Retour de soldes de Coralie et Fanny - histoire érotique

Coralie, ma femme et Fanny, sa cousine sont parties faire les soldes.

18 h. Elles rentrent enfin.

- Chéri, j’espère que t’as préparé à manger, on est crevée. Je sais pas combien de kilomètres on a fait mais on a faim.

Je ne connais pas trop Fanny, sa cousine venue exprès du Var pour faire les soldes avec ma Coralie mais je sais comment je veux être gentil avec ma femme.

- Stop ! On se fixe. On pose ses sacs de courses dans l’entrée.

Surprises. Elles obéissent.

- On se déchausse. Pieds nus !
Les deux ont fait le choix de chaussures de tennis pour être plus confortable à courir les boutiques. Des jupes courtes, très courtes et des tee-shirt complètent leur tenue pour toutes les deux. En deux secondes, les voila nus pieds.

- On ferme les yeux … et on ne triche pas.

Je me place entre les deux, prends la main droite de ma Coralie et celle de gauche de Fanny. Je vérifie qu’elles ne trichent pas et les amène dans notre salon.

Je les aide à s’asseoir sur le canapé, une à côté de l’autre.

- On ne triche pas, je veux ces 4 yeux fermés.
- Il nous fais quoi ton Marc ?
- Je sais pas … mais je te rassure c’est sûrement pas méchant.

Je reviens vite avec une bassine. Je tire l’éponge. Je trempe les pieds de ma chérie dans l’eau chaude de la bassine. Je frotte avec l’éponge, les petons de ma chérie.

- Oui….
- Il fait quoi ? C’est quoi ce bruit d’eau ? Je peux rouvrir les yeux ?
- Fanny tais toi !
- Bon …

Les pieds sont propres. Je les sorts de la bassine, les dépose sur la serviette de toilette et bascule sur le côté pour les pieds, plus petits, de Fanny.
- Hé, tu fais quoi avec mes pieds ?
- Chut !

Lentement, c’est maintenant le tour des pieds de Fanny d’être lavés, soigneusement, jusqu’entre les orteils. Si ma femme a les ongles bien vernis (jaune aujourd’hui), pour Fanny, c’est un peu écaillé, ça date.

Une fois les pieds bien propres, je vais dans la chambre pour chercher le dissolvant. J’éfface les restes de ce vieux verni, je retrempe les pieds dans l’eau pour retirer l’excès de chimie du produit et j’applique un joli rouge vif à la place. Ses petit petons sont maintenant aussi beau que ceux de ma chérie. Pendant que ça sèche, je repasse à Coralie et je commence un massage, lent des pieds, ne négligeant aucun orteil, insistant sous l’avant pied qui se fatigue par les kilomètres de marche.

Ma chérie est détendue, affalée. Sa jupe s’est relevée et je vois son string.

C’est le tour de Fanny pour le massage. En bougeant Coralie lui relève aussi la mini-jupe et de ma position, je vois la dentelle de ses dessous.

Je me penche et commence à lui sucer un orteil. Elle sursaute mais se laisse faire. Bientôt les autres orteils y passent aussi. Elle ronronne. C’est peut-être sa première fois pour cette attention. Elle aime ça.

Ma Coralie s’est relevée et me regarde faire avec un sourire bienveillant. Elle rit. Elle quitte le canapé pour venir près de moi, à genoux devant sa cousine et lui attrape l’autre pied. Fanny a un petit sursaut mais nous laisse faire. C’est bon de se faire sucer les pieds !

Après quelques minutes, Coralie décide que c’est son tour maintenant. Fanny veut descendre sur le tapis pour s’agenouiller mais Coralie décide de continuer dans la chambre. Sur le lit, c’est plus confortable et puis elles ont besoin d’une douche toutes les deux.

Elles filent à la douche, ensemble et je les entends rire.

De retour, des bougies sont disposées sur les tables de chevet, sur des chaises, les rideaux sont un peu tirés pour limiter la lumière.

- Allez retire ta serviette, Fanny
- Mais y’a Marc
- Oh ça va, il en a vu d’autres. Et puis, y’a pas de raison, à poil toi aussi, mon chéri. C’est mon tour !

Coralie s’allonge sur le lit. Fanny, un peu gênée et moi sommes côtes à côte et commençons notre suceautage des pieds de ma chérie. Je la guide. Prenant parfois le pied tenu par Fanny pour le sucer. Parfois, c’est Fanny qui prend celui qui m’est destiné pour le prendre dans sa bouche, la gourmande.
On rit.

Coralie en veut plus. Elle se met sur le côté et demande à Fanny de s’allonger conte elle à l’envers pour qu’elles se sucent mutuellement les pieds.

Je les regarde. Coralie a un cul bien rebondi mais c’est la première fois que je mate Fanny nue. Elle a de petites fesses. Pour rire, je les embrasse. Un petit bisou d’abord. Elle ne dit rien. Un double bisou (un sur chaque fesse).

- Coquin, je parie que tu viens d’embrasser les fesses de ma cousine.
- C’est pas ma faute, elles sont parfumées, vous venez de sortir de la douche.

Je promène ma main. Je m’allonge contre Fany. Mon sexe est contre ses fesses. Mes mains cherchent ses seins. Ma femme me donne un de ses pieds à sucer. Je me frotte un peu contre Fanny.

- Gros cochon! T’en profite, hein. Nous pôvrettes que nous sommes. Fatiguées par la marche, hypnotisées par tes léchages d’orteils et tu te frottes à moi.
- Ben … t’essaie pas vraiment de fuir. Et c’est quoi cette main qui me prend la queue ? Ces mains ?

Fanny a envoyée une main par derrière. Coralie en a passée une au-dessus de sa cousine. Elles sont toutes les deux en train de me branler !

- Chérie, allonge-toi sur le dos. Fanny redresse-toi.

Pendant quelles changent de position, je peux mieux voir l’intimité de Fanny. Elle est rasée très court.

- Coralie plie le genou, avance la jambe. Fanny, tu veux jouer ? Frotte-toi dessus.
- Tu veux que je frotte ma foufoune sur le pied de Coralie ?
- Oui, pour jouer.
- T’as des jeux, toi !

Pourtant elle s’exécute. De son gros orteil, Coralie lui caresse la fente. Elle fait pivoter le pied en travers et le monte et descend le long de la fente de Fanny. Je suis derrière elle pour la tenir.

- Hey …
- Quoi Fanny ?
- Elle vient de rentrer le gros orteil.
- Allongez-vous toutes les deux à nouveau. Je veux que chacune, avec son pied s’occupe de l’autre.

Elle rient mais font ce que je demande.

Maintenant l’un des pieds de chacune s’occupe de la chatte de l’autre. Je m’approche et suce bien un orteil de Coralie pour lubrifier. Je suce un de mes doigts et le glisse dans Fanny, un peu surprise mais qui accepte sans problème. L’orteil de Coralie rentre bien maintenant. Elle le fait bouger dedans.

Je passe de l’autre côté et suce le pied de Fanny, puis la chatte de ma femme. Fanny a les pieds plus petits. Je le dirige vers la fente et il rentre doucement. Les filles semblent apprécier ce jeu sexuel nouveau.

Je tente le coup : je me dirige vers Fanny à nouveau et pendant que Coralie la branle d’un orteil, je lui écarte les fesses et lui suce l’anus. Elle ne bouge pas. J’insiste et lui lèche bien, laissant un maximum de salive. J’envoie un doigt qu‘elle semble accepter puis un second dans son petit trou. Je sort l’orteil qu’elle a dans la foufoune et le dirige vers là. Elle écarte seule ses fesses pour faciliter l’introduction.

Coralie a compris et replie et déplie lentement son orteil dans l’anus de Fanny qui de son côté lui a mis le pied, enfin quelques centimètres dans sa foufoune.
Je les regarde puis je fais le tour du lit. Je me penche vers Fanny et lui dépose ma bite devant la bouche. Elle l’englouti sauvagement. Elle suce, suce avec avidité.

- Et moi, j’ai pas droit de sucer mon chéri ?

Je bascule et me dirige vers ma Coralie qui me prend à sont tour mais plus délicatement, plus gentiment.

- Viens m’aider dit Coralie à Fanny alors qu’elles se désassemblent.

Elles m’allongent sur le lit et l’une à gauche, l’autre à droite, et entament une pipe a deux. C’est délicieux.

Elles s’assoient. Coralie prend la direction. Elle attrape les pieds de Fanny et les suce, salivant bien. Elle place Fanny sur le ventre en bas de moi et utilise les pieds de sa cousine pour me faire une branlette. Elle re-suce encore les pieds, ma bite et recommence.

- A moi !! Fanny, aide-moi, je m’allonge sur le dos, laisse Marc se mettre à genoux. Suce et je le branle de mes pieds.
Elle s’allonge sur le dos, plie ses genoux. Fanny suce le tout et ma chérie me branle de ses pieds. Elle rit, s’amuse de cette situation, de ce jeux sexuel.
Elle suce et suce encore ma bite, les pieds de Coralie.

- Mes chéries, je sens que c’est bon. Hop côte à côte toutes les deux.

Les deux sont maintenant allongées sur le dos, les genoux pliés et me branlent de leurs pieds puis je me branle sur une puis l’autre. Coralie demande à Fanny de tourner la tête et je les vois s’embrasser, les deux cochonnes.

Je jouis sous leurs plantes des pieds qui se couvrent de mon sperme.

- Ne bougez pas !

Coralie se relève, suce ma bite de sperme, aspire celui qui se trouve sur le pied de Fanny et se penche pour l’embrasser. Elle m’attire et me demande l’embrasser à mon tour. Pas le choix. Je suis pris à mon jeu et j’embrasse Fanny dont la bouche contient mon sperme.

Ma coquine passe un doigt sous ses pieds pour l’enduire de sperme dont elle se sert de lubrifiant pour me doigter le cul !

Nous sommes allés manger, nus (j’avais prévu des pizzas) et dans la nuit, j’ai eu le loisir de les prendre toutes les deux plus normalement avec un plaisir tout particulier dans le petit cul de Fanny.