Edwige et Ugo au restaurant - histoire érotique

Edwige et Ugo au restaurant

Permettez moi de me présenter. Je suis Edwige, typée asiatique mais contrairement à l’idée qu’on se fait des asiatiques, j’ai de gros seins, bien au dessus de la moyenne … et ils tiennent bien. Brunes, mes couettes tombent sur le devant.
Mes lunettes avec des grand verres ronds me donnent une allure d’étudiante.
Aujourd’hui, j’ai mis un top élastique bleu dans lequel mes seins tiennent à peine. A chaque respiration on pense que ça va éclater. Plus bas, j’ai une mini-jupe ample blanche avec une large ceinture jaune. J’ai des sandales avec les lacets qui remontent sur les molets. Mes ongles pieds et mains sont vernis (comme toujours). Là, j’ai pris le jaune (comme la ceinture) mais avec des cœurs bleus sur les pouces et les orteils (du même bleu que mon top). Le tout est recouvert d’un vernis pailleté.
Aujourd’hui, c’est notre anniversaire avec mon Ugo et je veux être la plus excitante possible pour mon chéri.

J’ai préparé ses fringues pour ce soir : une belle chemise blanche avec des dessins blancs en relief (on les voit à peine mais j’adore). Un pantalon blanc aussi et des chaussures en cuir presque neuves.

Dès qu’il arrive, il veut me coucher sur le lit mais je résiste, lui promettant tout ce qu’il veut plus tard, après le restaurant qu’il a réservé. Je l’envoie à la douche. En sortant, il veut encore de moi mais je résiste
- Après le restaurant
- Tu me feras tout ce que je veux ?
- Oui mais après le resto… et moi au fait ?
- Quoi, toi ma chérie ?
- C’est quand que toi tu me feras à moi tout ce que je veux , sans discuter ?
- Le week-end prochain, mon amour.

On prend la voiture il envoie la main sous ma mini-jupe pour tâter la marchandise, bien entendu !

Au restaurant, on s’installe en terrasse et on passe la commande rapidement. Le serveur nous connaît et on connaît la carte. Ça accélère tout enfin presque car il a quand même marqué un temps d’arrêt à mater mes seins !

- Tu sais Ugo, derrière toi, y’a un type brun, tout seul, qui a l’air de bien me fixer.
- Il est mignon ?
- Bof. Il est pas moche, mais pas extraordinaire non plus.
- Et il te fixe ?
- Il arrête pas. Chaque fois que je bouge, mes seins ballottent et il s’arrête presque de respirer
- Cambre-toi et bouge un peu.
- T’es fou ? Il va avoir une crise cardiaque le pauvre.
- Mais non, c’est pour rigoler.

OK, je cède. Je me cambre pour bien faire ressortir ma poitrine, je le fixe droit dans les yeux. Il transpire. Je lui fais mon plus beau sourire coquin et je secoue doucement ma poitrine de gauche à droite et de droite à gauche lentement.

- Il est tout rouge. Ce coup-ci, je suis sûr qu’il est en apnée.

Ugo, qui bien sûr n’avait rien manqué puisqu’il est juste devant moi est mort de rire. Il se retourne, identifie rapidement le gars qui prend un verre d’eau pour reprendre un peu de contenance. Et là, Ugo, lui fait un signe de la main, le pouce levé !
Le gars recrache l’eau de sa bouche !

Mon Ugo se retourne vers moi. On est tous les deux en train de rire.

- Vu sa position et notre table, heureusement qu’il est seul à te voir. Mais … tu sais quoi, ma chérie ?
- Non.
- Tu vas aux toilettes, tu retires ton string et tu le poses à côté de moi sur la table en revenant.
- T’es fou ? Il est juste derrière sur le côté. Il va voir le tissu et après dès que je vais bouger un peu il risque de voir entre mes jambes.
- Et alors ? T’as pas envie de jouer ma chérie ? Ce sera ta peine pour me faire attendre après le restau pour céder à tous mes désirs.
- Pour céder à tous tes désirs de vieux cochon !

Je me lève et je vais effectivement aux toilettes. En revenant, je fixe le type et je pose délicatement mon string sur la table. Ugo le déplie et le mets dans la poche de son pantalon. Le gars respire avec difficultés.

Je commence vraiment à me prendre au jeu.
- Tu sais quoi, mon Ugo d’amour ?
- Non
- Je suis en train d’écarter les jambes lentement dans sa direction. Ma jupe est relevée. Hop, j’ai resserré rapidement.
- Continue, raconte
- Je recommence à écarter, lentement et hop, c’est fermé. Il est dans tous ses états le pôvre ! Allez encore. J’ouvre mais un peu plus et je laisse un ouvert. Il fait tomber son couteau et se penche pour le ramasser.
- Laisse ouvert surtout.
- T’es conscient que le type est en train de me mater sous la jupe et que j’ai plus rien dessous.
- Oui ma chérie et je sais que le spectacle est magnifique.

La tension tombe soudainement quand le garçon nous porte nos desserts. Là, je suis trempée et j’exige de mon chéri qu’on termine maintenant rapidement avant de partir.

- Juste pour le fun, avant de te lever, tu tires ton top vers le haut pour sortir ta magnifique poitrine, juste un instant et tu remets tout en place.
- Il va risquer un infarctus !
- Pour le fun ?

Si je ne cède pas un peu, je sens qu’Ugo va faire traîner. Hop je prends à deux mains le top, je le relève, découvrant ma poitrine et hop, tout est en place.

Ugo paie et nous sortons. On s’embrasse. On s’approche de notre voiture.

- Tu sais ma chérie, je ferais bien quelques photos de toi ici. De l’autre côté de la voiture, il y a la lumière du lampadaire mais personne ne peut te voir.

Mon Ugo est un passionné de photos. Il voulait en faire son métier. Moi, je suis sa muse. Il adore me prendre en clichés dans toutes sortes de situations, y compris les plus coquines… et il n’attend même pas que je valide pour sortir son appareil du coffre.
Je passe derrière la voiture. Effectivement personne ne me voit et je prends différentes positions, une jambe repliée, courbée vers la voiture, appuyée sur le capot, en relevant la jupe, par devant, par derrière, … Je fais toutes sortes de sourrires, de mimiques et mon Ugo se régale avec son appareil.

- Ugo,il est là !
- Qui ça ?
- Ben le type du restaurant il est là.
- Fais lui signe de s’approcher
- Non !
- Ma chérie ? Tu te souviens que tu avais promis de faire tout ce que je veux de toi après le restaurant ? Ben on est sortis du restaurant. Fait lui signe de venir.

- Heu … bonjour. Vous êtes vraiment magnifique madame. Vous m’avez vraiment donné chaud dans le restaurant. Et votre mari ? Vous lui disiez tout ?
- Bien sûr c’est lui qui m’a dit d’enlever mon string et de le poser sur la table.

Il ne s’embarrasse pas trop et relève ma mini- jupe

- Oh quelle belle foufoune bien fournie
- Ben faut pas se gêner
- Tourne-toi ma chérie. Il a vu la face. Fais lui voir l’autre côté.
- T’es gonflé Ugo
- T’as promis !

Je me tourne et le mec mate mon cul. Il avance même la main et me pelote les fesses.

- Stop !
- Edwige, regarde, il semble bander dans son pantalon. Tu devrais faire quelque chose pour lui. On peut en profiter, personne ne peut nous voir ici.
- Quoi ? Tu veux que je branle un inconnu ?
- Commence quand même par le sortir. Tu as promis de faire ce que je veux.
- Toi, le week-end prochain. Tu vas morfler !

Je tire le gars vers moi. Effectivement, d’où on est, impossible de nous voir. Je l’attrape par le sexe à travers le pantalon pendant que Ugo continue ses photos cochonnes.
J’ouvre la braguette., Je défais le bouton et son pantalon tombe sur ses chaussures. Je descends le slip. Il en a une assez longue et un peu courbée sur la gauche.
Je le prends en main et je joue un peu.

- Dis tu veux bien que ta femme me suce ?
- Ok ! Chérie, suce le.
- Dis, vous pourriez me demander à moi, non ?
- Allez vas-y mon cœur.

Vaincue, Je me baisse. Bon. Je dépose un premier petit bisou sur le bout puis un second plus appuyé. Je retrousse la peau. Il a le grand à l’air. Un autre bisou sur le gland, puis un premier coup de langue. Le second coup de langue suit la fente du gland, lentement, très lentement.
Je descends maintenant vers ses couilles et je remonte lentement.

- Chérie mets-toi un peu sur le côté. Voilà. Sors bien la langue. Pose son sexe dessus.

Pendant qu’Ugo fais ses photos, je me prends sérieusement au jeu. Je lui fais de grands sourires alors que je suce l’autre type. Ce type m’importe peu. C’est juste pour mon Ugo que je le suce. Pour que mon Ugo sois heureux de moi.

Une fois sa queue posée sur ma langue sortie. Je la fait aller de gauche à droite puis de droite à gauche. Je la laisse posée mais je rentre ma langue, la ressort. Je lui tiens les mains pour qu’elles ne gênent pas les photos. Je le suce comme une reine.

C’est décidé. Mon Ugo veut que je le suce et bien il va avoir du spectacle. Je rentre son sexe dans ma bouche, lentement, toujours posé sur ma langue que je bouge latéralement. Je recule jusqu’à le sortir complètement et j’avance à nouveau ver son sexe, en tournant la tête pour les photos que mon cochon de copain est en train de prendre.
En quelques coups, ça y est, mes lèvres inférieures sont sur ses couilles. Il est complètement rentré dans ma bouche. Je le ressors pour respirer. Je salive à mort ! Je fais tourner ma langue sur son gland et hop, je l’engloutis à nouveau une seconde fois … puis une troisième.
Je suce maintenant son gland soigneusement et hop, sans prévenir … je fonce sur lui et il se retrouve encore au fond de ma gorge avec mes lèvres et mes lunettes collées à son ventre.

Il en peu plus. Je le sens. Je le sors. Je tire mon top vers le bas et me caresse les seins en ne gardant dans sa bouche que le grand que j’aspire.
Il respire à grandes bouffées.
Je le sors juste à temps pour qu’il m’éjacule partout sur le visage, sur mes grosses lunettes.
Je le laisse faire. Quand il a fini, je promène la queue sur mon visage, étalant le sperme et surtout en me tournant un peu pour qu’Ugo saisisse tout en photos.

Le gars recommence à respirer normalement. Je me lève en souriant et l’embrasse un peu de force. Il n’apprécie pas car j’ai le visage couvert de sperme. Tant pis pour lui ! C’est son sperme ! Je ris de lui.

J’ouvre la portière, me penche et prends des kleenex dans la boite à gants pour m’essuyer le visage. Je sens une main sur mes fesses, dans ma raie. Elle chemine entre mes cuisses et viens sur ma foufoune.

C’est mon Ugo. Il est content. C’était pas prévu mais il a pu faire plein de photos de sa copine en pleine action pour lui … et éventuellement pour un type à qui on n’a même pas demandé le prénom, mais on s’en moque. Je suis trempée. Je n’ai qu’une envie, que l’on rentre et que mon Ugo me saute.