant sur Diane et il me demande de, moi, l’embrasser et de vider ma bouche de son sperme dans celle de Diane, ce que je fais.
On est un peu toutes les deux couvertes de sperme sur le visage. Il nous demande de nous lécher mutuellement.
Après une minute, on part à la douche tous les trois. Il se rhabille et s’en va sans nous faire payer, nous laissant dans une certaine gène puisque je viens de partager avec elle un type et que je suis mariée avec son frère.
- Toi, ma chérie, il faut que tu comprennes que si je n’ai pas de petit copain, c’est parce que j’aime autant les hommes que les femmes. Que je refuse de ne laisser que l’un ou l’autre rythmer ma vie.
- Oui mais là, quand même
- Si tu veux que je me taise sur ce qui vient de ce passer sur mon lit, tu vas devoir me satisfaire et me laisser te satisfaire de temps en temps.
- Ok mais s’il te plaît pas avec d’autres hommes. J’aime ton frère
- Ben là, sur le moment, quand je suis rentré dans ma chambre, ça se voyait pas !
Le téléphone sonne … merde …
C’est Diane, ma belle-sœur. Aujourd’hui, elle doit absolument finir un truc au boulot mais elle a de l’eau partout dans la cuisine. Elle me demande si elle peut venir se changer ici et si je peux prendre en charge la venue d’un plombier. Elle a coupé l’arrivée d’eau de son appartement mais n’a pas d’eau pour les toilettes et la douche.
Elle habitue juste deux étages en dessous dans notre immeuble. Je peux pas refuser et range le jouet en l’attendant.
A peine 2 minutes plus tard, Diane sonne. Je lui ouvre. Elle est en chemise de nuit, robe de chambre, pantoufles et elle a un sac à dos à la main.
Elle se précipite dans les toilettes en râlant après ce con de tuyau qui a dû lâcher quelque part. Quand elle sort des toilettes, elle est déjà nue, chemise de nuit à la main et fonce dans la salle de bain.
C’est un canon !!! Je l’ai déjà vue en petite tenue, à la plage, mais jamais totalement. Elle est blonde, assez grande, les yeux bleus, deux petites fossettes sur les joues, une paire de seins encore plus gros que les miens mais les siens, d’après ce que j’ai vu, s’écartent alors que les miens sont bien droits.
Sa foufoune, comme la mienne est fournie mais elle a une grosse touffe alors que mon chéri coupe, taille pour garder une belle touffe harmonieuse.
J’ai le loisir de voir ses fesses quand elle entre dans la douche.
Je reste avec elle dans la salle de bain pour continuer la discussion sur ce con de tuyau.
Elle me charge de faire venir un plombier pour faire le nécessaire, de l’appeler pour valider le devis et d’insister pour que tout soit réparer au plus tôt.
Quand elle sort, nue et mouillée, je me que si j’étais lesbienne, je la désirerais sans doute.
Elle se sèche, enfile sa culotte, sa robe, ses chaussures à talons et elle file en me faisant la bise et en me remerciant déjà par avance. Elle laisse ici son sac à dos avec ses fringues de nuit et me laisse les clés de son appartement.
Je prends aussi une douche rapide, m’habille, j’attrape le PC et je cherche les plombiers du secteur. Hop, je me fige. Une collègue de travail m’avait dit avoir trouvé un plombier qui venait de s’installer et lui avait fait sa salle de bain, très récemment. Dans l’affolement, j’ai failli oublier cette info.
J’appelle la collègue qui me file le numéro du plombier et un instant plus tard plus tard, je l’ai au bout du fil.
Bon, il n’est pas super content de devoir bosser un samedi mais bon … faut bosser et il ne croule pas sous les appels pour le moment.
Je m’habille très rapidement et descends l’attendre chez Diane. Je commence un peu à éponger. En deux minutes je suis trempée (et merde!). Quand il arrive, je me dis que ma collègue me cache bien des choses !! C’est un antillais beau comme un dieu. Il vient d’arriver dans la ville et de s’installer mais il va rapidement avoir bien du travail, j’en suis sûre, auprès de la clientèle féminine.
Ce grand baraqué, me remercie avec un grand sourire pour avoir épongé, « même si cela a mouillé ma robe et la rend très collante sur ma peau ». Je suis morte de honte. La robe me colle réellement.
Il se penche sous l’évier et trouve rapidement l’origine de la fuite. Il dit que cela va être rapide car il a tout ce qu’il faut et me donne un le prix. J’appelle Diane qui valide tout de suite et je lui demande si je peux « taper » dans sa garde-robe car je suis trempée pour avoir épongé. Elle valide aussi.
Pendant que ce dieu antillais travaille, je file dans la salle de bain pour me sécher puis je regarde dans le placard de Diane. La première chose que je trouve est une très jolie robe avec un beau décolleté, deux fines bretelles et un dos nu. La robe n’est pas très longue. Je n’ai pas souvenir de l’avoir déjà vue sur Diane.
Hop, je l’enfile, enfin j’essaie car visiblement pour Diane comme pour moi, nos poitrines semblent ne pas entrer.
La porte de la chambre s’ouvre alors que le plombier entre.
- Madame ? J’ai fini
Je suis debout au milieu de la chambre, les bras en l’air, vêtue d’une petite culotte et d’une robe coincée au dessus de ma tête, ma belle poitrine à l’air.
- Vous voulez un coup de main ?
- Heu …
- Laissez-moi faire …
- Heu c’est en haut que je suis coincée, vous me retirez ma culotte, là !
- Oui, je souhaite une vue d’ensemble.
Ma culotte est à mes chevilles et je sens ses doigts contre ma touffe. L’enfoiré ! Il m’embrasse à travers cette robe toujours coincée.
Je mouille et il le sait bien. Il continue sa caresse et je ronronne. Il me pousse délicatement et je tombe sur le lit. Il retire la culotte de ma cheville gauche, les écarte et me donne un baiser sur la cheville puis remonte avec la langue vers le genou pour deux baisers puis fait glisser sa langue vers mes cuisses.
- Libère-moi, libère-moi de cette maudite robe !
- Pas tout de suite
Il passe quelques secondes à me lécher la fente puis remonte vers le nombril qui a aussi droit à son coup de langue et me prend les seins.
- Tu as une poitrine d’enfer.
- S’il te plaît libère-moi de cette robe, j’en peux plus.
Il l’attrape et la tire vers le haut. Dès que j’ai le visage sorti de cette robe, il en profite pour m’embrasser.
Dès que je suis libérée, je le serre contre moi.
Il me suce maintenant les seins puis redescend vers mon puits d’amour. Un doigt, puis deux doigts s’enfoncent pendant qu’il me lèche le clito.
Je me relève d’un bond, le repousse et lui retire son tee-shirt. Je défais sa ceinture et retire son pantalon et son slip en même temps.
Ho putain ! Elle est grosse, un peu tordue sur le côté. Je la prends en bouche et commence à le sucer en fantasmant sur le moment où il va me la mettre !
Il est a genou sur le lit, je suis à quatre pattes devant en train de sucer cette grosse queue sans oser la rentrer plus que ke gland ans ma bouche.
Il se penche et me prend les fesses.
- Ça suffit : allonge-toi! Mets ce coussin sous tes fesses, écarte bien j’arrive.
Et bang … dans ma foufoune ! Il est au fond et je la sens bien, il me ramone un peu, lentement puis accélère. Je suis déjà au septième ciel. C’est bon …
Il m’embrasse et me demande une cravate de notaire.
Ça va reposer ma chatte et je lui dis de venir sur mon ventre. Il m’enjambe, s’assoie directement sur mes seins et rentre son gland dans la bouche et le suce, je salive.
Il recule et le glisse entre mes seins. Il les presse un contre l’autre et coulisse. De temps à autre il se relève et me la remet dans la bouche puis la replace entre mes seins.
Il se relève et me relève aussi. Il me positionne à quatre pattes et se glisse derrière moi. Il m’enfile et s’accroche à mes hanches. Il va et vient en faisant varier la vitesse. C’est merveilleux.
Je sens d’un coup quelque chose (un pouce ?) sur mon petit trou. Il a sucé son doigt et le rentre délicatement dans mon anus.
C’est bon. De temps à Uatre, mon mari me la mets dans l’anus et je ne suis jamais contre mais il l’a plus petite. Mon mari a une « taille normale ».
Il sort son doigt de mon cul, sa bite de ma chatte et la dirige vers le petit trou laissé libre.
- Non, ça passera jamais. Celle de mon mari est plus petite.
- Bon tant pis mais tu sais pas ce que tu perds
- Non retourne dans ma chatte.
Il me couche sur le dos, me plie la jambe droite qu’il me rabat sur le côté gauche. Il enjambe ma jambe gauche et me pénètre à nouveau. Quelques minutes plus tard, je prends mon pied. Lui aussi, il me remplit la chatte de sperme … et la porte s’ouvre.
- Rose, c’est fini, tu es… Ah ben vous gênez pas, baisez sur mon lit ! Rose, tu sais que t’es mariée à mon frère quand même et c’est sur mon lit que tu te tapes ton amant ?
- C’est le plombier
- Plombier ou pas t’es mariée et sur mon lit avec ce type à poil dont la queue est encore dans ton sexe. Je me dépêche pour vite finir l’essentiel de ce que je devais faire, je rentre en catastrophe et je vous trouve l’un DANS l’autre sur MON lit !
Il se lève.
- Mademoiselle, ne le prenez pas mal. Ça s’est fait sans même que l’on le veuille. C’est presque un accident.
- Un accident ? Oh la vache, elle est grosse.
- Diane, s’il te plaît, ne dis jamais à ton frère ce que tu viens de voir.
Elle est scotchée, bouche ouverte, les yeux fixés sur la bite du plombier qui dégouline de sperme
- Je peux toucher ?
- Bien sûr, et tu peux même te mettre dans la même tenue que nous pour en profiter tout de suite.
Je le crois pas. En deux secondes, Diane a oublié que je suis à poil sur son pieu. Elle est nue et se baisse directement pour sucer, pas gênée pour deux sous du sperme et du goût de ma foufoune qui doit l’embaumer.
Il la relève, la pose doucement sur le lit.
- Je veux te voir sucer ta copine ou belle-sœur je m’en fou. Je veux te voir lui sucer la foufoune. Diane vers vient moi alors que je suis KO par la demande qu’il vient de lui faire.
Bon, d’accord, je la trouve jolie mais j’ai pas du tout l’habitude de ça. J’ai jamais même embrassée une fille.
Diane m’écarte les cuisse, se couche sur moi, et me lèche, m’aspire le sperme en moi. Salope, elle fait ça bien, j’adore.
Il se baisse et lui écarte les fesses. Il la suce lui aussi mais je ne sais pas trop où.
Un instant plus tard, il se relève. Debout sur le lit, il nous demande de nous mettre à genou pour le sucer.
On est sur notre nuage et on obeï. Chacune son côté, on fait glisser nos langues de la base au gland. On le prend alternativement en bouche. Quand il nous demande de nous embrasser, Diane n’hésite pas une seconde et me roule une pelle … que je lui rends.
Il met Diane à quatre pattes et me demande de lui sucer le fion. Heu … là c’est quand même un peu … Il me pousse et je tombe pile dessus. Je lui suce donc le petit trou. Je sens qu’elle va le prendre là.
Diane est en haut du lit contre le montant. Je suis à quatre patte derrière et je lui suce le fion et notre antillais se positionne derrière moi et m’enfile d’un coup. Il fait quelques allers-retour. Il ressort trempé de ma mouille. Il m’écarte et vient derrière Diane. Il se penche sur elle
- Ta copine ne l’a pas voulue dans le petit trou mais toi, tu vas y avoir droit.
Il me demande de bien lui écarter les fesses. Il me fait sucer un doigt, un autre et encore un.
Il lui glisse le premier, puis avec le second puis les trois. Diane hurle de plaisir.
Il retire les doigts et son gros sexe se présente à l’entrée de ce trou béant. Il pousse doucement mais c’est Diane qui recule pour s’empaler dessus.
Il se recule en tenant Diane par les hanches pour la faire reculer aussi.
- Offre lui tes seins le dit-il. Je veux la voir te les sucer pendant que je la prends.
Je me couche sur le dos pour mettre mes seins à disposition de Diane qui n’hésite pas une seconde pour les sucer, les mordiller doucement pendant un bon moment alors qu’il coulisse dans son cul.
Diane prend son pied, ça y est, c’en est trop pour elle … mais pas lui, pas encore.
- Passe dessous, mets-toi en soixante-neuf et suce-moi les couilles.
Je m’exécute.
Il la pilonne un peu plus fortement pendant que je prends ses couilles dans ma bouche, l’une après l’autre.
Diane me suce et elle le fait bien. Je sens un doigt me pénétrer et je monte dans les tours.
Soudain, notre plombier sort sa bite et plonge pour me la mettre dans la bouche. L’enfoiré ! Il la rentre de beaucoup, m’ordonne de bien sucer puis la ressort et la remet dans Diane d’un coup.
Je reprends ses couilles mais bientôt la langue de Diane et je ne sais combien de ses doigts sont trop forts pour moi. Je prends mon pied à nouveau et notre antillais en fait autant dans le cul de Diane.
Tout s’arrête un instant. Diane avec sa bouche sur ma chatte, l’antillais dans le cul de Diane et moi qui peine un peu à reprendre ma respiration.
Il est le premier à reprendre ses esprits et coulisse un peu. Il la sort me demande d’ouvrir la bouche et je prends son gland. Il se retire et me demande, puisque je suis toujours en soixante-neuf de sucer le petit trou dégoulinant de Diane. Je ne cherche pas à refuser, je fais ce qu’il dit et j’en ai bientôt plein la bouche. Il relève Diane et lui demande de venir m’embrasser.
Elle est sur moi et m’embrasse.
Il nous fait rouler. Je suis maintenant sur Diane et il me demande de, moi, l’embrasser et de vider ma bouche de son sperme dans celle de Diane, ce que je fais.
On est un peu toutes les deux couvertes de sperme sur le visage. Il nous demande de nous lécher mutuellement.
Après une minute, on part à la douche tous les trois. Il se rhabille et s’en va sans nous faire payer, nous laissant dans une certaine gène puisque je viens de partager avec elle un type et que je suis mariée avec son frère.
- Toi, ma chérie, il faut que tu comprennes que si je n’ai pas de petit copain, c’est parce que j’aime autant les hommes que les femmes. Que je refuse de ne laisser que l’un ou l’autre rythmer ma vie.
- Oui mais là, quand même
- Si tu veux que je me taise sur ce qui vient de ce passer sur mon lit, tu vas devoir me satisfaire et me laisser te satisfaire de temps en temps.
- Ok mais s’il te plaît pas avec d’autres hommes. J’aime ton frère
- Ben là, sur le moment, quand je suis rentré dans ma chambre, ça se voyait pas !
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